Deux jours avant les vacances de noël, le froid avait fait son apparition mais pas la neige. C'était dommage. Le jeune Reinhaart aimait la neige, il aimait le froid mais la neige encore plus. Quand il était plus jeune, il appréciait faire des batailles de boules de neige dans le parc du château ou bien d'aller marcher sur le lac à l'extérieur du château. Dans ses moments-là, tout le monde sans fichait d'être de serpentarde, de gryffondor ou bien encore serdaigle et poufsouffle. Seulement cette année, plus personne ne prenait le temps de s'amuser, de prendre du bon temps. Avant, des soirées était organiser pour donner un peu de couleur au château, cette année, il ne fallait pas être plus de trois ou alors le cauchemar c'est à dire Ombrage faisait son apparition. Il ne restait que deux petits jours, en ce moment le jeune Reinhaart comptait les jours, il était pressé de revoir ses parents, sa famille, de faire comme tout le monde, passé un noël autour d'une table, à attendre que la dinde soit prête avec comme boisson du lait de poule. La famille Reinhaart était très famille, c'était toujours la famille avant tout et c'était à chaque fois un bonheur pour le rouge et or de voir toute sa famille avec des visages souriant. En ce moment, le jeune homme n'avait pas vraiment l'idée de partir sans savoir pourquoi, Ysolde, de nouveau sa petite amie, était distante. Plus les jours passait, plus ils se parlaient moins. Sois parce que la blonde ne parlait pas alors le blond partait lire un bouquin dans la salle commune des gryffondors, soit parce que aucun des deux jeunes ne parlaient. Depuis leur première rupture, tout était différent, comme si la serpentarde pensait encore à Reagan Goyle, celle qui était la responsable de leur rupture. Depuis quelque jours, de nouveau le couple Ys-Grae était de retour à Poudlard, ce qui au passage déplaisait à Reagan qui avait cru avoir obtenu la victoire. Seulement Reagan était tellement bernée par la victoire, le pouvoir, la gloire éternel qu'elle ne pouvait même plus être observer par les autres. Le jeune Reinhaart avait toujours eu de yeux pour la blonde même quand il était encore bon ami avec Samwell Potter. Encore une amitié qui était partit en fumée. Mais cette fois-ci ce n'était pas une question de sang mais plutôt une question de pacte entre ami à propos d'une demoiselle du château. C'est à dire Ysolde. Le rouge et or n'avait fait qu'écouter son cœur mais cela était interdit. Il s'était dit qu'heureusement ce n'était pas un serment inviolable qu'il avait fait avec Samwell, sinon le jeune Reinhaart n'aurait pas vécu jusqu'ici. Mais Graeme n'était pas fou, du moins pas à ce point. Ce matin, le jeune Reinhaart fit les choses à son habitude, c'est à dire, de prendre une douche, de s'habiller sans oublier de bien serrer sa cravate et de mettre sa chemise dans le pantalon puis d'aller descendre dans la grande salle afin d'aller déjeuner en compagnie des autres étudiants de gryffondor. Ensuite, c'est en direction de la salle de cours que le jeune Reinhaart rejoigna la blonde. Deux heures de cours passèrent, c'est à la fin du cour que le jeune Reinhaart alla en direction des deux prochains cours avant de manger. Pendant le cours, le jeune Reinhaart tourna la tête en arrière en direction de la serpentarde, aucun signe, aucun signe. Bon et bien ça c'était fait. Quand les deux heures finirent, le jeune homme se précipita de sortir de la salle afin d'attendre la blonde à la porte. Les autres étudiants sortirent tous un après l'autre en direction de la grande salle afin de déjeuner. Le rouge et or appuyer contre le mur froid regarda la serpentarde sortir de la salle. « Il est où le problème ? » Le jeune homme se remit alors droit et fit quelque pas en direction de la serpentarde. « Ton changement de comportement, il est du à quoi ?! » Le jeune homme regarda la blonde dans les yeux, un regard inhabituel qu'il lui adressait auparavant, même le son de sa voix n'était pas habituel. Sa voix était froide, très froide. Le jeune Reinhaart détestait ses moments de distance. Il savait bien que quelque chose clochait, que quelque chose n'allait pas mais quoi ? Voilà la question à laquelle il aurait voulut une réponse. En faite, cela prenait la tête au rouge et or qui avait bien autre chose à pensé. Il restait deux simples jours. Tout aurait pu très bien se passé. Mais non, il avait fallut que la blonde prenne ses distances envers le blond. « Je te ferais dire que j’attends une réponse Ysolde ! » Un regard dur, un visage froid pour une première. Le rouge et or était réellement sérieux. Il ne plaisantait pas. Encore fallait-il que la blonde sans aperçoive elle-même. Ce qui serait difficile.

Ysolde était un bout de femme assez têtue, pire que têtue, totalement rancunier. Totalement. Elle avait une bonne mémoire, oui, même une très très bonne mémoire. Elle était une jeune femme très très rancunière, il ne fallait pas s’amuser à lui chercher des noises, elle était prête à vous rendre la monnaie de votre pièce, il fallait que Black et sa bande de crétin de sang pur de Neandertal s’en rendent compte. Ensuite, elle était rancunière quand on la trahissait ou quand on commençait à se jouer d’elle. Elle ne supportait pas la trahison, elle ne supportait du tout d’être trahie. Elle était donc de nature méfiante, de nature assez prudente, et de nature très rancunière, encore une fois. La jeune femme en voulait à Graeme, toujours, pour Reagan, et le fait qu’il ne l’avait pas repousser, elle ne pouvait s’empêcher de penser qu’il allait finir par la trahir un jour. La jeune femme était de nouveau avec Graeme, mais pour rien au monde elle ne changerait ses habitudes en cours. Non. elle n’allait pas discute pour autant, la jeune femme était assisude en classe, elle était terriblement assidue, elle ne supportait pas qu’on lui parle sauf si cela avait un rapport direct avec le cours, et encore… elle était dur avec ses camarades. Graeme était le seul binôme qu’elle avait « autoriser » à parler, et elle l’avait fait parce que cela avait été nécessaire, un travail par exemple. Elle n’avait pas changé, non. elle était entré en cours et s’était assise à sa place habituelle, et de façon habituelle elle s’est plongé dans le cours. Elle n’était pas le genre de fille à faire des petits coucous, des sourires à son petit ami. Bon, si, un peu, de temps en temps, mais là, elle l’ignorait totalement préférant se concentrer sur son cours. Elle avait l’impression que c’était tendu entre elle et Graeme ces derniers temps, ils ne se parlaient pas très souvent, ils ne passaient pas tellement de temps ensemble. Elle passait le plus clair de son temps à la bibliothèque, oui, elle ne changeait pas.
