“POUDLARD IS NOT ANY MORE POUDLARD”

Poudlard avait réellement bien changer depuis des mois, c’était horrible de voir ses changements se faire. De passé d’un directeur vraiment bien au poste et dans avoir un nouveau qui n’a ni pouvoir ni contrôle du château. C’était horrible de voir cette grosse bombonne rose, visiter les couloirs, avec son sourire malsain. Poudlard n’était plus le lieu le plus sécuriser étant donner que le ministère avait contrôle sur celui-ci. Emrys, avait entendu dire que plus personne ne pouvait faire ce dont il voulait faire, ce qui embêtait vraiment le Reinhaart qui n’aimait pas qu’on lui dicte ce qu’il est a faire. Aujourd’hui, du moins ce matin, le Reinhaart c’était levé de bonne humeur, comme chaque matins, au aurore comme à son habitude afin de pouvoir admiré le levé de soleil et de sentir l’odeur du café avant tout le monde. Il s’était préparé à l’avance afin de pouvoir avoir une douche chaude, étant donner qu’il faisait assez froid à présent dehors. Il se lava tout en prenant son temps, il ne fallait jamais le déranger sous l’eau, surtout si l’eau était chaude. Il s’habilla, en mettant son uniforme de l’école c'est-à-dire un pantalon noir, une chemise blanche, un pull noir et sa cravate aux couleurs de sa maison rouge et or. Il était enfin prêt, sans oublier ses chaussettes noires et ses chaussures noires également. D’après d’autres étudiants, il ne fallait pas que la cravate soit mal mise comme à l’habitude du jeune homme, sa cravate n’était pas spécifiquement bien serré et sa chemise n’était pas tout le temps bien mise dans le pantalon, pour lui, c’était déjà quelque chose qu’il n’acceptait pas et dont il ne respectait pas. Il s’habilla à son habitude et partit à la rencontre des bols déjeuner qui était placer sur les grandes tables de la grande salle. Habituellement, il n’y avait personne à cette heure-ci, seulement aujourd’hui, tout les élèves étaient déjà là en compagnie de la grosse dame rose bonbon qui était toute à droite du nouveau directeur, Albus Dumbeldore. Le jeune Reinhaart alla s’assoir à sa table respective et s’envoya un bon bol chaud de chocolat au lait avec du pain au beurre. Ensuite, il mangea deux œufs sur plat sans oublier de boire en même temps son jus de citrouille. Pour lui, c’était le déjeuner le plus important de la journée, il fallait donc toujours profiter de bien se nourrir pour les heures de cours de la matinée. D’ailleurs, en première heure, à neuf heure pour être précis, le jeune homme de gryffondor avait court avec la grosse dame rose. Au début, tout le monde pensait que la grosse dame était celle qui gardait la salle commune des gryffondor mais non loin de là, celle-ci était bien plus horrible cas l’habitude. Emrys arriva dix bonne minutes à l’avance, il était comme ça, toujours ponctuel voir même trop ponctuel, sauf à son dernier rendez-vous au pré au lard avec sa belle blonde. D’ailleurs, il savait qu’il allait la voir ce matin en cours et il en était bien pressé. C’était souvent ses meilleurs moments qu’il passait avec elle, c’était dingue comment il appréciait le sourire de la blonde, la voix de celle-ci mais surtout ce qui les liais. Plus les minutes passèrent, plus les étudiants de la classe de Rys arriva enfin et la porte de la salle de classe s’ouvrit enfin. Tout était assez… Lumineux… Eclaircit… Trop au goût du gryffondor. Il entra dans la salle en s’approchant des tables, voyant qu’elles étaient toutes séparées mais surtout, qu’il y avait leurs noms à tous sur celles-ci. Le jeune Reinhaart, trouva enfin sa table, totalement à l’opposé de celle de sa blonde. Bizarrement, la grosse dame se retourna enfin vers les étudiants afin de prendre la parole, elle regarda de haut en bas le jeune Reinhaart en lui demandant de se lever afin qu’il puisse se tourner vers les autres étudiants. Ce que fit le jeune homme quand il sentit la baguette de la grosse dame sur contre son torse tout en expliquant la raison du pourquoi : « Voilà ce qu’est un élève perturbateur et mal éduquer ! Ne continuer pas sur cette voix Monsieur… Reinhaart ! » Le jeune Reinhaart alla s’assoir à sa place, il remarqua facilement que tout les autres garçons de la classe remirent leurs chemises et leurs cravates à leurs places. La grosse dame rose commença à parler en parlant des notes insuffisantes de la classe, tout en disant que la plupart n’avait pas le niveau d’être en neuvième année et c’est en adressant le premier parchemin d’Emrys que celle-ci s’adressa à toute la classe : « Ne faite pas comme lui ou vous finirez dans de sale draps ! On ne vous à rien apprit auparavant ! Il est grand temps que je fasse mon travail ! » Le jeune Reinhaart regarda sa copie, en gros et en rouge était écrit :RECALER. Ceci énerva beaucoup Emrys qui après la sonnerie du cours, alla au cours suivant jusqu’à avoir sa matinée finie. Il ne prit même pas le temps de manger qu’il partit directement en direction du saule cogneur, endroit qu’il appréciait car l’herbe était fraiche et que peu d’étudiant venait ici. Emrys n’était pas le genre de garçon à montrer ce qu’il ressentait, il préférait largement tout garder à l’intérieur de lui, afin de ne pas exploser face aux autres. Arriver près du saule cogneur, il cria un bon coup afin de se calmer : « RECALER ! BORDEL RECALER ! MAIS BORDEL ! » Enerver ? Oui il l’était et encore ce n’était que le début. Il savait que ce n’était pas vraiment le bon moment d’hurler dans la nature. Il espérait ne pas avoir été suivit par qui que ce soit, simplement parce qu’il voulait et devait souffler un peu. Il s’installa et s’allongea sur l’herbe pour souffler un bon coup. Ce qui était le mieux à faire.

Ysolde Wilkes était une excellente élève, et rien n’y changerait, elle était et demeurait brillante. Ses chevilles n’étaient pas entrain d’enfler, non. Ysolde n’était pas une fille foncièrement modeste, loin de là, elle avait beau avoir perdu sa méchanceté chronique, et son esprit fortement manipulateur, elle demeurait très narcissique. Le matin, elle passait beaucoup de temps devant la glace, mais elle s’en fichait, elle avait toujours fait attention au paraitre, et se trouvait très jolie. Elle ne changerait sa couleur de cheveux pour rien au monde, le blond lui allait si bien. Elle était la parfaite serpentarde, juste une parfaite serpentarde. Malgré tout ce qui lui arrivait, elle continuait de rester une élève favorite des profs soit disant conservateur. Alors, avec le professeur Ombrage, Ysolde était une élève que celle-ci appréciait, Ysolde était belle, intelligente et d’après son nom soit disant conservatrice, tout ce qu’une professeur comme elle peut aimé. D’ailleurs, dés que la professeur espionne du ministère – ce n’était un secret pour personne – était arrivé, elle avait voulu faire un soit disant test de niveau, un test décrivant ce qu’était la magie. Ysolde était certaine d’avoir réussi. Elle était arrivé de bonne humeur ce matin en cours, de très bonne humeur. Cela lui arrivait de temps en temps d’être d’excellente humeur, alors que le lendemain elle pouvait être exécrable, totalement exécrable. Elle s’était assise, là où se trouvait son nom. L’idée d’être placé la dérangea soudainement, elle n’aimait pas cela. Elle zyeuta le nom de son voisin, et merde, un serpentard. Elle s’installa sur sa chaise, avec son sourire un peu défraichie. Elle tourna la tête pour voir où se trouvait Rys, il était assez loin d’elle. Tant pis, être trop proche, tout le temps n’était peut être pas la meilleure solution qui soit. La professeur entra dans la salle, et s’avança, avant de demander à Rys de se lever, et qu’elle dit alors : « Voilà ce qu’est un élève perturbateur et mal éduquer ! Ne continuer pas sur cette voix Monsieur… Reinhaart ! » Ysolde écarquilla les yeux. Si Rys était quelqu’un de perturbateur, elle n’avait pas encore vu certains élèves, comme le crétin de Poufsouffle, et son acolyte rouquine qui étaient des élèves très perturbateur, et ça c’était de notoriété public. Puis la femme toute vêtue de rose s’appliqua à débiter un discourt digne du ministère, tout en spécifiant que les notes étaient insuffisant, etc. elle s’adressa en premier à Rys, et dit alors : « Ne faite pas comme lui ou vous finirez dans de sale draps ! On ne vous à rien apprit auparavant ! Il est grand temps que je fasse mon travail ! » Elle poussa un soupire, elle détestait tellement les conservateurs maintenant qu’elle n’en était plus un. Elle baissa la tête attendant sa note. Quand ombrage arriva à elle, celle-ci lui adressa un grand sourire, cette femme devait connaitre son père – le directeur du département des mystères qui était proche du ministre – et lui tendit avec douceur sa copie, où un optimal était entouré et souligné. Elle était heureuse, mais n’était pas certaine que le contenu de sa copie ait été noté. Ysolde lui répondit avec un sourire, et quand elle eut tourné le dis, elle leva les yeux au ciel, prête à suivre le cours.

Lorsque la fin du cours sonna, Ysolde eut envie de retenir Emrys, mais il était déjà parti, la jeune femme s’en alla alors manger. Elle se mit au bout de la table des serpentards, toutes seules, comme bien souvent d’ailleurs. Elle quitta alors la table pour aller profiter des derniers rayons de soleil à Poudard. Dés qu’il faisait froid, elle sortait un manteau et une écharpe en soie, elle ne supportait vraiment pas le froid, elle avait le sang du sud, par sa grand-mère, une femme d’origine italienne, en Vénétie – c’était ce que sa mère lui avait dit – mais toute fois, la famille du père de sa mère était d’origine écossaise. Elle arriva dans le parc, et comme toujours il y avait des endroit qu’elle préférait à d’autre. Elle aimait beaucoup être à proximité du Saul Cogneur, elle le trouvait… magique. Ysolde aimait les choses magiques, elle aimait la magie plus que tout, et aussi loin qu’elle veuille l’admettre, elle aimait énormément le pouvoir, et la puissance. Autant dire que depuis que sa réputation s’était brisée, elle se sentait assez mal. elle entendit quelqu’un hurler sa colère, elle aurait dû faire demi tour, mais quand elle reconnu la voix, elle n’eut envie de partir. « RECALER ! BORDEL RECALER ! MAIS BORDEL ! » Elle vit Emrys, et se mordit alors la lèvre inférieure, avant de s’approcher de lui. Elle ne savait jamais comment se comporter avec lui. Jamais. Elle s’approcha et dit alors : « Salut… tu… ça serait stupide de te demander comment tu vas. Tu as été recalé n’est ce pas ? » Elle n’attendit pas de réponse et ajouta alors :
« C’est une folle, cette femme est un pion du ministère, que tu ai ce « test » ou pas, ça n’importe pas, ça ne fait pas de toi un mauvais sorcier ou non, elle a noté à la tête ».

En neuf années, jamais il n’avait été recalé pour le moindre devoir, jamais un professeur ne lui avait demander de se mettre debout face aux autres étudiants afin d’être juger par le physique. Recalé, c’était quelque chose qu’il n’aurait jamais pensé, simplement pour l’unique raison qu’il se savait capable de ses capacités et qu’il était intelligent même s’il ne passait pas tout son temps dans les vieux bouquins qu’il appréciait durement. Aujourd’hui, c’était sur et certain, son père allait le tué sur place en apprenant qu’il était recaler pour la première fois. Jamais, jamais il n’avait pensé que ce jour si … Horrible pour lui arriverait aussi vite, enfin vite, pas tant que sa. Il s’était allonger sur l’herbe, en repensant à sa matinée de cours, qui avait été la plus horrible de toutes depuis son arriver au château. Il savait bien que cette grosse dame était sous l’ordre du ministère et il n’approuvait pas réellement sa, il détestait même. Mais pour le jeune Reinhaart, c’était également la première fois pour lui, de ne pas être assis aux côtés de sa blonde. Elle était au fond de la classe et lui au devant de celle-ci. D’ailleurs, il n’avait jamais apprécié être devant, mais plutôt au milieu car il n’aimait pas recevoir les goutes de salive sur lui. Il trouvait sa vraiment équerrant venant des autres. Mais ce n’était pas vraiment de leurs fautes, cela arrivait à tout le monde, même à lui. En étant près du saule cogneur, il trouvait la tranquillité qu’il n’avait plus à Poudlard. Aujourd’hui, les temps était dur à Poudlard, ce n’était plus vraiment le Poudlard que tout le monde connaissait depuis qu’il était prit de contrôle par le ministre et le ministère. Tellement il était en colère, qu’il n’entendit même pas les bruits de pas qui arrivait derrière lui, d’ailleurs c’est entendant la voix qu’il appréciait, qu’il se leva : « Salut… tu… ça serait stupide de te demander comment tu vas. Tu as été recalé n’est ce pas ? » Le jeune Reinhaart ne savait pas exactement quoi dire, tout le monde le savait, ce n’était pas le genre de Rys de louper un devoir, loin de là, il les réussissait tous. Il n’eut même pas le temps de répondre, que la belle blonde continua sa phrase : « C’est une folle, cette femme est un pion du ministère, que tu ai ce « test » ou pas, ça n’importe pas, ça ne fait pas de toi un mauvais sorcier ou non, elle a noté à la tête ». Noter à la tête ? Alors le jeune homme n’avait pas une tête assez…. Convenable pour avoir au moins le minimum des notes ? Il savait que tout cela commençait à lui foutre une moyenne assez basse, il fallait qu’il se rattrape ailleurs et autrement. Emrys, savait que le ministère était pro sang pur et bien plus hautain que d’habitude. L’ancien ministre, un Rosier, était bien mieux d’après le Reinhaart, même s’il n’était pas coter sang pur, ni côter moldu. Pour lui, il n’avait jamais eu sa place dans cette guerre des sangs, mais aujourd’hui, c’était une toute nouvelle bataille qui commençait, celle contre la grosse dame rose. Il ne voulait pas qu’elle continue à sans prendre à lui sans aucune raison valable, même les plus idiots avait eu une bonne note et les plus intelligents non. Le jeune Reinhaart était comme… Perdu face à toutes ses choses tellement banales finalement quand on y pense. D’ailleurs, il s’aperçu qu’il n’avait pas répondu à la belle blonde, c’est ce qu’il fit dans les secondes qui suivirent. « En effet, pour la première fois depuis des années. » Le garçon paraissait froid mais il était simplement en colère, il avait beau paraitre distant, il avait seulement besoin de souffler. C’était comme un appel SOS, qui était qu’on l’aide à rattraper cette note misérable. « Ma tête ne peu pas plaire à tout le monde ! Mais cette grosse là ! C’est une nana qui n’a que de yeux pour le ministre ! Je ne reconnais même plus Poudlard depuis que le directeur à changer ! Depuis qu’elle est là ! » La colère du jeune Reinhaart était bien de trop forte pour qu’il puisse résister à parler sans haussé la voix devant sa blonde. Il la regarda, essayant de se calmer à tout prit. C’était bien la première fois depuis l’histoire de la bibliothèque qu’il s’énerva. «Plus personne n’est en sécurité. » C’était dit, c’était froid mais s’était surtout vrai dans cet instant présent.

