Ysolde avait toujours été une fille assez menaçante. Elle avait concuru pour le titre de reine des serpentards, mais personne n’avait jamais vraiment été capable de désignée la vainqueur, de peur de finir décapitée par l’une des participante. Ysolde s’était considéré comme une reine, a fortiori, comme une princesse des serpentard, surtout quand elle avait arpenté ces couloirs en compagnie d’Ulysse Lestrange, une époque qui lui paraissait aujourd’hui tellement lointaine, qu’elle semblait presque être à la fois un rêve, ou un cauchemar, elle ne savait plus très bien. Mais elle savait qu’une chose lui manquait : de marcher dans un couloir, et qu’on s’écarte pour la laisser passer. Cela lui manquait tellement d’être crainte, et aimée à la fois. Aujourd’hui, on ne l’aimait plus, elle était même devenue invisible, un dur retour au commun des mortels qui l’affectait énormément, mais elle prenait sur elle pour ne pas craquer. Elle était née pour être sous le feu des projecteurs, pour être totalement crainte, et adorée. Elle avait une bouille d’ange, et l’esprit du démon, maligne, drôle, charmeuse, et intelligente. Mais être crainte lui manquait, quand elle était crainte elle se sentait protéger des autres, comme ce fichu serpentard. Mine de rien en le menaçant il avait eut l’air d’avoir peur, elle avait pu le lire dans ses yeux, elle savait encore faire froid dans le dos, le timbre de sa voix respirait la mesquinerie, la froideur. Elle avait sa baguette posée contre le torse du serpentard, avec un sourire aux lèvres. La première chose à faire pour se montrer dangereux, c’est de ne pas montrer son anxièté, et de rire, comme si la personne de vous est tellement in-importante que vous fichez bien du sort qui lui est réservé, d’avoir cette froideur et cette méchanceté au coin de l’œil, et aussi peut être une lueur de folie. Graeme sorti alors sa baguette, attrapant le seprentard, le conduisant vers un placard à balais. «Pas un mot ou tu ne pourras plus rien faire de tes bras. » Ysolde regardait la scène, presque amusé. Elle ne savait pas que Graeme pouvait être aussi menaçant, et faire peur à un serpentard. Mais entre nous, il ne serait pas capable d’effrayer Amadeus Black, le bourreau d’Ysolde, celui-ci était plutôt cinglé, donc il ne connaissait pas la peur. Et, ne dis-ton pas que sans peur il n’y peut y avoir de courage ? Graeme avait des peur, et du courage, il était à griffondor. Ysolde aimait beaucoup les griffondor, et leur courage, elle n’en avait pas vraiment, c’est pour cela que d’un côté elle les admirait beaucoup. Le jeune homme fit entrer le serpentard dans le placard, et le referma à clef. Ce fichu serpent n’allait pas parler, sinon, Ysolde serait prête à le menacer, encore une fois, elle savait si bien le faire. Graeme revint alors vers sa blonde, et dit alors : «C’était bien plaisant de te voir comme ça… Même pire que ça... » Il découvrait une facette d’Ysolde, peut être pas la meilleure, mais au moins, il connaissait une facette obscure de la jeune femme, mais une facette qui était loin d’être la facette la plus noire de la jeune femme, elle cachait beaucoup de noirceur en elle, elle ne le savait que trop bien. Quand il regarda le placard, il suivit son regard, et lassé de ses regards âr ci, par là, la jeune femme posa sa main sur la joue du jeune homme pour le « forcer » à la regarder – en soi, ça ne devait pas être un cauchemar. Elle délaissa alors sa joue de sa main, et un sourire aux lèvres, elle dit alors : « Tu aime les serpentardes Graeme, qui l’eut cru ? » elle marqua une pause, et ajouta en riant presque : « Maintenant tu sais que je n'ai rien d'une gentille et stupide blonde. » Non, rien à voir, c’était juste une vraie garce parfois. Mais, ça pouvait être comme un avertissement "si tu me brise le coeur, je serai encore plus méchante", mais après c'est de l’interprétation. La jeune femme décida de reprendre, là où ils s’étaient arrêtés avant que ce stupide serpentard vienne gâcher ce moment. La jeune femme se rapprocha doucement de lui, se mordant la lèvre inférieure, et se rapprochant doucement, et l’embrassa alors tendrement.

