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FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮

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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮ Vide
MessageSujet: FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮   FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮ EmptyDim 29 Avr - 12:34


YSÖLDE CLAUDIA WILKES (MANCCINI)
Son prénom premier est Ysolde, celui-ci était un choix de sa mère, le second choix de sa mère mais parmi les propositions de sa mère c’était le premier choix de son père. Son second prénom est Claudia, le prénom de sa grand-mère maternelle, son troisième prénom est Morgane, le prénom qui était adoré par sa mère, littéralement – et aussi le premier choix de sa mère mais détesté par son père - , et enfin Alecto était le nom de sa grand-mère paternelle. Elle possède de nombreux prénoms, mais seul Ysolde est utilisé, ainsi que son diminutif, Ys, Ysou, ou comme sa mère l’appelait avant qu’elle ne décède, Yolt. Côté famille, soyez bien accroché. Son père se nomme Wilkes, Angus Wilkes, elle a donc hérité de ce patronyme, mais sa mère se prénommait, Amelia Manccini. Ysolde porte donc officiellement sur le papier le nom « Manccini-Wilkes », mais tout le monde dit Wilkes, d’ailleurs pendant des années elle a cru qu’il s’agissait de Wilkes tout court. Ysolde est tout juste âgée de dix neuf ans, elle est jeune, et est donc en neuvième année à Poudlard, cela fait deux ans qu’elle suit le même cursus universitaire à savoir la médicomagie. Elle est née de vingt huit décembre de l’année 1992, à huit heures quarante six à l’hopital de Sainte Mangouste. Pendant de longue année, Ysolde a cru être une Wilkes pure souche, c'est-à-dire une véritable sang pure. Pourtant, c’est faux, sa mère est de sang mêlé, son père était un moldu. Du coup, Ysolde a découvert qu’elle était de sang mêlé, mais elle le vit bien puisque depuis qu’elle a retrouvé la mémoire, elle a perdu ses préjugés concernant la nature du sang, elle est même fière d’être de sang mêlé.


"JE CROIS EN LA MAGIE, EN SA PUISSANCE INFINIE."
L’épouvantard de la jeune femme est elle-même. C’est assez étrange de se craindre soi-même, non ? Elle avait peur d’elle-même, de ce qu’elle pourrait être, un monstre comme sa sœur, une femme froide à la blondeur glaciale. Elle avait peur de se voir comme une conservatrice, aussi inhumaine que son propre père, ou que sa propre sœur. Elle a peur de se voir avec la folie luisant dans ses yeux.

Le patronus de la jeune femme n’est pas commun, il s’agit d’un petit dragon de taille moyenne qui jaillit des étincelles du bout de sa baguette. Présent dans la vie de jeune femme de façon permante, le dragon avait une importance pour elle, mais elle ignorait pourquoi. Elle maitrise le sortilège de patronus depuis pas mal de temps, mais n’a jamais eut l’occasion de s’en servir face à un vrai détraqueur.

Sa créature magique favorite est le dragon . Depuis que sa mère l’avait emmener quand elle était petite en romanie voir un éleveur de dragon – qui était à l’école avec elle – Ysolde se prise de fascination pour ces créatures majestueuses et surprenantes. Elle n’a jamais tenu à devenir éleveuse de dragon cependant, elle les aime, mais de là à s’en occuper, il y a des gens plus apte à cela qu’elle. Cependant, elle n’a « pas peur » des dragons, elle les adore.

Le sortilège favoris de la jeune femme est « Incendio », oui, et alors ? Cela ne fait pas d’elle un pyromane, mais elle aime ce sort, elle le trouve plaisant et utile aussi bien lors d’un duel que dans la vie de tout les jours, pour allumer un feu dans une cheminé par exemple. Elle aime ce sortilège, Ysolde aime le feu la chaleur, les flammes la fascine. Pour poursuivre dans la pratique de la magie, sa potion favorite est la potion de chance liquide, ou le Felix Felicis, elle adore la couleur de cette fascinante et puissante petite fiole. Ysolde pourrait bien sûr avoir besoin de chance, mais est ce une bonne chose de confier sa chance à une petite fiole ?