Une fois le cours fini, elle mit un certain temps à ranger correctement ses affaires. Elle était précise, et elle n’était pas forcément pressée. Une fois son sac sur l’épaule, elle était plutôt de bonne humeur aujourd’hui, elle avait presque un sourire aux lèvres, elle sorti de la salle, quand une voix la sortie alors de ses pensées : « Il est où le problème ? » Graeme, après tout c’était normal qu’un petit ami attende sa petite amie à la sortie de cours. Sa voix était différente, ce dernier la fixait alors, et fit quelques pas dans la direction de la jeune femme. Sur le coup, elle ne comprenait pas ce ton, et encore moins le « problème » qu’il évoquait. Il ajouta alors en s’approchant d’elle : « Ton changement de comportement, il est du à quoi ?! » Plait-il ? Eut envie de demander la jeune femme. Elle ne voyait pas vraiment de quoi il parlait, elle ne se rendait pas vraiment compte de l’attitude qu’elle avait, pas vraiment, non. elle était de nature méfiante, alors cela faisait parti d’elle. Il la fixait dans les yeux, c’était assez inhabituel, vraiment. Sa voix était froide, vraiment, vraiment froide. Il ajouta alors, le visage dur, la voix dure : « Je te ferais dire que j’attends une réponse Ysolde ! » Il était dur avec elle. Ysolde était un peu « sonné », venant de lui c’était bizarre, vraiment.

« Pardon ? » Demanda-t-elle alors avec une voix peu assurée. Elle ne comprenait pas vraiment. Quand il évoqua son comportement, elle réalisa que peut être elle avait été un peu distante ces derniers temps. Oui, peut être un peu. « De quoi tu parle ? » Elle avait une voix peu assuré. Ysolde était moins forte qu’il y paraissait. Oui, elle avait quelques faiblesses, mine de rien. elle sentait qu’elle avait été distante, mais est ce qu’il parlait de cela ? Sans doute. Elle n’avait pas vraiment réaliser qu’elle avait changer de comportement. Elle dit alors, vraiment, vraiment, vraiment peu sûr d’elle : « Je... j'ai pas l'impression d'avoir changé. » La jeune femme remit alors son sac sur son épaule. Elle était calme, pour une fois, ce n’était pas elle qui s’énervait, c’était elle qui baissait les yeux. Elle savait bien qu’elle avait changer d’attitude, mais n’avait pas forcément envie de s’en expliquer.

Le regard du jeune homme était dans celui du regard perdu de la blonde. Mais où avait-elle la tête en ce moment ? Pas dans les étoiles en tout cas car elle savait être présente mais seulement quand elle le voulait. Cette situation était dur, dur mais également incompréhensible. Le couple Ysolde-Graeme était de nouveau ensembles après cette lourde rupture à cause de Reagan Goyle, fille d'une famille de sang pur, qui a toujours eu l'aimabiliter d'attérire dans la maison de Salazard Serpentard. Tout avait pourtant bien commencer, avec elle, il se sentait quelqu'un de meilleur mais il se sentait également bien même très bien, seulement cela n'avait été que de courte duré pour lui. Reagan avait fait son apparition, elle était devenue le nouveau binôme de Graeme, alors que celui-ci avait prit l'habitude d'avoir Ysolde en ce poste. Aujourd'hui tout était bien différent de l'époque des rires et des farces des deux jeunes. On était bien loin de tout ça. Aujourd'hui, nous étions à l'époque des regards froids, nous étions également à l'époque ou ni lui ni elle ne s'adressait un quelqu'onc mot. Tout était bien différent et il fallait être vraiment aveugle pour ne pas sans apercevoir. D'ailleurs le jeune homme accosta la blonde des sa sortie de classe. Il avait réussit à patienté pendant toute l'heure jusqu'à maintenant. A présent c'était carte sur table pour mettre les choses aux clairs. En ce moment, il n'y avait que ça dans la vie du jeune Reinhaart. Hier il avait mit les choses aux clairs avec son ancien camarade fraternel Samwelle Potter et aujourd'hui c'était avec sa petite amie que rien n'allait. Plus rien n'allait en ce moment. Il avait hâte que les vacances arrivent. « Pardon ? » La voix de la blonde était profonde, qui dit profonde dit éperdument perdu. Rien que de savoir cela, ça ne rendait que le jeune Reinhaart encore plus énerver. D'un coté il se disait qu'il devait mettre les choses aux clairs maintenant avant que tout cela ne dérape et que ça ne finisse comme avec Samwell quand une simple rupture mais cette fois-ci pas amical du tout mais une rupture de couple à nouveau. « Ouais c'est à toi que je m'adresse Ysolde ! » Le jeune homme se demandait comment il en était arriver à ce point avec la blonde. Avant tout allait bien, on aurait même dit qu'il complétait la blonde et que la serpentarde le complétait. Auparavant, c'était elle et lui, c'était eux contre le reste du monde. A deux, le jeune homme s'était sentit plus défendant, plus captivant car il protégeait sa blonde et tout le monde le voyait faire et donc, les autres étudiants voyait bien qu'Ysolde n'était pas qu'une simple victime sans défense même après toute ses années. A deux tout le monde le savait, à deux nous étions tous plus fort, même scientifiquement s'était prouver. « De quoi tu parle ? » De quoi parlait-il ? Le prenait-elle pour un idiot ? Ou bien pire que ça encore ! Il ne fallait pas qu'Ysolde joue avec les nerfs du jeune homme car c'était déjà à une température assez chaude que le jeune homme chauffait. Le regard froid percutait celui perdu de la blonde. Cette situation était vraiment quelque chose de répétitive en ce moment. Parfois le jeune Reinhaart préférait même partir en direction de la volière afin de voir les hiboux qui eux, faisait du bruit à leurs façons, mais au point il parlait tandit que la blonde adressait peu la parole au jeune homme. « De quoi je parle ? Je parle de la distance que tu met entre nous ! Je parle de ta voix qui ne m'adresse aucun mot donc aucun son ! Je parle de tout ce qui te rend différente aujourd'hui ! Et qui m'agace réellement ! » Le jeune homme se mit alors à serrer les poings tout en commençant à réellement s'énerver. Il était impulsif et personne au château, à part les serpentards ne l'avait vu réellement énerver. Seulement cette fois-ci, c'était la goûte d'eau qui débordait d'un long très long fleuve. Le rouge et or ne comprenait pas les réactions de la blonde, elle