Il faisait nuit, nous étions le soir de l’événement qui faisait parler le château. La rupture entre Graeme Reinhaart et Ysolde Wilkes. Tout le monde en parlait, comme la fameuse bagarre qu'avait eu Graeme opposé à Samwell dans la cabane des rouges et or. Dans les couloirs, tout le monde se souvenait de la façon dont le jeune homme avait osé parler à la serpentarde, tous avait été époustouflé par se courage que le rouge et or avait eu, alors que pendant le moment, il n'avait pensé cas la séparation pour ne plus souffrir. Finalement, au résultat, c'était encore pire. Pire sans elle. Nous étions au mois de décembre et il n'y avait toujours pas de neige, rien qui ne pouvait redonner le sourire au jeune homme, même son meilleur ami ne pouvait pas. Cette fois-ci, le jeune homme s’endormit vers les quatre heures du matin pour un levé à sept heures. La nuit fut dur, simplement à cause de la tempête qui envahissait l’Angleterre, entre la pluie et le vent. La nuit passa et le matin se leva. C'est à l'aube que le jeune Reinhaart se réveilla, restant pensif et sans voix. Il se débarrassa de ses draps rouge et noir et sortit alors de son lit. Tout le monde dormait dans un sommeil qui était sans doute profond sauf lui. Il n'avait plus sommeil et pourtant il avait dormit peu de temps. Les yeux explosés par la fatigue, cela se voyait comme son nez au milieu de son visage ou bien ses énormes lèvres dont il avait eu plusieurs remarque à ce sujet. Ses lèvres en disait long sur la façon dont il embrassait, c'est à dire bien sans vouloir se venter. Le jeune homme prit alors les vêtements qui lui fallait, c'est à dire sa chemise blanche, sa cravate rouge et jaune aux couleurs de la maison de Godryc Gryffondor, sa fierté et son pantalon noir non dé-laver. Puis il fila sous l'eau qui était froide, rien de meilleur pour se réveiller correctement. Il y passa exactement quinze minutes qui pour lui, lui paressait courtes mais pour ceux qui était derrière, longue. A la sortie de sa douche, il s'habilla correctement, sans oublier le détail de sa cravate, c'est à dire de bien la serrer. Il prit alors les bouquins qu'il avait besoin pour la matinée et alla en destination vers la salle de cours afin d'arriver en avance. Sans avoir prit le temps de déjeuner, ce qui fit que son ventre n'arrêta pas de grogné pendant les heures de cours de la matinée. Une fois l'heure du repas du midi, le jeune homme prit seulement une pomme à table et bu un verre d'eau, simplement d'eau et partit en direction du parc. Cette après midi, il n'avait pas cours, il en avait donc profiter pour faire passé un message à Ysolde, afin qu'elle puisse l'aider dans leur devoir de divination qu'il devait faire à deux. Avant, cela aurait été plus simple d'être à deux, dans une pièce banal, quasiment vide. Aujourd'hui, c'était difficile, trop difficile. Le jeune homme passa son après midi au parc, puis au lac puis au terrain de quidditch. Il marchait, marchait, tel un homme perdu dans ses pensées. Plus tard dans l'après midi, il retourna dans le dortoir des gryffondors afin de prendre son bonnet bleu pour traîner un peu plus dans le parc. Il était environ dix sept heure mais la nuit tomba rapidement et la température descendit également. Il marcha et continua sa route jusqu'à regarder l'heure sur sa montre. Il était dix sept trente, s'il ne partait pas maintenant, il serait en retard dans la salle vide où il avait rendez-vous, enfin rendez-vous, juste une aide pour un devoir banal, appeler divination. Chose qui ne servait à rien dans la vie. Il alla alors prendre ses bouquins et parchemin puis sa plume dont il avait besoin et marcha alors en direction de la salle vide. Arriver à destination, il frappa à la porte deux fois et entra tout en disant : « Désolé de mon retard, j'ai pas vu l'heure passé. » Graeme s'excusait de son retard mais pas de son comportement, ni même de la façon dont il avait lâcher lâchement la serpentarde. Même si son cœur la réclamait, il n'était pas capable de faire cet effort. Trop faible. Il se mit alors à table et ouvrit son vieux bouquin de divination. Il se mit alors à regarder son bouquin, n'ayant pas la force de regarder la blonde dans les yeux, ni même son visage. Graeme se souvenait avoir étudier la divination tranquillement à la bibliothèque mais seulement quand il en avait envie. C'est à dire à l'époque où les deux jeunes étaient encore ensembles. Le bon vieux temps quoi. Puis soudain, le jeune homme leva la tête vers la serpentarde et commença donc à prendre la parole : « Alors on commence par quoi ? » La divination et lui, cela faisait trois voir même quatre. Il ne comprenait rien à cette matière mais il faisait tout de même l'effort d'essayer de comprendre. Le jeune homme sortit alors ses lunettes de vue puis se mit alors à lire la page sur laquelle il était tomber. Une page banale. Comme la divination pensait-il.

Une rupture ce n’est jamais facile, surtout quand on s’appelle Ysolde Wilkes et qu’on a les nerfs sensibles, et le cœur fragile. Graeme Reinhaart avait rompu avec elle, et cela avait fait le tour du château. Les on dit allaient de bon train, Ysolde détestait les rumeurs, et la garce Reagan se chargeait bien de médire sur elle dés qu’elle le pouvait, oui cette garce alimentait bien la rumeur, Ysolde était prête à lui arracher les yeux quand elle croisait son regard. Cependant, Ysolde n’était pas suffisamment forte pour cela, elle avait passé une soirée à pleurer comme une madeleine dans les toilettes des dortoirs de serpentard. Oui, elle ne pouvait pas pleurer dans le dortoir, les gens allaient encore médire sur elle, au moins là, personne ne l’entendaient, et personne ne venait la faire chier, personne. Elle passait également son temps à la bibliothèque, et Alec essayait de la faire sortir un peu, en vain. Aujourd’hui elle avait reçu une lettre de Graeme, elle avait faillit ne pas la lire mais avec une certaine curiosité, elle l’avait ouverte, il voulaient qu’ils se voient pas pour… pas pour parler mais pour faire le devoir de divination qu’ils devaient absolument faire à deux. Cette perspective ne l’enchantait pas, ils avaient rompu, il ne voulait plus d’elle dans sa vie, être en sa présence ne rendait pas les choses faciles. Ysolde voulait faire de son mieux pour l’oublier, oui, elle ne voulait pas le revoir, il appartenait au passé, et elle devait avancer quoi qu’elle ressente pour lui. Elle avait passé la journée à lire dans le dortoir, l’après midi avait été libre. Elle avait voulu essayer de penser à autre chose et s’était surprise à lire un roman ce qui ne lui ressemblait pas du tout. Elle n’avait pas vu le temps passer en lisant un livre moldu contant une légende arthurienne. Elle avait vu l’heure et avait alors attrapé ses affaires de divination avec nonchalance, elle ne tenait pas du tout à y aller, non, elle ne voulait pas, mais elle tenait à avoir une bonne note, alors il fallait y aller. La salle du cinquième étage était toute désigné, même si Ysole aurait préféré un lien comme la bibliothèque, au moins les choses ne dégénèreraient pas dans un lieu public. Là, elle avait peur de s’emporter, mais elle se retiendrait. Elle entra dans la salle il n’était pas là. La jeune femme poussa un soupire. Elle était habillé de son uniforme et elle avait lâché ses cheveux lisse, et la mèche qui habituellement sa frange étaient entortillé sur le côté. Elle s’assit au bureau, attendant, sortant deux gros livres de divination, du parchemin, une plume, et de l’encre. Ysolde était très organisé, c’était elle qui écrirait, premièrement parce que c’était elle la meilleure en divination et qu’elle aurait pu le faire seule, et deuxièmement parce qu’elle écrivait bien mieux que lui. la jeune femme détestait attendre, quand la porte fut poussé elle entendit alors : « Désolé de mon retard, j'ai pas vu l'heure passé. » Elle détestait les gens en retard, elle détestait ça. La jeune femme ne lui adressa même pas un regard, elle fixait son parchemin. Il ne méritait même pas un regard de la part de la jeune femme, quand on jette quelqu’un de la sorte, cette personne ne mériterait même pas de devoir partager un devoir avec. Pour Ysolde c’était une épreuve, et vivement que cela soit terminé, après elle ne se mettrait plus jamais en binome avec lui, plus jamais.« Alors on commence par quoi ? » Il poussa un soupire, et n’avait même pas relevé ses excuses. Elle dit alors à voix « basse », surtout lasse : « J'espère que tu as un peu étudier la questions, pour ma part j'ai emprunté un livre et j'ai mis es marque page à chaque fois qu'il y a quelque chose d'intéressant, tu devrais y jeter un coup d'oeil. » Elle fit glisser d’un geste sec le livre vers lui. elle était précise et organisée, c’était Ysolde Wilkes, ce n’était pas pour rien qu’elle était brillante. En tout cas, elle ne tenait pas son intelligence de son père, et visiblement pas de sa mère… étrange. Elle n’avait relevé les yeux vers lui qu’une poignée de secondes. Il était arrivé en retard, et du coup, il allait falloir que ça soit rapide, elle n’avait pas envie de s’éterniser avec lui. Ysolde était muette, et elle attrapa sa plume afin de commencer à rédiger, quand elle dit alors : « A moins que tu veuille écrire ? » Sa voix était sèche.