Elle possède une vie de vraie sorcière. La jeune femme est abonnée à Sorcière Hebdo depuis presque cinq ans et aime autant les articles de cuisines que les articles de fond sur la magie. En parlant de lecture, la jeune femme est une mordue de livres de sortilège et de potion. Ensuite, elle supporte ouvertement les Canon de Chudley, et est fière de les supporter, pendant des années elle a rêvé d’être une joueuse professionnelle, mais elle a bien sûr abandonné ses rêves. Ensuite, donc elle joue au quidditch depuis sa seconde année et a été capitaine durant de septième année. Et enfin, la jeune femme ne connait rien au monde moldu, et ne quitterait le monde sorcier pour rien au monde. Autre chose, elle déteste perdre aux echecs version sorcier.


"CE CHOIXPEAU ETAIT ETRANGE, IL ETAIT BIZARRE."
Parle moi de ton caractère tel que tu le vois toi, parles sans détours, et je t’écouterais mon enfant, Ce que je suis ? je suis une personne très très compliquée, vraiment. Choixpeau, je vais te décrire telle que j’étais lors de mon arrivé à Poudlard, pour que tu comprennes pourquoi à cette époque, Serpentard était ma maison. A l’époque j’étais amnésique depuis trois ans, et j’étais la personne la plus malléable qui soit, mon père avait fait de moi une sorte de marionnette qu’il manipulait si facilement. J’étais tellement influençable qu’il avait réussi à m’inculquer une rage, et une haine pour les sangs que l’on disait inférieur, puis, il avait réussi à me faire devenir comme ma sœur Bellatrix : insensible, inhumaine, froide, manipulatrice, et menteuse. J’étais cette enfant, je n’étais pas chétive, au contraire, j’étais prête à sortir ma baguette pour cogner quiconque venait s’en prendre à moi, j’étais loin d’être fragile. En perdant une part d’humanité, j’avais gagné en assurance, et je voulais devenir Ysölde, la fille de serpentard, belle, ardente, sûre d’elle, et dont la seule évocation du nom allait faire peur, provoquer le respect. J’avais tout de la serpentard, n’est ce pas ? Au delà de cela je restais cette enfant brillante que j’avais été, posant sans cesse des questions perspicaces en cours. A l’époque, je ne laissais personne me marcher dessus, ou personne me dire que je n’était qu’une petite intello, à cette époque là, j’avais le poignet leste et ma baguette ne servait pas de décoration. En grandissant, je suis devenue de pire en pire, gagnant ce statu de serpentard intouchable, enfin c’est ce que j’avais cru. Aujourd’hui : je ne suis plus cette gamine capricieuse, froide, et manipulatrice. Quand je me regarde dans le miroir, j’ai l’impression d’être quelqu’un d’autre de regarder derrière moi et de voir cette inconnue qui a dirigé ma vie. A ce jour, j’ai perdu mon esprit de manipulation, et j’ai retrouvé l’enfant que j’étais avant cette fameuse amnésie. Drôle, souriante, plein de vie : sauf que je n’avais pas encore trouvé cette joie, parce que ma vie est un sacré bordel, vraiment. Ma vie est un sacré bordeln regardez-là : je n’ai plus que le nom de Wilkes, mais à quoi rime-t-il j’ai l’impression de ne rien avoir en commun avec eux, ces monstres. Je suis reste brillante, même très brillante, ce n’est pas pour rien que je suis des études de médicomagie, et en parallèle, j’ai demandé à suivre des cours de divination pour ma culture personnelle, notamment parce que je suis voyante, et que j’ai peur de ce don. Si je devais être de nouveau répartie aujourd’hui, je serais sans l’ombre d’une doute, une serdaigle, brillante, intelligente, sage, parce contre, je ne suis toujours pas patiente. Cela fait parti de mon caractère : un caractère de feu.

Bien, que penses-tu de la création de la maison Grindlemonk, et quelle importance accordes tu à la nature du sang de tes camarades, Quand cette maison a été créée j’étais encore sous le joug de mon père, et de mon fiancé, cela me paraissait totalement normal. Pourquoi ? Parce que d’après les dire de mon crétin de père, ma mère avait soit disant été tuée par des moldus, alors il était normal qu’à l’époque je leur voue une sort de haine. Je les détestais tellement à l’époque, mais aujourd’hui, maintenant que je connais la vérité j’ai quelques fois du mal à me décrocher de cette haine qui mine de rien est ancré en moi. Je pense pas que le sang fasse quelques choses, mais que les sorciers qui ne sont pas capable de tenir une baguette – quelques soit leur sang – soient parqué dans un coin, eux ne méritent pas de tenir une baguette.