était comme une inconnue qui avait prit place dans le corps de sa blonde. Sa blonde bordel. « Je... j'ai pas l'impression d'avoir changé. » Elle n'avait pas l’impression ? Mais était-elle vraiment stupide et aveugle pour ne rien voir ! Cette fois-ci sans était trop pour le jeune Reinhaart, les regards il sans fichait bien, les autres étudiants autour, il sans fichait bien. Il se fichait bien des professeurs ou bien même de la grosse dame qui aurait pu venir d'un coup dans les parages. Il se fichait de tout sauf de cette situation qui le travaillait le jour comme la nuit. « Ah ouais ta pas l'impression. Même un simple aveugle aurait aperçu que tu as changée, même un simple sourd aurait entendu que tu ne m'adresse plus un seul mot ! Même un simple dragon aurait comprit que plus ne va entre nous ! Même un simple idiot aurait comprit que tu as réellement changer. Et pas en bien. » Le jeune homme était sincère. Qui à part lui et les proches d'Ysolde aurait pu remarquer qu'elle avait le regard fuyant, d'ailleurs celle-ci baissa les yeux, chose qui énerva encore plus le blond. « Regarde moi Ysolde. Je n'appréci pas qu'on ne me regarde pas quand je parle. C'est une base de politesse. Y t'arrive quoi soudainement ?! Pourquoi un tel comportement?! » Le jeune homme marqua une pause afin de reprendre sa respiration puis il reprit froidement : « J’attends une réponse. »

« Ouais c'est à toi que je m'adresse Ysolde ! »Il ne lui avait jamais parlé sur ce ton. Même quand ils s’étaient disputé et qu’ils avaient rompu, il ne lui avait pas parler de la sorte, même après le clash dans les vestiaires, ils ne s’étaient pas adressé la parole de cette façon. Il était vraiment agressif, elle ne l’avait jamais vu comme ça. Pire que ça, c’était effrayant. Mais la question était : comment ils en étaient arrivés là ? Ysolde connaissait la réponse à cette question et se réduisait à un prénom : Reagan. Cette garce avait tout foutu en l’air, dés qu’elle avait commencé autours de lui, leur couple avait commencé à se disloquer, purement et simplement. Elle savait que c’était la faute à cette garce, elle avait beau essayer de dépasser cela… elle n’y arrivait pas. Non, elle n’y arrivait pas. « De quoi je parle ? Je parle de la distance que tu met entre nous ! Je parle de ta voix qui ne m'adresse aucun mot donc aucun son ! Je parle de tout ce qui te rend différente aujourd'hui ! Et qui m'agace réellement ! » Il était vraiment, vraiment, vraiment énervé, Ysolde le vit alors serrer ses poings. Il semblait tellement énervé, tellement. Cela l’agaçait qu’elle ne lui parle plus ? Peut être qu’au fond elle n’avait plus rien à lui dire. depuis qu’ils avaient rompu, depuis que Reagan était entré dans leu vie : elle n’avait vraiment, vraiment plus rien à lui dire. que voulait-il qu’elle dise ? « Oh, il fait pas beau, j’ai froid, et je vais aller me coucher ? » même pas en rêve. Quand Ysolde avait la rancune, elle était muette comme une carpe. Elle était différente, oui, mais les gens ont tendance à changer. Si elle ne parlait pas, lui non plus. Elle rétorqua alors, un peu froidement, sur la défensive : « Parce que toi tu me parles peut être ?! » Elle était exaspérée par son comportement vraiment. Elle détourna le regard, quand elle était sur les nefs c’était ce qu’elle faisait. Et là, il était entrain de l’énerver, vraiment. Il la croyait changé ? Il ne l’avait encore jamais vu énervé, il ne l’avait encore jamais vu méchante. Dans le couloir, l’autre jour, ce n’était rien. il dit alors, continuant sur la voie de l’énervement : « Ah ouais ta pas l'impression. Même un simple aveugle aurait aperçu que tu as changée, même un simple sourd aurait entendu que tu ne m'adresse plus un seul mot ! Même un simple dragon aurait comprit que plus ne va entre nous ! Même un simple idiot aurait comprit que tu as réellement changer. Et pas en bien. » Il ne fallait pas être un expert pour comprendre que rien n’allait entre eux. Et il insultait les dragons qui étaient sans doute plus intelligent que lui. Oui, elle avait changé, oui, rien n’allait entre eux, et c’était maintenant qu’il s’en rendait compte ? Et dire qu’elle s’était remise avec lui parce qu’elle l’aimait, elle ne comprenait pas son attitude, ni ce qui leur arrivait. En fait, elle avait perdu confiance en lui, elle ne lui parlait plus, lui non plus. Elle avait le regard fuyant quand il dit alors : « Regarde moi Ysolde. Je n'apprécie pas qu'on ne me regarde pas quand je parle. C'est une base de politesse. Y t'arrive quoi soudainement ?! Pourquoi un tel comportement?! » Un silence, elle leva faiblement les yeux vers lui quand il ajouta froidement : « J’attends une réponse. »Il était tellement froid, tellement cassant. Avec cette voix, et cette attitude, il lui rappelait tellement Ulysse, et ce n’était pas un compliment, loin de là.

« c’est bon, c’est bon je te regarde ! » Lâcha-t-elle très énervé, une voix cassante, même très très cassante. Elle le regardait, et lui jetait un regard énervée, presque noir, elle ne supportait pas qu'on lui parle sur ce ton. « Tu veux une réponse, tu veux une réponse, mais toi tu te remets jamais en question, non ?! » Ysolde avait de la répartie, c’était un fait avéré. Il suffisait d’en parler à Katniss la vélane pour le savoir, celle-ci en avait pris pour son grade suite à des insinuation foireuse de celle-ci. Ce n’était pas une semaine où il fallait chercher Ysolde, pas vraiment, non. « J’ai changé, oui, et alors ? T’as pas encore compris que j’étais lunatique, compliquée, caractérielle, non ? Tu croyais me connaitre mais finalement je crois que tu ne sais rien de moi. » Elle n’était pas cassante, elle était exaspéré, et n’avait pas haussé la voix. Elle avait de nouveau baisser les yeux, elle les releva finalement pour dire : « Si c'est tout ce que tu as a dire, okay. » Elle ne l’avait pas laissé parlé, et avait haussé les épaules. S’il était un temps soit peu intelligent, s’il la connaissait vraiment il savait que le problème était une fille nommée Reagan, une Ysolde peu confiante en elle, mais ça semblait définitivement lui passer au dessus de la tête, il n’avait l’air de ne penser qu’à sa petite personne, comme un certain Ulysse.