Le jeune Reinhaart n’avait pas peur des serpentards, bien au contraire, il les trouvait tous amusant mais aussi idiot les uns que les autres. La plupart des serpentards se trouvait mais également pensait être supérieur aux autres étudiants du château. Ce qui était bien faux. Du moins pour Graeme. Le jeune Reinhaart ne s’était jamais sentit supérieur aux autres mais il avait toujours été respectable aux gens qui en valait la peine d’être respecter. Graeme n’écoutait jamais les autres, il voulait toujours écouter son propre instinct, avoir sa propre opinion des choses, c’était toujours mieux d’avoir une vrai image de la personne plutôt qu’une fausse facette. Le jeune Reinhaart était protecteur envers les gens qu’il appréciait mais il n’avait jamais été aussi violent pour une demoiselle voir jamais d’ailleurs. C’était bien la première fois qu’il défendait autant, mais Graeme avait ses raisons, il n’acceptait pas qu’on sans prenne à Ysolde pour rien, après tout, ce n’était pas de sa faute si on lui avait mentit pendant des années sur son enfance, d’ailleurs lui-même n’avait jamais comprit pourquoi cela avait été fait, une enfance sans mensonge s’était tellement mieux. Il y avait tellement de chose que l’on loupait qu’il fallait profiter du temps que l’on passait en étant gamin. C’est souvent en grandissant qu’on se rend compte des choses que nous avons louper. Ysolde devait certainement pensé qu’elle avait louper des tas de choses qui aurait pu émerveiller son enfance comme avait été l’enfance du jeune Reinhaart. Mais à Poudlard, tout pouvait changer, on pouvait certainement retomber dans l’enfance, il n’y avait cas voir aujourd’hui, l’après midi que venait de passé Graeme avec sa blonde, une bataille de boue, qui l’aurait vraiment cru ? Il n’y avait cas les voir s’amuser sous la pluie, à glisser dans la boue, pour un simple défi que la blonde avait remporter. Mais cette après midi là c’était tout de même bien passé, même si elle avait très mal commencer quand le jeune Reinhaart était énerver, très énerver contre la grosse dame. Après avoir enfermer l’étudiant appartenant à la maison de Salazard Serpentad dans le placard à balais, il était aller de nouveau auprès de sa blonde. Un silence était présent après cette action, une action à deux, une action qui était très peu faire au château car à chaque fois cela se passait dans les salles communes quand un élève avait une embrouille avec un autre élève appartenant à la même maison. Soudain, la main de la blonde vint alors sur la joue du Reinhaart afin qu’il la regarde. Evidement, le jeune homme était très fier de lui, il avait bien protéger sa blonde mais il avait montrer également qu’il pouvait être violent quand il le voulait. C’est d’ailleurs en souriant au blond que la demoiselle prit la parole afin de rompre le silence entre eux : «Tu aime les serpentardes Graeme, qui l’eut cru ?» Le blond se mit alors à sourire à sa blonde, d’ailleurs celle-ci continua de parler en n’ayant pratiquement un rire, son rire. «Maintenant tu sais que je n'ai rien d'une gentille et stupide blonde.» Cette phrase le fit sourire encore plus et vous savez pourquoi ? Parce que le jeune Reinhaart n’avait jamais pensé une telle chose sur elle, bien au contraire, il la savait capable de beaucoup de chose si c’était pour son propre bien, tout comme lui aurait fait il était menacer ou bien sa famille et ses proches. Elle était avant tout un être humain, nous réagissions pratiquement tous de la même manière. Le jeune homme était content, content de revoir sa Ysolde, la Ysolde sur patte à reprendre de l’autorité, cela plaisait beaucoup au jeune homme. Une demoiselle qui à du caractère, cela devait être assez mouvementer pensait-il dans la journée. Le blond se mit alors à murmuré : «Il se pourrait que j’aime une serpentarde.» C’est alors que la bonde approcha doucement ses lèvres contre celle du jeune blond qui remarqua que la serpentarde venait de se mordre les lèvres avant de reprendre le moment qu’ils leur avaient été gâché, c’était le cas de le dire. C’est alors que pendant le baiser, une main se posa sur l’épaule du jeune Reinhaart, ce qui le fit arrêter mais surement l’instant qu’il passait avec la blonde. Soudain, une voix aigue, lui fit faire le sang en un tour. «Hum Hum.» Et merde ! pensait-il. Il savait qui s’était, il avait reconnut se ‘hum hum’ façon arrogante d’arrêter les choses. Il détestait les gens qui faisaient ce genre de chose. Le blond se tourna alors vers la grosse dame, doucement mais surement , lui faisant face, une nouvelle fois dans la journée. Premièrement, le jeune Reinhaart était trempé, il avait encore de la boue sur son uniforme mais deuxièmement il venait d’être prit entrain d’embrasser sa blonde, sa serpentarde… Sans oublier l’étudiant appartenant à la maison de Salazard Serpentard enfermer dans le placard à balais qui tapait comme une filette. Sans doute la peur du noir. Le jeune Reinhaart ne dit alors rien, attendant simplement ce qu’avait à dire la grosse dame. Provocateur le Reinhaart !

La jeune femme avait le don de faire faire a beaucoup de monde ce qu’elle voulait, enfin avant. aujourd’hui, elle n’était plus grand-chose. Non, aujourd’hui il ne lui restait plus grand monde sur qui elle pouvait compter, plus grand monde à qui faire confiance. Il lui restait Alecto, Morgana, Graeme, Dahlia, et… personne d’autre, hélas. Elle avait une amie à serpentard a qui elle pouvait « faire confiance », mais malgré tout la jeune femme restait méfiante. Etre blessée était la dernière chose qu’elle voulait, alors elle prenait ses précautions. Nottament en matière de relation amoureuse, il lui avait fallu du temps pour admettre que Graeme ne « lui voulait pas de mal », mais aller le faire comprendre à la jeune femme, elle avait vécu des choses difficiles dans ses relations, elle avait le droit d’être méfiante. Mais bon, elle avait l’air d’être passé au dessus de cela, elle commençait même elle a montrer des élans d’affection, c’est dire. «Il se pourrait que j’aime une serpentarde.» Lui avait alors dit le jeune homme avant que la jeune femme l’embrasse. Ah, ça c’était une bonne nouvelle même. Il se pourrait aussi que la serpentarde aime un griffondor, c’était même très fortement probable, plus que très probable. Le jeune homme interrompu soudainement le baiser, Ysolde cru avoir fait quelques choses de mal. Elle le fixa alors, la jeune femme fut ramené à la réalité par : «Hum Hum.» Ombrage, et merde. Pensa alors Ysolde. Ils allaient tous les deux finir collé, pire, que sais-je. Ils étaient tous les deux couverts de boue, avaient dégueulassé le hall, enfermé un autre dans le placard, et étaient entrain de s’embrasser publiquement, cela sentait très très très mauvais pour eux. Graeme se retourna pour faire face à la grosse dame, Ysolde elle était plus gênée, elle n’avait pas le courage du jeune homme pour faire face aux gens. Elle eut une boule en ventre quand l’élève tamponnait la porte comme une vulgaire gamine. La grosse dame se dirigea vers la porte, toisant Graeme et ignorant presque la sorcière. D’un coup de baguette elle ouvrit la porte et fit sortir l’élève en demandant d’une voix arrogante : « Par Merlin, que fiche-tu dans ce placard ? » Le jeune homme fixa Graeme et Ysolde, tandis que celle-ci lui jeta un regard noir. Elle le vit déglutir et regarder la grosse dame en disant alors : « Des crétins de sang de bourbe m'ont enfermé, j'ai crié à l'aide, mais...» « Mais ils étaient trop occupés pour vous aidez...»le coupa alors Ombrage en se retournant pour fixer Graeme, et ajouta : « Mr Reinhaart, vous êtes décidément mal élevé et sur la mauvaise pente. Aidez votre camarade était une priorité, plutôt que de... batifoler. » Ombrage semblait avoir totalement oublié Ysolde, totalement, elle s’approcha de Graeme, et sorti sa baguette, et poussa un petit soupire aigue en voyant qu’il était couvert de boue. Elle daigna enfin poser son regard sur Ysolde, et contre toutes attentes lui adressa un sourire chaleureux, qu’elle perdu automatiquement en regardant le jeune homme. Elle dit alors à l’attention de Graeme : « Vous me decevez Reinhaart chaques secondes d’avantage, entrainé une jeune fille aussi respectable que Miss Wilkes dans vos… péripéties qui consistent à enfreindre le règlement, c’est scandaleux. Je vais vous donnez quelques heures de colles, que vous ferez avec le concierge en heures de ménage, pour nettoyer vos horreurs. » Ysolde la fixa, et dit alors, pour « défendre » Graeme, « Mais, professeur, je dois aussi avoir des heures de colles ! » Ombrage, la fixa et dit alors : « Miss Wilkes, vous valez mieux que cela. Ce ci n'est qu'un petit écart, j'attends beaucoup de vous d'après vos professeurs vous êtes brillante. D'ailleurs vous transmetterez mes amitiés à votre père. » La jeune femme n’en croyait pas ses oreilles, juste parce qu’elle était la fille d’Angus Wilkes, elle passait à côté des heures de colles ? Une chose est sûr, elle trouvait que c’était dégueulasse, mais d’un côté, elle n’osait rien dire, et resta muette, fixant Graeme, essayant de dire quelques choses.

Ombrage était partout, partout ou l’on croyait qu’on ne la verrait jamais, même dans les situations les plus merveilleuses qui puissent existés ou bien dans les situations les plus merdiques qui puissent existés. Le jeune Reinhaart venait d’interrompre le baiser en entendant un simple son, plutôt aigue, quelque chose qu’il détestait par-dessus tout. C’était le son d’une voix qui demandait intention et respect, chose que n’avait pas beaucoup le jeune homme pour cette dame. En effet, il s’agissait bien d’Ombrage, la grosse dame rose du ministère, du moins envoyer tout droit du ministère afin de soit disant revoir les règles et l’éducation faites à Poudlard. Qui était parfaite d’ailleurs au passage. Soudain, l’étudiant serpentard frappa à la porte du placard dans laquelle il était enfermé. Le jeune Reinhaart avait complètement oublié l’étudiant alors que c’était lui-même qui l’avait enfermé. Mais pour une bonne cause. Le jeune Reinhaart ne laissa rien paraître comme à son habitude en regardant la grosse dame rose aller vers le placard à balais. D’un seul coup de baguette, le placard s’ouvrit alors en faisant sortir l’étudiant qui était assez… Enerver. Du moins, c’était l’impression qu’il donnait. La grosse dame prit alors sa voix arrogante afin de prendre la parole : « Par Merlin, que fiche-tu dans ce placard ? » Le regard de l’étudiant scruta alors Graeme et sa blonde, un regard noir mais pas aussi noir que lui avait fait le jeune Reinhaart quand il avait mal parler de la serpentarde. L’étudiant ne prit alors pas le courage de dire la vérité en regardant Ysolde et fit ce qu’il y avait sans doute de mieux à faire. «Des crétins de sang de bourbe m'ont enfermé, j'ai crié à l'aide, mais…» Des crétins de sang de bourbe, dans cette phrase-là, le jeune Reinhaart se disait que c’était bien mieux de trouver autre chose finalement. Mettre les sangs de bourbes de nouveau dans une histoire qui n’était pas la leur, cela ne servait à rien. Mais sans si attendre, l’étudiant aux couleurs vert et argent, fut couper dans ses paroles par la grosse dame. «Mais ils étaient trop occupés pour vous aidez…» Ombrage regarda alors l’étudiant, qui ne savait pas quoi ajouter d’autre étant donner qu’elle avait vu les deux jeunes entrain de s’embrasser. La vieille femme se tourna alors vers le jeune Reinhaart afin d’ajouter : «Mr Reinhaart, vous êtes décidément mal élevé et sur la mauvaise pente. Aidez votre camarade était une priorité, plutôt que de... batifoler…» Ni la grosse dame, ni Graeme ne baissa le regard, c’était provocation sur provocation. Si elle pensait que le blond allait se laisser faire, elle se mettait le doigt dans l’œil et bien profond pour être exact. Ce que détestait le blond, c’était de remettre en cause la façon dont il avait été élevé, car ses parents avaient très bien fait leurs travails et Graeme en était fier. C’est en regardant la grosse dame dans les yeux qu’il répliqua : «Nous avons tous une priorité dans la vie n’est ce pas. Vous de léchez les bottes au ministre. Moi de prendre soin d’elle. Nous sommes tous gagnant.» La grosse dame s’approcha alors du jeune Reinhaart. Le jeune homme venait de montrer qu’il n’était pas le genre de garçon se rabaisser pour si peu. Jamais il n’y avait eu de règle aussi stupide que celles qui venaient en ce moment. Elle sortait alors sa baguette, ce qui ne servait strictement à rien car Graeme n’avait pas l’intention de se battre, ne voulant pas être renvoyer pour si peu. La grosse dame se mit alors à regarder la serpentarde en affichant un sourire après avoir fait un soupir aigue en voyant que le rouge et or avait de la boue sur ses vêtements. Elle perdit son sourire en regardant le Reinhaart et ajouta : «Vous me decevez Reinhaart chaques secondes d’avantage, entrainé une jeune fille aussi respectable que Miss Wilkes dans vos… péripéties qui consistent à enfreindre le règlement, c’est scandaleux. Je vais vous donnez quelques heures de colles, que vous ferez avec le concierge en heures de ménage, pour nettoyer vos horreurs. » Graeme en retenu pour la première fois de sa vie depuis Poudlard, lui, l’élève model qui avait toujours des bêtes de notes dans les cours, lui qui voulait toujours donner le meilleur de lui-même. Il était en retenu. Et pourquoi ? Parce qu’il avait les vêtements sales. Poudlard aurait tout vu avec elle. Sans si attendre, la serpentarde prit alors la parole en regardant la grosse dame : «Mais, professeur, je dois aussi avoir des heures de colles ! » Ombrage sans fichait, pour elle, il n’y avait qu’un responsable dans l’histoire même si évidement l’idée du défi était de Graeme et qu’il assumait parfaitement. D’ailleurs la grosse dame lui fit bien comprendre qu’elle n’avait rien à faire dans cette histoire : «Miss Wilkes, vous valez mieux que cela. Ce ci n'est qu'un petit écart, j'attends beaucoup de vous d'après vos professeurs vous êtes brillante. D'ailleurs vous transmetterez mes amitiés à votre père» Euh… Le jeune Reinhaart se demandait simplement ce qu’il faisait encore là car les histoires de famille, très peu pour lui. Le jeune Reinhaart n’avait plus rien à dire. L’injustice était de nouveau là. Il y avait bien une grande différence entre le sang et les gens haut bien placer au ministère. Le jeune Reinhaart regarda alors la grosse dame et dit alors : «Puis-je y aller ? C’est que les discussions haut placer ne sont pas ce que je préfère. » Une touche d’humour signer Graeme Emrys Reinhaart pour vous la grosse dame.