Le futur a toujours intéressé les sorciers, ceux-ci essayent même de lire l’avenir. Mais, toi, qu’espère tu de l’avenir, quels sont tes buts, tes espérances, mais également tes peurs et tes craintes ? Je veux tout savoir, Le futur ? Pour moi, ce terme prend un tout autre sens vous savez. Je suis voyante, on peut dire que j’ai le don de double vue, le troisième œil. Alors si je voulais connaitre mon futur, il me suffirait de me concentrer, et peut être que j’aurais une vision de celui-ci. Une fois j’ai eut une vision du futur, et ce qu’elle m’a appris c’est que l’avenir n’est pas figé dans la pierre, et que nos choix l’influence. Je ne sais pas si un jour je serais mariée, peut être mais j’ai tellement du mal avec l’amour, que j’ai décidé de ne plus ouvrir mon cœur à n’importe qui. Cette vision qui ne se réalisera jamais m’avait montré mère, et je me dis qu’être un jour mère me ferait plaisir, mais j’ai peur de ne pas être à la hauteur moi qui ai grandit sans une mère, sur qui pourrais-je prendre modèle ? peut être sur ma tante, après tout je sais, j’espère, qu’un jour je pourrais compter sur elle. Mari, enfant… un jour, peut être. En ce qui concerne mon métier, je souhaite devenir médicomage, et si possible en traumatologie, c'est-à-dire dans un service d’urgence, j’aime quand il y a de l’action.

Un de tes camarades se fait rouer de coups dans un couloir, et se fait menacer d’une baguette. Vous ne connaissez cette personne que de vu, ou simplement parce que vous êtes en cours avec elle. Que faites-vous ? Je ne suis pas sûr d’être très courageuse alors cela dépend de beaucoup de chose. S’il s’agit d’un de mes anciens ennemis de serpentard alors… je ne suis pas sûr que j’irais lui porter secours, je ne porte secours qu’aux gens qui méritent ma considération et mon amitié. Alors, comme je n’ai pas beaucoup d’ami, je n’irais pas porter secours à beaucoup de monde. Mais, si c’est un de mes amis, ou une personne que j’apprécie, son assaillant n’a qu’à bien se tenir parce qu’il va avoir à faire à une sorcière qui a dévoré ses livres de défense contre les forces du mal, et je vais lui botter les fesses ! Vraiment. Si c’est une personne qui en vaut la peine, alors je peux faire quelques choses de bien pour une fois.

Cancre, élève moyen, élève fainéant, élève doué ? Il est temps pour toi de me dire ce que les professeurs meurent envie de savoir :es-tu un bon élève, ou le fauteur de trouble de la classe ? Vous savez ce qu’est une élève brillante ? Sans vouloir me vanter, c’est moi. Je suis l’élève la plus brillante qu’il y ai eut à Poudlard depuis quelques temps, d’après l’ancien directeur de ma maison, je pourrais même avoir été l’une des élèves préférée de Rowena Serdaigle si j’avais vécu en son temps, parce que je suis tout ce qu’une serdaigle devrait être. Brillante, intelligente, persévérante, je ne supporte pas rester sur un échec par exemple. Il ne m’arrive pas souvent d’échouer, mais personne n’est invincible, moi la première. Je commence mes livres scolaires pendant les vacances d’été, on peut dire que je prends une sorte d’avance pour ma conforter. J’ai sans cesse l’impression que je vais échouer, et j’ai peur de rater ce que j’entreprends. En cursus médicomagie, ma tante dirige l’un des cours, et mine de rien cela me dérange d’avoir une connaissance en cours, bien que je l’adore, parfois je peux sans doute lui paraitre terriblement froide, et j’en suis désolé, mais le travail est ce qu’il y a de plus important.

Si c'était à vous de choisi votre maison, quelle serait-elle ? Et surtout, pourquoi penseriez vous êtes digne d'être membre de cette maison ? J'aime avoir les avis de tout le monde. A première vu, j’aurais aimé aller à serdaigle, pour moi c’était la maison rêvé, j’étais brillante –je le suis toujours- et hélas mais maison est devenue serpentard, peut être parce qu’à l’époque j’avais été conditionné pour faire partie des serpentards, à l’époque mon père aurait vécu mon envoie à serdaigle et dans n’importe quelle autre maison comme un echec.