Le jeune homme respira profondément mais également tranquillement pour se calmer. Sans prendre à Ysolde comme ça, c'était bien la première fois et lui parler froidement il détestait sa mais aujourd'hui, la goûte avait déborder du grand fleuve. Auparavant, il aurait eu la patience de se calmer, il aurait prit sur lui seulement aujourd'hui, c'était impossible de prendre sur lui avec la situation du couple qui dérapait et qui n'était pas une situation bien bonne pour eux. Les deux jeunes étaient entrain de se déchirer devant tout le monde, dans peu de temps, tout le monde serait que plus n'allait entre eux. « Parce que toi tu me parles peut être ?! » La jeune femme en face du rouge et or était entrain de prendre de la voix. Le jeune homme regarda froidement la blonde, il savait très bien que lui même ne lui parlait pas, mais pourquoi parler quand la personne en face à la tête dans les étoiles, les pensées ailleurs, le regard fuyant. En ce moment, plus rien n'allait, entre les cours, entre la bataille qui était déclarer en Samwell et lui, entre Ysolde et lui. Rien n'allait, sans oublier Reagan et ses coup d’œil vers lui. « Je vais pas te parler alors que ce n'est qu'un mur que j'ai en face de moi ! » La serpentarde tourna le regard tandis que le blond continua de regarder la serpentarde. Bizarrement, les étudiants qui passèrent n'adressa que des vifs coups d’œil alors que beaucoup aurait voulut la peau d'Ysolde après les années de méchanceté qu'elle avait commise. Le jeune homme se calma petit à petit quand la blonde dit alors froidement mais également énerver : « c’est bon, c’est bon je te regarde ! » Au jeune Reinhaart, on lui avait toujours apprit de regarder la personne qui parlait, c'était un signe de politesse et étant donner qu'il était un jeune homme bien élevé il n'avait pas se problème. Seulement Ysolde avait le regard fuyant et Graeme n'aimait pas, pire il n'appréciait pas sa. « Tu veux une réponse, tu veux une réponse, mais toi tu te remets jamais en question, non ?! » Se remettre en question, Graeme l'avait fait plusieurs fois quand il avait perdu tout ce dont auquel il tenait. Il s'était remit en question quand il avait perdu Atlance et Elias, il s'était remit en question quand plus rien n'allait avec Ysolde et en ce moment il se remettait en question vis à vis de ce que lui avait dit Samwell. Etait-il réellement ce lâche que tout le monde pensait ? Elias lui avait dit également la même chose avant qu'il ne prenne la case sans camp pendant la bataille des sangs qui au passage ne l'avait pas regarder. Aujourd'hui c'était Samwell qui lui disait qu'il n'était qu'un lâche après avoir fait échec à leur pacte. Seulement Graeme avait toujours su écouter son propre avis, il avait toujours su faire face à son instinct et il avait écouter son cœur envers la serpentarde. Malheureusement, il avait perdu beaucoup en écoutant son cœur et son propre avis. Samwell avait été comme un membre de sa famille, aujourd'hui, il était devenu son pire ennemi. Le rouge et or avait décrocher aucun mot et aucun son que la serpentarde continua de parler alors énerver : « J’ai changé, oui, et alors ? T’as pas encore compris que j’étais lunatique, compliquée, caractérielle, non ? Tu croyais me connaitre mais finalement je crois que tu ne sais rien de moi. » Le jeune homme ne prononça pas un seul mot, de toute évidence, il n'avait même pas le temps de dire quoi que ce soit que la blonde reprit la parole afin de dire : « Si c'est tout ce que tu as a dire, okay. » Tout en disant cela, la blonde releva les yeux vers le rouge et or. Qui celui-ci n'avait plus rien à dire, pas parce qu’il n'en n'avait pas l'envie mais plutôt parce que cette situation l'énervait. D'un jour où l'autre, tout pouvait basculé et devenir un des jours les plus pourri de votre vie. Mais d'un jour où l'autre, Graeme pouvait faire face à une autre facette de lui, une facette plus dur sous les coups de blues, sous les coups de cafard mais également en ce remettant en question. « C'est bon ?! Ta finie-là ?! Depuis que Reagan a fait son apparition et qu'elle est la raison de notre rupture plus rien ne tourne en rond. » Soudain le jeune homme regarda la blonde dans les yeux et c'est alors qu'il comprit. Reagan, elle était la raison de beaucoup de chose. Depuis qu'elle collait Graeme, plus rien n'allait entre lui et Ysolde. « C'est donc elle la raison du pourquoi tu es distance et que tu es complètement paumée dans tes pensées ! » Le jeune homme regarda ailleurs, préférant pensé seul puis il dit alors froidement : « Je pensais que tu me faisais confiance. Décidément, la confiance et moi, ça fait deux. » Tout en disant cela, il avait remit le regard sur Ysolde, mais pas dans ses yeux, pas comme à la normalité, mais plutôt à coter. Ailleurs. Tout allait finir mal, très mal si cela continuait.

Ysolde en avait assez, rien n’allait dans sa foutu vie. Cela faisait un an que sa vie était une pure folie. Avant, elle avait eut une vie normale, elle avait eut une histoire parfaitement normale sauf à la fin avec Duncan, une histoire calme, posée. Depuis ses fiançailles avec Ulysse, toute sa vie était devenue étrange, voir un cauchemar parfois. Oui, elle avait commencé par perdre son frère, bien qu’elle ne veuille l’avouer, c’était un évènement qui lui avait fait beaucoup de mal, vraiment, surtout quand elle avait appris qu’Ulysse et les mangemorts avaient organisé ce qui s’était passé au bal de Noel. Oui, sa vie était devenue un cauchemar, elle avait recommencé a avoir des visions, à douter de sa famille, elle avait retrouvé la mémoire, s’était retrouvé à la rue, était devenue une battarde, avait perdu des amis, sa famille. Sa vie était une belle merde, avec Graeme elle pensait enfin en être sortie, mais non, pas du tout. « Je vais pas te parler alors que ce n'est qu'un mur que j'ai en face de moi ! » Un mur, avait-il seulement essayer de passer au-delà du mur ? Non. il n’avait meme pas essayer. Après, elle lui avait parlé, calmement, elle n’allait pas commencer à s’énerver tout de suite. C’était lui qui était présentement énerver, ils n’allaient pas s’y mettre à deux, sinon d’après la jeune femme cela allait réellement finir par un bain de sang, pire une rupture. Tout ça c’était la faute de cette foutue garce, cette foutue garce avait gâché leur relation. La vie d’Ysolde était un sacré bordel quand elle y pensait. Elle ne voulait plus entendre parler de cette sale blondasse de Katniss qui lui avait une lettre qui d’après la jolie Ysolde n’avait aucun sens, cette garce. Ysolde avait très peu d’amis sur qui compter, il lui restait Morgana, Alec, puis il lui restait sa tante, après tout était… différent. Elle avait l’impression qu’elle ne pouvait se confier à personne, à personne. « C'est bon ?! Ta finie-là ?! Depuis que Reagan a fait son apparition et qu'elle est la raison de notre rupture plus rien ne tourne en rond. » Oui, elle avait fini. Et il était doué pour comprendre quand il le voulait. Depuis leur rupture, rien n’était plu comme avant même s’ils avaient été proches l’un de l’autre dans la salle du miroir… rien n’était plus pareil. Elle ne lui faisait plus confiance… pas parce qu’elle ne voulait plus lui faire confiance, mais parce qu’Ysolde n’arrivait pas elle-même à se faire confiance… comment pouvait-elle faire confiance aux autres si elle ne croyait pas en elle ? Il la fixa et dit alors : « C'est donc elle la raison du pourquoi tu es distance et que tu es complètement paumée dans tes pensées ! » Il était brillant quand il s’y mettait. Il dit alors : « Je pensais que tu me faisais confiance. Décidément, la confiance et moi, ça fait deux. » « ça fait deux », cette phrase raisonna dans l’esprit de la jeune femme, cela sentait comme une nouvelle rupture. Elle se sentait mal. elle ne savait pas quoi lui réponde, non. « Est ce que tu as l'impression d'avoir essayé ne serait-ce qu'une seule fois de me parler ces derniers jours ? Tu n'as jamais vraiment essayé, jamais. » La voix de la jeune femme c’était serré. Elle le fixait. Elle aurait voulu lui parler ces derniers temps, elle n’était pas assez courageuse pour… pousser à la discussion, s’il avait ne serait-ce qu’essayer, ils auraient pu en parler, maintenant c’était… trop tard ? « Bravo Sherlock, tu as découvert l’objet de ma distance, bravo. » Sa voix était basse… sérrée, faible. Elle était « ironique », mais elle ne le faisait pas exprès. Elle était nerveuse, elle était perdue. il s’énervait sur elle, plus le temps passait, plus il ressemblait à Ulysse quand il s’énervait. « J’essaie. J’essaie de te faire confiance. » Elle détourna encore une fois le regard, et poussa un long soupire, et leva les yeux au ciel, passant sa main sous son œil comme si elle essuyait une larme, ou je ne sais quoi. Elle souffla… elle reprit alors : « Mais, j'y arrive pas. Comment je pourrais ? Je ne suis même pas capable de me faire confiance à moi, comment je pourrais avoir confiance en quelqu'un... ? » Elle souffla de nouveau et passa nerveusement une main dans ses cheveux. Elle regarda Graeme une poignée de secondes. Elle ajouta alors, « Je... je suis vraiment désolée de cette situation, je croyais que... » elle marqua une pause et ajouta alors : « Peut importe ce que je croyais. » Elle détourna les yeux et regarda dans le couloir. Elle avait probablement une mine de chien battu, mais peu importe. C’était l’heure du repas, et bizarrement, cela lui avait coupé l’appétit, vraiment.