Ysolde Wilkes ne supportait pas l’échec, mais alors pas du tout. Elle n’avait jamais admis l’échec dans sa vie scolaire, jamais, jamais. Elle n’aimait pas l’idée d’avoir une mauvaise note, voir même une note moyenne. Son père l’avait toujours forcé à avoir la meilleure des notes, et elle se mettait elle-même la pression. Se mettre la pression n’est pas une bonne chose, elle se mettait dans des états abominables dés qu’elle avait des examens et des devoirs. Elle comprenait qu’on ne puisse pas supporter l’échec. Graeme avait l’air de ne pas aimer cet échec, et elle ne pouvait que comprendre. Il mit un certain temps à lui répondre : « En effet, pour la première fois depuis des années. »Elle savait que Graeme était quelqu’un qui aimait avoir des bonnes notes, il était son binome en cours, et elle avait bien vu qu’il appréciait quand ils avaient des bonnes notes. Quand elle l’écoutait, il avait l’air froid, même en colère. Ysolde ne savait pas gérer les personnes énervé, vu qu’elle-même n’était pas quelqu’un de calme, et de diplomate. Quand elle y pensait, Graeme n’avait jamais eut l’occasion de la voir vraiment, vraiment, vraiment hors d’elle. Heureusement pour Graeme, il n’avait pas encore réussi à la mettre hors d’elle, enfin, il avait presque réussi en évoquant le sujet duncan. « Ma tête ne peu pas plaire à tout le monde ! Mais cette grosse là ! C’est une nana qui n’a que de yeux pour le ministre ! Je ne reconnais même plus Poudlard depuis que le directeur à changer ! Depuis qu’elle est là ! » Elle savait comment agissait Ombrage, elle agissait exactement comme son père, exactement. Elle discriminait sur le sang, la tête, et la famille. Pour Ombrage, il était clair que la famille de Graeme n’était pas une famille pro ministère, et que Rys n’était pas à serpentard en plus, et surtout n’avait pas postulé à sa brigade. Ysolde, elle, bénéficiait du nom de son père, même si elle n’en était pas vraiment fière, du tout même. Depuis que Dumbledore était là, il semblait avoir les mains liés, et était à la merci du ministère. Ysolde était persuadée que la solution ne viendrait pas du ministère, ni de Dumbledore et de ses copains. Le monde des sorciers avait besoin de nouvelles perspectives, oui, il en avait besoin, vraiment. Il ajouta alors : «Plus personne n’est en sécurité. » C’était bien vrai, Ysolde ne se sentait pas en sécurité, surtout avec Amadeus Black dans les parages, elle avait beau savoir se servir de sa baguette, elle restait une fille et était moins forte que lui, elle évitait de se trouver seule dans des endroits du château, elle n’aimait pas être suivit, et avec une sensation d’insécurité. « Cette femme est… comme mon père. Elle juge par le sang, la famille, le nom, le métier de tes parents, ton implication dans la société, elle calcule tout, te met dans une case dont il est impossible de s’extraire. » Elle ne savait pas comment l’apaiser, non. Elle avait su apaiser Ulysse, mais lui pour l’apaiser, il fallait jouer son jeu, lui rentrer dans le lard, jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il allait trop loin, avec Graem’, elle ne savait pas comment faire. Elle n’était vraiment pas douée pour apaiser les gens, mais alors pas du tout. Elle ajouta alors : « Ne te démoralise pas, ça n’en vaut vraiment pas la peine, te mettre dans cet état était exactement son but, à cette vieille harpie, passe au dessus de ça. Je sais que c'est pas facile, mais pense à autre chose, essaie de t'occuper l'esprit. » Elle lui adressa un sourire doux, affectueux et lumineux. La belle blonde avait un sourire agréable, et doux. Elle s’approcha de lui, elle essayait de le mettre de bonne humeur, et lui proposa : «Tu devrais te changer les idées, faire un peu de balais, te promener dans le parc, rire avec tes amis. »

« Cette femme est… comme mon père. Elle juge par le sang, la famille, le nom, le métier de tes parents, ton implication dans la société, elle calcule tout, te met dans une case dont il est impossible de s’extraire. » Graeme savait que ce genre de personne n’était pas spécialement bon, qu’il n’était pas fréquentable et dire que son jumeau voudrait être haut placer au coter du ministère, cela lui faisait peur, voir même très peur. Il savait, que tout cela pouvait mal finir car il avait entendu que quelque chose se passait dans les couloirs du château et Graeme ne voulait pas laisser ce genre de chose passé. Il n’était pas un étudiant à Serpentard, ni un étudiant venant d’une grande famille de sang pur, mais lui, il avait le goût du respect, il savait respecter les gens à sa propre valeur, il savait les voir comme ils étaient réellement et c’était sa le bon talent du Reinhaart. Il ne savait pas exactement quoi répondre à la belle blonde, d’ailleurs, jamais il n’avait eu ce genre de situation qui lui prenait au fond de la gorge, qui lui faisait ressortir toute la haine et toute la colère qu’il avait au fond de lui. C’était dingue ce qu’une professeur et grosse dame rose pouvait faire par… Plaisir ? La belle blonde continua de prendre la parole, essayant sans doute de remonter le moral du Reinhaart blond. «Ne te démoralise pas, ça n’en vaut vraiment pas la peine, te mettre dans cet état était exactement son but, à cette vieille harpie, passe au dessus de ça. Je sais que c'est pas facile, mais pense à autre chose, essaie de t'occuper l'esprit.» Ca n’en vaut pas la peine ? Mais alors qu’est ce qu’il valait de se battre ? L’amitié ? La famille ? Ou peut être bien l’amour ? Celui qu’on croit ne jamais rencontrer, ou bien l’amitié qui part en couille pour une simple bataille de sang ? Ou peut être la famille, auquel le frère jumeau veut être plus tard dans le ministère ? C’était complètement le vide dans l’esprit du Reinhaart, quelque chose le rendait fou, peut être le fait qu’il ne pouvait vraiment faire confiance à personne, ni même aux professeurs. Graeme n’avait jamais voulut louper un seul devoir, il avait travailler dur sur ce devoir, en écrivant des lignes et des lignes sur ce parchemin vierge qu’il avait reçut. Tout ça pourquoi ? Pour finir par être recaler ! Il savait que la belle blonde n’avait pas été recaler, elle était à serpentard, son père était un pro sang pur et cette grosse dame rose, pire qu’un gros bonbon, savait le nom d’Ysolde. Le Reinhaart regarda alors la blonde dans les yeux, peut être la seule chose qui pouvait le calmer dans cet instant présent. «Tu sais ce que ses toi, de savoir que ton frère veut appartenir dans les rangs du ministère plus tard, que les efforts que tu fournis ne sert strictement à rien car une grosse dame sous les ordres du ministre lui-même ordonne de recaler pratiquement tout le monde même les sang-mêlés.» Tout ce que le Reinhaart voulait, c’était le meilleur pour sa famille et ses camarades, en voyant son frère jumeau se diriger vers le ministère, il avait peur que tout cela se finisse mal pour ses parents. Leurs parents. «Tu devrais te changer les idées, faire un peu de balais, te promener dans le parc, rire avec tes amis.» Tout en disant cela, elle s’était rapprocher du blond, sans doute afin de l’apaiser. Elle avait ce don que personne n’avait sur Graeme. Elle lui souria, ce qui le fit sourire également, entre eux, c’était comme une connexion qui se produisait à chaque fois. Quand elle souriait, il souriait sans vraiment sans rendre compte. A cet instant présent, il était captivé par la blonde, auquel il faisait terriblement confiance. Quand il y repensait, ça faisait un bon bout de temps qu’il n’avait pas pratiquer le quidditch, simplement parce qu’il avait passé beaucoup de temps sur ses devoirs et que son temps libre, il avait essayer de voir Ysolde, d’un coter, cela l’arrangeait à présent qu’il ne pouvait plus être à coter d’elle en classe. Rire avec ses amis ? Le Reinhaart en avait peu, il était plutôt discret pas comme son frère qui criait je suis là à tout bout de champs. La plupart des amis qu’il avait, était partit en tant que lâche car Graeme ne voulait pas la guerre des sangs étant donner qu’il était sans camp, neutre. Graeme regarda alors la belle blonde, sa belle blonde, il ne le criait pas sur les toits, il savait que beaucoup de gens avait encore dans leurs radars celle-ci. «Il faut que l’on l’arrête. Si on continu à ne rien faire, cela finira mal pour nous. Il est encore temps.» Le Reinhaart était bel et bien sur de lui. Il fallait à tout prit faire quelque chose afin que Poudlard soit le Poudlard que les deux étudiants avaient connus. Il voulait que Poudlard soit le bon vieux château que tout le monde appréciait, pas d’avoir des cadres afficher, clouer sur les murs de celui-ci. Il ne voulait pas finir en concombre vêtu comme un pingouin. Chose qu’il détestait mais ce qu’il voulait avant tout, c’était de retrouver la liberté qu’il avait toujours eu au château. Quand Graeme était à Poudlard, il savait qu’il pouvait être lui-même, qu’il retrouverait Ysolde et ses camarades et que tout se passerait comme il le faut. Sauf qu’aujourd’hui, ce n’était plus ce bon vieux temps. Graeme était déterminer.

Dernière édition par Graeme E. Reinhaart le Dim 23 Oct - 18:25, édité 1 fois

Ysolde était une jeune femme de nature impulsive, très très impulsive. Elle n’était pas une jeune femme facile à gérer, et elle en était très fière. Elle savait qu’elle ressemblait à sa mère sur ce point. D’après son souvenir, elle ressemblait presque comme deux gouttes d’eau à sa mère, mais elle avait les cheveux blonds, alors que sa mère avait les cheveux noirs. Même au niveau du caractère, les deux jeunes femmes avaient un caractère identique, deux femmes impulsives, deux femmes nerveuses, capricieuse, et caractérielles. Ysolde était caractérielle, très très caractérielle. Le jeune homme regarda alors la jeune femme dans les yeux, elle aimait le regarder dans les yeux, même si cela ne l’aidait pas réellement à savoir où ils en étaient. Savoir où ils en étaient était une question à soixante dix milles galions. «Tu sais ce que ses toi, de savoir que ton frère veut appartenir dans les rangs du ministère plus tard, que les efforts que tu fournis ne sert strictement à rien car une grosse dame sous les ordres du ministre lui-même ordonne de recaler pratiquement tout le monde même les sang-mêlés.» Il croyait quoi, qu’il était la seule personne a avoir des membres de sa famille voulant atteindre les sommets ? Non, Ysolde avait son lot dans sa famille, à commencer par son père. Son père était fou, d’après elle c’était le seul qualificatif qui correspondait, il était cinglé, et suivait aveuglément le ministre, et Voldemort – qui maintenant n’était qu’une seule et même personne. Elle avait aussi une sœur qui battait les records, sa sœur était ambitieuse, et tuerait les membres de sa propre famille pour avancer, cela dépassait le frère de Graeme en pas mal de point. Elle répondit alors, la voix un peu plus « sèche », enfin non, un peu moins joyeuse, et rassurante : « Je sais ce que c’est d’avoir une sœur complètement cinglé qui est prête à suivre aveuglément un mage noir, quitte à tuer pour lui, quitter à tuer des gens. Je sais ce que c’est d’avoir un père obnibulé par la pureté du sang, qui serait prêt à tuer sa propre fille parce qu’elle déshonore son nom. Je sais ce que c’est de fournir des efforts vain pour essayer d’être quelqu’un de différent, j’ai essayer d’être quelqu’un de différent, et l’on me prend encore pour la fille de mon père, crois moi, je sais ce que c’est. » Ysolde avait dit cela simplement, tout simplement, elle avait une vie pas facile, elle n’aimait pas être « la fille d’Angus Wilkes, le directeur du département des mystères et mangemort », elle aurait préféré être recalée que d’être accepté à ce test juste parce qu’elle la fille d’une personne connue, et pro ministère. «Il faut que l’on l’arrête. Si on continu à ne rien faire, cela finira mal pour nous. Il est encore temps.» Arrêter Ombrage ? C’était une idée comme une autre, mais Ysolde ne se sentait pas d’arrêter une personne comme cela. Elle ne pouvait pas avoir été conservatrice, et devenir révolutionnaire du jour au lendemain. Elle en se sentait pas révolutionnaire, elle ne méritait pas sa place, elle avait martyrisé tellement de gens quand elle y pensait, qu’elle n’avait pas envie d’en faire parti. Elle dit alors : « Tu propose quoi une révolution ? » Elle le regarda alors, l’air sérieux. Elle n’avait pas envie de prendre part à une révolution, elle voulait juste rester en dehors de tout cela, elle avait assez de soucis à régler, comme ses problèmes avec les serpentards, se présenter comme une révolutionnaire ne l’aiderait pas à arranger son cas, bien au contraire, déjà qu’elle était une bâtarde, cela lui suffisait.