Vous vous souvenez le jour où vous êtes allé chercher votre baguette sur le chemin de travers ? C’est Ollivander qui vous l’as vendue, mais savez vous seulement ce qu’elle contient, et de quoi est-elle composée ? La baguette d'Ysolde est un peu étrange. Elle mesure trente huit centimètre. En bois d'amarante, un bois rare et précieux, elle est d'une couleur un peu différent. a une teinte caractéristique violette plus ou moins foncée. Sa couleur a tendance à foncer une fois le bois mis en œuvre, mais cette évolution est lente et demande plusieurs années. Au moment du sciage, le cœur fraîchement coupé est presque blanc, mais vire au violet très rapidement à la lumière. Aujourd'hui, elle est presque violette foncée. Sa baguette contient de la poussière d'écailles de Dragon mélangé avec un ventricule de dragon. Étrange cocktail pour une baguette assez dure à contrôler. C'est baguette puissante, et très rigide. Ce cher ollivander a été surpris du choix de baguette, et dit qu'elle était dans son échoppe depuis longtemps, mais personne n'avait réussi à la tenir. Il s'agit d'une très puissante baguette, la sorcière est appelé à faire de grande chose.


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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


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FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮ Vide
MessageSujet: Re: FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮   FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮ EmptyDim 29 Avr - 13:26




"PROLOGUE : BEFORE THE FALL."
Amelia Manccini, la fille d’un couple d’italien, la jeune fille était une jeune fille peu conventionnelle si je puis le dire. Les cheveux aussi noirs que l’ébène, des yeux bruns, et vert foncé, sous la lumière du soleil d’Italie ils prenaient une teinte plus clair, comme si la magie de ce pays illuminait le regard de cette jeune fille. Elle était la fille de Claudia et d’un homme qui après la naissance de sa petite sœur Sofia avait mis les voiles. Enfin, il était parti quand la petite amelia avait commencé à découvrir ses pouvoirs, quelle était la cause exacte de ce départ ? Amelia s’est ai toujours affreusement senti coupable et a rejeter la faute sur sa mère, incapable de lui avoir avouer que ses filles allaient être des sorcières, elle n’avait jamais accepté la lâcheté de sa mère, jamais. Depuis ce jour la jeune Manccini en avait voulu à sa mère de n’avoir rien fait pour le retenir, et depuis ce jour le conflit entre mère et fille n’avait jamais vraiment pris fin. Amelia n’était pas une élève brillante, mais elle se débrouillait comme une chef dans le soin aux créatures magiques, et particulièrement dans l’élevage de ceux-ci. Elle avait un très bon feeling avec les créatures magique, alors ce n’était pas pour rien qu’elle avait deux chats et un hibou à charge dans la maison de sa mère. A beauxbâton, Amelia était un peu une trouble fête, et à chaque fois Madame Maxime lui disait qu’il y avait d’autre moyen d’attirer la colère de sa mère, autrement qu’en enceindiant une table de cours, ou qu’en jetant des livres de la bibliothèque par la fenêtre. Amelia n’était pas forcément un modèle pour sa petite sœur Sofia, mais elle y tenait tellement à cette petite sœur. Elève dissipé, elle s’était faite remarqué lors d’un tournois des trois sorciers en sortant avec un élève de Poudlard, à l’époque plus vieux q’elle, elle s’était attirée les foudres de Madame Maxime, et aussi de sa mère. Ce jeune homme se nommait alors Ashton McFays, et il était blond, beau, et grand, bref, un beau garçon. L’été suivant, il plu beaucoup à sa mère. Il était calme, posé, brillant, et Lord qui plu ai. Amelia et lui filaient le parfait amour, et elle allait passé tous ses étés avec lui, délaissant parfois sa petite sœur Sofia avec qui elle avait cinq années de différence.

***

Lia. Ou Amelia, peut importe, Ashton l’appelait tout le temps Lia, comme si c’était leur petit surnom à l’un et l’autre. Blotti contre lui, elle fut réveillée par ses mouvements, il semblait faire un cauchemar. