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L’enfer, c’est les autres †

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MessageSujet: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyDim 15 Avr - 19:45


ϟ CARTE MAGIQUE DU SORCIER
ϟ PRENOM, Mon premier prénom, Calixte, est un prénom qui vient du grec et signifie le plus beau, encore porté aujourd'hui, autant par des filles que par des garçons, donné par ma mère, alors qu'Amaury, prénom déjà porté par mon grand frère est vieux prénom désuet, presque chevaleresque, mais qui à une signification bien plus honorable « celui qui protège les siens », donné par mon père. Pourquoi est-ce que je porte le prénom de mon grand frère ? C'est une lubie de la famille. Le deuxième garçon, en plus de son prénom, porte aussi celui de celui qui le précède et ainsi de suite. Si j'aurai eu un petit frère, il se serait appelé par son prénom, puis Amaury Calixte. Histoire de famille.
ϟ NOM, Hapart est un nom autant français, qu'anglais, qu'américain et peut-être même australien. Les Hapart, a défaut d'être une famille proche et prestigieuse, est éclatée et assez moyenne, étant peu riche, peu proche et n'ayant pas vraiment de membre de renoms, voir honorable. Nous sommes moyens. On ne connait pas vraiment le sens de ce nom, au départ français, qui a autant le sens franc qu'indiscret, même s'il a également le sens de voleur, brigand qu'on nous attribue plus souvent, de paire avec le mot bâtard.
ϟ AGE ET INFORMATIONS SUR LA NAISSANCE, Je suis née le 23 septembre 1965, le jour de l'équinoxe d'automne, où les jours se raccourcissent et les températures refroidissement. Plutôt bien accueilli donc. C'était dans la petite ville de Foyers, en Écosse, bordé par le Loch Ness, bien que j'ai souvent déménagé.
ϟ VOTRE METIER, Je suis professeur de SACM (Soins Aux Créatures Magiques) à Poudlard depuis quelques années maintenant, après des études reprises sur le tard. A peine sorti de Poudlard, j'ai sauté dans le train pour aller étudier les dragons et devenir éleveur mais ça n'était pas comme je l'ai escompté et j'ai fini par faire des études d'enseignement après quelques années par-ci par-la.
ϟ NATURE DU SANG, Je suis de sang-mêlé. Les Hapart ne sont pas des voleurs et des bâtards pour rien. A la base, le premier Hapart était de sang-pur, mais il s'est sans doute empressé d'épouser la première venue et de lui faire des enfants. D'aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais vu un des membres de ma famille regarder la valeur du sang, juste se jeter à corps perdu dans des histoires souvent impossibles. Moldu, mêlés ou purs, on prend de tout dans la famille, pourvu que ça tienne un petit peu et nous apporte du réconfort.

ϟ MA PREMIERE IMPRESSION VIS-A-VIS DE POUDLARD
Il avait trouvé Poudlard magnifique, le château, éclairé par le clair de lune, se reflétait dans les eaux noires du lac, les quelques points rougeâtres qu'étaient les torches donnaient une impression d'austérité et de calme à la pierre usée par le temps, alors que chaque fenêtre était éclairée d'une lumière vive, accueillante, chaleureuse. On entendait rire de loin, un rire qui venait vous prendre au cœur et vous réchauffer les joues alors que le lac n'émettait pour seul bruit que le glissement des barques, fins et sinueux. C'était la grandeur des lieux qui l'avait d'abord envahi, celle du château, du lac, de la forêt qui se perdait au loin, du ciel même, qu'il n'avait jamais vu aussi claire et aussi grand. Il était serré dans une petite barque, le visage mobile, ses camarades essayant de lui parler, mais lui, il s'en foutait, il découvrait, il savourait ce qu'il voyait pour la première fois et, une grande soif d'aventure naquit en lui. Il voulait explorer ce château, cette forêt sombre, même ce lac et, tout en savoir, tout connaître par cœur, tous les couloirs, tous les tableaux, tous les livres... Sa respiration était haletante, son cœur se serrait au fur et à mesure qu'il approchait de l'immense porte. Il ne se sentait pas chez lui, mais il ne se sentait pas non plus étranger aux lieux. Il y était enfin et, c'est finalement tout ce qui comptait.