Ps : c’est court, désolé.

« Je sais ce que c’est d’avoir une sœur complètement cinglé qui est prête à suivre aveuglément un mage noir, quitte à tuer pour lui, quitter à tuer des gens. Je sais ce que c’est d’avoir un père obnibulé par la pureté du sang, qui serait prêt à tuer sa propre fille parce qu’elle déshonore son nom. Je sais ce que c’est de fournir des efforts vain pour essayer d’être quelqu’un de différent, j’ai essayer d’être quelqu’un de différent, et l’on me prend encore pour la fille de mon père, crois moi, je sais ce que c’est. » Le ton de sa voix avait réellement bien changer, sans doute un peu plus sèche ou bien dur que tout à l’heure. Ce que je n’aimais à présent à Poudlard, c’était le fait que notre droit d’exprimer et notre liberté n’était plus là. Aujourd’hui, les étudiants comme les professeurs voir même le directeur ne devait plus rien dire étant sous l’ordre du ministre de la magie. C’était flippant de savoir que même à Poudlard, plus personne n’était en sécurité, sachant que déjà, en Angletterre, plus personne n’était en sécurité quoi qu’il arrive et quoi qu’il advienne. Ce que Graeme voulait, c’était que Poudlard et le monde de la magie soit en paix avec lui-même, qu’il ne devient pas aussi noir que le ministre et le ministère. Il fallait parfois pensé au futur, Graeme aurait sans doute plus tard voir bien plus tard un fils, il serait à Poudlard dans la meilleure école de sorcellerie ou bien Ysolde, aurait une fille qui lui ressemblerait, qui irait à Poudlard, aussi fière que sa mère de son propre sang mêlé. Il fallait que Poudlard soit sur pour les années prochaines qui arrivaient dès aujourd’hui. Ce que Graeme aimait au fond, c’était de pouvoir tout dire à Ysolde, même si parfois, il fallait mieux se taire, il était sincère avec elle, il ne pouvait rien lui cacher étant donner que le Reinhaart était totalement sous le charme de la blonde, voir bien plus que sa, c'est-à-dire amoureux. Graeme ne voulait vraiment pas une bataille contre le ministère mais il était prêt à faire beaucoup de chose pour faire viré cette grosse dame rose du château afin de retrouver la paix, la liberté et l’expression des étudiants. Si tout ce qu’ils avaient entrenut, tous, parfait en fumée grâce à cette dame, envoyer tout droit du ministère, Graeme sans voudrait de ne pas s’être battu pour Poudlard, pour Ysolde, pour son prochain fils peut être mais pour lui également. Le jeune Reinhaart avait bien grandit par rapport à l’année dernière, mais il en voulait tellement aux autres pour les attentats, il en voulait tellement au ministère d’avoir amené cette dame à Poudlard sans aucune raison alors que Poudlard était tellement bien comme il était. Personne ne s’était pleins de cette école, personne, même les plus grands sorciers était passé par ici et par là, dans tout les recoins du château. «Tu propose quoi une révolution ? » Le Reinhaart regarda alors la blonde dans les yeux. Il voyait bien que sa question était sincère mais que la réponse de Graeme l’était également mais dans son regard. Quand il entendit cette question, il regarda le paysage, admirant les merveilles qu’envoyait Poudlard, que donnait la nature pour faire de ce paysage, une merveille. Une révolution, c’était parfait, vraiment un plan parfait pour mettre de coter cette grosse dame rose, au sourire méchant, pleine de malice et de ruse. Graeme ne pouvait plus supporter cette dame, lui qui respectait les autres, elle, il ne pouvait plus du tout. Il tourna la tête alors vers sa blonde, celle qu’il avait apprit à connaitre en ne suivant que son instinct d’homme. «Je ferais tout, même mon possible pour la faire partir d’ici… Afin qu’on retrouve notre liberté… Car je sais que c’est ce qui compte pour nous tous. » Le Reinhaart tourna la tête alors vers le paysage et respira un bon coup afin de se calmer. Il était impulsif et pouvait démarrer au quart de tour. Il se tourna afin de tendre sa main vers la blonde tout en lui adressant la parole : «Prend ma main, regarde le paysage et dit moi si tu aimerais perdre tout ça pour un Poudlard noir et cruel. Ou seul, le pouvoir et l’esclavage des autres habitants de Poudlard comme les centaures bénéficieront. C’est ça que tu veux ?» Graeme était sincère, il l’avait toujours été avec Ysolde, c’était ça qui rendait Graeme intéressant à écouter.

Ysolde n’aimait déjà pas Ombrage, elle l’a trouvait beaucoup trop autoritaire, et trop axée sur le sang. Sa vision des choses mettait Ys hors d’elle. Elle détestait être la fille de wilkes, le cinglé du ministère. Avoir eut une bonne note pour ça, c’était franchement navrant, et désolant pour la sorcière. Elle aimait avoir de bonne note sur ce qu’elle était capable, et pas pour ce qu’elle était. «Je ferais tout, même mon possible pour la faire partir d’ici… Afin qu’on retrouve notre liberté… Car je sais que c’est ce qui compte pour nous tous. » La liberté c’est une notion vague, un concept. Ysolde n’avait jamais vraiment eut de liberté. Quand elle était enfant, elle n’avait pas le droit de courir dans la maison, pas le droit de parler à table, pas le droit de faire des dessins comme bon lui semblait. Ysolde ne connaissait rien à la liberté, pas grand-chose du moins. Elle y goutait depuis peu de temps, et cela lui plaisait. Ysolde délaissa des yeux le sorcier pour regarder le château, elle aimait tellement Poudlard mais avait toujours eut un étrange sentiment en le regardant, sans savoir ce que c’était. Sa mère lui avait parlé de Poudlard, elle ne s’en souvenait pas très très bien, mais elle savait qu’elle lui en avait parlé. Sa mère n’avait jamais été à Poudlard, celle-ci avait été à Beaubâtons, comme la sœur de celle-ci, Sofia. Ysolde aimerait tellement visiter d’autre pays, avant le début de cette année, elle avait sérieusement songé à quitter Poudlard, de peur d’affronter les gens et de tout recommencer ailleurs, cette idée lui avait toujours trotté en tête, ailleurs elle trouverait des réponses sur sa mère, ici, rien ne la rattachait à elle. Graem’ la tira alors de ses pensées, et lui tendit la main, qu’elle saisit, et il dit alors : «Prend ma main, regarde le paysage et dit moi si tu aimerais perdre tout ça pour un Poudlard noir et cruel. Ou seul, le pouvoir et l’esclavage des autres habitants de Poudlard comme les centaures bénéficieront. C’est ça que tu veux ?» Elle aimait Poudlard, mais un quelque chose clochait. Elle avait la main de Graem dans la sienne, tout seblait si compliqué entre eux, elle ne savait pas si elle pouvait se blottir contre lui pour lui apporter du réconfort ou pas, elle ne savait pas du tout comment agir avec lui, pas du tout. « Poudlard a déjà changé, le monde a changé, tout est si différent. Je doute que le monde puisse faire une marche arrière. Je ne veux pas voir le monde devenir noir, et cruel, mais j’ai l’impression que ce changement est amorcé depuis trop longtemps, depuis beaucoup trop longtemps. Je ne vois pas de solution pour changer le destin du monde. » Elle marqua un longue pause. Elle savait quelques petites choses à propos du destin. Ysolde avait un don qu’elle commençait peu à peu à appréhender. Un don qu’elle acceptait doucement, mais surement, elle essayait de le maitriser, en secret, s’enfermant dans une salle seule, essayant de provoquer ses visions. Elle savait des choses sur l’avenir, son don ne se limitait pas aux visions, elle ressentait les choses, elle avait des pressentiments vis-à-vis du monde. Elle poursuivit alors : « Je peux sentir que… quelques de sombre approche. Le danger. Mes visions sur le futur sont terriblement floues, mais, je peux voir que quelque chose de très sombre va arriver, je ne suis pas capable de dire quoi mais… même si c’est sombre, je ne me sens pas… menacé. Mes visions sont floues, c’est plus des pressentiments que des véritable visions, je peux juste dire que, quelques choses va finir par se produire à Poudlard. » Elle avait l’air, sûr d’elle, et en même temps perdue. Elle parlait de ce qu’elle ressentait, cela faisait parti d’elle. Elle n’évoquait jamais ses visions, même avec graeme, elle n’avait même pas évoqué celle qu’elle avait eut dans la rue quand ils étaient ensemble, elle avait confiance en lui, mais ses visions elle les gardait pour elle, juste pour elle, de peur de passer pour une cinglée.

Ombrage, a part sourire dans les couloirs, se montrer autoritaire avec nous tous, elle n’arrivait à rien faire d’autre. Les professeurs n’avaient pas vraiment l’air d’avoir de l’autorité face à cette dame et pourtant, dieu sait qu’auparavant ils en avaient. Quand au nouveau directeur, je me demandais ce qu’il fichait là, c’est vrai, l’ancien directeur semblait être bien mieux que lui, dans ce poste. A Poudlard, auparavant, tout était joyeux et calme, parfois dans les couloirs on pouvait voir les couples de jeunes étudiants, aujourd’hui, tout le monde essayait de se séparé au mieux pour ne pas avoir à faire à Ombrage. Graeme avait tendu sa main à sa belle blonde, d’ailleurs, il ne savait pas réellement ou ils en étaient tous les deux. C’était tellement difficile à savoir. Un jour, tout irait bien, un jour non car Graeme aurait fait une gaffe, d’ailleurs la dernière qu’il est faite était de parler de Pevensie en arrivant en retard à leurs rendez-vous. Chose qu’il sent était voulut après pendant le week-end. Quand la main de la serpentarde fut dans la sienne, il ressentit tout ce qu’il pouvait ressentir auparavant dans leurs contactes. Graeme venait de parler du paysage de Poudlard qui pourrait bel et bien changer au fil des années si l’on laissait le ministre sans occuper. C’était donc sa qui empêchait Graeme de sourire en ce moment, il n’avait pas peur d’être puni ou bien d’avoir encore le droit d’être humilier devant la classe, non, il avait surtout peur que Poudlard change bien plus encore qu’il ne l’est à présent. Il avait posé une question à sa belle blonde, qui d’ailleurs y répondit : «Poudlard a déjà changé, le monde a changé, tout est si différent. Je doute que le monde puisse faire une marche arrière. Je ne veux pas voir le monde devenir noir, et cruel, mais j’ai l’impression que ce changement est amorcé depuis trop longtemps, depuis beaucoup trop longtemps. Je ne vois pas de solution pour changer le destin du monde. » C’est vrai, le pire dans tout sa c’est qu’elle avait raison. Poudlard avait bien changer, les étudiants qui étaient là depuis de nombreuse années déjà avaient également bien changer, la plupart du temps, le jeune Reinhaart ne reconnaissait plus ses anciens camarades, pas pour le physique non, car tout le monde changeait pour ça, mais surtout par le caractère. Graeme avait vu ses propres camarades, ses propres camarades qu’il considérait comme des frères, changer en tout genre et pas dans le bien. Quand à Graeme, c’était sur et certain qu’il avait changer, il avait murit, il avait apprit à reconnaitre le bien du mal et le mal du bien, il avait su écouter sa voix, son instinct, d’ailleurs, c’était grâce à sa qu’il avait été proche d’Ysolde. Sa Ys. Contre toute attente, la belle bonde reprit la parole sans que le jeune Reinhaart pu dire quoi que ce soit. «Je peux sentir que… quelques de sombre approche. Le danger. Mes visions sur le futur sont terriblement floues, mais, je peux voir que quelque chose de très sombre va arriver, je ne suis pas capable de dire quoi mais… même si c’est sombre, je ne me sens pas… menacé. Mes visions sont floues, c’est plus des pressentiments que des véritable visions, je peux juste dire que, quelques choses va finir par se produire à Poudlard. » Graeme la savait capable d’avoir des visions, d’ailleurs, il l’avait vu sur le trottoir, une Ysolde perdu dans ses pensées, complètement ailleurs alors que quelque secondes avant ils se parlaient. Elle parlait de danger, elle parlait de quelque chose de sombre, d’un coup le vent se mire à venir, ce qui fit que le jeune Reinhaart approcha doucement la belle blonde de lui, afin de l’avoir contre lui. Il savait qu’elle n’appréciait pas trop le contact mais tant pis, c’était déjà un grand pas de fait. Elle disait que quelque chose allait se produire à Poudlard. La démission d’Ombrage ? C’était que ce que Graeme attendait, il voulait en faire baver à cette femme, grosse femme, qui ne pouvait avoir aucun respect car elle en avait pour personne. Quelque chose le rassura, Ysolde n’était pas menacé. C’était quelque chose qu’il approuva. Il ne voulait pas que quelque chose lui arriva, d’ailleurs, rien que l’année dernière, quand il l’avait vu courir vers une fenêtre, c’était carrément, la peur qui avait envahit le jeune Reinhaart. A cette époque, c’était l’ancien temps de l’Ysolde-Lestrange. D’ailleurs celui-ci d’après la gazette du sorcier était toujours rechercher à l’heure actuelle. Bizarre. Graeme avait déjà vu sa belle avait du sang, des marques aux poignets. Il n’avait rien dit, mais en lui, il avait bouillit de rage. D’ailleurs, il avait toujours voulut se venger du mal qu’avait fait Lestrange à Ysolde. Graeme était quelqu’un qui n’aimait pas mettre ses sentiments en valeur, d’ailleurs, Ysolde était bien la première fille que le jeune Reinhaart ressentait bien de nombreuses choses. Certainement un bon signe comme dirait son père. Le jeune Reinhaart sortit sa baguette et prononça doucement en murmurant afin que la belle blonde n’entende rien le sortilège Orchideus Un bouquet de fleur sortit alla, Graeme le tourna et le présenta doucement à Ysolde. Le premier bouquet de fleur qu’offrait le Reinhaart à sa blonde. «Je me suis dis que dans les temps froids comme aujourd’hui… Cela pourrait faire que du bien pour un nouveau rendez-vous… Et je serais ponctuel… » Un sourire s’afficha sur les lèvres du Reinhaart. Il faisait du mieux qu’il pouvait afin de conquérir le cœur de sa blonde. Il faisait également du mieux qu’il pouvait pour passé du temps avec elle, pour lui, c’était important de savoir si elle allait bien ou si quelque chose la tracassait. C’était du grand art pour un Reinhaart.

Les visions étaient une chose très handicapante pour la sorcière. Elle n’arrivait pas à en décelé les côtés positif. Pourtant, les grands sorciers étaient doté de grands pouvoirs, Ysolde avait toujours eut envie d’être une grande sorcière. Bien qu’elle est délaissé le côté Wilkes qui coulait dans ses veines, l’arrogance, et la soif de pouvoir coulaient toujours à croire que le sang de sa mère contenait cette même soif de pouvoir et cette même arrogance. Ysolde n’avait jamais vu cette facette de sa mère, jamais, pourtant elle l’ignorait mais elle ressemblait en tout point à sa mère. Arrogante, forte, déterminé, et ambitieuse. Après tout ce qui lui était arrivé, elle restait une jeune femme terriblement ambitieuse, terriblement. L’ambition coulait dans ses veines c’était une chose dont elle ne pouvait se défaire. Elle ne savait pas que sa mère était une femme ambitieuse, elle ne l’avait jamais su, et ne connaissait personne capable de lui parler de sa mère, à part peut être sa tante Sofia, mais, d’un côté, parler de sa mère lui faisait affreusement, et terriblement mal !
Quand elle évoquait sa vision, quelques choses allaient arriver, elle ignorait quoi, mais quelques chose allait se passer. Graeme cru sans doute qu’elle avait besoin d’être réconforté quand il s’approcha doucement d’elle, pour l’avoir tout contre lui. Ysolde n’aimait guère le contact, elle était une femme indépendante, et contrairement à beaucoup de fille elle n’était pas dépendante sentimentalement, alors que certaines filles déprimaient littéralement lorsqu’elle se trouvait seule, elle s’en fichait, et appliquait le dicton : vaut mieux être seule que mal accompagnée. Graeme était un type qu’elle appréciait, même qu’elle aimait, mais de là à l’avouer, et à officialiser les choses, c’était trop… compliqué. Ysolde avait un bazzart incroyable dans sa vie, incroyable, et elle avait besoin de mettre les choses au clair avec elle-même, avec sa famille avant de penser à l’amour, et elle avait sacrément du pain sur la planche. Le jeune homme sorti alors sa baguette, et elle se demanda bien pourquoi. Il fit apparaitre de fleure. Oui, des fleurs, et c’était en soit, un plutôt mauvaise idée. Il lui tendit le bouquet et dit alors : « Je me suis dis que dans les temps froids comme aujourd’hui… Cela pourrait faire que du bien pour un nouveau rendez-vous… Et je serais ponctuel… » Un rendez vous pourquoi pas. Mais la jeune femme avait l’esprit occupé par bien tout autre chose, oui, bien tout autre chose. Elle se décolla machinalement de Graeme, et n’accèpta pas son bouquet de fleurs. Elle n’était pas contre dans le principe, mais… elle éternua violemment. Oui, rappelez vous, Ysolde était allergique aux fleurs, et oui, hélas. Elle n’avait jamais eut des fleurs en cadeaux, et les peu de fois, elle avait eut cette réaction, éternuant. Elle fit un pas en arrière, et éternua encore une fois, et elle avait les larmes aux yeux, à cause de la fleure, et dit alors à l’attention de Graeme : « Je suis allergique, aux fleures… désolé. » elle marqua une pause, et ajouta ensuite, la mine désolée : « Merci, c'est une attention délicate, mais... je ne supporte pas du tout les fleurs, est ce que tu peux... les enlever de mon nez s'il te plait ? » Elle lui adressa un sourire désolé, un véritable sourire désolé. Elle s’en voulait d’être allergique, car la première fois qu’un garçon était aimable, et doux avec elle, elle était allergique… pas à la gentilesse, mais uniquement aux fleures. Elle ajouta alors : « Un nouveau rendez-vous pourquoi pas, mais… pas de prise de tête, pas de fleur, pas de reproches stupide. »

PS : je fais cours, j'y vais

«Je suis allergique, aux fleures… désolé. » Voilà donc la soudaine réaction tout aussi bizarre que le fait que Graeme offre un bouquet de fleur. D’un coter, c’était le bon truc de pouvoir s’excuser de la dernière fois, s’engueuler en plein chaudron baveur, de faire une déclaration devant un tas de monde, c’était assez étrange voir même assez flippant. Le jeune Reinhaart remarqua alors les yeux de la belle blonde. Il avait complètement oublier que la serpentarde était allergique aux fleurs, surtout que la dernière fois, c’était pendant leur recherche près du lac du château, d’ailleurs, le jeune homme avait plonger dans l’eau froide afin de retrouver sa blonde. La belle blonde éternua, ce qui le fit sourire, aller savoir pourquoi. Le jeune Reinhaart était assez nul parfois, personne ne pouvait le comprendre réellement. «Merci, c'est une attention délicate, mais... je ne supporte pas du tout les fleurs, est ce que tu peux... les enlever de mon nez s'il te plait ? » Le jeune Reinhaart lança le bouquet de fleur loin d’eux mais surtout loin de la blonde afin qu’elle puisse respirer sous ses éternuements. Il remarqua d’ailleurs qu’il avait fait sortir un beau bouquet de fleur, il avait apprit se sortilège il y a si peu de temps qu’Ysolde était la première à recevoir quelque chose venant de se sortilège. Le sourire sur les lèvres de Reinhaart s’afficha encore plus tout en passant sa main à sa nuque. Signe qu’il était gêné de la situation. Il fallait le connaitre vraiment pour le savoir, c’était dingue tout ce que ses gestes voulait dire tant de chose. Le vent commençait à souffler de plus en plus, chose qui n’était pas spécialement bon. Il avait prévu une météo assez non promettant, non bonne sur l’Angleterre, sans doute de gros nuages, peut être un peu de pluie mais un bon coup de froid. Graeme avait proposer un autre rendez-vous à Ysolde, il aurait bien comprit qu’elle refuse ou bien qu’elle attende mieux que le précédent, d’ailleurs, lui-même n’avait pas tellement apprécier leur engueulade devant tout le monde, mais il avait beaucoup apprécier leur baiser. D’ailleurs rien quand y pensant, il se mit à sourire bêtement en face de sa blonde qui devait certainement se posé des questions. Cela faisait quelque jours qu’il n’y avait plus vraiment quelque chose entre eux ou du moins pas un contact, étant donner que la blonde n’aimait pas trop cela et que Graeme était le genre de garçon à ne rien laisser paraitre. «Un nouveau rendez-vous pourquoi pas, mais… pas de prise de tête, pas de fleur, pas de reproches stupide.» Le sourire sur les lèvres du Reinhaart s’agrandissait. Un autre rendez-vous, le voilà plus que content. Il savait que c’était comme si une deuxième chance lui était tendu. Il fallait qu’il en profite. Au même moment ou le Reinhaart allait prendre la parole à son tour, une goute, puis deux, puis trois se mirent à tomber sur les cheveux du blond et de la blonde. Graeme leva la tête en l’air en regardant la pluie, cette fois-ci tomber sur eux. La pluie, il aimait sa, c’était quelque chose qu’il appréciait et qui ne pouvait que lui remonter le moral même s’il aurait préféré un peu de chaleur. Puis la tête du blond alla en direction de la blonde afin de lui adresser la parole en gardant son sourire. «Tes toujours aussi performante en course ?» Drôle de question non ? Surtout demander dans une façon assez… Provocante. Graeme se mit alors à marcher en arrière en ne lâchant pas du regard les yeux de sa blonde. Il se disait certainement à cette instant qui ne tente rien, n’a rien . Phrase certainement vrai. Le Reinhaart fit un signe de tête à la blonde disant de venir puis il tourna ensuite la tête vers un arbre, un peu plus loin d’eux. «Tu vois cet arbre ? Le premier qui arrive à destination, demande à l’autre tout ce qu’il désire. Ca marche ?» Un sourire provocateur s’afficha sur les lèvres du Reinhaart. Quand on dit qu’il est joueur, il faut croire ce qu’on dit sur lui.

Les fleures, et Ysolde, une grande histoire de dégoût. Ysolde les trouvaient belle, mais ne comprenaient pas comment des gens pouvaient les aimer. Pour elle des fleurs étaient justes des plantes, juste une chose en couleur faite de végétal. Les jeunes femmes étaient toutes dingues des fleurs, sauf Ysolde qui sincèrement préférait les cadeaux d’un genre différent, et sans doute d’un genre plus exigeant. Oui, Ysolde aimait les belles choses, les bijoux, et les autres cadeaux dans le genre, des cadeaux durables, solide, et pas des vulgaires fleurs qui fanent du jour au lendemain. Elle aimait les choses qui dure…. Elle était un peu matérialiste parfois, juste un peu beaucoup trop matérialiste. Mais, elle était une femme, appliquant le dicton « les diamants sont les meilleurs amis de la femme », mais elle acceptait les autres cadeaux, sauf les fleurs, bien sûr. Les fleurs c’était plus fort qu’elle, c’était médicalement impossible, elle ne les supportait pas, mais alors pas du tout. Pourtant l’attention était bonne, même elle était une délicate, et douce attention. Personne, ou presque n’avait essayé de lui offrir des fleurs, disons qu’Ulysse avait sauté l’étape fleur et était passé directement à l’étape cadeau style collier, aussi directement qu’ils avaient sauté l’étape « on sort ensemble » en allant directement à « fiancé ». Elle préférait recevoir des fleurs, même si elle ne les appréciait pas à leur juste valeur. En tout, malgré l’erreur des fleurs – car oui il s’agissait d’une erreur vu qu’il était sensé être au courant depuis qu’elle avait fini à la flotte – elle préférait avoir un autre rendez vous avec lui, vu que le dernier avait sincèrement très très très très très mal tourné. Oui, même très mal tourné. Graeme était arrivé en retard, et il lui avait reproché d’avoir un ex petit ami qui s’appelait Duncan. Donc, un autre rendez vous était en effet le bienvenue, même le très bienvenue, car il fallait bien qu’ils aient un rendez vous totalement normal.Ysolde senti une goutte de pluie sur son cuir chevelu blond. Elle aimait la pluie, mais des fois, elle s’en passerait bien, dans des moments en extérieur par exemple, la pluie avait le don de venir tout interrompre. La jeune femme leva les yeux pour regarder le ciel qui s’était bien assombri depuis quelques minutes. Alors, se rendant visiblement compte qu’il pleuvait, Gream’ dit alors : «Tes toujours aussi performante en course ?» Ah, oui, c’est vrai qu’il l’avait vu faire une performance sous la pluie, une sacré performance, un bon jogging quoi. Elle lui adressa un sourire, la phrase du jeune homme avec un petit air de défi, même un sacré air de défis. Elle lui sourit, et ajouta sur le ton du défis : « Tu n'imagine pas à quel point je suis capable de courir vite Reinhaart, prends en de la graine. » Un ton de défis, elle l’avait appelé Reinhaart, dans ce contexte c’était affectueux, même très très affectueux pour être franc. C’était un ton du défi, Ysolde était une vraie challengeuse, elle aimait gagner par-dessus tout, pour elle perdre était une sacré humiliation, mais bon, ça lui arrivait de perdre, on est jamais à l’abris d’une erreur. Le jeune homme lui montra alors un arbre de la tête. «Tu vois cet arbre ? Le premier qui arrive à destination, demande à l’autre tout ce qu’il désire. Ca marche ?»Elle lui adressa un sourire et dit alors presque arrogante : « Prépare-toi à aller pleurer dans les jupons de ta maman Graeme. » Prête à gagner, toujours, c’était son état d’esprit. Elle adressa un regard de défis à Graeme, et dit alors : « A trois. Un, deux… trois ! »La jeune femme parti en courant, devançant Graeme d’un petit mètre, et quand elle se retourna pour voir où il était, elle tomba les deux mains en avant dans de la boue, entrainant dans sa chute Graeme – involontairement bien sûr, quoi que…

«Tu n'imagine pas à quel point je suis capable de courir vite Reinhaart, prends en de la graine. » L’intonation de la voix de la serpentarde était très provocante, Graeme savait qu’elle était joueuse et lui étant un grand joueur il pouvait bien profiter de la mettre au défi. D’ailleurs, le défi était lancer, le Reinhaart savait très bien que c’était le moment de se mettre en valeur aux yeux de la blonde. D’habitude, c’était sur ses propres connaissances de la vie, des bouquins qu’il se mettait en valeur mais cette fois-ci, c’était dans ses compétences de grand sportif. Graeme était joueur, qui dit joueur dit gagnant ou bien perdant mais la plupart du temps il préférait tout de même gagner. Perdre, c’était comme perdre sa valeur, mais alors en plus si c’était contre une demoiselle, sa demoiselle, ce n’était même pas la peine dit penser ! Graeme gagnerait cette course au la main. C’était sur et certain ! Si le jeune Reinhaart perdait aujourd’hui, face à son blonde, il savait qu’elle lui parlerait longtemps de son défi perdu. Mais il avait bien envie de mettre ses talents en œuvre, peut être qu’il serait perdant mais il lui aurait montrer sa cadence à courir. «Prépare-toi à aller pleurer dans les jupons de ta maman Graeme. » Le sourire qui avait fait son apparition sur les lèvres de la blonde, fit sourire le jeune homme. Qui n’aurait pas sourit après une phrase comme celle-ci ? Elle provoquait et Graeme appréciait vraiment sa. C’était le moment de jouer, alors jouons. Le ton de la voix de la belle blonde avait également changer, c’était bon signe, la provocation était parmi les deux jeunes étudiants de Poudlard. Le jeune Reinhaart se mit alors en position afin de courir tout en attendant le signal de la blonde. Ce qui arriva dans les secondes qui suivirent. «A trois. Un, deux… trois !» La blonde partit avant Graeme qui n’était cas quelque pas d’elle. Il se mit à courir a fond, se donnant au maximum afin de dépassé la serpentarde. Quand tout à coup, par malchance pour la demoiselle, elle tomba les mains en avant de la boue, ce qui fit sourire le jeune Reinhaart qui voyait sa chance de gagner ce défi haut la main. Mais ce qui se passa, n’était pas vraiment prévu par Graeme. Il tomba également dans la chute de la blonde. Le jeune Reinhaart était remplit de boue sur le visage, sur les vêtements. Graeme se mit alors à rire comme un gamin tout en se redressant en voyant la blonde dans la boue. La seule chose qu’il pu dire dans son rire à été : «Et toi tes aller droit dans la boue !» Le jeune Reinhaart se leva en marchant en arrière tout en gardant son sourire sur les lèvres. Jouer c’était gagner, jouer ce n’était pas pour perdre sinon cela ne servait strictement rien. D’un coter, il ne savait pas si il devait laisser parler son cœur et de relever la jeune demoiselle ou bien écouter son défi et d’aller en direction de la victoire. Jouer c’était gagner et non perdre. Il recula tout en ne lâchant pas du regard la serpentarde, il prenait son temps, au cas ou la blonde se lèverait et irait courir vers l’arbre. Jouer, c’était pouvoir de rire, de sourire, de ressentir et c’est ce qui manquait aujourd’hui à Poudlard. Tout les élèves étaient sérieux, ne s’amusait guère avec tout les nouveaux événements à Poudlard surtout le nouveau règlement pour les nés moldu. «Aller debout Wilkes ! Montre-moi ta cadence !» Provoquer, insister, jouer, c’était ce qu’il appréciait le plus. Graeme était près de l’arbre, il attendait à présent que sa blonde se lève. Il voulait qu’elle se pousse à bout. Evidement, la boue c’était plus lourd sur le corps à cause des vêtements. Mais il fallait qu’il la voit battante comme avant.

Ps:Nul désolé, j'ai pas dormi de la nuit

Elle était tombé dans la boue, aussi naïvement que l’on tombe dans de la neige après avoir glissé sur une plaque de glace. Sauf que là c’était de la boue, cela faisait bien moins mal qu’une vilaine plaque de glace, mais c’était autrement plus salissant. Ysolde était tombé, alors qu’elle ne s’y attendait pas, elle était tellement sûre d’elle, totalement sûr d’arriver la première à ce fichu arbre. Mais, elle était fière d’elle, dans sa chute elle avait entrainé Graeme, elle avait réussi, et au moins elle ne serait pas la seule personne ridicule, et couverte de boue. Elle posa ses mains sur le sol, se redressant doucement, le corps couvert de boue, les bras boueux, le visage boueux et les cheveux boueux. Elle vit Graeme se relever, et lui dire en riant : «Et toi tes aller droit dans la boue !» Sur ce coup là, elle n’avait pas franchement réfléchie à ce qu’elle avait fait, mais alors pas du tout. et puis, c’était plus drôle ainsi, non ? Ysolde riait aussi, elle était couverte de boue, et ne pu retenir un fou rire. Elle se redressa, doucement, contemplant son corps couvert de boue. La jeune femme essuya son visage couvert de boue. Elle s’était relevé toute seule, puisque le jeune homme n’était pas assez galant pour l’aider… quel fumier, pensa-t-elle alors. «Aller debout Wilkes ! Montre-moi ta cadence !» Il la poussait à bout. Il la poussait vraiment à se relever, et à lui en mettre une. Une raclé, bien sûre… elle détestait qu’on la pousse à bout, même si d’une certaine manière la pousser à donner le meilleure d’elle-même, mais d’un côté… c’était dangereux, pousser Ys a bout n’était pas la meilleure des choses à faire, elle était une terrible adversaire. « Ne me poussa pas à bout Reinhaart, tu pourrais le regretter. » La jeune femme était sur ses deux pieds, boueuse de la tête au pied, même ses chaussettes blanches étaient toute sale. La voir de la jeune femme était « menaçante », une voix à la Ysolde Wilkes Seprentarde de l’an dernier, à prendre sur le ton de l’humour bien sûr. Elle lui jeta un regard en coin, et ajouta : « T’es tout beau couvert de boue, mais… regarde comment je vais gagner. » Elle lui adressa un regard en coin. Et elle passa à côté de lui, et le poussa légèrement, tous les coups sont permis. A la guerre comme à la guerre. Elle l’avait poussé, espérant qu’il tombe dans la boue. Quoi qu’il en soit, il pleuvait bien, même très bien. La pluie était glaciale, avec la malchance qu’avait Ys en ce moment, elle allait encore finir à l’infirmerie. Elle usait de tout les coups pour réussir, elle s’en fichait. Elle toucha le bois de l’arbre en premier, très fière d’elle. Elle avait usé de ruse, une vraie serpentarde. Mais que serait un bon jeu sans un peu de triche ? Franchement ? Ysolde aimait tricher juste pour rire. Elle toucha le tronc, en riant, et en s’écriant : « Moi qui croyais les griffondor plus vaillant que ça... ça me déçoit Graeme ! » Elle lui adressa un clin d’œil, suivit d’un regard de vainqueur. Elle aimait narguer les gens. Mais là, ce n’était pas méchant du tout, mais alors pas méchant du tout. Ysolde aimait taquiner les gens, mais elle aimait ça, elle aimait Graeme, suffisamment pour se trainer dans la boue pour lui. Oui, elle était juste couverte de boue.

«Ne me poussa pas à bout Reinhaart, tu pourrais le regretter. » Provoquer une demoiselle du château, qui n’aurait pas apprécié tout en sachant que cette demoiselle n’était pas vraiment n’importe qui à vos yeux. La provocation était un jeu, un jeu ou tout était permis sans trop avoir de violence. Tout était permis même de ne pas avoir à relever cette demoiselle pour ne pas se faire avoir. Graeme était un joueur, Ysolde était une joueuse, voilà pourquoi c’était si marrant de les voir mettre tout leurs moyens pour gagner un simple défi. Le jeune Reinhaart était près de l’arbre, prêt à gagner contre la demoiselle de son cœur, oui car le jeune Reinhaart en était amoureux sans même le lui montrer mais elle le savait, il le lui avait fait comprendre aux puits des vœux ou après s’être embrasser la belle blonde avait prit la fuite en laissant Graeme seul comme un… Con. C’était une demoiselle après tout. Evidement, Graeme lui en avait voulut beaucoup car ensuite il y avait eu le moment près du lac noir, ou il avait carrément plonger dans l’eau glacial pour aller la chercher, tout en précisent qu’il ne savait pas exactement ou elle était tomber à l’eau. Puis enfin, il y a eu ce moment au chaudron baveur ou le jeune Reinhaart avait carrément fait une déclaration devant les yeux de tous passant à Ysolde et la, il y a eu ce moment de crainte ou devant tout le monde Ysolde l’avait traiter de fou mais c’est à l’extérieur qu’elle lui avait expliquer la raison du pourquoi. Il savait qu’Ysolde avait peur du contact, du moins qu’elle n’appréciait pas vraiment sa, il savait qu’elle avait peur d’aimer, elle le lui avait dit et cela n’avait pas déranger le jeune homme à le savoir. Evidement qu’il savait car lui-même flippait pour sa première histoire. Personne au château n’avait déjà vu Graeme avec une fille, il fallait simplement demander à ses anciens camarades qui vous le diront. Il fallait l’avouer tout de même, le jeune Reinhaart était très attacher à sa blonde, à point qu’il préférait toujours passé son temps libre avec. Malheureusement, il n’aimait pas être pot de colle comme dirait sa mère, c’était souvent mauvais signe. Ce que pouvait ressentir Graeme quand il était avec Ysolde, c’était… le bonheur. Il pouvait être lui-même sans avoir à se cacher, il pouvait tout lui dire sans rien cacher, il pouvait l’aider, la rassurer. Et aujourd’hui il s’amusait dans la boue. Vraiment bizarre. «T’es tout beau couvert de boue, mais… regarde comment je vais gagner. » Quoi ? Comment ça gagner ? Elle gagner contre un Reinhaart ? C’était impossible, n’est ce pas ? Et bien finalement… Graeme glissa dans la boue quand la main d’Ysolde le poussa. Bordel de boue ! Cela le fit sourire en voyant la scène, les fesses dans les boues entrain de regarder sa blonde gagner le défi par une simple ruse. Sa maison était bel et bien serpentard même serdaigle lui aurait très bien également. Elle était intelligente, bien plus que d’autre chez les aigles. La pluie continuait de tomber, pendant que le jeune Reinhaart se releva essayant d’enlever la boue sur son pull. «Moi qui croyais les griffondor plus vaillant que ça... ça me déçoit Graeme ! » Elle provoquait et cela faisait sourire le garçon, pire que ça même, ça lui plaisait. Graeme se baissa doucement afin de ramasser de la boue puis arriva derrière la belle blonde afin de lui mettre de la boue sur ses belles joues. Et bam ! La vengeance est un plat qui se mange froid ! Il recula en souriant, gardant son sourire de joueur et de provocateur sur les lèvres. «Waouh ! Ca te va très bien la boue !» Le jeune homme s’abaissa de nouveau pour prendre deux nouvelles poignets de boue. Que la fête commence ! Ou plutôt la bataille

La boue, c’est dégueulasse. Franchement ce ci n’est que la pure vérité. Et dire que des moldus payent des sommes astronomiques pour faire des bains de boue, voir même des massages à la boue. Et dire que la boue c’est sensé être bon pour la peau… Ysolde n’aimait pas franchement la boue, c’était sale, dégueulasse – et elle ne disait pas ce mot là bien souvent ! Mais, la boue pouvait être drôle, autant qu’elle pouvait être ennuyante ! Ennuyante dans le sens, elle nous fait tomber, elle salis nos vêtement alors que l’on a besoin d’être tout beau tout propre. Mais, elle était drôle, comme dans le cas présent. Ici, elle était drôle, parce qu’elle avait permi à Ysolde de gagner cette course, en faisant tomber son adversaire grâce à la boue, et elle au passage. Autrefois, elle aurait pester et se serait énervée d’avoir été ainsi couverte de boue, aujourd’hui, elle s’en fichait totalement, même si au fond, elle savait que se balader dans Poudlard comme ça n’était pas franchement une bonne idée avec les accolytes d’Ombrage dans les couloirs. Le jeune homme arriva enfin toujours couvert de boue, un peu plus qu’elle d’ailleurs, vu qu’il avait malencontreusement fait une seconde chute provoquée par la sorcière. Elle esquissa un grand sourire fier, et triomphal. Elle n’eut pas cette mine de triomphe bien longtemps, à peine eut le temps de savourer le gout de la victoire que cela de la revanche vint s’installer sur ses joues. Le jeune homme étala sur ses joues pâles de la boue, comme on étale vulgairement de la pâte à tartiner sur une tartine ! « Waouh ! Ca te va très bien la boue ! » Ysolde lui adressa un faux sourire, et quand elle vit se baisser pour ramasser une nouvelle fois de la boue, il était hors de question qu’elle se laisse faire encore une fois ! La jeune femme se précipita vers lui, et machinalement lui sauta sur le dos, s’accrochant à lui, ainsi, il ne pouvait pas lui mettre de la boue dessus, mouahah. Elle pensa à faire un rire diabolique, et dit alors triomphante : « Tout me va Graeme, la boue, le noir, le rouge, le vert, les jupes, les jeans, les cheveux blonds, les cheveux court, tout. » Elle adorait prendre une fausse voix de vantarde. Elle ne pensait pas ce qu’elle venait de dire bien sûr, fort heureusement, sinon son égo aurait été surdimensionné, mais entre nous elle avait un égo assez conséquent, même très conséquent. La jeune femme laissa échapper un semblant de dire diabolique. Elle s’était accrochée à Graeme à l’aide d’une main… mais l’autre ? Elle était pleine de boue, et sans prévenir, la jeune femme, la tête posé sur l’épaule de reed, alors qu’elle était toujours sur son dos, badigeonna allègrement la joue du jeune homme, essayant en vain d’y faire un beau petit dessin. « C'était la touche finale ! » S’écria alors Ysolde, riant. Elle était légère comme un plume sur son dos, il n’avait pas intérêt à se plaindre de son poids, sinon il allait l’entendre causer. Elle s’accrocha alors au cou du jeune homme avec sa deuxième main, bien déterminée à tenir, même s’il essayait de la délogé de son dos. Avoir un porteur, c’est tellement classe. Ysolde aimait gagner, mais ça, je pense que vous aviez dû vous en rendre compte, elle avait la sacrosainte horreur de perdre, quoi qu’avec Graeme, cela ne la dérangerait pas plus que cela, surtout si… si le perdant devait être gentil avec le gagnant, ou quelques chose du genre. Mais, elle n’était pas méchante quand elle perdait, juste un peu irritée.

La boue, qui aimait vraiment cette… Matière assez lourde sur les vêtements, mauvaise au goût et à l’odora mais surtout une matière qui rendait assez sale. Le jeune Reinhaart avait déjà goûter à la boue, plusieurs fois même, quand il était chez lui et qu’il allait courir dans les forêts, la plupart du temps il ne voyait pas les racines à ses pieds, d’ailleurs, à chaque fois il tombait dans une flaque de boue qui salissait son jogging. Se salir les baskets, le jogging, se n’était jamais bien facile à laver afin qu’il ne reste plus aucune tache, heureusement que la magie existait et que la famille Reinhaart était des sorciers. Cela ne dérangeait pas Graeme d’être dans la boue mais c’est que c’était plutôt lourd à cause de la pluie qui tombait sur l’Angleterre en ce moment même et sur Poudlard bien évidement. L’automne, c’était vraiment ce qu’il y avait de pire, cette saison nous préparait aux hivers froids pour après avoir un printemps assez chaud dans la normalité. Même si Graeme aimait la pluie, il détestait le froid, même si quand il neige, c’est le genre d’étudiant à aller dehors profiter de celle-ci, étant donner qu’il est un amoureux de la neige. Même si entre la boue et la neige, il n’y avait rien de ressemblant, rien de pareil, il appréciait bien plus la neige que la boue. Même si parfois, celle-ci était bien froide. En parlant de boue, le jeune homme avait bien mit de la boue sur les joues de sa blonde qui maintenant était couleur… Chocolat. D’ailleurs quand le jeune homme se rebaissa afin de prendre à nouveau de la boue, il sentit quelque chose ou plutôt quelqu’un lui monter sur le dos. Quand il tourna la tête pour apercevoir qui s’était, il se mit à sourire en voyant sa serpentarde sur son dos. D’ailleurs, celle-ci ne mit pas longtemps à prendre la parole fièrement : «Tout me va Graeme, la boue, le noir, le rouge, le vert, les jupes, les jeans, les cheveux blonds, les cheveux court, tout. » En entendant ce qu’elle disait, Graeme toussa deux fois afin de faire style de dire non alors qu’elle avait sans doute raison, tout lui allait ou du moins presque. Le jeune Reinhaart essaya de se débattre afin de faire tomber la blonde à nouveau dans la boue mais sans succès ! Celle-ci était tellement bien accrocher qu’il bougea en essayant de la faire glisser. Doucement mais surement sans succès car quand il sentit quelque chose lui couler sur la joue, il entendit la blonde parler : «C'était la touche finale ! » La touche finale ? Ne dit on pas qu’il y a toujours une cerise sur le gâteau quand on si attend le moins ? Que la vengeance est un plat qui se mange… Boueux. Quand il entendit le rire de la blonde, il se mit alors à sourire, cela lui faisait du bien de voir quelqu’un rire, sourire, s’éclater dans les temps sombres de Poudlard. La deuxième main de la blonde s’accrocha au cou du jeune Reinhaart qui lui prit doucement mais surement les cuisses de la serpentarde afin de la tenir mais surtout pour la faire tourner avec lui dans la boue afin qu’elle puisse tomber et que la vengeance de Graeme soit une victoire. Au moins une victoire ! Ce qui arriva dans les secondes ou Graeme glissa la tête la première dans la boue, ce qui fit tomber également la belle blonde dans la boue mais sur Graeme ! Bordel ! Bon c’était déjà sa de fait ! Le jeune Reinhaart redressa doucement sa tête et s’essuya avec sa main puis se mit à sourire comme un gamin. Il tourna la tête vers la serpentarde afin de voir sa tête. «C'était la cerise sur le gâteau ! » Graeme se mit alors à rire comme il n’avait pas rit depuis quelque jours depuis l’arriver de la grosse dame. C’était en s’amusant et en délirant qu’il oubliait tout ce qui pouvait se passé à l’intérieur du château. Et tout ça avec qui ? Avec sa blonde.

Quelle boue, il y en avait partout, et avec la pluie qui ne cessait de tomber, il y en aurait bien plus dans peu de temps. Oui, vous savez la boue est un savant mélange entre de l’eau et de la terre. Tous les enfants du monde ont au moins fabriqué de la boue une fois dans leur vie, sauf Ysolde, qui n’avait jamais eut le droit de jouer dans la boue, interdiction formelle de son père mais aussi de sa mère. Elle était comme une enfant. Jouer comme des gamins de dix ans avait un côté très apaisant, ainsi, on finissait par oublier tout ce qui nous arrivait de mauvais dans notre vie. Graeme avait Ombrage qui l’avait pris en bouc émissaire, Ysolde était le souffre douleur d’Amadeus Black et d’autre sang purs qui la considéraient désormais comme une véritable ennemie, alors que jusque là elle avait été dans leur camp. Ysolde oubliait un peu, et aucune vision n’était venue perturber leur moment, aucune. C’était un véritable bon moment. C’était avec Graeme qu’elle le partageait, c’était un signe.
La jeune femme était toujours sur le dos du jeune homme, fermement accrochée, elle ne comptait pas descendre de son plein gré, c’était un moyen d’afficher sa supériorité, et d’affirmer sa victoire. Mais d’un autre côté s’était affectueux, elle ne lui faisait pas mal, vu qu’elle faisait à peine plus qu’une plume niveau poids. Mais c’était sans compter sur le manque de coopération du jeune homme blond sur qui elle reposait. Le jeune homme lui agrippa les cuisses doucement pour la tenir d’avantage – en soi ce n’était pas « bon signe » - et se mit alors à tourner avec la sorcière sur son dos, cherchant probablement à la faire tomber dans la boue. Elle ne lâcha pas, il en fallait plus que de lui donner simplement le tournis pour qu’elle lâche prise. Ysolde était une battante, elle savait s’accrocher pour tenir, et cette fois c’était dans le sens premier du terme, tenir pour ne pas tomber dans la boue, et puis, si elle tombait, elle ne tomberait pas seule. La réaction ne se fit pas attendre, le jeune homme bascula la tête la première dans la boue, entrainant la jeune femme avec lui. Elle ne tomba pas dans la boue, mais sur Graem’. Au moins, il avait amorti la chute de la jeune femme et lui avait épargné le bain de boue, encore une fois. La jeune femme était toujours sur lui quand il tourna la tête vers elle et dit alors : « C'était la cerise sur le gâteau ! » Ainsi, elle était la cerise sur le gâteau. Hum, la jolie cerise sur un gâteau très apetissant, mais passons. La jeune femme voyait rire Graeme, alors que quelques minutes auparavant, il était terriblement énervé à cause d’Ombrage, ça lui faisait plaisir de le voir rire comme ça, en ce moment il était dur de trouver un moment pour rire dans le château. La jeune femme se décola alors du jeune homme, et se remit sur ses deux jambes, bien qu’un peu glissante aux vues du sol. La jeune femme tendit alors la main à Graeme pour l’aider à se relever, c’était aussi un signe de paix, les bonnes choses ont une faim, Ysolde n’était pas encore prête pour un véritable combat en bikini dans la boue, pas avec un temps pareil. La jeune femme attrapa la main du jeune homme et le tira vers le haut de toutes ses forces, autrement dit une force de poisson rouge, si vous voyez ce que je veux dire. et dire qu’elle jouait au quidditch, en tant que poursuiveuse, parce qu’elle était rapide. En le relevant elle dit alors : « On ferait mieux de rentrer avant de mourir de froid, cette pluie est glaciale ! » Ysolde avait besoin d’une bonne douche chaude, une bonne douche afin d’évacuer toute cette boue, et chaude parce qu’il faisait un froid à ne pas mettre un hippogriffe dehors. Ysolde adressa un grand sourire à Graeme, et elle essuya sa main sur une portion de vêtement encore « on boueuse » et essuya sa bouche avec le revers de sa main, enlevant définitivement toute traces de boue.

La pluie continuait de tomber, de s’écraser contre le par terre afin de s’évacuer dans le sol. Graeme était à présent, trempé à cause de la pluie mais également sale à cause de la boue. Le jeune Reinhaart avait de la boue de haut en bas, de la tête au pied et ce n’était pas spécialement beau à voir mais plutôt drôle. Mais ce qui était bien avec la boue, c’est qu’elle était chaude avec la chaleur du sol même avec toute cette pluie qui tombait. Le jeune homme s’était étaler dans la boue en glissant, tout en essayant de faire la demoiselle dans celle-ci, pour une simple revanche car elle avait tout de même remporter le défi du Reinhaart. En tournant la tête vers l’arrière, il regarda la belle blonde se lever, avec un peu de difficulté, ce qui le fit sourire. La serpentarde présenta alors sa main au jeune Reinhaart, sans doute un signe de paix ou plutôt une aide afin de le relever. Il pesait tout de même assez lourd avec toute cette boue, il accepta donc la main de la belle blonde et se releva , tout en gardant la main de la serpentarde pendant quelque secondes. D’ailleurs le jeune Reinhaart eu le regard sur leurs mains pendant quelque secondes, puis il lâcha doucement celle-ci afin de s’essuyer les cheveux qui était assez coller à cause de la boue mais heureusement qu’il pleuvait car il put enlever cette boue en mettant ses cheveux en bataille. Tout en relevant le jeune homme, la belle blonde prit la parole : «On ferait mieux de rentrer avant de mourir de froid, cette pluie est glaciale !» Mourir de froid ? Il savait que la jeune femme était une grande frileuse mais de là a mourir de froid, il y avait tout de même une marge. Les mains du blond était glissante à cause de la boue, la tête du jeune Reinhaart était totalement marron à cause de celle-ci mais il fallait l’avouer, il avait bien rit, il s’était éclater, il avait bien profiter du moment avec sa blonde et il avait apprécier. Au jour d’aujourd’hui, il n’avait plus vraiment le temps de rire car les devoirs lui prenait trop de temps alors qu’il savait cas pratiquement chaque matière il serait recaler car il était un soit disant sang sale pour les membres du ministère. C’était partout pareil. Il n’aimait pas qu’on lui brise sa réussite et aujourd’hui, il avait été placer dans le rang des minables devant la classe, qui eux même n’avait rien comprit à la réaction soudaine de la grosse dame. Premièrement, la classe entière avait été placer et deuxièmement, Graeme avait été juger sur sa façon de s’habiller et troisièmement, il avait été recaler pour la première fois. Il espérait que le père Reinhaart n’apprenne rien à se sujet. Evidement, cela n’avait donner à Graeme que le fait de ne pas se laisser faire par les membres du ministère mais également par cette grosse dame, quand on énervait le jeune Reinhaart, il ne fallait vraiment pas être dans les parages, c’était mauvais signe autrement. Le sourire qui apparut sur le visage de la blonde fit sourire le blond à son tour. Comme quoi, il y avait une réel connexion entre eux. Le jeune Reinhaart essaya d’enlever le maximum de boue, il n’avait pas honte de rentrer au château comme cela, mais c’était plutôt le fait que la grosse dame était partout, tout le monde était surveiller au château, il fallait vraiment faire attention avant de mal finir. C’est en regardant la belle blonde que Graeme aperçu de la boue au dessus du visage de celle-ci. Il s’approcha donc d’elle et la regarda dans les yeux. «Attend, ta un peu de boue.» Le jeune homme essuya doucement la boue qu’il y avait sur le front de la serpentarde et s’essuya sur son pantalon. Pas vraiment très classe mais il fallait bien faire avec les moyens du bord. La pluie tombait encore sur le visage des deux jeunes étudiants, le Reinhaart leva alors la tête vers le ciel, ce qui enleva le reste de la boue sur son visage. Puis il baissa la tête vers la blonde, en ne la lâchant pas du regard. «Tu me laisse te raccompagner ? Si Ombrage te vois, je préfère qu’elle nous voit à deux.» Il était sincère, il ne voulait pas qu’Ombrage voit Ysolde dans cet état et qu’elle se face sanctionner alors que c’était l’idée du jeune Reinhaart. Du moins le défi. Ce qui était bien avec Graeme, c’est qu’il assumait ce qu’il faisait, peu de gens de son âge savait le fait. Le mensonge était partout dans les années même à Poudlard.

De la boue partout, Ysolde n’osait même pas s’imaginer dans un miroir. Elle détestait se voir sale, déjà quand elle avait une tâche sur ses vêtements elle était à deux doigts de criser pour se changer mais là… étrangement, ça ne l’énervait pas. Peut être que c’était l’effet du charmant Graeme Reinhaart sur elle, il l’apaisait, et faisait ressortir ses bons côtés, et non ses mauvais. Certes, elle avait un peu triché mais, juste un peu, elle n’avait fait que le pousser un peu, et il était tomber tout seul comme un grand. Ce n’était pas de sa faute, bon un peu. Mais, elle avait sorti le drapeau blanc en lui tendant la main pour l’aider à se relevé, elle était sympa quand même. La main sur jeune homme était un peu… glissante, et avec sa force égale à cette d’un elfe de maison nain, elle avait quand même réussi à le hisser. Quand le jeune homme s’approcha d’elle, et dit alors : «Attend, ta un peu de boue.» Elle se mit sur ses gardes, la bonne vieille excuse… elle était méfiante, elle-même aurait pu prétexter cette chose pour lui en mettre encore plus sur la figure quitte à gâcher un si beau visage. Mais, contre toute attente, pas d’entourloupes. Le jeune homme lui retira doucement, presque tendrement de la boue sur le front, et l’essuya alors sur son jeans. Après tout, ysolde serait prête à s’essuyer sur n’importe quoi, elle se sentait tellement sale. En échange, la jeune femme lui adressa un sourire, et il ajouta alors, ne la lâchant pas une seconde des yeux : «Tu me laisse te raccompagner ? Si Ombrage te vois, je préfère qu’elle nous voit à deux.» La bonne excuse pour repartir avec elle, vous ne trouvez pas ? Ysolde se faisait d’avantage de soucis pour lui vis-à-vis d’Ombrage que pour elle. Après tout, cette vieille harpie avait l’air de bien l’aimé, elle lui avait mis un optimal, et lui avait sourit. D’un côté, cela dérangeait Ys, mais c’était tellement pratique d’un coup aussi. ce n’était guère très honnête, mais bon. Mais, il était tellement chou de vouloir être avec elle, au cas ou ça se passerait mal. la jeune femme lui adressa alors un sourire et dit alors : « Bien sûr, tu es tellement adorable. » Sa voix était douce, adorable, elle aussi. Ysolde ne parlait pas souvent aux gens sur ce ton, là, c’était parce que c’était lui. Elle s’approcha de lui, et avec le bout de ses doigts attrapa une mèche blonde du jeune homme qui lui cachait les yeux. Elle lui adressa un sourire doux, et attrapa sa main cette fois ci – sans aucune intention de nuire – et l’entraina avec lui, avant de faire un pas de plus, elle s’arrêta, et se tourna vers lui, la jeune femme s’approcha de lui, et après lui avoir essuyé délicatement les lèvres avec le revers de sa main, elle l’embrassa tendrement. Un baiser qui malgré tout avait un petit goût de boue, très très bizarre. Quand elle rompit le baiser, elle dit alors : « Cette fois ci, on fait pas la course, hein. » Elle l’entraina avec lui, sous la pluie battante, qui allait bien finir par les laver, jusqu’au château. Plus la pluie tombait, plus Ysolde avait froid. ils courrurent sous la pluie battante, essayant de rejoindre au plus vite le hall de l'école, pour être au moins à l'abris de ce déluge qui s'abattait sur eux !

Ce qu’il fallait savoir, c’est que le jeune Reinhaart était très joueur mais il savait s’arrêter au bon moment, quand il voyait qu’il fallait arrêter de jouer pour retourner à la réalité du drame. C'est-à-dire retrouver dans le château afin de ne pas chopper un rhume ou un vilain truc de ce genre. Mais également pour ne pas avoir à se faire prendre par la grosse dame rose qui pouvait très bien s’envoler comme un ballon de baudruche. Auparavant, Graeme n’aurait jamais dit non pour retourner dans le château mais aujourd’hui, les temps avait bien changer et c’était bien lui qui aurait bien refuser dit retourner pour ne pas être de nouveau prit par cette dame qui avait l’œil partout. C’était dingue, cette grosse dame en déguiser pour halloween en bonbon rose avait l’œil et le nez partout. Elle savait particulièrement bien montrer quand quelque chose ne lui convenait pas, il n’y avait cas voir pendant le cours ou Graeme avait été jugé devant les autres. Et tout ça pourquoi ? Parce qu’il n’avait pas serré au maximum sa cravate et qu’il avait laissé un bouton de plus en liberté de sa chemise. Poudlard était une école, une université pas une église ! Il y avait tout de même des limites à avoir, Poudlard signifiait une éducation mais pas une éducation comme celle de Dumstrang pour les garçons et Beaux bâtons pour les filles. C’était Poudlard, juste Poudlard qui aujourd’hui était prit par le contrôle du ministère et c’était flippant réellement flippant. Heureusement, Ysolde était là, et le mot heureusement était vraiment à souligner car aujourd’hui, les temps était sombre, il ne savait même pas comment il aurait réagit si sa blonde, sa serpentarde n’aurait pas été là. Il y avait bien des choses à savoir sur ce Reinhaart qui était bien différent de son jumeau. Graeme avait peu de camarade, c’était plutôt des connaissances ou bien des demoiselles du château qui lui courrait après, le prenant parfois pour son frangin mais il avait vraiment peu de camarade, il ne pouvait vraiment faire confiance à personne. A part Ysolde. Dire que si il avait écouter tout les autres étudiants, il n’aurait jamais été binôme puis camarade puis… Puis voilà avec elle. En faite, Graeme en était vraiment attacher, vraiment proche d’elle et il était vraiment… Amoureux d’elle, sauf que Mister Reinhaart ne voulait pas se l’avouer ou du moins pas le lui montrer simplement parce que la demoiselle était la première dont il était amoureux. Il n’avait pas cette habitude. «Bien sûr, tu es tellement adorable. » Adorable ? Reinhaart ? Graeme adorable ? C’était bien la première fois qu’on lui disait un truc de ce genre. Mais au moins, il pouvait ramener sa blonde à Poudlard, en sécurité car de nos jours, ni elle, ni lui n’était en sécurité, personne en faite. Même à Poudlard le danger était là, sans qu’on puisse sans rendre compte. Graeme regarda alors la blonde dans les yeux en gardant ce sourire qu’il avait quand il était en sa présence, quand il sentit la main de la serpentarde enlever une mèche de cheveux qui était devant ses yeux. Peu de temps après , il sentit la main de la blonde prendre la sienne, le cœur du jeune homme se mit alors à battre un tout petit plus vite. Il appréciait ce contact qu’il avait avec elle, pour une fois que la blonde faisait du contact. Graeme alla suivre sa blonde pour retourner à Poudlard quand elle s’arrêta net afin d’essuyer les lèvres du jeune blond avec le revers de sa main pour échanger un baiser. Le jeune blond était totalement… Il n’y avait même pas de mot pour définir comment il était car la seule chose qui fit, à été de prolonger le baiser qu’il échangeait avec sa blonde. D’ailleurs pendant le baiser, le garçon souriait, tellement il était… Heureux, c’était le cas de le dire. «Cette fois ci, on fait pas la course, hein. » Malheureusement, Graeme s’était aperçu qu’il y avait le goût de boue, ce n’était pas spécialement terrible mais il avait tout de même apprécier le baiser. «Sa serait bien dommage d’être sale à nouveau. » Graeme suivit alors Ysolde pour aller à l’abris au moins pour être au sec et c’est ce qu’ils fient en courant jusqu’au château. Arriver devant les portes du château, le jeune Reinhaart regarda autour de lui simplement pour vérifier si il n’y avait pas la grosse dame dans les parages. Sa serait bien dommage de finir la journée par…. Je ne sais quoi en compagnie de la grosse dame. La seule chose que Graeme ait pu dire après avoir observer les lieux attentivement fut : «Oh faite… T’embrasse bien... » Quel blagueur ce Reinhaart ! Evidement qu’il le pensait mais il y avait tout de même une autre manière de dire les choses non ? Un sourire s’afficha alors sur les lèvres du blond qui ne lâchait pas du regard sa blonde. Son après midi n’avait pas tellement mal fini comme il aurait pu pensé en début de matinée.

La jeune femme n’aimait pas le froid, mais étrangement la pluie, elle adorait cela. La jeune femme aimait l’eau, et tout ce qui s’y rapportait. Mais, pour être franc si suite à des années de sortilèges et de potion, elle remarquait qu’elle maitrisait mieux les sortilèges liés aux flammes. Elle avait toujours été fascinée par les flammes, comme s’il y avait quelque chose qui l’appelait dans la rougeur des flammes. Comment être fasciné par un élément aussi destructeur ? Elle ne savait pas, c’était comme ça. Mais, pour autant elle ne craignait las l’eau, ni la mer, ni la pluie. Alors que des filles auraient déjà hurlé pour avoir été couverte de boue, une pluie aussi glaciale aurait provoqué chez elle des crises cardiaques. Avec le temps, elle avait fini par devenir une « dure », en quelques sorte. Elle ne se plaignait pas de la pluie, ni d’être couverte de boue, il lui fallait plus qu’une simple coupure pour s’évanouir, une vraie vaillante. A croire qu’elle avait un peu de griffondor dans ses veines, je dis bien un peu, même très peu. Certes, un peu de vaillance dans les veines n’allait pas la changer. Ysolde avait bel et bien sa place à serpentard, la ruse coulait dans ses veines qu’elle le veuille ou non. La preuve, elle avait usée de ruse pour gagner de façon déloyale cette course, cela coulait dans ses veines.
Ysolde n’aimait pas franchement les élans d’affections. Pour être franc, elle avait été élevé loin des embrassades et des accolades affectueuses. Son père ne l’avait jamais pris dans ses bras, même au moment de la mort de sa mère, ni au moment de la mort de son frère. Sa sœur ne l’avait jamais vraiment serrée dans ses bras, jamais, même quand Ysolde en aurait eut besoin, et vice versa. Elle se souvenait de sa mère comme de quelqu’un d’affectueux, avec une certaine réserve. Alors, la voir embrasser Graeme, c’était une chose assez rare. Même avec ses petits amis, la jeune femme n’était pas une amoureuse des démonstrations publiques, ce qui lui avait valu de nombreuses disputes quand elle était en couple avec Ulysse.

Quand la jeune propose de ne pas faire la course, il répondit alors : « Sa serait bien dommage d’être sale à nouveau. » Ils étaient assez sales pour le moment, Ysolde risquait déjà de se faire incendier par ses camarades en rentrant dans le dortoir comme ça, alors si on en rajoutait, ce n’était pas franchement une bonne idée quand on y pensait. Plus ils iraient vite à l’abris, mieux ça serait, la pluie était agréable, et électrisante par sa froideur en faite, c’était agréable, très agréable, mais il y avait vraiment de quoi tomber malade. Ils arrivèrent devant les portes du château, quand Graeme dit alors : « Oh faite… T’embrasse bien... » La réponse qui ne sert strictement à rien, mais c’était perspicace, en même temps si elle embrassait mal, il n’avait pas intérêt à lui dire, cela l’aurait extrêmement vexée ! la jeune femme sourit alors, riant presque. Elle était radieuse, les cheveux dégoulinant d’eau.
La jeune femme s’apprêtait à l’embrasser encore une fois, quand elle fut interrompu par un : « C'est tellement écœurant. » La jeune femme se figea sur place, et elle tourna la tête vers la voix. Elle leva les yeux, détaillant cette personne de la tête aux pieds. Un élève de serpentard qu’elle n’appréciait pas forcément, et qui ne l’appréciait pas forcément. Elle rétorqua froidement : « Si tu as un problème va voir ailleurs si on y est. » Ysolde avait dépassé le stade où elle se faisait marcher dessus, c’était un changement radical depuis la bibliothèque, très radical. Le garçon s’approcha et tira sur sa veste une insigne, et dit alors : « Je suis membre de la Brigade Inquisitoriale, et conformément au règlement de Poudlard, il est formellement interdit de souiller l'école, et d'après la Grande Inquisitrice, il est fortement déconseillé de se peloter en public. » Ysolde le fixa, et articula : « Oh vraiment ? Tu es devenu le petit chien domestique de la vieille Harpie ? » elle pouffa, et le toisa, avant d'ajouter : « Quand je t'avais dis que dans ta vie tu serais toujours un sous-fifre. » Ysolde était méchante, mais elle détestait qu’on lui dise ce qu’elle avait à faire. Elle avait déjà eut à faire avec ce garçon, il y avait longtemps, et elle lui avait dit qu’il était très bon pour exécuté les ordres, et elle en avait aujourd’hui la preuve par quatre. Graeme la voyait sous son jour de serpentarde, mais vu qu’il était remonté contre la dame en rose, il n’y verrait que du feu, et peut être que le côté cruel et sans pitié de Ys pouvait lui plaire.

« C'est tellement écœurant. » Voilà ce qui fit être dit dans les parages quand les deux jeunes allaient de nouveau échanger un baiser. Le jeune Reinhaart ne s’attendait pas vraiment à voir quelqu’un mais surtout pas entendre quelqu’un parler étant donner qu’avant qu’ils puissent rentrer ici, il avait vérifier si personne n’était présent ou cas ou la grosse dame serait dans les parages. Graeme tourna alors la tête vers l’étudiant qui venait de briser leur moment, il fallait bien qu’un moment comme celui-ci prenne fin par un abrutit. Il aperçu alors que sa blonde également avait tourner la tête mais qu’elle reconnue alors l’étudiant car l’expression de son visage changea d’un coup. Le jeune Reinhaart n’eu même pas le temps de répliquer quelque chose, ni même de placer un mot que sa serpentarde le fit : « Si tu as un problème va voir ailleurs si on y est. » En deux secondes même pas, sa serpentarde, sa blonde, avait changer de comportement, totalement. Elle était passé de la simple et gentille demoiselle à la fameuse serpentarde qui savait placer des paroles, ne se laissant pas marcher sur les pieds. D’un coter, cela lui plaisait car la dernière fois, il avait carrément vu sa blonde avec les larmes aux yeux, ce qui se comprenait car une bande de serpentard venait de parler de la mère de celle-ci. D’ailleurs Graeme s’était carrément jeter dans une bagarre face à trois gars ou il avait été blessé à l’œil mais rien de grave. D’ailleurs c’était Ysolde qui l’avait soigné. Mais cette fois-ci, c’était un étudiant qui portait quelque chose de bizarre sur son uniforme de Poudlard, quelque chose que le jeune Reinhaart n’avait pas, il aurait pu pensé que c’était pour tout les garçons du château mais non. Il eu sa réponse à la suite de ce qu’avait dit la serpentarde. «Je suis membre de la Brigade Inquisitoriale, et conformément au règlement de Poudlard, il est formellement interdit de souiller l'école, et d'après la Grande Inquisitrice, il est fortement déconseillé de se peloter en public. » Membre de la quoi ? Puis de quoi il cause lui ? Le jeune Reinhaart resta alors à regarder le serpentard, qui se prenait vraiment au sérieux à venir brusquer leur moment, à venir carrément gâché leur fin d’après midi. Connaissant les serpentards, l’étudiant en face du rouge et or devait certainement croire son rôle pour être aussi sérieux. «Oh vraiment ? Tu es devenu le petit chien domestique de la vieille Harpie ?» Graeme n’avait toujours pas dit un mot tellement il était concentré sur les faits et geste de l’étudiant. Puis il tourna la tête afin de regarder sa blonde qui était calme avant et à présent entrain de s’énerver. Cela changeait bien de la situation précédente, sous la pluie, entrain de se faire une bataille de boue. Non à présent c’était un étudiant de la maison de la blonde, qui était entrain de les espionnés afin de…. Pourquoi en faite ? Ah ouais parce qu’il y avait eu une certaine règle. Graeme n’avait jamais vu de règle à part celle pour les nés moldus que d’ailleurs était minable pensait-il. «Quand je t'avais dis que dans ta vie tu serais toujours un sous-fifre.» Alors tout les deux se connaissaient ? Graeme avait certainement loupé de tas de chose en étant dans ses vieux bouquins. Le jeune Reinhaart aperçu alors que les poings du serpentard en face commençaient à serrer, s’apprêtait-il à faire quelque chose ? Il n’avait pas intérêt. L’étudiant dans face prit alors la parole, assez violement, il n’avait sans doute du pas apprécier ce qu’avait dit Ysolde. «Tu n’es que la batarde des Serpentards.» Pardon ? Le sang du Reinhaart ne fit alors qu’un tour, qu’un seul et unique tour, ce qui le mit de nouveau en colère. Le jeune Reinhaart se mit alors entre la blonde et l’étudiant appartenant à la maison de Salazard Serpentard et le regarda droit dans les yeux tout en parlant : «Répète ce que tu as dit ?» Le serpentard semblait essayer de prendre sur lui, tandis que Graeme ne le lâcha pas du regard. Un regard noir, un regard comme jamais il n’avait encore eu l’occasion de faire. L’étudiant aux couleurs vert et argent se mit alors à bégailler en parlant : «C’…Est… U…ne… Ba…tar…de …» Le jeune Reinhaart s’approcha alors et le poussa pour lui prendre la bras et lui faire une clé afin de le mettre à terre. Déstabiliser son adversaire c’était important. Soudain, Graeme se souvenu de l’étudiant pendant le match de quidditch, serpentard contre gryffondor. Et la seule chose que le jeune Reinhaart ait dit fut : «J’espère que tu pourras jouer du bras droit.» Graeme méchant ! Personne ne l’avait vu comme cela, ni lui, ni même les autres. C’était incroyable la réaction qu’il pouvait avoir pour sa blonde.

Les sous-fifres, Ysolde détestait les sous-fifre, elle en avait eut pas mal, des premières années pour lui porter ses affaires, réceptionné son courrier, pour aller lui chercher de quoi grignotter dans la cuisine. Oui, elle avait été incroyablement inhumaine, et alors ? Ce n’était pas pour autant qu’elle s’était prise d’affection pour les sous-fifres, elle ne comprenait pas comment on pouvait servir quelqu’un, c’était une idée qu’elle n’arriverait jamais, mais ô grand jamais à comprendre. Alors ce petit con là, elle ne l’appréciait pas. Il s’agissait d’un serpentard de seconde zone, pas un sang pur, mais des parents eux même toutous du ministère, et si sa mémoire était bonne, le père de celui-ci était un mangemort. «Tu n’es que la batarde des Serpentards.» C’est lui qui disait cela ? Ah, ah, elle était bien bonne leur blague. Même les sangs mêlés s’y mettaient, non mais franchement, elle avait tout vu. On va dire que c’est l’hopital qui se fou de la charité, lui n’était qu’un foutu sang mêlé, alors comment pouvait-il se croire supérieur à la sorcière ? Elle ne comprenait pas, mais alors pas du tout. Elle allait démarrer au quart de tour, prête à l’insulter et à lui cracher son venin dessus, car oui, la jeune femme avait un côté serpent, prête à cracher son venin tel une vipère énervée. Elle n’eut pas le temps de cracher, ce fut son cher chevalier servant qui s’en chargea. Quand elle était menacée, Graeme se révélait être particulièrement menaçant. D’un coup, son beau blond – appelons les choses comme elles le sont – s’interposa entre la sorcière et le serpentard, lui lançant un regard des plus noir, et articulant froidement : «Répète ce que tu as dit ?» Derrière Graeme, Ysolde fixait froidement le serpentard, prête à cracher son venin au cas où Graeme lui en laisserait l’occasion. Elle savait être menaçante aussi, derrière Graeme, elle avait presque un sourire mesquin, et elle le toisait, fière. Elle n’avait pas peur de lui, pas d’un sous-fifre. «C’…Est… U…ne… Ba…tar…de …»Et le pire c’est qu’il répéta, là où une personne sensé aurait dit « non rien. » l’autre répétait, et apparemment, cela mettait Graeme hors de lui. Celui-ci s’approcha rapidement du serpentard, et le poussa avant de lui saisir le bras, s’en suivit alors une succession de mouvement habile. Mouvements qu’elle n’aurait jamais été capable d’exécuté, sincèrement, elle avait la force d’un elfe de maison enfant, voir nain. Graeme dit alors : «J’espère que tu pourras jouer du bras droit.» Elle s’approcha de Graeme, posa doucement sa main sur son épaule, se voulant apaisante. Ysolde n’était pas violente physiquement, ça ne lui ressemblait pas du tout, mais moralement elle pouvait être très violente. Elle s’approcha donc de Graeme, la main sur son épaule, et lui dit au creux de l’oreille, mais assez fort pour que le serpentard l’entende : « Il n’en vaut pas la peine. » En signe d’apaisement la sorcière posa son autre main sur le bras de Graeme qui tenait le serpentard et elle s’approcha de ce dernier, et le sourire mesquin aux lèvres ajouta alors : « On ne va pas être puni. »Le serpentard protesta, donnant un coup dans Graeme, perdant ainsi son étreinte sur lui. D’un geste rapide, la sorcière sortie sa baguette, et la pointa sur le serpentard, qui rétorqua : « Tu me menace tu vas finir renvoyé Wilkes ! » Elle posa sa baguette contre le torse du serpentard, et esquissa un petit rire, et dit alors : « Je ne crois pas. » elle lui sourit, mesquinement et ajouta : « Je crois plutôt que tu as oublié à qui tu parlais vermine, Ombrage m'adore. Tu devrais faire comme si tu n'avais rien vu, à ta vie pourrait rapidement devenir un cauchemars, ne t'as ton jamais expliqué comment je rendais impossible la vie des gens ? » Ysolde était le genre de fille qui savait être menaçante, même très menaçante. et oui, Ombrage avait l'air de l'adorer, puisqu'en plein cours, elle ne l'avait pas empêcher de discuter avec sa voisine de table, et qu'elle avait eut une excellente note.

Il y a des gens, partout dans Poudlard qui se prend supérieur aux autres car leur sang est totalement pur, pour le jeune Graeme, il ne voyait pas à quoi cela changeait. Lui, était un sang mêlé, très fier de son sang, qui n’avait rien à reprocher à ses parents, ni à son frangin ou peut être un peu pour lui. Mais quand le jeune Reinhaart entendit l’insulte de l’étudiant dans face pour la serpentarde, ce fut quelque de chose de trop. Il ne voyait vraiment pas à quoi cela avançait la situation en insultant une personne parce que son sang n’était pas sang pur mais bien sang mêlé. Personne ne connaissait le jeune Reinhaart aussi violent que ce qu’il venait de faire à cet étudiant, qui aurait sans doute un peu de mal à jouer le prochain match de quidditch. Graeme n’avait jamais réagis auparavant comme ça, il avait toujours su se calmer pour ne jamais dépassé les limites de la défense mais quand il s’agissait d’Ysolde, il sans fichait totalement. Graeme aurait très bien pu prendre des coups pour sa blonde, il sans fichait. Son coté protecteur était présent et s’était pas plus mal. A deux on est toujours plus fort. Le jeune Reinhaart était entrain de faire mal à l’étudiant quand une main qu’il reconnut aussitôt se posa sur son épaule, ce qui calma le blond même s’il aurait voulut faire plus de mal pour que l’étudiant ne revienne plus jamais dire un mot à sa blonde. D’ailleurs celle-ci parla doucement à l’oreille du blond, mais assez pour que l’étudiant qui souffrait du bras puisse entendre : «Il n’en vaut pas la peine. » Ca c’était sur, il n’en valait pas la peine et pourtant, le jeune Reinhaart avait bien du mal à lâcher la pression qu’il faisait au bras de l’étudiant. Soudain, l’autre main de la serpenterde vint alors se posé sur le bras du blond. Ce qui fit relâcher le serpentard qui n’avait pas arrêté d’essayer de retenir ses cris de douleur. Ysolde était bien la seule demoiselle du château à pouvoir calmer le Reinhaart, c’était vraiment dingue à voir. Elle était la seule pour Graeme s’énerverait et protégerait, la seule qui verrait le Reinhaart aussi… Violent. Mais pour une bonne cause à chaque fois. La blonde s’approcha du serpentard que le blond lâcha. Il se rendait compte d’avoir fait trop de mal à l’étudiant mais pas assez à son goût, il fallait plus, plus pour qu’Ombrage voit qu’elle n’était pas la bienvenue au château et qu’elle pouvait partir de si tôt. L’étudiant donna un coup au blond aussitôt que le jeune Reinhaart l’est lâcher, heureusement, Ysolde sortit sa baguette et la pointa sur le serpentard. «Tu me menace tu vas finir renvoyé Wilkes ! » Ysolde renvoyé ? Ca serait le monde à l’envers et puis de toute évidence, des qu’Ombrage aurait fait ses adieux à Poudlard, Ysolde reviendrait et puis cela n’arriverait pas, c’était sur. La blonde posa alors la baguette sur le torse de l’étudiant. C’était assez bizarre de voir deux membres de la même maison, se…. Prévenir. Mais c’était plaisant de voir Ysolde de retour, qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. «Je ne crois pas. » Cette phrase-là fit alors sourire le Reinhaart. C’était tant mieux ! Un Poudlard sans Ysolde, ne serait pas un Poudlard ! Enfin pour lui. La blonde ajouta alors avec un sourire mesquin : «Je crois plutôt que tu as oublié à qui tu parlais vermine, Ombrage m'adore. Tu devrais faire comme si tu n'avais rien vu, à ta vie pourrait rapidement devenir un cauchemars, ne t'as ton jamais expliqué comment je rendais impossible la vie des gens ? » La vie impossible des gens ? Pas au souvenir du jeune Reinhaart. D’ailleurs le blond était entrain de regarder aux alentours quand il vit…. Un placard à balais. Cela lui donna une petite idée bien… Prévenante mais surtout une idée qui finirait bien leur après midi en beauté. Le jeune Reinhaart sortait alors sa baguette en prenant l’étudiant par le bras et l’emmena en direction du placard à balais tout en prévenant le serpentard : «Pas un mot ou tu ne pourras plus rien faire de tes bras. » Graeme prévenant ? Au que oui, surtout si c’était pour une bonne cause. Le jeune Reinhaart ouvrit alors le placard à balais afin d’avoir ouvert le cadenas avec le sortilège d’alhomora. Il mit au fond l’étudiant et referma le placard à balais sans oublier de mettre le cadenas à nouveau. Enfin libre. Le jeune Reinhaart s’approcha alors de sa blonde et lui dit tout en gardant le sourire : «C’était bien plaisant de te voir comme ça… Même pire que ça... » Le jeune Reinhaart se mit alors à regarder le placard à balais puis à regarder autour d’eux pour voir si il n’y avait personne d’autre qui avait vu la scène de A à Z.