La jeune femme ne comprenait pas les « vous transmettrez à votre père ». Elle détestait transmettre, elle n’était pas un hibou. Elle déteste être un faire valoir, elle ne comprenait pas pourquoi cette vieille harpie était si gentille avec elle, elle ne comprenait pas du tout. Cela se savait de notoriété publique que Ysolde Wilkes était une bâtarde de sang mêlé, et qu’elle n’habitait plus chez son père, alors elle ne comprenait pas l’intérêt d’Ombrage pour elle, elle en comprenait vraiment pas. Ysolde était totalement hors d’elle, et en même temps elle n’avait pas envie d’avoir Ombrage contre elle. on dit toujours qu’il faut savoir être proche des gens hauts placer. Ombrage était odieuse avec Graeme, et adorable avec Ysolde, décidément elle ne comprenait pas. «Puis-je y aller ? C’est que les discussions au placer ne sont pas ce que je préfère. » La jeune femme regard Graeme, c’était… bizarre. Il provoquait la vieille sorcière en rose. « les discussions haut placé », il parlait d’elle et Ombrage. C’était un air de dire que… qu’Ysolde était heureuse d’etre favorisé, il semblait la mettre dans le même panier que la vieille bique. Elle fixa Graeme, incapable de dire quoi que ce soit. « Mr Reinhaart, n'agravez pas votre cas, et taisez-vous je vous prie. » Ombrage ne se prenait pas pour n’importe qui, elle prenait Graeme de tellement de haut qu’Ysolde en avait mal pour lui. Elle était puante cette femme, littéralement puante. Ysolde n’arrivait pas à s’imposer face à Ombrage, elle n’y arrivait pas du tout. Elle se battait avec elle-même, à savoir si elle se battait ou si elle capitulait, elle n’avait pas la force de Graeme, elle n’avait pas le courage de faire face et de se battre sur plusieurs fronts. Oui, plusieurs front, elle avait Amadeus Black à contrer et il était particulièrement violent comme homme, et stupide et rusé à la fois. La jeune femme ne pouvait pas se battre contre lui, et contre la vieille en même temps. Ombrage fit signe à l’autre de partir, et toisa une nouvelle fois Graeme, et rétorqua froidement : « Vous recevrez une note Mr Reinhaart en correction de votre insubordination, et de votre insolence, ça ne sera pas avec le concierge que vous l’effectuerez, mais dans mon bureau, je vous communiquerais l’heure. Retournez immédiatement dans votre dortoir, et changer vous, vous faites honte à Poudlard. » La vieille bique le toisa de nouveau, adressa ensuite un doux sourire à Ysolde, qui jusuqu’ici était restée totalement muette, incapable de parler d’avantage. La sorcière s’en alla, tournant les talons. Son insuportable parfum nauséabond lui ne disparut pas aussi vite que sa porteuse, loin de là. Une fois qu’elle fut partie, Ysolde reste « muette », elle fixait Graeme, détournant de temps à autres les yeux. « Graeme, je… » Elle ne trouvait pas les mots. La jeune femme fit un pas vers lui, pour saisir sa main, elle n’arrivait pas à parler. Elle devait être franche : Ombrage lui faisait peur d’une certaine manière, elle avait le pouvoir de faire de sa vie encore plus un enfer que c’était déjà le cas. Ysolde par exemple n’avait pas envie de retourner dans la salle commune qui pouvait être pleine à craquer, prête à recevoir les insultes dés qu’elle allait passer. Elle se mordit la lèvre et dit alors : « Je voulais dire quelque... j'ai pas pu, je suis désolé.» Elle s’en voulait mais, elle n’arrivait pas à voir comment les choses auraient pu se passer autrement, sa vie pouvait rapidement devenir plus qu’un enfer, déjà que c’était devenu un enfer, des fois elle se disait qu’elle n’aurait jamais dû revenir à Poudlard cette année, elle se disait qu’elle aurait du suivre les traces de sa mère à Beauxbâtons.

« Mr Reinhaart, n'agravez pas votre cas, et taisez-vous je vous prie. » La provocation chez Graeme, ce n’était pas souvent ou alors il fallait vraiment une bonne raison pour faire face à ça. Personne n’avait déjà vu le Reinhaart répondre à un professeur mais encore moins à quelqu’un qui était envoyer par le ministère, mais il trouvait cela tellement répugnant de faire un nouveau règlement, de noyé encore plus les nés moldu qui n’avait rien demander à l’évidence. D’ailleurs, la nouvelle règle qu’avait faite cette grosse dame concernant les nés moldus qui ne pouvait pas trainer seuls dans les couloirs sans professeur c’était vraiment… Gamin. Le jeune Reinhaart ne riposta pas de nouveau, il préférait laisser la grosse dame faire ce dont elle avait à faire même si l’envie de ne pas se laisser faire était présente. Il n’avait jamais accepter le fait qu’on lui donne des ordres, il savait toujours ce dont il avait à faire mais cette fois-ci, il ne disait rien, préférant ne pas avoie de renvois pour pouvoir continuer ses études. Le jeune Reinhaart était là, présent même si aux yeux de cette dame rose, il n’y avait qu’elle et Ysolde, la Ysolde du blond. Il détestait les sourires que la grosse dame lui faisait, en faite, il détestait vraiment tout d’elle, il n’y avait pas qu’une seule chose qu’il n’aimait pas d’elle, il la détestait tout court, au point de vouloir se venger. C’est alors qu’Ombrage fit signe à l’étudiant de serpentard de partir, ce qu’il fit en regardant les deux jeunes avec une certaine peur. A deux on était toujours plus fort, c’était la loi. Ombrage regarda alors Graeme de haut en bas et parla froidement, ce qui n’avait pas drôlement changer de ses habitudes : «Vous recevrez une note Mr Reinhaart en correction de votre insubordination, et de votre insolence, ça ne sera pas avec le concierge que vous l’effectuerez, mais dans mon bureau, je vous communiquerais l’heure. Retournez immédiatement dans votre dortoir, et changer vous, vous faites honte à Poudlard. » Une retenue avec elle ? Dans son bureau ? Mais c’était vraiment n’importe quoi ! Et tout ça pourquoi ? Parce que Graeme avait provoquer celle-ci alors qu’elle m’aime n’aurait pas du se la ramener auprès des deux jeunes ! Le jeune Reinhaart n’eu même pas le temps de refuser de faire sa retenue que la grosse dame prit ses talons afin de partir. L’odeur qu’elle dégageait resta sur place pendant de nombreuses minutes. Graeme n’avait pas vraiment l’intention de faire cette retenue mais il le fallait bien, sinon, peut être que sa famille aurait des ennuis avec le ministère et ce n’était pas son intention, non loin de là. Si Graeme avait fait une erreur, s’était à lui d’assumer ses actes et ses erreurs pas à ses parents. Qui aurait tout fait pour protester naturellement mais le jeune blond n’en n’avait pas envie. «Graeme, je…» Voilà ce que venait de dire la serpentarde après avoir fixé pendant de longues minutes sans rien dire le Reinhaart. D’ailleurs, lui non plus n’avait rien à dire puisqu’il était rester sans mot en apprenant que sa retenue se passerait avec Ombrage. Il aurait préféré passé sa retenue à nettoyer les sols plutôt que de faire je ne sais quoi dans une salle. Sans si attendre, la blonde s’approcha du rouge et or afin de lui prendre la main. Ce qui laissa de marbre Graeme. Le silence apparut alors entre eux, le jeune Reinhaart n’avait rien à dire, surtout rien à lui dire. Ce qui était bien une première pour lui. La blonde regarda alors le blond afin de parler : «Je voulais dire quelque... j'ai pas pu, je suis désolé.» Etre désolé ne faisait pas tout, c’était bien l’une des choses que lui avait apprit sa mère et qu’il avait retenu. Le jeune Reinhaart était proche de sa mère, d’ailleurs, il ne se poserait même pas de question pour la protéger et quitter Poudlard si besoin pour elle. Le blond retira alors sa main de celle à la blonde pour enfin parler, ce qu’il n’avait pas fait depuis de longues minutes : «Tu devrais aller faire une douche et mettre des vêtements propres. Ca serait dommage d’être deux à faire honte à Poudlard.» Le jeune Reinhaart était froid, distant, ce qui changeait de la façon dont il était auparavant avec elle. Cela changeait bien de l’après midi qu’ils avaient passé ensembles. Le blond se mit alors à reculer en ne lâchant pas le regard de la blonde. «On se voit plus tard.» Graeme lui tourna alors le dos afin de partir en direction de sa salle commune. Il ne pu éviter le regard de la bande des serpentards qui ennuyait fortement sa blonde. Mais cette fois-ci, il n’adressa pas un mot, voulant se changer les idées au mieux en allant prendre une douche chaude.

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