ϟ JE SUIS LE CHOIXPEAU ET JE SAIS TOUT !
Bonjour à toi, je souhaite de poser des questions auxquels tu répondras franchement, et si tu mens, je le saurai. Cela restera entre toi, et moi, cela m’aidera à trouver quelle maison est faite pour toi mon enfant !
ϟ Parle moi de ton caractère tel que tu le vois toi, parles sans détours, et je t’écouterais mon enfant,
« Parlez de moi ? Ça ne sera pas impartial vous savez ? Enfin, je ne vais pas me mettre toutes les qualités du monde non plus, mais quitte à gommer mes petits défauts... Autant commencer par eux. J'ai du mal à garder mon calme, maîtriser mes émotions, même si j'ai fait beaucoup d'effort ces dernières années. J'ai beaucoup de mal à dormir, je suis un peu hanté par mon passé, mon passé que je garde secret. Je suis quelqu'un qui bouge, beaucoup et, j'ai beaucoup de secret à garder, peut être un peu trop, je pense que ça commence à me tourmenter. Je suis peut-être un peu perdu quelques fois, mais je ne laisse rien transparaitre. Je peux paraître froid, mais c'est seulement parce que je ne veux pas paraître faible, mais ce n'est pas parce que mes yeux sont figés que je ne ris jamais. Même si elle me semble amer, j'aime la vie, rire et, toutes ces foutaises, mais je n'exagère rien. C'est juste que je préfère me méfier des gens, préfère leur montrer un peu de dureté pour fixer des limites. Et puis il faut que tout soit droit, un peu comme à l'armée, que tout soit dans l'ordre, c'est tout le temps comme ça, même dans mes cours : personne ne parle, personne ne déplace rien. Je pense que beaucoup de choses ont une place et, que ces gamins qui me servent d'élèves ne sont pas assez disciplinés ; maturité, respect, appelez ça comme vous voulez, mais ça leur manque. Enfin bref, comme ça, j'ai l'air de souvent ressasser et ronchonner comme un vieillard, mais ce n'est pas le cas. J'admets bien que je ne soit pas facile à vivre – ne prétendez pas le contraire, je suis bien divorcé pour une raison... - mais j'ai au moins le mérite d'avoir été bien élevé. Certes, peut-être l'éducation d'un autre temps, je tiens la porte aux dames, j'essaye tant bien que mal de rester poli et courtois autant que possible, je règle mes différents à l'amiable, ou en duel selon... J'ai un certain sens de la justice, je pense, c'est juste ma façon de l'appliquer qui est un peu marginale. Quand j'ai envie de faire quelque chose, je le fais, un point c'est tout. La chose à laquelle je tiens le plus, c'est ma liberté et, personne ne me l'enlèvera, ceux qui ont essayé y ont laissé des plumes. C'est une des choses que j'ai du mal à supporter, les gens qui se dressent en face de moi, loin de moi que je ne sache pas reconnaître mes torts, au contraire, mais qu'on essaye tout le temps de me retenir, de me dicter ma conduite m'insupporte. Quand je tiens à quelque chose, je me bats pour elle, c'est une chose que j'ai fait, que je referai. »

ϟ Bien, que penses-tu de la création de la maison Grindlemonk, et quelle importance accordes tu à la nature du sang,
« La maison Grindlemonk ? C'est une énorme bêtise. Ça ne m'a même pas étonné qu'ils tentent de se révolter et soit venu perturber la dernière petite fête de Poudlard. Cette idée, c'était leur tendre le bâton pour se faire battre, mais ça n'a fait qu'empirer leur situation, l'arranger sûrement pour d'autres. Je m'en contrefous de la nature du sang, de toute façon, je n'aurais rien à y dire non plus vu celui de ma famille. J'ai vu beaucoup de sangs-purs plus vulnérables que des sangs-mêlés ou née-moldu, mais il y a toujours eu et, je crains qu'il n'y ait toujours des élites qui s'attachent à la dernière chose qui les valorisent par rapport aux autres. »

ϟ Le futur a toujours intéressé les sorciers, ceux-ci essayent même de lire l’avenir. Mais, toi, qu’espère tu de l’avenir, quels sont tes buts, tes espérances, mais également tes peurs et tes craintes ? Je veux tout savoir,
« Je ne sais absolument pas ce que me réserve le futur. Je préfère me dire que je le façonne moi-même plutôt que d'attendre bêtement que des prédictions stupides se réalisent. Je n'attends plus grand-chose de l'avenir et, n'ai pas vraiment de buts en particulier, encore moins d'espérances. Je ne serais même pas où je serai demain si la situation venait à s'envenimer, ou, si l'on commençait à trop en apprendre sur moi. Alors dans dix ans... Mes peurs et mes craintes ? Ça ne vous regarde pas. De toute façon, moi-même je ne sais plus vraiment de quoi j'ai peur, ni même de quoi je suis fait... »

ϟ Quelqu'un se fait rouer de coups dans la rue, et se fait menacer d’une baguette. Vous ne connaissez cette personne que de vu. Que faites-vous ?
« Je vais l'aider, ou, en tout cas, m'interposer. Je ne suis pas du genre à rester assis sans rien faire face à la violence, mais plutôt à y participer. Je n'aime pas particulièrement défendre les faibles, mais la violence sans but me répugne et, si la force ne résout pas l'histoire, plus de force la résoudra. Et j'avouerais que, longtemps, j'ai été du genre à rouer de coups et menacer de ma baguette, surement le suis-je encore un peu, voir beaucoup. La violence et moi, c'est une grande histoire d'amour, avec de grands hauts et de tout petit bas. »