Se déchiré, voilà ce qu'était entrain de faire les deux jeunes. Ils étaient entrain de se déchiré pour une raison qui n'était pas de leur faute. Reagan Goyle avait fait son apparition du jour au lendemain et elle avait été placée à la table du jeune Reinhaart qui celui-ci n'avait pas l'habitude d'avoir un autre binôme qu'Ysolde. Mais ce n'était pas tout, non loin de là, la serpentarde brune refaite de la tête aux pieds, suivait comme un chien le rouge et or qui plusieurs fois mais sans violence l'avait rejeter étant donner que celui-ci n'avait qu'un seul cœur et qu'il était destiné pour la serpentarde blonde. Auparavant, tout allait bien entre eux, il y avait eu cette attirance physique et chimique en même temps, il y avait eu l'attirance du caractère, tout était très bien jusqu'à ce qu'elle arrive et foute le doute à la serpentarde. D'ailleurs aujourd'hui, c'était vraiment la pire engueulade qu'il avait eu avec la blonde. « Est ce que tu as l'impression d'avoir essayé ne serait-ce qu'une seule fois de me parler ces derniers jours ? Tu n'as jamais vraiment essayé, jamais. » Il n'avait pas essayé, il le savait très bien mais s'il n'avait pas osé lui parler c'était parce qu'il avait été omnibulé par le regard fuyant de la blonde pendant ses derniers jours. En faite, tout cela ne les ressemblait pas, que ce soit le jeune Reinhaart ou bien la jeune Wilkes, cela ne ressemblait à aucun deux. Tout le monde à Poudlard les connaissait souriant, riant et même attacher l'un à l'autre. Aujourd'hui il n'y avait aucun contact, malheureusement. C'était comme si cette gonzesse avait tout changer, de A à Z, comme si plus rien ne les attachait comme avant. Le jeune homme fit un simple non de la tête pour répondre à la question posé par la serpentarde. Non il n'avait pas osé, il n'avait pas essayer mais cela l'aurait décourager encore plus. Soudain, le jeune homme conclut alors que la raison du pourquoi elle était distante était simplement Reagan Goyle et la réponse fut un succès : « Bravo Sherlock, tu as découvert l’objet de ma distance, bravo. » Face à cette réfflexion, le jeune homme ne pu s’empêché de sourire. Un peu d'humour sans le vouloir était pas mal. Ce n'est pas lui qui dirait non. De l'humour, il essayait dans mettre la plupart du temps sauf que ses temps-ci, ce n'était pas avec un moral aussi bas qu'il en mettrait. Mais il n'adressa pas la parole pour autant, au contraire il préférait laisser la blonde parler pour en savoir plus. Au moins il savait que c'était à propos de l'autre serpentarde. « J’essaie. J’essaie de te faire confiance. » Le jeune homme regarda alors la serpentarde. Si elle essayait de lui faire confiance, chose qu'elle aurait du faire avant connaissant le jeune Reinhaart. Pourquoi ne pas avoir confiance en lui ? Bon d'accord, il avait brisé la confiance son meilleur pote et des autres camarades qu'il avait simplement parce qu'il avait préféré écouter son cœur mais également écouter son instinct. Mais autrement avec elle, jamais il n'avait fait de faux pas, à part peut être le fait de ne pas avoir repoussé violemment Reagan. Seulement le jeune Reinhaart n'adressait aucun mot à cette serpentarde, il n'avait pas besoin de chien ou même de pot de colle. « Mais, j'y arrive pas. Comment je pourrais ? Je ne suis même pas capable de me faire confiance à moi, comment je pourrais avoir confiance en quelqu'un... ? » Premièrement ceci était le premier point du pourquoi elle n'avait pas confiance envers le rouge et or. Avoir confiance en soit, cela pouvait prendre du temps mais une fois qu'on se faisait confiance soit même, on pouvait faire confiance à de nombreuses personnes sans réellement en abuser. Avoir la confiance de quelqu'un, il fallait savoir avant tout que cela était précieux, il ne fallait pas perdre cette confiance. Graeme le savait, il avait perdu la confiance de son meilleur pote puis de d'autre étudiants avec qui il traînait auparavant. Le jeune homme regarda alors la blonde passer sa main dans ses cheveux. Si ça ne tenait cas lui et si il n'avait pas une fierté immense qu'il avait l'habitude de mettre de coter, il se serait rapprocher d'elle seulement, il ne voulait pas paraître faible, au contraire. La jeune femme regarda alors le rouge et or, très rapidement et dit alors : « Je... je suis vraiment désolée de cette situation, je croyais que... » Ysolde qui s'excusait et bien, la dernière fois également elle s'était excusé. D'un coter, c'était pas plus mal mais d'un autre coter non. Comme aurait dit son père, s'excuser c'est trop facile, on le peu fait sans réellement le penser. Le jeune homme se mit alors à regarder la blonde quand elle dit alors qu'elle croyait que... Que quoi ?! Soudain, un petit moment de silence qui ne faisait qu'apaisé le jeune homme. Puis la blonde ajouta : « Peut importe ce que je croyais. » Le jeune homme avait envie de savoir la suite, il était curieux, un grand curieux même. Ne pas savoir, il n'aimait pas sa, surtout que cela le laissait sur la faim. Le jeune homme s'approcha alors de la blonde, même si normalement il devrait recevoir une main volante vers la joue étant donner la façon dont il lui avait parler mais il sans fichait. Il remit alors doucement une mèche de cheveux en place de la blonde. « Ta crue que j'étais attiré par elle. Tes jalouse. » Un sourire aux coins des lèvres du jeune homme apparut alors puis il recula de trois pas et dit alors : « Je pense que les vacances de Noël nous aideras a y voir plus clair sur notre situation. » Leur situation n'était pas à la normalité et il le savait. Il préférait laisser le temps faire les choses plutôt que de les brusquer. Sa voix était revenue à la normalité et il était soudain plus calme. Mais il en voulait à Ysolde d'avoir été distante pendant des jours et des jours. Plus rien ne serait comme avant finalement. Il le savait très bien.

Elle n’aurait jamais cru qu’entre eux les choses se passeraient de la sorte, non. elle croyait avoir vu le pire des histoires qu’elle pouvait avoir avec Ulysse, ou même avec Duncan, pourtant, c’était à croire qu’en amour la jeune femme n’avait pas de chance. Sans le savoir, elle ressemblait à sa mère sur ce point, à croire que les filles Fayburn étaient maudite en amour… oui, sa mère avait eut des soucis en amour, et si elle avait épousé Ulysse comme son père l’aurait voulu, Ysolde aurait emprunté le même schéma que sa mère : mariage, bébé, femme au foyer, vie de couple malheureuse. C’était ce qui était arrivée à sa mère, elle n’avait pas été heureuse en amour, et visiblement, Ysolde empruntait le même chemin. Visiblement. Sa relation avec Duncan avait été un échec, parce que c’était un mauvais garçon, qui avait emprunté une très mauvaise voie. Il y avait eut Ulysse, le mauvais garçon qui avait choisi de suivre la voie de sa famille, et qui à la fin avait fini par sombrer dans le folie. Puis, il y avait Graeme, le plus normal de ses petits amis, mais… rien n’allait non plus. Le manque de confiance, c’était la cause de tout. Tout à coup, il s’approcha d’elle. Elle eut envie de reculer, elle ne savait pas ce qu’il voulait faire. Ysolde était de nature méfiante, après ce qu’elle avait vécu avec Ulysse, c’était humain. Après tout, elle s’était faite frapper physiquement donc, elle avait le droit d’être sur lé défensive ! Naturellement, il replaça une mèche de cheveux de la blonde, comme si de rie n’était. C’était un geste naturel, mais dans ce genre de situation c’était comme s’il essayait de noyer le poisson comme on dit, comme s’il essayait de faire comme si de rien n’était, ça n’avait rien à voir avec l’actuelle situation, quand il dit alors affichant étrangement un sourire : « Ta crue que j'étais attiré par elle. Tes jalouse. » Qu’est ce qui le faisait sourire ? Le fait qu’elle soit jalouse ? Ca le faisait rire ? Et bien, il était le seul à rire dans cette histoire, le seul. Pour la blonde, il n’y avait rien qui puisse faire sourire, rien. il recula alors de trois pas, et dit alors, d’une voix étrangement normale : « Je pense que les vacances de Noël nous aideras a y voir plus clair sur notre situation. » Une voix si normale pour une affirmation si… blessante. Il était si calme pour annoncer ce genre de chose. Une pause, il n’avait rien trouvé de mieux ? Pour la jeune femme une pause c’était comme si c’était déjà la fin. On se laisse du temps pour… pour penser. Autant rompre tout de suite pour la jeune femme, autant le faire tout de suite. Venant de lui ces mots l’avaient profondément blessé, oui, profondément. S’il avait su lui adresser la parole plus tôt… ils n’en seraient pas arrivés là. S’il l’avait vraiment connu, il aurait su qu’elle n’avait pas la confidence facile, ni même qu’elle ne se confiait pas facilement. S’ils se connaissaient vraiment, ils n’en seraient pas arrivés là. « Tu… tu es entrain de rompre avec moi. » Articula alors la jeune femme à mi-voix, c’était une affirmation pas une question. Elle avait baissé les yeux, tout à coup, elle sentait encore plus mal quand elle réalisa que oui, ils étaient entrain de rompre, même s’il lui parlait d’une « pause », cela revenait au même de toute façon. Ysolde ne s’était jamais faite jeté, c’était elle qui jetait et qui rompait la première, jamais le contraire, là, ça lui faisait mal. Elle préférait abandonné plus que d’être abandonné, sauf que cette fois, elle était la fille qui se faisait abandonné. Elle avait les yeux blessé, et elle ne pu retenir les larmes qui pointaient aux coins de ses yeux. C’était naturel, Ysolde détestait pleurer, pourtant cette fois, elle ne contrôlait rien. elle aussi fit un pas en arrière, et articula alors : « Je... Je... Je ne crois pas que cela pourra nous aider, visiblement il n'y a plus rien à faire. » Sa voix se serrait, elle agrippa son sac avec ses mains. Elle détourna le regard. Une pause, pour la jeune femme c’était pire qu’une rupture puisque… c’était se voiler la face. S’ils étaient fait pour être ensemble, ça aurait durée, s’ils avaient pour être ensemble, ils seraient bien ensemble. Ysolde l’aimait, et.. elle avait besoin de lui, même encore aujourd’hui, même quand elle était distante, sa présence lui faisait du bien, là, elle allait changé, c’était certain. « Je... Je... Salut. » Dit-elle a mi-voix. Elle ne lui adressa même pas un regard. Elle avait une boule dans la gorge, et elle se retenait pour laisser venir ses larmes, ses yeux étaient rouges mais, elle se retenait, elle passa près de lui et ne le regardait toujours pas pour poursuivre sa route dans le couloir, une fois dos à lui, elle fondit en larme.

Qui aurait cru, qu'un jour comme celui-ci, aurait mal fini dans un couloir encore. Les couloirs n'était pas pourtant un bon lieu pour s'embrouiller surtout quand Reagan Goyle n'était pas loin entrain d'admiré la scène qui se passait entre la serpentarde et le rouge et or. On les avait connus proche, on les avait connus comme le couple que personne n'aurait cru voir un jour, déjà quand tant que camarade, personne ne croyait à leur relation alors en tant que couple, c'était bien dur à croire et pourtant, ils avaient été ensembles. Le fait que ce soit Graeme qui prend le devant, c'était bien rare, seulement aujourd'hui, il en avait plus que marre de la savoir distante, de la voir avec le regard fuyant, qui pense à autre chose. Parfois, il se demandait si vraiment il était à la même hauteur d'onde qu'elle. Il savait qu'elle avait peur, qui n'aurait pas eu peur à vrai dire. L'année dernière Ysolde avait été frapper par son ex petit ami, d'ailleurs le jeune Reinhaart avait eu le sang chaud quand il avait retrouver la blonde les mains en sang. Il avait toujours été protecteur envers elle, toujours sauf qu'après tout, leur relation n'était plus amical, la serpentarde lui avait fait comprendre qu'elle pouvait se débrouiller seule, qu'il n'avait pas besoin d'être sans arrêt derrière son dos. Chose vrai au passage. « Tu… tu es entrain de rompre avec moi. » La voix de la serpentarde était faible, elle n'était plus aussi froide que tout à l'heure. Le jeune homme essayait de garder la tête sur les épaules même si cela n'était pas si facile. Prend le devant c'était bien quand une situation de couple ne faisait qu'aggraver les choses mais encore fallait-il être sur de ce que nous faisions. Le jeune Reinhaart ne voulait qu'une chose, que cela s'arrange, que la situation s'arrange, qu'il retrouve la femme dont il était tomber amoureux, seulement voilà, ses en grandissant que le monde change, lui même avait changer, sans doute pas en bien, mais il avait changer. Le jeune homme regarda alors la blonde et la seule chose qu'il pu lui dire fut : « En effet. » Le jeune Reinhaart était entrain de devenir un briseur de cœur. Il était entrain de briser le cœur de sa blonde, enfin de la serpentarde mais pour son bien. Il ne voulait plus souffrir comme il avait souffert lors de la rupture qu'il avait eu auparavant avec elle. Finalement il avait sans doute fait le mauvais choix en brisant et ne respectant pas le pacte qu'il avait eu avec Samwell. La serpentarde ne lui était pas destiné, c'était simple à le savoir, rien cas voir leur situation. Le jeune homme regarda alors la blonde baisser les yeux, une chose qui le fit sans vouloir, les larmes de la serpentarde avait l'air sincère. Puis elle dit alors après avoir reculer elle également : « Je... Je... Je ne crois pas que cela pourra nous aider, visiblement il n'y a plus rien à faire. » Plus rien à faire, c'était la phrase qui concluait le tout. Visiblement, les espoirs ne faisait pas vivre, ne faisait pas survivre mais cela faisait plutôt crever. Crever était un petit mot pour la sensation que cela faisait une rupture avec tout ses mots qui se baladait allant d'une oreille à une autre. Le jeune homme essaya toujours de garder la tête sur ses épaules, il fallait qu'il reste sans émotion, qu'il ne montre pas sa faiblesse. Il avait fait la même chose quand les rôles avait été inverser et que s'était la serpentarde qui avait mit fin à leur relation. Sauf que cette fois-ci, c'était le rouge et or. Le jeune homme reprit alors sa voix froide et dit alors : « Visiblement ouais. » Ne rien laisser paraître, il était le meilleur pour sa. A l'intérieur, c'était son propre cœur qui se brisait, à chaque parole qu'il lui adressait, son cœur se déchirait, comme si tout était réellement fini. C'était la seule solution qu'il avait trouver afin qu'Ysolde comprenne ce qu'elle avait fait. Évidement que cela n'était pas la meilleure mais si elle pouvait être efficace alors cela serait le mieux pour eux. « Je... Je... Salut. » La voix de la serpentarde était bizarre. Bizarrement cela ne rassurait pas le rouge et or qui croyait avoir prit la bonne solution pour pouvoir dormir la nuit tranquillement mais il pensait également avoir choisit cette solution pour que ça aille mieux entre mieux. Seulement il savait que dans un jour ou deux il sans voudrait mais il n'irait pas la rejoindre, non, trop de fierté. Soudain, il regarda la blonde partir, il ne dit pas un mot, préférant ne pas faire de geste qui pourrait tromper le mal qu'il ressentait à cet instant. Jusqu'à ce qu'il entend derrière lui, une voix : « Ta bien fait, elle n'en vaut pas la peine. » La voix de derrière fit alors face devant jusqu'à ce qu'il aperçoit Reagan Goyle. La gonzesse qui avait causer tout ses problèmes. Le rouge et or essaya d'éviter la tête de la serpentarde pour pouvoir regarder la blonde qui s'éloignait au loin. La brune prit de nouveau alors la parole : « Tu vaux mieux que ça. » Le jeune homme prit alors la serpentarde par les deux bras et la poussa sur le coter violemment puis lui dit alors froidement : « Et toi tu ne vaux rien. Tu fais pitié ! » Le jeune homme se mit alors à la poursuite de la blonde, de son ancienne blonde. Les étudiants allait tous en direction de la grande salle, ce qui bloqua le rouge et or pour passé qui n'hésita pas à bousculé ceux-ci afin de se faire un passage jusqu'à reconnaître de dos la blonde. Qui ne reconnaîtrait pas une chevelure comme la sienne. « Ysolde attend ! » La serpentarde ne s'arrêta pas en échange, il fallait bien sans douter. Il continua alors son chemin jusqu'à finir en face de la blonde et posa sa main sur l'épaule de celle-ci. « Je tiens à toi mais j'ai pas envie de tout gâché. J'ai fais de nombreuses erreurs et c'est maintenant que je m'en aperçois. Je n'ai pas envie dans commettre d'autre. » Il avait fait beaucoup beaucoup trop d'erreur, des erreurs qui était les unes plus grosses que les autres. Le rouge et or regarda alors la blonde dans les yeux.

Il était entrain de rompre avec elle. Elle n’avait jamais laissé quelqu’un rompre avec elle, c’était toujours elle qui avait choisi de rompre et parfois même quand l’autre personne ne s’y attendait pas. Les choses n’allaient pas forcément bien entre eux mais… elle y croyait, enfin… encore un peu, enfin… avant cet instant. Avec Duncan, c’était elle qui avait répondu dés lors qu’elle avait appris ce qu’il avait fait, oui, elle avait pris les devant, elle n’allait tout de même pas l’attendre. Avec Ulysse, c’était elle qui lui avait jeté sa bague de fiançailles à la figure, et le foutu collier des cinglés de Lestrange, c’était elle qui avait reçu des coups à cause de cela d’ailleurs, mais elle l’avait fait elle-même, c’était elle qui avait rompu. « En effet. » C’était tout ce qu’il avait à dire ? C’était tout hein ? Il disait d’une tel façon que cela brisait d’avantage le cœur de la sorcière. Il avait l’air si… si briseur de cœur tout à coup, comme s’il aimait ça aussi, quand on en arrive à répondre « en effet » sur ce ton. Derrière ces mèches blondes, derrière l’uniforme de serpentarde, Ysolde était une fille assez fragile. Elle avait le cœur faible, parce qu’elle tombait facilement amoureuse, et parce qu’elle se brisait facilement le cœur, et là, avec cette phrase c’était encore pire. « Visiblement ouais. » Dit-il a propos du fait qu’il n’y avait probablement plus rien a faire. Là, il piétinait son cœur, il ne s’en rendait sans doute pas compte mais, même quand elle l’ignorait, chez Ysolde c’était le témoignage d’une certaine affection. Ysolde Wilkes qui avoue ses sentiments c’est… un exploit, et lui il brisait le cœur, pire il le piétinait, comme un vulgaire paillasson.
Elle lui dit alors un « salut » qu’elle eut beaucoup de mal à articula et tourna les talons. Dés qu’elle eut tourné les talons, elle fondit en larme, oui, totalement. Elle détestait pleurer, surtout dans un couloir. Pourtant, cette fois, elle ne pouvait retenir ses larmes c’était plus fort qu’elle. Cette fois, Black pourrait se moquer d’elle, se moquer d’elle, de son sang mêlé, etc. elle tenait la lanière de son sac avec ses mains, et elle marchait d’un pas décidé, bien décidé à s’éloigner de lui le plus possible, elle ne voulu plus avoir à faire avec lui. une voix lui dit alors : « Ysolde attend ! » Comme si elle allait s’arrêter, d’après elle, ils s’étaient tout dits, absolument tout dit. Elle n’avait rien à dire à la personne qui lui avait brisé le cœur. Il courra sans doute pour la rattraper et ce mis en face d’elle, et posa une main sur son épaule, et dit alors : « Je tiens à toi mais j'ai pas envie de tout gâché. J'ai fais de nombreuses erreurs et c'est maintenant que je m'en aperçois. Je n'ai pas envie dans commettre d'autre. » C’est tout ? c’est tout ce qu’il avait à dire. La jeune femme attrapa le bras du jeune homme et l’enleva de son épaule, et articula en reniflant en silence et en la fixant de ses yeux humides : « Ne me touche pas. » Sa voix était faible, mais qu’il ne s’avise pas de la retoucher, quand elle était en larmes, elle pouvait rapidement devenir odieuse, voir agressive. Elle le fixait, et secoua la tête, elle ne le comprenait pas du tout, c’était à croire qu’il ne savait pas ce qu’il voulait ! « Laisse-moi te poser une question : qu’est ce que tu veux vraiment, hein ?! » Elle le fixait. Oui, qu’est ce qu’il voulait, rompre, ou pas ? « Tu joue le dur, l’indifférent, et maintenant tu reviens ? » Quand elle pleurait, elle prenait son temps pour poser ses phrases, parce qu’elle était énervée à l’instant présent. Elle poursuivit alors : « A quoi tu joue ?! » Elle était exaspérée, vraiment, vraiment, vraiment. Elle poussa un soupire et passa une main dans ses cheveux et ajouta : « A quoi tu joue bordel ?! Un coup c’est oui, un coup c’est non, faut savoir Reinhaart. » Il changeait d’avis comme de chemise. Il lui brisait le cœur, et il lui disait l’instant d’après qu’il tenait à elle. Il fallait qu’il choisisse, elle avait finir par croire qu’il se jouait d’elle. Elle ajouta alors de la voix la plus froide qu’elle pu : « Je déteste qu’on joue avec moi. » Elle passa sa main sur ses yeux pour essayer de sécher ses larmes, elle n’avait plus envie de lui parler. Le pire c’était qu’elle l’avait appelé Reinhaart, pour prendre une distance, une vraie distance notable dont cette fois il pourrait vraiment vraiment se plaindre.

« Ne me touche pas. » Le bras du jeune homme fut repousser par la serpentarde. Chose qu'il comprenait. Il l'avait larguer, il l'avait larguer comme une merde et pas en tranquillité ou doucement, non il l'avait larguer brutalement, comme l'aurait fait un autre gars. Il pouvait comprendre la colère, il pouvait comprendre le dégoût, mais également la haine et la rancœur. Lui même l'avait ressentit quand il s'était prit la tête avec le jeune Potter dernièrement justement pour ses erreurs du passé qu'il avait commit. Il aurait voulut jamais devoir faire sa, mais il n'aurait jamais voulut voir la blonde pleurer. Il détestait la voir pleurer, vraiment, même s'il ne montrait pas ce qu'il ressentait, aucune émotion. « Laisse-moi te poser une question : qu’est ce que tu veux vraiment, hein ?! » La question du jour qui aurait pu le tuer sur place. Que voulait-il réellement ? Il scruta alors le visage de la serpentarde, il ne savait pas réellement, il ne pouvait pas répondre. C'était comme si il était bloquer pour un oui mais également pour un non. Rien ne pouvait réparé réellement les erreurs du passé qu'il avait effectué, rien ni personne sauf lui. Seulement en voulant réparé ses erreurs, il larguait Ysolde. Pourquoi devait-il faire un choix ? Chose qu'il ne comprenait pas, tout aurait été plus simple, enfin plus simple, c'était vite dit. Le regard d'Ysolde le rendait encore plus distant que quelques minutes auparavant. La serpentarde avait un regard de colère, elle aurait pu le bouffer sur place tellement la colère était présente. « Tu joue le dur, l’indifférent, et maintenant tu reviens ? » Elle avait tout comprit. Il faisait semblant de ne rien ressentir simplement pour ne pas avoir plus mal que maintenant. Il jouait l'indifférent pour ne pas avoir de remord par la suite mais qui a dit que même en faisant cela il n'en n'aurait pas ? Personne, il voulait simplement ne pas avoir plus mal que leur situation. La discussion aurait pu durée des heures, ils en seraient toujours au même point. C'est à dire la rupture. Si cela les calmait tous les deux, alors c'était tant mieux, autrement c'était ridicule. Mais qui était ridicule entre eux deux ? Graeme qui jouait l'indifférent, le dur pour ne pas avoir de remord plus tard et qui mettait fin à l'heure histoire ? Ou bien Ysolde qui avait été distante pendant des jours, qui ne lui avait pas adresser la parole quand ils étaient tous les deux et qui à présent pleurait de leur rupture ? A vrai, ils étaient tous les deux idiots, voilà pourquoi cela clochait. « A quoi tu joue ?! » A quoi jouait-il ? Mais il ne jouait pas. Il était entrain de mettre les choses au clair. Simplement parce que leur situation ne leur permettait plus de rester ensembles. Peut être que finalement, ça les arrangerait tous les deux ou bien qu'ils n'avaient rien à faire ensembles. Qui sait ? « A quoi tu joue bordel ?! Un coup c’est oui, un coup c’est non, faut savoir Reinhaart. » Reinhaart ? Le jeune homme resta de marbre quand la serpentarde l'appela par son nom de famille. Elle l'avait déjà appeler une fois par son nom de famille et cela lui faisait toujours une sensation bizarre, une mauvaise sensation. Le jeune homme regarda alors froidement la serpentarde et dit alors : « J'ai autre chose à foutre que de jouer avec toi Wilkes. » Comme ça c'était fait. Le jeune homme n'avait pas prit la parole depuis que la blonde avait enlever le bras du rouge et or qu'il avait positionné sur l'épaule de celle-ci. Le jeune homme continua de regarder froidement la serpentarde jusqu'à ce que la blonde lui dise également froidement : « Je déteste qu’on joue avec moi. » Le jeune homme se mit alors à sourire bêtement et se mit alors à frapper dans ses mains, ce qui fit mettre l'attention des étudiants sur eux. Le rouge et or ne s’aperçut de rien et dit alors à haute voix : « Formidable comme ça nous sommes deux. » La situation était bien loin de celle qui les avait accompagner auparavant. Celle-ci était bien différente, très différente même. Le rouge et or se mit alors à retrouver ses manches puis il regarda sa montre afin de dire : « Bon c'est pas le tout mais j'ai plus de temps à t'accorder. » Le jeune Reinhaart souriait, il souriait bêtement sans trop savoir pourquoi. Dans deux jours c'était les vacances de noël, cela lui changerait sûrement les idées et au moins, il pourrait boire du wisky pur feu à table pendant le repas de Noël en famille. A moins que la mère Reinhaart ne l'autorise cas boire de la bière au beurre. Il était pressé mais d'un autre coté. Poudlard c'était sans doute l'endroit où il se sentait le mieux, même si cette année, tout basculait du jour au lendemain.