Faire un devoir de divination avec son ex petite amie, c'était sans doute ce qu'on vous demandait de plus dur à effectuer. Pas parce que vous vous en vouliez déjà assez d'avoir sans doute perdu la personne qui vous prenait tout votre temps libre et qui était très chère pour vous et qui représentait beaucoup à vos yeux. Non, le plus dur c'était de voir la haine et la colère de votre ex petite amie en face de vous, qui restait de marbre à votre venu. Évidement, il ne fallait pas s'attendre à un sourire qui montre toute les dents ou bien une voix agréable à entendre, non. Graeme était vraiment très mauvais en divination, pire, il pourrait très bien couler dans ses études à cause de cette matière et cela le préoccupait beaucoup. Il savait que si il échouait, le père Reinhaart ne serait plus aussi fier de son fils, il le savait, il le lui avait dit il y a un temps, le temps où le rouge et or sans fichait bien des études et qu'il ne voyait pas l'importance de ça. C'est à dire à sa troisième année à Poudlard. C'est en grandissant qu'il s'était rendu compte de l'importance et qu'il s'était mit au travail, un travail sérieux, d'ailleurs beaucoup de professeur lui avait demander pourquoi il n'avait pas altérit chez les serdaigles, la maison du travail, la maison qui aurait très bien pu lui aller comme son bonnet sur la tête qu'il avait enlever en entrant dans la pièce, par signe de politesse. Il fallait savoir que l'éducation du jeune homme avait très bien marcher. Ses parents avait effectuer une très bonne éducation envers leur fils. Cela se voyait d'ailleurs quand il était en dehors du château. Il ouvrait les portes aux demoiselles quand il était accompagner, il les laissait passé, il payait toujours l'addition au chaudron baveur, il préférait avoir froid en passant son pull à quelqu'un. Son paternel lui avait apprit la politesse, d'ailleurs il faisait exactement la même chose que son père. Tous les deux se ressemblait beaucoup, que ce soit caractèrement que physiquement, sauf que physiquement, le père Reinhaart avait les cheveux blanc mais il tenait bien la forme pour quelqu'un de son âge. Soudain, la voix de la serpentarde le remit directement à la réalité. Ce fichu devoir de divination. Il fallait vraiment qu'il soit fait pour ne pas que la serpentarde soit perdante sur ce coup-là. « J'espère que tu as un peu étudier la questions, pour ma part j'ai emprunté un livre et j'ai mis es marque page à chaque fois qu'il y a quelque chose d'intéressant, tu devrais y jeter un coup d'oeil. » Le livre arriva pile poil près des mains du rouge et or, qui des l'instant, n'hésita pas à regarder toutes les pages où il y avait un marque page. Des tonnes de pages, c'était le cas de le dire, des tonnes de pages qu'il fallait étudier. Le rouge et or était déjà rassasié de lire toutes les informations soit disant importante pour effectuer leur devoir. D'ailleurs, au passage, il se demandait bien comment la divination était arriver dans le monde de la magie. C'était bizarre, comment quelqu'un avait pu tomber sur ce truc qui ne devait servir à rien. Soudain le jeune homme se souvenu d'une chose que son grand père lui avait dit. « La divination, elle provient du pays de la Grèce. Tu sais, ce pays dont je t'avais parler au mois de septembre. Il l'utilisait l'haba, sauf que... Les moutons et les autres animaux y passait pour leurs pratiques. Les armées pensait quand cherchant le cœur et les poumons de l'animal, ils pourraient voir si une attaque allait se produire. » Le jeune Reinhaart était studieux quand il le voulait, c'est d'ailleurs ce qui lui donne tout son charme quand il parle. En faite, le rouge et or ne parlait jamais sans avoir quoi que ce soit à dire, il n'était pas le genre de mec à parler pour rien dire, surtout si c'était pour l'emprisonner ensuite dans ses belles paroles. Les études, il en savait un paquet sur ça mais la divination non. A croire que la présence de la serpentarde le rassurait et lui montait l’intelligence qu'il avait au cerveau. Soudain, la voix sèche de la serpentarde refit surface, non pas pour lui dire quoi que ce soit vis à vis de leur rupture mais pour le devoir. Bien sur, qu'elle idiot ce Reinhaart. « A moins que tu veuille écrire ? » Écrire, le rouge et or aimait sa, bizarrement il aimait sa, quand il y avait des parchemins à rendre, il en faisait des pages. D'après lui, écrire était une délivrance que personne ne croyait en sa facilité. Pourtant écrire c'était simple quand on ressentait une douleur en nous, une douleur que personne ne voyait, c'était le seul moyen que Graeme avait quand il ne pouvait pas sortir pour aller courir et traîner au terrain de quidditch. Le jeune homme répondit alors simplement : « Je veux bien, seulement j'écris moins vite que toi et je me doute que tu veuilles rester plus longtemps à mes côtés. » Chose qui était vrai au passage. Pour lui, la présence de la blonde le rassurait, étrangement cela le rassurait. Il avait sans doute fait la pire erreur de ses années à Poudlard, encore pire que de ne pas avoir respecter le pacte qu'il avait fait avec son meilleur pote. Le pacte, un sujet douloureux était donner qu'il ne l'avait pas respecter, peut être qu'il aurait du, peut être que non finalement, peut être qu'il avait bien fait les choses et que son ami c'était mal comporter en le mettant à part. Soudain, Graeme tourna la tête vers la serpentarde et dit alors : « Tu penses quand divination, les armées on du fait des pactes entre eux ? » Question stupide mais au moins, il parlait à quelqu'un qui était intelligente, intelligente et brillante à la fois.

La jeune femme pouvait être incroyablement froide quand elle le voulait, oui. c’était une vraie reine des Glaces, il parait qu’elle ne tenait pas sa de sa mère, elles étaient assez différentes l’unes de l’autre, elles n’étaient pas le même genre de femme, sa mère était plus le genre « garce », alors qu’Ysolde était plutôt du genre « normal » en couple. Elle ne collectionnait pas les petits amis, trois différents en quatre ans, c’était plutôt honnête comme histoire, non ? oui Ysolde était honnête, surtout quand elle était en couple, elle ne trompait pas, jamais. Tromper c’était une chose qu’elle ne comprenait pas, elle ne comprenait pas comment on pouvait faire cocu quelqu’un, ou même être cocu. Quand elle voyait certains couple à Poudlard, même certains époux – les Black crétin par exemple – elle ne comprenait pas comment on pouvait « s’aimer » - d’une façon forcée, certes – et se faire trompé sans y voir vraiment un inconvénient, les gens n’ont pas d’amour propre, c’est affreux. Si un jour Ulysse avait essayé de trompé Ysolde, celui-ci aurait été mort sur place, elle était vénéneuse parfois, mais bon, cela appartenait au passé, elle n’était plus en couple, elle était libre comme l’air un peu… déprimée, mais libre. Le célibat était étrange, mais vous savez une fille comme Ysolde ne reste pas bien longtemps seul, triste je ne dis pas mais seule… c’est une autre histoire.