ϟ Cancre, élève moyen, élève fainéant, élève doué ? Il est temps pour toi de me dire ce que les professeurs meurent envie de savoir : étais-tu un bon élève, ou le fauteur de trouble de la classe ?
« Je n'étais pas quelqu'un d'extrêmement brillant, mais, à l'école, j'avais des capacités et je me suis débrouillé pour les exploiter au maximum. Je voulais avoir un diplôme, m'en sortir et avoir une vie convenable, sortir de la débauche dans laquelle ma famille était, devenir quelqu'un pour de bon, être respecté. Et puis, j'ai toujours aimé savoir des choses, acquérir des connaissances, avoir un tour d'avance sur les autres, quitte à passer tout mes après-midis à la bibliothèque pour avoir les bonnes réponses en classe. Élève brillant, doué, lèche-bottes ou chouchou, tout le monde m'a donné un peu de tous les surnoms, tout ce que je peux vous dire, c'est que je me suis bougé et que, pour une fois, ça a marché. »

ϟ Quelle était ta maison à Poudlard, et pourquoi ?
« Serdaigle bien sûr. J'ai toujours eu la tête dans les livres, autant pour apprendre que pour m'échapper. Mes parents ne m'ont pas vraiment élevé dans une ambiance magique et les livres m'ont tout appris, autant à moi qu'à mon frère. C'était un salut pour moi, ces mots impeccablement imprimés, tous droit, chacun situé à la même distance de l'autre, enfin une stabilité, un repère immuable. Mes parents n'ont jamais vraiment cru en moi, j'étais juste un fils un peu à l'ouest, on me disait même un peu benêt, j'avais du mal à maîtriser mes émotions, mais, quand je m'enfermais dans une bibliothèque, tout changeait, je devenais enfin calme, j'avais enfin la paix, autant avec moi-même qu'avec les autres. »


ϟ Vous vous souvenez le jour où vous êtes allé chercher votre baguette sur le chemin de travers ? C’est Ollivander qui vous l’as vendue, mais savez vous seulement ce qu’elle contient, et de quoi est-elle composée ?
« Séquoia et plume de phénix, trente-quatre virgule cinq centimètres, plutôt élastique. Le Séquoia est un arbre qui, dans la culture populaire, porte chance, mais les baguettes faites de ce bois choisissent des sorciers déjà assez agile et cette association promet souvent de grandes choses. La plume de phénix, elle, est un des cœurs les plus rares pour une baguette et pour cause : leurs propriétaires d'origine étant des animaux très difficiles à apprivoiser, ces baguettes sont dures à maîtriser, mais permettent un large éventail magique. L'élasticité de cette baguette témoigne de la capacité d'adaptabilité du sorcier et les trente-quatre virgule cinq centimètres de sa puissance assez remarquable. Enfin, tout cela ne sont que les dires d'un vieux marchand de baguettes. Ce que j'en sais de cette baguette, c'est qu'elle est parfaite et jamais, oh non jamais, elle ne m'a fait faux bond. »

ϟ L'HISTOIRE FORGE LE CARACTERE
Tout le monde rêve de savoir de quoi un sorcier est fait, de quoi es-tu fait petit sorciers ? Je vais fouillé dans ta tête et regarder ton histoire, peut être qu’il s’agira de brides, mais les souvenirs marquants forgent le caractère et font de nous ce que nous sommes.
« Je me suis engagé. » Amaury avait posé son bagage sur la table, faisant face à ses parents de toute la hauteur que pouvait lui procurer ses dix-huit ans fraichement acquis. Nous étions en octobre 1939 et la guerre, sans vraiment faire rage, se déchainait déjà, opposant les allemands humiliés aux fiers français, un peu trop sur d'eux. « Tiens donc. » Son père, ancien combattant de la première guerre mondiale et née cracmol, le dévisagea avec son œil de verre et le pan droit de son visage déformé. Au dam de sa mère, son père était plus revenu gueule cassée que victorieux. « Je pars à midi pile. » Sa mère, nerveuse, posa son tricot et daigna enfin regarder son fils. Elle n'était pas grande, sans vraiment être petite, n'était pas vraiment belle avec des cheveux ternes et raides comme une corde, mais n'était pas vraiment moche non plus. C'était là l'essence pure des Happart : pas vraiment pure, mais pas non plus impure, pas vraiment beau sans être moche... Commun, c'était tout ce qu'on pouvait leur attribuer. « Allons bon. Et qu'est-ce que tu vas-y faire à la guerre ? » demanda-t-elle, d'une voix nerveuse. « Qu'est-ce que tu veux qu'il fasse d'autre ? Renvoyé de l'école de magie trois mois avant de passer son diplôme, pas fichu de trouver un travail, ni chez les sorciers, ni chez nous ! Il passe son temps à traîner dehors, lire des livres, écrire des poèmes sur ce tellement magnifique château de Versailles... » et il continua, ajoutant des gestes à sa voix qui prenait des tons moqueurs. Amaury serra les poings, alors que sa mère renchérissait. « Oui, mais ce n'est pas parce qu'il mène une vie de marginal qu'il faut qu'il aille se tuer à la guerre. Pis, imagine qu'il finisse dévisagé comme toi, alors qu'il n'est pas marié ! Comment est-ce qu'il nous donnera des petits enfants hein ? - Qui épouserais-ça ! Il faudrait qu'on en réussisse un, au moins ! » Ils finirent par rire, tous les deux, avant de reposer leurs regards sur leurs fils. Ils n'avaient pas toujours été méchants et moqueurs, avant, ils avaient tout essayé pour qu'Amaury mène la vie qu'ils espéraient, ne serait-ce qu'il arrive à garder un travail. En vain. Et ils avaient préféré en rire qu'en pleurer. « Qu'est ce que tu veux que je te dise ? » Cette fois, il y avait une pointe de larmes dans la voix de sa mère, à défaut d'avoir un fils feignant, elle aurait au moins aimé avoir un fils valide. « Ce n'est pas notre guerre Amaury... - Enfin, quand même ! » bondit son père. « Qu'est ce qu'il ne faut pas entendre ! Il faut défendre son pays gamin, et fissa ! C'est pour les gens comme toi qu'on a créé l'armée, alors va écrire tes poèmes au front et tue moi quelques bosches au passage ! A défaut de pouvoir te servir d'une baguette, prend un bon vieux pistolet... » dit-il, avant de se rassoir. Cela avait toujours été comme ça, la défense du pays et le patriotisme à la maison. Et puis ces allemands... Amaury avait appris à les détester sans même les connaitre. C'était peut-être bien pour ça qu'il allait les combattre. « Bon... » Il embrassa sa mère, puis son père avant de jeter son bagage sur ses épaules et de sortir silencieusement dans la brume d'octobre, sentant les regards pesant derrière son dos, celui plein d'espoir et de fierté de son père et, celui plein de tristesse de sa mère. Et l'enfer commença quelques mois plus tard.

ϟ REPELLO MOLDUM
ϟ PSEUDO/PRENOM, Mouton, peut-être plus connu sous le nom de Lala ?
ϟ AVATAR CHOISI, Joaquin Phoenix.
ϟ UN COMMENTAIRE, Quitte à avoir totalement la classe, je préfère vous dire que je vous ai mit ma baguette de Pottermore *rire diabolique*.
ϟ PRESENCE, assez présente, passage tous les jours.
ϟ PARRAINAGE,Nop, merci quand même.
ϟ LE MOT MAGIQUE,Poudre de perlimpinpin, poudre d’escampette et poudre à cheminette


Dernière édition par Calixte A. Hapart le Sam 21 Avr - 15:39, édité 13 fois
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L’enfer, c’est les autres †  Vide
MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyDim 15 Avr - 19:46


ϟ L'HISTOIRE FORGE LE CARACTERE

C'est pendant la guerre qu'il put le mieux travailler son don de métamorphomage. Il ne l'avait jamais vraiment utilisé avant, ne lui donnait aucune importance, mais la boue et les bombardements constants l'avait fait changer d'avis. Toutes les nuits, quand sa vieille paillasse emplit de rats ne lui permettait pas de dormir, il se recroquevillait, son visage se crispait et, devant un petit miroir, il se voyait changer. Au début, c'était maladroit, peu concluant, puis, au fil des nuits, il pouvait devenir qui il voulait. Amaury avait d'abord penser à déserter, le choc avait été dur : on lui avait rasé ses cheveux et jeté dans la boue avec une arme et des camarades qu'il ne connaissait toujours pas, il préférait se mettre à l'écart pour retranscrire tout ce qu'il vivait et conservait avec une minutie incroyable tous ses écrits dans une de ses poches, amplifiés magiquement. Il ne quittait jamais sa baguette, toujours appuyé contre son cœur, même s'il n'avait pas le droit de s'en servir ici, sans compter qu'il n'y avait avec lui que des moldus. Il avait observé, puis lancer quelques mots mais, face à l'interrogation générale, avait fini par comprendre : il était encore seul. Mais il ne voulait pas déserter. Où aller ? S'il partait, il pourrait au moins se réfugier dans le monde sorcier, mais son père le tuerait, ou le renierait, même sa mère n'oserait sûrement pas lui parler, oui, il serait revenu entier, mais en traître. Alors il resta dans sa petite tranchée, au nord, loin de son Versailles natale, à grattouiller des feuilles de papier noirci par la boue, en attendant. Ce n'est que pendant la Blitzkrieg qu'il comprit que tout était perdu et, en un claquement de doigt, il se retrouva de l'autre côté du front à prendre l'apparence d'un certain Vladimir Baranov, mort au combat. Garder l'apparence de quelqu'un pendant plusieurs heures était particulièrement dur, mais les soldats étaient tellement sales que quand il redevenait lui-même, la différence n'était pas flagrante. Parler le russe et, le comprendre, était la chose la plus dure, mais Amaury resta muré dans son silence, sa seule forme de courage étant ses actes suicidaires, où il avançait en plein no man's land en évitant les balles, allait « nettoyer » les tranchés ennemis à coup de grenades... Les quelques potions qu'il avait réussi à fabrique durant de longues nuits blanches lui avaient été bien utiles. Preuve de sa grande insouciance – ou arrogance ? - il alla jusqu'à pénétrer dans une tranchée allemande et en ramener quelques documents secrets sur les prochaines attaques menées. Rien de très important ou décisif, mais ses camarades était on ne peut plus fière de lui, bien qu'il ne sache pas qu'il avait fallu qu'il prenne l'apparence d'un allemand en quelques secondes. Leningrad, Stalingrad jusqu'à la liberation de Berlin, Amaury ne lâcha pas un seul combat, tirant avec véhémence sur ses ennemis. Puis la jonction avec les troupes américaines, le suicide d'Hitler précipitèrent la fin de la guerre et, encore, il se retrouva chez lui, une médaille accrochée à sa poitrine, ses nuits hantées par les bombardements, les mitrailleuses et tous les visages de ceux qu'il avait tué et dont il avait eu le temps de se les remémorer pendant les mois suivants où il glanait dans les rues pavés en ruine de sa ville qu'il aimait tant.


Après la guerre, il n'était plus le même. La tension qui régnait entre l'Amérique et les Soviétiques, il s'en foutait bien, à la guerre d'Algérie, on ne lui avait même pas demandé de venir – ou alors sa mère avait caché la lettre. Non, l'évènement marquant, ce fut le suicide de sa mère, sans raison apparente, un beau matin de juillet 1958. Comme ça. Amaury, qui avait enfin trouvé un travail – si on pouvait voir le fait que soigneur de hiboux à la poste magique était un travail – son père, un peu moins amère que d'habitude, la fête nationale battait son plein et là, au matin, entre deux serpentins, les pieds de sa mère se balançaient trente centimètres au-dessus du sol. Le pire dans l'histoire, c'est qu'elle s'était faite belle, ses joues étaient encore rosées et ses yeux fermés, recouvert d'un bleu délicat, lui donnait une impression de calme et de repos, comme si elle faisait une simple sieste, ses cheveux raides un peu plus souples qu'à l'habitude lui donnait de la douceur. Elle fut enterrée trois jours plus tard, entouré de toute sa famille natale dans une petite ville campagnarde du nord de la France. « Bon. » dit son père, alors qu'ils n'étaient plus que deux devant la tombe descendue en terre de sa mère. Il croisa ses mains derrière son dos, laissant sa maigre ossature cuire au soleil, ses cheveux grisonnants reflétant l'éclat du soleil. « Écoutes mon garçon, demain, tu iras donner ta démission. Je vais vendre l'appartement et on retournera en Angleterre, chez un de tes oncles. Je te trouverais du travail et un autre appartement. » Amaury se crispa, dévisageant son père. « Et... Si je veux rester ici ? » son père le dévisagea, inquisiteur. « Tu ne resteras pas ici. - Mais... Je ne comprends pas ! Depuis que je suis née tu n'arrêtes pas de me rabâcher les oreilles avec ce si beau pays qu'est la France, le fait qu'il faut le défendre... Je l'ai défendu ! Et maintenant on le quitte ?! » Son père soupira et laissa passer quelques instants avant de répondre. « Il n'y a plus rien à défendre maintenant... » dit-il, en fixant le cercueil de la défunte avant de partir, suivi par Amaury. Il n'avait rien trouvé à y répondre, préférant suivre en silence. De toute façon, si son père paraît sans lui, qu'allait-il devenir ? Son travail ne lui donnait pas assez d'argent pour qu'il puisse vraiment être indépendant. Du haut de ses 37 ans, Amaury n'était toujours pas capable de vivre sans l'aide de ses parents. C'était peut-être à cause de ça que c'était suicidé sa mère après tout, un mariage plutôt raté, son seul enfant raté... Tout était raté ici, alors autant partir.

En 1960, son père se remaria. La pilule aurait pu passer plus facilement si, dans sa soixantaine, il ne s'était pas trouvé une jolie petite sorcière de quarante ans. Elle avait son âge ! Amaury serrait les poings à chaque fois qu'il les voyait ensemble. Et qu'est ce qu'elle lui trouvait ? Il n'était pas bien riche, son père avait pour seule retraite celle de l'armée et n'avait pas vraiment un compte en banque redondant, juste de quoi vivre normalement. La seule chose qu'avait pu lui amener ce mariage, c'était un appartement en plein cœur du Londres magique et, une petite dépression qu'il noyait dans l'alcool. Amaury était perdu, il ne suivait pas son père, qui, hier encore pleurait sa mère et aujourd'hui se mariait. Il avait le mal du pays, trouvant les anglais moroses, le temps morose, les maisons moroses... Tout ici manquait de vie, tout. Et il n'arrivait toujours pas à dormir, ses nuits hantés par les bruits assourdissants de la guerre, ses camarades agonisants bruyamment à la lune. Il n'arrivait plus à rien, il souffrait et, tout ce qui semblait le maintenir en vie, c'était l'alcool, qu'il buvait dans les bars malfamés des sous quartiers de Londres jusqu'aux heures oubliées de la nuit. Presque tous les soirs, des bagarres éclataient, et il était rare qu'on ne l'insulte pas, lui et ses cheveux longs, son allure marginal, ses récits de moldus... Il n'en fallait pas plus pour qu'il éclate, gratifiant ses ennemis de ses poings, jouant de sa baguette. A force, son esprit embrumé ne distinguait bientôt plus le jour des nuits, les hallucinations des rêves et, à plusieurs reprises, sans vraiment savoir si c'était encore une énième hallucination ou la vérité, il se voyait pointer sa baguette sur un autre ivrogne et lancer le sort interdit dans les méandres de la nuit. Il rentrait en titubant, n'ayant souvent même plus la force d'ouvrir la porte, dormant sur son paillasson, emplit des secousses et des tressautement de ses cauchemars. Il ne savait même pas combien d'années il avait passé ainsi, oscillant entre l'alcool et les filles peu fréquentables qui lui offraient leurs charmes pour quelques histoires qui leurs permettaient de s'évader quelques instants. Amaury avait déjà fréquenté des filles, mais celle là lui portait vraiment de l'attention, elles aimaient se voir transformé tantôt en princesse perse, tantôt en soldat libératrice d'un pays. Son père ne veillait plus sur lui, ne lui allouant qu'une pension lui permettant de vivre – ou plutôt de boire – durant un mois. Jusqu'à ce qu'il vienne le chercher, lui lançant de l'eau à la figure, le baffant, le sommant de laisser « les putes » à leur place. Amaury finit par retourner chez son père, ne quittant pas la bibliothèque où il écrivait tout et n'importe quoi, mais aussi dévorait n'importe quelle livre, ne sortant que pour en acheter quelques-uns. Alors qu'il était enfermé, il entendait souvent un bébé crier, pleurer ou bien sa belle-mère dans le jardin, jouant avec le bambin. Un enfant. Mais pourquoi son père, diantre, avait-il fait un enfant ? Calixte Amaury Hapart. « J'espère au moins que celui là réussira quelque chose dans sa vie » avait dit son père, l'air sceptique en regardant le nouveau-née.


A défaut d'être une belle-mère parfaite, la nouvelle femme de son père avait été une vraie mère. Elle lui apportait à manger, essayait de parler avec lui, lui coupait ses cheveux toujours trop long, le faisait sortir et jouer avec le petit Calixte. Amaury aimait bien cette nouvelle présence féminine, mais il détestait l'enfant bien qu'il resta bien souvent avec lui, compensant l'absence du père par des livres. Il lui lisait tout, des choses bien trop compliqués pour son âge, et des histoires, les contes de Beedle le Barde autant que les anciennes légendes... Puis, le jour où l'enfant parti pour Poudlard, Amaury se retrouva encore seul avec son père et sa belle-mère. Quand l'ambiance devenait trop lourde, son père devenant sénile avec l'âge, il résistait à l'envie de s'enfuir en ville, aller se consoler dans les bras des filles de joies. Elles l'avaient sûrement oublié, alors qu'Amaury la nuit pensait à elles autant qu'à la guerre. Tous semblait le hanter. Puis, quand l'enfant – le bâtard, comme Amaury l'appelait – revint, son père mourut. C'était aussi rapide que pour sa mère, il était descendu au matin et l'avait trouvé dans son fauteuil, l'œil de verre fixant encore le feu éteint qui crachotait des flammes par moment. C'était difficile à croire, mais, la vieille, il s'était longuement entretenu avec Amaury, comme s'il avait pressenti sa mort. Ils avaient parlé de sa nouvelle femme, de l'ancienne aussi, de la guerre, de l'importance d'oublier, de pardonner. Amaury n'avait jamais connu son père aussi sage et aussi proche de lui. Mais c'était ses dernières phrases qui l'avait le plus troublé. « C'est de ma faute tout ça Amaury, ta vie en bout de chandelle. J'aurais aimé être plus présent, mais je n'ai jamais vraiment su comment m'y prendre avec toi... Quand tu étais petit, tu piquais une colère à chaque fois que j'essayais de t'interdire quelque chose. Mais le jour où je partirais, je veux que tu saches que je t'ai laissé quelque chose, une occasion de recommencer ta vie... » et il n'avait voulu en dire plus, chassant toutes les questions de son fils d'un revers de main. Amaury insista, mais fini par aller se coucher. Et le lendemain, il était mort, raide, dans son fauteuil. Quelques jours plus tard, après l'enterrement, le sorcier tourmenté se retrouva dans sa cuisine à vider une bouteille, jusqu'à ce que le petit Calixte vienne le déranger. Il voulait sortir, il ne se sentait pas bien, mais tout ce qu'Amaury entendait, c'était les paroles de son père... « je t'ai laissé quelque chose, une occasion de recommencer ta vie... ». Alors Amaury se leva et, emmena l'enfant dehors, avec lui, traversant les rues de sa démarche titubante, retrouvant avec peine les chemins qu'il aimait tant arpenter quelques années plus tôt. Les filles étaient tellement contentes de le revoir, elles assirent l'enfant et tous réclamèrent une histoire. Alors Amaury raconta la mort de son père, brièvement, avec quelques larmes dans la voie, avant de déposer un sac emplit de gallions – au moins cinq-cent pièces – sur la table. « Débarrassez m'en. Je veux une tombe décente, où vous voulez, mais anonyme. » Elles se dévisagèrent, regardant l'enfant. Puis l'une d'entre elle se leva, attrapa le sac et le soupesa. Un certain William s'en occupera. « Bien. Je veux une inscription sur la tombe. » Il leur tendit un petit papier, griffonné à la va vite, alors qu'il donna un dernier regard sur l'enfant. Il lui caressa les cheveux avec un petit sourire hésitant, avant de partir. Il savait qu'il ne le reverrait plus jamais et, sur tout le chemin du retour, il se remémora ses traits, sa voix. Une fois de retour à la maison, il balança la bouteille d'alcool et écrit une lettre d'adieu, en son nom à lui. Il l'adressa à sa belle-mère, disant qu'il était désolé, mais qu'il ne pouvait supporter de vivre ainsi, qu'il espérait pouvoir commencer une nouvelle vie sans embûche et donc, qu'il partait. Le reste de la nuit, il la passa dans la chambre de l'enfant, devant le miroir, avec une photo, changeant minutieusement ses traits. « Je m'appelle Calixte. » Il le répéta plusieurs fois, essayant de s'en convaincre. « Je m'appelle Calixte. »


« Calixte, je veux divorcer. » Le sorcier posa son muffin, passant une main dans ses cheveux ébouriffés. « A sept heures et demie du matin ? » Il regarda sa femme, assise en face de lui, qui portait une de ses chemises comme pyjamas. Le temps avait passé depuis ses douze ans, il était sorti avec une bonne mention de Poudlard, avait mené des études en soins aux créatures magiques – il s'était d'ailleurs découvert une passion pour les dragons lors d'un voyage en Roumanie, lors de sa quatrième année – même mené quelques thèses. Il avait un travail stable et était marié à une des plus belles femmes selon lui. Il l'avait connu à Poudlard, lors d'un cours commun en sixième année, mais à l'époque ils n'étaient qu'amis. Jamais ils n'auraient envisagé de sortir ensemble, mais le destin en avait voulu autrement quand ils s'étaient recroisés quelques années plus tard. Et voilà que maintenant, elle voulait divorcer ? Calixte ne la croyait pas vraiment. Ils aimaient bien se faire des petites blagues parfois, mais celle la n'était pas vraiment drôle. « Je suis sérieuse. » Elle croisa les bras, sa chevelure de feu retombant sur ses épaules. Calixte resta interdit, ne sachant vraiment que penser. Il avait gagné en maturité depuis qu'il était Calixte, il n'était presque plus hanté par son ancienne vie, il gagnait bien sa vie, il était intelligent – certes un peu arrogant. Et puis il l'aimait. Il aimait enfin quelqu'un. Alors pourquoi voulait-elle partir ? « Mais... Pourquoi ? » Ils restèrent tous les deux silencieux, les yeux de Calixte changeant légèrement de couleur. C'était comme ça à chaque fois qu'il ne parvenait pas à maîtriser ses sentiments, ce n'était pas ses cheveux, comme à la plupart des métamorphomages, mais ses yeux qui prenaient une teinte différente. « Je... Je ne sais pas. » Elle regarda ailleurs, comme gênée. « C'est juste que... Ce n'est plus comme avant. Je ne sais pas. Je n'ai plus la sensation d'être amoureuse... » Elle se tut, laissant encore les minutes défiler dans un silence assassin. Elle le tuait, littéralement. Si elle paraît, il allait recommencer à s'autodétruire, il le savait. « Mais... On peut peut-être essayer d'arranger ça... » Sa voix était brisée, chevrotante. Elle se leva, venant encercler de ses bras réconfortants Calixte, appuyant sa tête sur celle du sorcier. « Je ne veux pas que tu partes. » dit-il, tout en enlaçant sa taille aussi fort qu'il le pouvait. « Qu'est-ce que j'ai mal fait ? - Rien, rien. » dit-elle, tout en lui caressant les cheveux. « C'est juste que... Je me sens prisonnière Calixte. C'est toujours la même chose, toujours la même routine, les mêmes réflexions... Comme si tu avais arrêté d'avancer. » Ils restèrent ainsi plusieurs minutes encore, avant que l'horloge ne sonne huit heures. Mais Calixte serrait toujours sa femme aussi fort. « Laisse-moi partir Calixte, s'il te plait. » A contre-cœur, il finit par relâcher l'étreinte et elle s'en alla en dans leurs chambres avant de partir travailler. Avant de fermer la porte, elle se retourna vers lui. « Je suis vraiment désolée mais je ne suis plus heureuse comme ça. J'espère que tu comprends. » dit-elle, avant de fermer la porte. C'était la dernière fois qu'il l'a voyait, il avait emballé toutes ses affaires et était parti dans la journée, sans laisser de mot, un peu comme un voleur. Il avait facilement trouvé un appartement miteux dans les sous quartiers de Londres qu'il avait si bien connu et, y avait passé trois heures, recroqueviller dans son lit, à pleurer sur une photo de sa belle. Quand il osa enfin se regarder dans le miroir, il sursauta en découvrant des traits creusés et, ridés. C'était ceux d'un vieux. Il s'arrangea en quelques minutes, retrouvant la beauté de son petit frère. Il quitta son travail, se trouva un nouvel appartement, changea de routine pour ne pas se rappeler sa femme, ou plutôt, son ex-femme. C'est d'ailleurs cette année qu'il trouva un poste de professeur à Poudlard. Ce n'était pas un des meilleurs postes qu'il pouvait espérer, mais allait s'enfermer dans ce bon vieux château de Poudlard ne pouvait lui faire que du bien et le maintiendrait loin des quartiers peu fréquentables qu'il aimait tant.



Dernière édition par Calixte A. Hapart le Sam 21 Avr - 15:39, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyDim 15 Avr - 19:51

MON AGNEAU ! Enfin mouton... Ca fait plaisir de te voir ici ! Après mon accueil on ne peut plus désagréable (mais joué bien sur ), je me rattrape L’enfer, c’est les autres †  194573
Bon courage pour ta fiche, si jamais t'as besoin de quoique ce soit, hésites pas !
Hadichou est toujours en moooi L’enfer, c’est les autres †  414145 Pret à t'aider en cas de besoin :D
Prends soin de toi !
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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyDim 15 Avr - 19:58

OH MY GOD !!!!! JOEFUCKMEPHOENIX !
ce mec L’enfer, c’est les autres †  200463

Bienvenue à toi et bon courage pour ta fiche, il nous faudra un lien !!!! L’enfer, c’est les autres †  81441
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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyDim 15 Avr - 20:15

Merci Hadèsnichou d'amour love Et Lala aussi est toujours en moi \o/ ! (enfin il l'a toujours été mais bon... Passons.)

Merci Timothy, pas de problème :D !
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Tamsin Inari M-Finharvin
Tamsin Inari M-Finharvin


Patience et justice sont nos atoux. Et nous respectons la mémoire de notre chère Helga.

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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyDim 15 Avr - 20:17

Bievenue sur le forum Calixte,
Bonne chance pour t'as fiche et comme j'ai dis dans le MP si jamais tu as la moindre question sur le forum n'hésite pas.
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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyLun 16 Avr - 14:56

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche I love you
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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyLun 16 Avr - 15:04

Bienvenue sur SH, bonne chance pour ta fiche I love you

Si tu as des questions n'hésite pas mimi
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Adonis S. Harlington
Adonis S. Harlington


Je suis le préfet de Serdaigle, attention à toi, je veille au grain !

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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyLun 16 Avr - 15:09

Mon mouton <3.
On se retrouve sur un fo où nous sèmerons la joie méchanceté. <3
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyLun 16 Avr - 19:05

Joaquin Phoenix :mim: mon dieu j'adore ce mec mimi
bienvenue sur SH, et si jamais tu as des questions n'hésite pas !
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L’enfer, c’est les autres †  Vide
MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyLun 16 Avr - 19:28

Merci tout le monde :D !
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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptyJeu 19 Avr - 8:58

Oh! OH! JOAQUIN PHOENIX!!! Shocked

*part se cacher loin*

Je veux un lien avec mes deux comptes!!!! L’enfer, c’est les autres †  414145
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

first Log-in : 29/06/2010
parchemins : 8416

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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptySam 21 Avr - 19:51

je te valide L’enfer, c’est les autres †  221247
bienvenue, j'ai vraiment adoré ta présentation, je l'ai lu d'un seul trait ce qui est rare pour moi I love you je pense venir te quémander un lien dés que ta fiche sera postée mimi bref, n'oublie pas d'aller réserver ton avatar I love you et encore welcome chez nous, et chez toi L’enfer, c’est les autres †  221247
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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  EmptySam 21 Avr - 20:40

Merci \o/ !
Je n'oublie pas non, et je te réserve une jolie place dans ma fiche de liens, pas de problème (a)
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MessageSujet: Re: L’enfer, c’est les autres †    L’enfer, c’est les autres †  Empty

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