C’est bien d’être célibataire, mais travailler avec son ex c’est… une mauvaise idée. Cependant, ils n’avaient pas eut le choix, le professeur n’avait rien voulu savoir des plaintes de la jeune femme quant au fait de travailler avec son. Plus vite ça serait fait, mieux elle se porterait, elle n’avait guère envie de s’éterniser de sa présence. L’ignorer c’était la meilleure solution, même si bon, ils allaient falloir qu’ils communiquent un peu pour pouvoir avancer. Il dit alors, semblant persuader que faire son intéressant serait une bonne idée : « La divination, elle provient du pays de la Grèce. Tu sais, ce pays dont je t'avais parler au mois de septembre. Il l'utilisait l'haba, sauf que... Les moutons et les autres animaux y passait pour leurs pratiques. Les armées pensait quand cherchant le cœur et les poumons de l'animal, ils pourraient voir si une attaque allait se produire. » C’est bien, il se souvenait du premier cours de divination lors de la troisième année, elle était « fière » de lui. bien sûr il s’agissait là d’une ironie profonde. « Il ne faut pas croire qu’a chaque fois il y avait sacrifice. » lâcha la jeune fille un peu lasse. C’était tellement réducteur. L’antiquité était la base de la divination, à chaque fois on ne zigouillait pas une pauvre bête. Elle poursuivit alors : « Il y avait les augure qui consistaient à lire dans le vol des oiseaux. Et bien d’autres. » Oui Ysolde en savait un rayon, et cela lui plaisait d’être intelligente. Elle ne tenait pas son intelligence de son père, et visiblement pas de sa mère qui à l’école tenait plus de la perturbatrice que sa la bonne élève. Ysolde s’était faite intelligente toute seule, entre guillemet. « Je veux bien, seulement j'écris moins vite que toi et je me doute que tu veuilles rester plus longtemps à mes côtés. » Bien, donc c’était elle qui écrirait. Le jeune homme avait vu juste : elle ne voulait pas passer du temps avec lui. personne ne passe du temps avec un ex. enfin, une personne normalement constitué ne passe pas du temps avec un ex surtout quand la rupture est aussi récente ! Alors, elle écrirait, parce qu’elle voulait que ça aille vite, et puis elle écrivait quand même mieux que lui. « Tu penses quand divination, les armées on du fait des pactes entre eux ? » C’était quoi cette question à la mord moi le nœud ? Franchement, qu’est ce que ça pouvait bien lui foutre qu’il y aient des pactes ou pas. Elle s’en fichait comme de la première dent d’un dragon. Forcément, il y avait des pactes entre les armés, cela s’appelait des Alliances, Sparte, Mycène, etc, contre Troie. Mais ysolde s’en fichait éperdument, éperdument. Elle articula alors, marmonant presque : « Bien, je vais écrire alors. » Elle était sèche, et lasse de cette foutue situation, la jeune femme commença alors à écrire le nom et prénom des deux participants, mettant bien sur le sien en premier. Elle était une vraie garce intello quand elle le voulait. Elle regarda alors Graeme avec un regard froid et dit alors au sujet de sa question à dormir dehors : « Qu'est ce que j'en sais moi ? Je sais qu'à l'antiquité, ils faisaient des alliances, par exemple pour la Guerre de Troie, le Roi Agamemnon, son frère Ménélas, ainsi qu'Achille et bien d'autre ont fait une alliance - la Coalition achéenne - une sorte de Pacte pour récupéré Hélène, et pour conquérir Troie, le Trésor du Roi Priam, mais sincèrement, qu'est ce qu'on en a a foutre. » Il ne fallait pas lancer la jeune femme sur un sujet, elle trouvait toujours le moyen d’en savoir plus que vous sur la question. Depuis toute petite, elle passait son temps plongé dans ls livres au grand damne et sa mère, mais aussi de son père qui n’avaient jamais compris la passion de la jeune femme pour les belles reliures et l’odeur d’un livre.

Ce devoir de divination il fallait à tout pris qu'il le réussit, son avenir en était en jeu, enfin ses études était en jeu, il ne voulait pas avoir de note aussi basse que les précédentes. Il avait essayé mais cela n'avait été sans grand succès et pourtant il avait envie de réussir, même l'envie de réussir dans cette matière qui était sans importance pour lui. Il avait essayé, c'était cas de le dire, de ressortir ce qu'il connaissait, montrer qu'il avait tout de même des restes de ses années précédentes effectué à Poudlard. En classe, le jeune Reinhaart avait toujours été présent, jamais il n'avait fait le perturbateur même si son humour attirait beaucoup pendant les heures de classe et le pire dans tout ça, c'est que la plupart du temps c'était sans le vouloir. S'il avait pu choisir d'être présent à ce devoir à deux ou ne pas l'être, il aurait choisit la casse de ne pas être là et d'aller parcourir le parc de nouveau ou bien même d'essayer d'aller à la bibliothèque sans les gonzesses sur le dos. Depuis que le château savait pour la réel rupture entre lui et la serpentarde, les autres gonzesses du château essayait d'avoir leurs chances. Avant la serpentarde, personne n'avait vu le rouge et or accompagner. A présent tout le monde pensait avoir une chance mais non. C'était non direct. « Il ne faut pas croire qu’a chaque fois il y avait sacrifice. » Le jeune homme leva la tête en direction de la serpentarde. Et dire qu'aujourd'hui, ils étaient rendu à se détester et ne plus pouvoir être dans la même pièce. En classe c'était différent, lui, il était au premier rang, normalement c'est le rang des premiers de la classe, seulement le jeune Reinhaart s'était mit là pour mieux retenir les choses à l'oral, c'était sa façon d'apprendre, l'oral. Quant à la serpentarde, elle était au juste milieu de la classe, pas trop derrière, ni trop devant, elle était mise à sa juste valeur. Le rouge et or écouta la blonde. Il aimait toujours en savoir plus, plus sur tout et sur rien en même temps, mais avoir de bonne connaissance. « Il y avait les augure qui consistaient à lire dans le vol des oiseaux. Et bien d’autres. » Lire dans le vol des oiseaux, c'était comme les Français qui regardait des oiseaux sur les lignes électrique pour savoir si demain il fera beau ou non. Le jeune homme était bien plus intéresser par la façon de faire des autres pays que sur la divination en elle même. Le jeune homme ne pu alors de s'empêcher de complimenter la serpentarde sur ses connaissances. « Tant sait un paquet de chose sur la divination. C'est beau à voir. » Non, il ne se fichait pas d'elle, au contraire, il fallait savoir qu'aujourd'hui la divination était la matière la plus détesté des étudiants au château et de voir que quelqu'un si attachait et en savait bien plus qu'il n'en fallait, c'était beau à voir comme venait de le dire le jeune Reinhaart. Le jeune homme repiqua alors la tête dans le livre de la serpentarde pour lire encore et encore. Malgré les lignes et les lignes écrites, il ne pu s'empêcher de s'intéresser à ce qui se passait autour de lui, c'est à dire à la blonde qui écrivait. On ne pouvait pas oublier du jour au lendemain tout ce qui avait été vécu, c'était impossible, sinon, tout serait plus facile, il n'y aurait aucune honte à venir dans la même pièce que sa petite amie. Graeme avait lu un livre un jour, un vieux bouquin qu'il avait trouver dans le grenier, il était remplit de poussières. Ce livre était le conte du sorcier au cœur velu. C'était un sorcier qui n'avait que de la haine, que de la colère et qui croyait que l'amour était une faiblesse. Pour ne pas souffrir, il avait enfermer son cœur à clés et pendant des années il ne fut jamais tomber amoureux, ce qui sécha son cœur et le rendu poilu. Un jour, il rencontra une femme, et il l'accompagna dans une pièce où était situer son cœur. Il se le remit pour montrer à la femme qu'il avait bien un cœur. Mais il tua la femme, tant son cœur était devenu sauvage. Il voulut prendre le cœur de la femme mais quelques secondes plus tard, devant les invités, il mourut. Tout ça pour dire que l'amour n'était pas une faiblesse et que ça en valait le coup. Sauf que le jeune Reinhaart avait tout fichu en l'air. C'était le cas de le dire. Un grand bordel dans sa vie à présent. « Qu'est ce que j'en sais moi ? Je sais qu'à l'antiquité, ils faisaient des alliances, par exemple pour la Guerre de Troie, le Roi Agamemnon, son frère Ménélas, ainsi qu'Achille et bien d'autre ont fait une alliance - la Coalition achéenne - une sorte de Pacte pour récupéré Hélène, et pour conquérir Troie, le Trésor du Roi Priam, mais sincèrement, qu'est ce qu'on en a a foutre. » Le rouge et or parler de pacte, il pensait bien qu'Ysolde n'était pas au courante du pacte qu'il avait fait avec le jeune Potter. Il ne savait pas si c'était réellement le bon moment dans parler mais il fallait bien qu'elle sache pourquoi soudain, il était réticent face à elle. « J'ai fais un pacte, il y a quelque temps. Pas n'importe lequel. Seulement, j'ai pas su faire face à... Ce que j'ai ressentis. » Le jeune homme se mit alors à s’asseoir sur la table pour faire face à la blonde. La vérité, c'était qu'il était tellement et réellement tomber sous le charme de la serpentarde quand il la vu, qu'il en avait perdu ses mots. Le jeune homme eut le regard fuyant pendant quelque secondes jusqu'à remettre le regard sur le visage de la serpentarde puis il dit soudain : « Normalement, je n'aurais pas du avoir une histoire avec toi. J'ai brisé le pacte. » Et en brisant le pacte, le rouge et or avait perdu son meilleur ami jusqu'à aujourd'hui, même si la total confiance n'était pas vraiment présente. C'était comme deux faux frères à présent alors qu'auparavant, cela n'avait été que des frères.

La jeune femme était brillante, vraiment vraiment brillante. Elle le savait mais n’était pas du tout du genre à s’en vanter, la jeune femme ne se vantait jamais, ce n’était pas du tout son genre de se vanter. Elle avait beau être à serpentard, la jeune femme n’avait pas un égaux surdimensionné. Elle était un peu manipulatrice sur les bords, très rusé, mais elle n’était pas une sale garce egocentrique. La jeune femme n’aimait pas les gens qui se vantaient, non, elle détestait ça. Il y avait Black ce crétin d’Amadeus qui en était le parfait exemple. Un type avec un égo surdimensionné, un type con, arrogant, un salopard. Ysolde était toujours assez dur vis-à-vis des gens, et son jugement ne faisait pas de pitié, elle-même se jugeait durement. Elle jugeait aussi Graeme à présent, il était comme tout les autres mecs, un vrai connard, il ne savait pas ce qu’il voulait, il l’avait jeté comme une vieille chaussette dans ce couloir, c’était… blessant. Encore heureux, il ne l’avait pas jeté après avoir couché avec, parce qu’ils n’avaient pas couché ensemble, certains types agissaient de la sorte. Ysolde était bien contente de ne pas avoir laissé le jeune homme s’approche un peu trop près d’elle. Tant sait un paquet de chose sur la divination. C'est beau à voir. Elle ne savait pas comment prendre cette phrase. Etait-ce de l’ironie ou bien de la sincérité ? Venant de lui elle pouvait franchement douter de sa sincérité, vraiment. Après tout, elle pouvait douter de lui. oui, c’était vraiment, la jeune femme en connaissait un rayon sur la divination, elle-même était dotée d’un don de double vue, alors, elle avait le devoir de s’y connaitre en divination. La jeune femme était curieuse de s’y connaitre, elle avait dévorée des livres sur le sujet. Enfin, dévoré dans le sens figuré des termes, elle adorait lire, c’était sa passion, avec le quidditch. ouais... Lâcha-t-elle a mi-voix peu convaincu par ce qu’il venait de dire. elle n’avait pas besoin de ses remarques pour vivre, jusqu’ici elle avait réussi à vivre sans lui, et elle allait continuer sur cette lancé. J'ai fais un pacte, il y a quelque temps. Pas n'importe lequel. Seulement, j'ai pas su faire face à... Ce que j'ai ressentis. Et en quoi ses problèmes de moral concernaient-il la sorcière ? Elle se fichait bien de son putain de pacte à la con. Ysolde se fichait bien de lui, il fallait qu’elle avance, qu’elle passe à autre chose, elle n’allait pas se ralentir dans sa vie pour lui. elle poussa un soupire, ils étaient là pour bosser bordel ! et lui, il lui racontait sa vie, elle avait passé le stade où elle était sensé l’écouter. Dans un couple on s’écoute, quand on est ami, on s’écoute. Quand on est des ex, on ne s’écoute plus, c’est la réalité. Cette fois, ce fut à lui d’avoir le regard fuyant. Il dit alors : Normalement, je n'aurais pas du avoir une histoire avec toi. J'ai brisé le pacte. Un pacte, il n’aurait pas dû être avec elle ? En voilà une nouvelle à la con. Elle le fixa une seconde et lâcha froidement : T'aurais mieux fait de t'abstenir, et t'aurais mieux fait d'être quelqu'un de parole. La jeune femme lui jeta un regard noir et commença à écrire. Elle lui en voulait, elle ne savait pas comment c’était possible d’en vouloir autant à quelqu’un. La jeune femme avait le cœur brisé, elle se sentait mal, s’ils n’étaient jamais sortis ensemble, cela aurait solutionner bien des choses. Oui, il vaut mieux être seul que mal accompagné, n’est ce pas… ? Ysolde était mal elle se pressait d’écrire, elle lui retira le livre des mains, et s’empressa se l’ouvrir à une page qu’elle avait soigneusement numéroté. Elle voulait en finir, le plus vite possible, elle n’en avait que faire de son foutu pacte.

Divination, on pouvait y trouver un mot, comme divin, c'était une expression que peu de sorcier utilisait pour exprimer un repas divin, ce qui voulait dire qu'il était très bon. Ou alors il y avait l'expression des lèvres divines, compliment qui faisait assez époque mais qu'on utilisait pour dire aux femmes qu'elles avaient de belles lèvres. Sauf que cela n'avait rien à voir avec le sens du mot de divination, sauf le mot deviner qu'il fallait vraiment chercher. Chercher l'avenir, les blessures, savoir ce que les autres ne pourrait pas savoir. C'était ça la divination. Le jeune homme venait de complimenter la blonde, ce qui, au passage, ne lui était plus arriver de faire depuis déjà de grands jours. Le temps était long, trop long pour que le devoir de divination se passe bien et se termine correctement. Il aurait vraiment préféré être en binôme avec quelqu'un d'autre mais personne n'avait voulut se mettre avec lui, sûrement du au fait qu'il avait protégé la serpentarde pendant qu'ils étaient amis puis par la suite. Même le professeur n'avait pas accepter de changer les binômes alors que les deux jeunes avaient refuser d'être ensembles mais personne dans la classe n'avait dit quoi que ce soit, suite à la situation dans laquelle ils étaient. Les rumeurs, les on disait que, cela parlait dans Poudlard et pas quand bien. Reagan Goyle était entrain de faire tourner n'importe quoi dans le château mais surtout la rupture des deux jeunes. ouais... Le rouge et or regarda alors le visage de la serpentarde, peu convaincue elle était. Cela se comprenait, un ex qui faisait un compliment cela ne signifiait rien de bon sûrement. Sûrement du foutage de gueule mais ce n'était pas le cas du jeune Reinhaart. Puis le rouge et or mit alors le sujet qui fâche sur table mais plus précisément en but de conversation. C'est à dire le pacte. Il y a des jours où il aurait préféré que cela ne soit pas dérouler comme cela s'était passé, malheureusement c'était trop tard. Qui aurait cru qu'un jour où l'autre, le jeune homme sans voudrait de ne pas avoir respecter ce fameux pacte avec son meilleur pote, pour une gonzesse du château. Après tout, il se demandait bien comment aurait été la situation s'il avait respecter le pacte mais si c'était Samwell Potter qui ne l'aurait pas respecter. N'aurait-il rien dit au jeune Potter et les auraient laisser faire leur train train quotidien ou bien aurait-il été jaloux et aurait préféré perdre tout contact avec lui. C'était une question qu'il se posait beaucoup ces temps-ci mais il faisait également des cauchemars, pas de simple cauchemar banal où il tombe dans un trou noir, non, c'était bien plus horrible que ça. Non, il voyait son meilleur pote avec à son bras, la serpentarde, qui souriait de bonheur. D'un coter c'était pas plus mal, la savoir heureuse aux cotés de son meilleur pote, c'était rassurant mais d'un autre coter, cela lui donnait l'envie de meurtre. Le jeune homme parlait, tout en ayant l'envie de tout déballer. Elle n'était pas au courante de ce fameux pacte alors qu'elle était celle qui était finalement le sommet de tout, l'équilibre à peu près. En parlant de la serpentarde, celle-ci répondit froidement au rouge et or : T'aurais mieux fait de t'abstenir, et t'aurais mieux fait d'être quelqu'un de parole. Être quelqu'un de parole, être quelqu'un de droit, être quelqu'un de fiable. Il avait déjà entendu sa quelque part. Un peu partout en faite, que ce soit sa famille ou bien même ses camarades, tout le monde lui avait dit d'être celui qu'il était réellement et non pas une facette. L'autre jour, c'est ce qu'il avait fait pendant la rupture, il avait prit sur lui et finalement deux minutes plus tard, il sans été voulut. Ça c'est clair, je te le fais pas dire . Le rouge et or regarda la serpentarde reprendre son bouquin, laissant assis le jeune homme qui prit sa plume afin d'avoir quelque chose dans la main. Il regarda la serpentarde écrire. Comment pouvait-elle tenir cette distance ? Comment pouvait-elle faire semblant de ne pas ressentir cette douleur atroce à l'intérieur de soit ? Des tonnes de question chamboulait vraiment toute sa tête et justement cela lui prenait la tête. Il savait garder son calme, du moins il essayait. S'énerver pour si peu. Il ne fallait mieux. On en aurait pas été là si j'avais pas brisé le pacte. Ça aurait été bien mieux non ?. Cette fois-ci c'était du foutage de gueule. Le jeune homme se mit alors à gribouiller son parchemin avec sa plume. Une plume qui valait très chère à ses yeux étant donner que s'était sa mère qui lui avait offert pour un de ses anniversaires. Enfin, pacte ou pas pacte, cela n'aurait rien changer à mes yeux. Il se mit alors à regarder la serpentarde, ce visage, il l'avait admiré beaucoup trop de fois, il en connaissait tous les détails. Il dit alors froidement : Ce qui veut dire que t'aurait toujours été une erreur. Pourquoi était-il froid d'un coup ? Sans doute du au fait qu'il se voyait le seul à souffrir dans cette situation. Puis il continua après avoir fait une pause afin de respiré : Bon finissons ce devoir si tu permet. Le jeune homme se rapprocha de la blonde afin de prendre son livre de nouveau qu'elle avait dans les mains.

Ça c'est clair, je te le fais pas dire. Elle ne comprenait pas comment ils en étaient arrivés là. Ysolde n’avait eut d’yeux que pour lui. même si avant de sortir avec lui, elle aurait pu vouloir porter de l’intérêt à Duncan, ou même à Samwell, dés qu’elle avait commencé à sortir avec lui, elle n’avait pensé qu’à lui, elle n’avait regarder que lui. comment ils en étaient arrivé là ? Elle finissait par croire que ces « je t’aime » n’étaient qu’un vague mensonge. Que quand il disait qu’il n’avait regardé aucune autre fille, il mentait aussi. N’importe quel type aurait regarder le décolleté de cette garce. A l’en croire… si on en jugeait par ce comportement, il trouverait une fille en moins de deux. Maintenant, il avait des filles qui lui courraient après. Elle n’en revenait pas, parfois elle avait l’impression de ne plus rien être. Ysolde Wilkes la magnifique n’avait plus rien. Elle ne pourrait pas tomber dans les bras de quelqu’un d’autre aussi rapidement, elle n’y arriverait pas. Elle allait passé des fêtes de Noel avec une certaine mélancolie. Elle allait manger de la glace en pleurant comme une madeleine. On en aurait pas été là si j'avais pas brisé le pacte. Ça aurait été bien mieux non ?. Il était « méchant » quand il parlait. Comment pouvait-il dire ces mots ans ressentir une culpabilité, ou je ne sais quoi ? Il regrettait ? Tant pis pour lui, Ysolde aussi regrettait, ce qu’elle regrettait c’était d’être tombé amoureuse d’un crétin, d’un idiot et d’un manipulateur qui ne l’avait sans doute jamais aimé comme elle l’avait aimé lui. la jeune femme avait les yeux fixé sur son parchemin, et continuait d’écrire, plus elle l’ignorait, mieux elle se portait. Elle leva rapidement les yeux quand elle le vit écrire sur son parchemin. Il dit alors en croisant le regard de la jeune femme : Enfin, pacte ou pas pacte, cela n'aurait rien changer à mes yeux. Que voulait-il dire par là ? il poursuivit d’une froide, d’une voix glaciale : Ce qui veut dire que t'aurait toujours été une erreur. Alors ça, c’était la chose la plus méchante qu’on avait pu dire à Ysolde. Son père lui avait dit qu’elle était une erreur, mais ça elle en avait toujours eut conscience. Mais venant de lui, c’était plus que blessant. Comme si briser son cœur ne lui avait pas suffit, il fallait qu’il le piétine encore et encore. Ça ne lui avait pas suffit d’avoir ses larmes ? Non, il en voulait encore, et encore. Il voulait voir Ysolde par terre. La jeune femme resta abasourdie, sans voix. Totalement sans voix. Elle avait envie de pleurer, et de fondre en larme. Il ajouta après une courte pause qui lui avait parut être une éternité : Bon finissons ce devoir si tu permet. Quand il se rapprocha d’elle pour lui prendre le livre des mains la sorcière ne le lâcha pas. C’était son livre, son boulot, elle ne voulait pas travailler avec lui, s’il voulait une bonne note, il n’avait qu’à se débrouillé tout seul, il était totalement nul, totalement nul ! elle tenait fermement sans livre, et lâcha les dents serrer : Lâche ce livre tout de suite. Elle lui jeta un regard noir, elle agrippa le livre et le tira à elle. Elle se leva de sa chaise et fourra le livre dans son sac, elle remballa ses affaires, sa plume son parchemin, tout fourré dans son sac à la hâte. Elle était hors d’elle, elle était… elle s’écria alors : On ne vas pas finir ce devoir, JE vais finir ce devoir. Je metterais ton nom dessus, le prof sera content et tu aura une bonne note sans te fouler Reinhaart ! Ysolde était hors d’elle, sans s’en rendre compte, elle réalisa qu’elle était en larme. Oui, elle était en larme, parce qu’elle était hors d’elle. Elle ajouta : Dégage de là tout de suite ! je veux plus rien avoir à faire avec toi, puisque je ne suis qu'une erreur espèce de... Elle essaya d’essuyer ses larmes et s’écria : DEHORS ! La jeune femme était en larme. Il avait intérêt à dégager, vraiment. Comment pouvait-il être aussi méchant avec elle ? Comment ? Qu’est ce qu’elle lui avait fait pour mériter tant de méchanceté d’un seul coup ? Elle ne comprenait vraiment pas comment, comment, il pouvait avoir tant changer d’un coup. Elle ne le regardait même pas, elle s’était éloigné de lui, elle ne voulait plus jamais, plus jamais lui adresser la parole. La jeune femme n’avait jamais été aussi mal, jamais, jamais. Qu’il sorte.

Faire mal, taper dans le juste milieu de la souffrance, ce n'était pas l'intention qu'il avait eu envie. Non loin de là. Pourtant c'était ce qu'il était entrain de faire. Pourquoi en vouloir autant à la serpentarde alors qu'elle n'y était pour rien dans l'histoire, tout avait basculer, du jour au lendemain. Aucune marche arrière était possible, il fallait juste qu'il se remette sur pieds, pieds, ce qui voulait dire qu'il devait se reprendre sauf qu'il était déjà trop tard. Il continuait, même sans force il continuait, de blesser la femme dont il était amoureux. Rien n'allait, tout dérapait. C'était comme si il neigeait en été , cela n'avait pas de sens, même aucun sens. Lâche ce livre tout de suite. La serpentarde tenait le livre, ce vieux bouquin qui n'avait aucun sens aux yeux du jeune Reinhaart. Que faisait-il ? Il était totalement entrain de mettre Ysolde encore plus dos à lui. Le rouge et or lâcha alors le bouquin, en regardant la serpentarde dans les yeux. Si elle voyait à quel point, son changement de caractère, de comportement, était du au fait de l'autre fois, de son absence, alors peut être qu'elle verait que derrière cet homme, qui cache tout ce qu'il ressent, toute les émotions et bien s'était un signe de faiblesse mais également de tristesse et de colère. Le jeune homme recula après avoir lâcher le bouquin et serra la mâchoire. Cette mâchoire où il s'était prit un coup par son meilleur pote parce que Graeme avait parler de courage qu'il ne possédait pas mais lui alors, le jeune Reinhaart, n'en n'avait-il pas pour tout avouer à la serpentarde ? Ou alors pas assez ? Il y a des moments où on se comporte mal, même très mal et malheureusement, malheureusement on y perd beaucoup. Le rouge et or regarda la serpentarde ranger toutes ses affaires et voilà, il avait encore gagner le fait de l'avoir pleurer, mais c'était vraiment dégeulasse de sa par. Il s'en rendait compte, sans doute trop tard mais il se rendait compte de ses erreurs et de la graviter des choses. La boule à la gorge, synonyme qu'il n'y voyait que de la glace. A quoi jouait-il réellement ? Ne voyait-il pas que la serpentarde avait déjà prit très chère et que cela ne servait à rien de continuer à aggraver. Tout ça pourquoi ? Parce que la blonde avait été distante, elle n'avait pas adresser un mot au rouge et or et qu'il s'était sentit … Seul. Et même si il était habitué à la solitude, il n'avait pas l'habitude de l'avoir auprès de lui sans qu'elle lui adresse la parole ou bien un sourire. Sauf que là, il ne gagnait que ses larmes. Il décida donc de baisser les bras, les armes. Pourquoi tout gâcher quand ce que l'on désir le plus au monde se retrouve en face de vous depuis des années. On ne vas pas finir ce devoir, JE vais finir ce devoir. Je metterais ton nom dessus, le prof sera content et tu aura une bonne note sans te fouler Reinhaart ! Le jeune Reinhaart aperçu alors, les larmes de la blonde couler sur ses joues blanches. Et merde pensait-il. En si peu de temps il la faisait pleurer, en si peu de temps il était devenu son pire ennemi lui-même. Il n'aimait pas être celui qu'il était là, celui qui n'avait pas de cœur et qui les brisait. Le jeune homme continua alors de serrer sa mâchoire en ne lâchant pas du regard la serpentarde. Si sa mère le voyait, il savait qu'il aurait eu le droit à toutes les paroles droites, mais il verrait aussi le regard de sa mère dégoutté par son attitude de petit gamin riche alors qu'il était loin d'être un homme riche, il était loin de tout ça. Les gens comme ça le dégouttait et pourtant il se comportait comme eux et pourquoi ? Pour rien. Et la réaction de son père, aurait sans doute été la pire, il l'aurait mitrailler du regard puis il lui aurait demander des explications. Des explications que lui seul ne savait même pas quoi répondre. Dégage de là tout de suite ! je veux plus rien avoir à faire avec toi, puisque je ne suis qu'une erreur espèce de... Le jeune homme ouvrit alors la bouche, pas pour dire quoi que ce soit, non, simplement pour respiré. Rien que ça déjà, il avait du mal à effectuer. Il ne disait rien, même pour l'insulte qui avait faillit sortir de la bouche des serpentardes. Il voyait la rage, la colère, la haine, le dégoût dans le regard de la serpentarde. Mais bordel qu'il est bête même pire que ça. Soudain, la blonde s'écria en regardant le rouge et or : DEHORS ! Ce qui fit que Graeme serra de nouveau sa mâchoire. Il savait bien que des excuses ne servirait à rien, ce qu'il avait fait était impardonnable. Impardonnable dans le sens où il avait trop de mal. Le jeune Reinhaart, prit ses affaires en main et regarda la serpentarde. Bizarrement, son père lui avait dit que seul un homme qui pleurait face à une femme, prouvait qu'il avait de réel sentiment envers elle. Et aujourd'hui, ce fut Graeme qui eut les larmes aux yeux, les yeux humides. Il n'avait jamais pleuré auparavant, sauf à la mord de son grand père. Mais il était petit quand cela était arriver. Pas comme aujourd'hui. Soudain, ce fut Graeme qui prit la parole : Mon erreur, la pire, ce fut de t'avoir lâchement lâcher et je sais qu'aucune excuse ne serait valable. Aucune excuse ne sera à la valeur dont la marière je t'ai fais mal. C'est donc pourquoi, je ne te fais pas d'excuse oralement mais sache qu'au fond, je m'excuse de m'être comporter comme le gamin que je suis pas et... Le jeune homme fit une pause afin de pouvoir reprendre sa respiration puis il reprit : Tu me manques. Il ne fallait pas rester dans les parages, il n'avait pas envie de finir assassiné sur place, brûler vif, après tout c'était un sorcier mais avant tout un humain. Il regarda alors la serpentarde de nouveau après avoir regarder la porte d'entrée de la salle et dit alors : Et pour le devoir, ne marque pas mon nom. Je dirais que je n'ai compris au devoir, chose qui est vrai. Pas besoin de faire mes devoirs à ma place. On avait dit au professeur qu'on ne voulait pas être binôme. Le jeune homme se dirigea vers la porte. Il voyait bien que cela était impossible de se faire pardonner.

Elle se sentait tellement mal. Oui, elle se sentait tellement mal, tellement mal. Elle s’était faite jetée comme une pauvre merde, c’était un peu normale qu’elle se sente mal, c’était normal d’avoir le cafard quand on vient de se faire larguer, mais là, elle avait de quoi se sentir mal, il venait de lui dire qu’elle était une erreur. Ca faisait mal. son père lui avait dit que c’était une erreur d’avoir aimer sa mère, que c’était une erreur de l’avoir comme fille, et maintenant Graeme lui tournait le dos et la traitait d’erreur. Une erreur, plus on lui disait cela, plus elle avait l’impression d’en être réellement une. Elle n’avait qu’une seule envie : qu’il se barre d’ici. Elle ne voulait plus voir sa tête de crétin arrogant, insensible dans le coin. Elle ne voulait plus voir sa gueule, ysolde n’avait pas envie de revoir un type dans sa vie avant un moment, elle n’était pas prête de se laisser briser de la sorte, pas encore une fois. Trois relations, trois rupture qui faisaient mal, mais celle-ci était la plus récente, et elle était peut être la plus « normale », celle qui faisait le plus mal. Elle ne voulait pas le regarder, elle ne voulait pas, elle jeta un regard furtif au jeune homme, assez longtemps pour voir qu’il était entrain de pleurer : c’est du foutage de gueule ça. Mon erreur, la pire, ce fut de t'avoir lâchement lâcher et je sais qu'aucune excuse ne serait valable. Aucune excuse ne sera à la valeur dont la marière je t'ai fais mal. C'est donc pourquoi, je ne te fais pas d'excuse oralement mais sache qu'au fond, je m'excuse de m'être comporter comme le gamin que je suis pas et... il marqua une pause, Tu me manques. Etait-il entrain de se foutre d’elle ? Il trouvait ça drôle d’être « gentil » tout à coup ? A quoi il jouait ? Qu’est ce qu’il voulait au fond, qu’est ce qu’il voulait vraiment ? Mais il avait raison : aucune excuse ne pourrait être assez importante pour réparer ce qu’il avait fait… il lui avait fait du mal, beaucoup de mal, il ne s’en était pas rendu compte. Mais c’était trop tard, beaucoup trop tard. Elle ne pourrait jamais lui pardonner, jamais. Elle était déjà si peu confiante en elle avant… là le peu de confiance qui lui restait avait été anéantie. Elle était encore plus afaiblie, encore plus vulnérable, et c’était sa faute à lui. ainsi, elle lui manquait : il fallait y penser avant, bien avant. Et pour le devoir, ne marque pas mon nom. Je dirais que je n'ai compris au devoir, chose qui est vrai. Pas besoin de faire mes devoirs à ma place. On avait dit au professeur qu'on ne voulait pas être binôme. Il était « chou ». très bien, elle ne marquerait pas son nom, elle était capable de faire un travail pour deux, ce n’était pas la première fois qu’elle le ferait. Elle le regarda. La jeune femme continuait de pleurer en silence, ce n’est pas facile de contempler la personne qui lui a brisé le cœur. Tu te fous de moi ? Je te manque ? C’est pas un peu tard pour le réaliser espèce de crétin ?! Ysolde était toujours en larme, toujours. Elle n’allait pas cessé de pleurer de sitôt, il allait lui falloir du temps pour s’en remettre, les vacances arrivaient au bon moment. Ysolde ne savait pas comment elle allait faire pour l’oublier, boire, et faire la fête, ça ne lui ressemblait pas du tout. elle allait lire, lire, et encore lire, pour se changer les idées. Là ou d’autre sortiraient et soigneraient le mal par le mal, elle s’enfermerait dans une pièce pour lire. Elle le regarda, les yeux embrumé par les larmes. Tu as raison, aucune excuse ne serait jamais valable. Tu m’as brisé le cœur ! Elle ne pu étouffer un sanglot. La jeune femme se rassit alors sur sa chaise, elle fixait un point devant elle. Elle se sentait mal, elle n’allait pas finir ce fichu devoir aujourd’hui, elle n’en aurait pas la force. Elle allait déprimer ici. Elle n’arrivait pas le regarder. Elle sanglotait. Elle ne se souvenait pas ce que ça faisait d’avoir un chagrin d’amour, mais désormais c’était chose faite.

Tu te fous de moi ? Je te manque ? C’est pas un peu tard pour le réaliser espèce de crétin ?! Graeme resta sur place à écouter ce dont la serpentarde avait envie de dire. Il fallait savoir une chose, si le rouge et or disait les choses, c'est qu'il les pensait, seulement sous le coup de la colère, il avait des choses terribles, des choses impardonnables pour le moment. A l'évidence, il savait que les excuses ne servirait à rien, seulement parce qu'il avait fait du mal, trop de mal et que si la situation avait été produite par elle, il n'aurait même pas voulut prendre en compte ses excuses. Pourtant, lui même avait été celui qui s'était fait larguer et il l'avait excuser même après des jours. Enfin excuser, il avait tout de même du mal à comprendre pourquoi tout avait basculer du jour au lendemain, à cause de cette Reagan qui n'avait rien de spécial et qui n'était rien pour lui. Le jeune homme resta alors à regarder la serpentarde qui avait toujours les larmes qui roulait même coulait sur ses joues blanches. Oui elle lui manquait mais il savait que ce n'était pas vraiment le meilleur moyen de le lui dire, les jours précédents peut être, avant que le jeune Reinhaart ne mette fin à leur couple mais il avait réagit comme... Un crétin c'était le cas de le dire. Même d'ici il entendait son père lui dire que son comportement n'était pas exemplaire et qu'il devait se remettre sur pied avant que tout n'éclate et qu'il passe de l'amour à la haine. Même la serpentarde lui disait que c'était un crétin, comme quoi, la vérité était proche. Le rouge et or regarda alors le regard de la blonde, tant de chagrin en une seule soirée mais également en plusieurs jours. Il put remarquer que les yeux de la blonde était rouge, rouge comme sa cravate et pourquoi. Parce qu'elle avait pleurer comme jamais elle n'avait pleurer devant le jeune Reinhaart. Il se sentait coupable parce qu'il était réellement le coupable et celui lui faisait extrêmement mal. Mal dans le sens où se sentir coupable n'était jamais évidement, surtout quand on faisait souffrir la personne qui représentait beaucoup à vos yeux. Pendant quelque secondes, les deux jeunes échangèrent un regard jusqu'à ce que la serpentarde prenne la parole : Tu as raison, aucune excuse ne serait jamais valable. Tu m’as brisé le cœur ! Le poignard déjà bien enfoncer d'avance dans le dos qui traversait le cœur du rouge et or, s'enfonça alors encore plus qu'il ne l'était déjà. Briser le cœur de la serpentarde, ce n'était pas vraiment ce qu'il voulait, au contraire, il voulait tout, sauf ça. Seulement c'était déjà trop tard. Le jeune homme regarda la serpentarde se rasseoir sur la chaise et regarder en face d'elle. Le jeune Reinhaart se mit alors à soupiré puis s'approcha de la blonde doucement et s'installa sur une chaise à côté. Il n'avait pas envie que la serpentarde soit pénalisé dans le devoir à cause de ses conneries à lui, d'ailleurs il le lui fait part : Ecoute, j'ai pas envie que tu sois pénalisé pour ce devoir à cause de mes conneries. C'est le dernier qu'on fait ensembles. Autant se mettre dessus dès maintenant et qu'on le finisse. Autant le professeur sera content qu'on se soit finalement mis d'accord pour le réussir. Graeme remit alors sa plus et son parchemin sur la table puis il tourna la tête en direction de la verte et argent. Il sans voulait terriblement, c'était quelque chose qu'il ne se pardonnerait sans doute jamais. Des erreurs, tout le monde en faisait, tout le monde, tous sans exception. Il savait que sans doute, Ysolde lui en voudrait pendant un certain, il y avait toujours cette haine au fond et cela se voyait à présent dans son regard. Quant à Graeme, ce n'était pas à la blonde qu'il en voulait même si, la rupture avait été faite car la blonde avait été distante, non parlante, non souriant, mais c'était surtout à lui même qu'il sans voulait. C'était un fait. Tout aurait pu être bien finalement s'il n'avait pas tout gâcher. Comme à son habitude. Le rouge et or prit sa plume et commença à écrire quelque chose sur son parchemin remplit de rature. You deserve good things Ysolde Il mit alors le parchemin sur le côté de la table de la serpentarde afin qu'elle puisse lire ce qu'il avait écrit. En faite, il venait juste de lui dire qu'elle méritait de bonnes choses. Le dire, c'était quelque chose de dur, alors qu'à l'écrit, c'était autre chose, bien plus facile, il avait l'habitude de s'exprimer à l'écrit, quand rien n'allait, que ce soir à Poudlard ou bien chez lui. Le silence fut son apparition dans la pièce, un silence qui ne pouvait que faire du bien. Graeme se mit alors à serrer sa mâchoire comme à son habitude puis il se mit à regarder la blonde afin de lui dire : Alors, tu veux bien qu'on continu le devoir ? ... Le devoir n'était pas très important aux yeux de Graeme mais il voulait vraiment le faire car il en avait envie, même si il n'était pas très bon en cette matière. Il espérait qu'elle accepte, il ne voulait pas qu'elle soit pénalisé par sa faute.

Ysolde était en larme, en larme. Elle était fragile, mine de rien. Quand on ne la connait pas, on ne dirait pas qu’elle était aussi fragile, pourtant c’était le cas. Elle était vulnérable, surtout depuis que son monde c’était éffondré en juin dernier. quand on sait la vérité, tut ce en quoi on croit s’effondre. Ysolde avait perdu ses repères, ses références, et une partie de sa force aussi. sans repères, on ne sait pas comment se relever. Il ne restait plus grand-chose à la jeune femme, Alecto, Morgana, et quoi d’autre ? Avant elle aurait dit Graeme, mais après ça… non. elle ne pourrait pas lui pardonner d’avoir été si odieux avec elle. Elle ne pouvait s’empêcher de garder en mémoire qu’elle était une « erreur », même s’il avait essayé de se rattraper, elle ne le digérait pas. La vérité, elle sort souvent quand on ne le souhaite pas. Ca lui avait fait mal. Ce n’était pas la première fois de sa vie qu’on la traitait d’erreur, ça lui faisait mal, vraiment. Plus le temps passait, plus elle y croyait, plus elle rendait compte que finalement, elle était une erreur. Les gens « bien » avaient des amis, une famille, des petits amis, et elle n’avait plus rien. La jeune femme lui avait tourné le dos, elle était retourné s’asseoir. Elle attendait qu’il se barre. La jeune femme était entrain de sangloter. Elle avait la larme facile. Oui, même très facile. Elle avait le cœur brisée, et elle ne savait pas se rassurer, se consoler. La jeune femme ne savait pas comment elle allait sécher ses larmes. Elle n’était pas le genre de femme qui allait se consoler dans les bras d’un homme… non, ce genre d’attitude de pétasse en chaleur la déprimait et la révulsait profondément. Elle avait les yeux baissés, quand elle vit le jeune homme se rasseoir à la table. Elle allait fini par lui jeter son putain de bouquin dans le gueule. Ysolde était assez… sur les nerfs quand elle pleurait, en larme elle était mélancolique, inconsolable, mais en plus de tout ça agressive. Elle le gratifia d’un regard noir. Et il dit alors : Ecoute, j'ai pas envie que tu sois pénalisé pour ce devoir à cause de mes conneries. C'est le dernier qu'on fait ensembles. Autant se mettre dessus dès maintenant et qu'on le finisse. Autant le professeur sera content qu'on se soit finalement mis d'accord pour le réussir. Alors tout ce qui l’intéressait c’était qu’elle ne soit pas pénalisée par ce putain de devoir ? Comme si elle avait besoin de lui pour avoir une bonne note en divination. Non, Ysolde n’avait besoin de personne pour s’en sortir dans cette matière, elle pouvait faire un devoir de groupe à elle toute seule, de toute façon.. il n’allait pas beaucoup l’aider, autant qu’il dégage tout de suite. C’était le dernier qu’ils faisaient ensemble, et tant mieux. La jeune femme ne le regardait pas, elle fixait la table, elle avait les yeux rouges. Elle n’avait pas envie de rester là, elle n’avait pas envie de faire ce devoir. Elle vit le jeune homme écrire sur un bout de papier. Il lui glissa alors le papier. Elle n’avait pas envie de le lire ; du coin de l’œil elle lu : You deserve good things Ysolde Elle poussa alors un soupire, et attrapa le bout de papier qu’elle s’empressa de froisser jusqu’à ce que ce soit une boule de papier que machinalement elle jeta dans la pièce. Qu’est ce qu’il voulait ? il ajouta alors : Alors, tu veux bien qu'on continu le devoir ? ... Qu’est ce qu’il ne comprenait pas dans « dégage » ? Elle se demandait. Elle le regardait, elle pleurait en silence, et articula alors : Faut te le dire en quelle langue bordel ? Ysolde étouffa un sanglot, et se leva alors et dit : Pourquoi tu te barre pas putain ?!! Hein ?! j'ai pas besoin de toi pour faire ce putain de devoir ! j'vais le faire pour nous, mais dégage. Elle ne voulait plus le voir, plus du tout. en fait, ils n’aurait jamais dû se remettre ensemble, jamais. Elle sanglotait quand elle articula : Dégage Graeme, s'il te plait, dégage. Elle se leva pour aller ouvrir la porte. Elle ne le regardait pas, mais elle lui tenait la porte ouverte, pour qu’il daigne enfin s’en aller. Elle ne voulait pas faire le devoir avec lui, elle s’en chargerait, ça ne la dérangeait pas, elle metterait leur deux noms, et puis voilà, fin de l’histoire. Elle fixait le sol, elle ne voulait plus le voir, non. quand ils avaient rompu, jamais ils auraient du se remettre ensemble, quand ça n’a pas marché une fois, c’est trop tard, beaucoup trop tard.

PS, c'est nul, désolé.

Graeme avait prit le temps d’écrire quelque chose sur le bout de parchemin qui n’était pas encore écrit. Le rouge et or aurait préféré que tout cela se passe autrement, vraiment mais sans avoir prit le temps de savoir pourquoi, il avait lâché la serpentarde, au beau milieu d’un couloir, comme elle l’avait fait précédemment. Il sans voulait, même terriblement, il se disait que si son père l’apprenait, les vacances de noël, ne serait plus des vacances mais plutôt, un rappel à l’ordre. Jamais le jeune homme n’aurait pensé réagir comme ça avec elle, jamais, sinon il aurait préféré ne jamais avoir d’histoire avec elle, même si, normalement, il n’en n’aurait pas du en avoir une. Les pactes, il n’en ferait plus, il ne promettrait plus quelque chose dont il savait réellement qu’il ne pourrait pas respecter ni même promettre. La serpentarde était une personne, qui comptait beaucoup à ses yeux même si aujourd’hui, c’était le froid, la colère et sans doute la haine qui avait prit place entre eux. Le jeune Reinhaart regarda alors la serpentarde mettre en boule le parchemin que lui avait adresser celui-ci. Et bien, cela n’était pas gagner, c’était une rude épreuve pour lui. Mais il avait merder, sincèrement il avait merder et il sans rendait compte, peut être trop tard, mais il sans rendait compte et c’était déjà beaucoup. Il ne pouvait pas lui en vouloir car au fond, c’était lui la cause aujourd’hui de leur rupture même si le problème qui avait fait décider le jeune homme à cette idée était le fait qu’Ysolde soit distante et non parlante. Faut te le dire en quelle langue bordel ? Il savait qu’elle voulait qu’il parte, qu’il parte loin d’ici, c'est-à-dire à l’extérieur dans la cabane des Gryffondors mais lui, il en n’avait pas envie. Ce dont il avait envie c’était qu’elle sache qu’il sans voulait, d’ailleurs celui-ci pendant quelques secondes avait eu les larmes, les premières larmes depuis des années mais avant tout des larmes sincères. Un mec qui pleurait, c’était signe de faiblesse pour lui mais également de sincérité alors que pour son paternel c’était signe d’un amour sincère. Jamais il ne s’était sentit aussi mal, jamais, à part le jour où il s’était prit un cognard dans le bras ce qui l’avait fait tomber du balais jusqu’à atterrir sur le sol. Mais là, ce n’était pas un cognard qu’il se prenait au bras, non, c’était un poignard bien tailler qui perçait son cœur à plusieurs coups. Graeme regarda alors la serpentarde se lever jusqu’à ce qu’elle lui dit : Pourquoi tu te barre pas putain ?!! Hein ?! j'ai pas besoin de toi pour faire ce putain de devoir ! j'vais le faire pour nous, mais dégage. Ce n’était pas le devoir dont il voulait obtenir la meilleure note, ce n’était pas ce fichu devoir de divination qu’il voulait réussir. Non, ce qu’il voulait avant tout, c’était sans doute récupéré ce dont il avait bousillé. Le cœur d’Ysolde. Sans le vouloir, l’année dernière il avait réussi à être proche d’elle alors qu’elle était encore la petite amie du prince des Serpentards et cette année, ils étaient sortit ensembles, jusqu’à en avoir une première rupture puis une deuxième. Il se disait que le temps ferait tourner les choses, soit en sa faveur, soit pour les autres. Car la serpentarde était une femme que beaucoup d’hommes désirait, il n’y avait cas les voir bavés quand elle passait dans les couloirs. Même son meilleur pote bavait totalement quand il la voyait. D’ailleurs il n’aimait pas trop la façon dont il la regardait mais bon. A présent Graeme n’avait rien à en dire. Mais je m’en fou de se devoir Ysolde ! J’ai jamais été bon en divination c’est pas maintenant que je vais l’être ! Il n’arrivait pas à lui dire ce dont il pensait, ce dont il désirait, ce dont il voulait. Il n’était pas spécialement habituer à faire part de ses sentiments, non loin de là. Auparavant, rien qu’avec un regard, la serpentarde pouvait savoir des choses, s’il était sincère avec elle ou bien s’il était heureux d’être avec elle. Le regard du Gryffondor était quelque chose de précieux quand on le connaissait. Dégage Graeme, s'il te plait, dégage. Le blond resta alors là, sur place, à regarder la serpentarde se diriger vers la porte d’entrée mais également la lui ouvrir. Ce qui gênait Graeme. Il s’approcha donc, rester-là à regarder la serpentarde pleurer mais également l’entendre lui dire de foutre le camp, cela ne pouvait qu’aggraver la situation, même si le blond avait reprit le calme. Il s’arrêta au pied de la porte afin de regarder la blonde qui ne lui adressait pas un seul regard. Ce dont il avait envie de faire à cet instant, c’était de remettre la mèche blonde la serpentarde à sa place. Il avait prit cet habitude-là, mais il se devait le droit de ne pas la frôler, ni même la toucher à moins de vouloir se prendre une bonne main au visage. Même si jamais il n’avait eu l’occasion de se prendre la main de la serpentarde. Sache une chose, même si c’est sans doute la dernière fois que j’aurais l’occasion de te parler seul. Euhm… Je regrette énormément tout le mal que j’ai pu te faire subir, je suis sûrement le premier des crétins à présent au château. Mais je m’en veux, de tout ça. Un crétin comme moi ne mérite pas que tu pleures à ce point. Et ce que j’ai mis sur le parchemin, je le pensais vraiment. Le jeune homme passa alors la porte d’entrée puis il se tourna. Jamais il n’avait aimé laisser la serpentarde, même à l’heure actuelle. Il dit alors en la regardant dans les yeux : Tu me manqueras Ysolde. Il se mit alors à partir en direction de la cabane des Gryffondor, dans le parc depuis l’incident de l’année dernière en fin d’année. Ce fut au moment de la douche, que le Gryffondor éclata de colère en donnant quelques coups contre le mur des douches. Bizarrement, il avait su se retenir face à elle mais la colère se transforma alors en larme. Qui dit larme dit homme sincèrement amoureux.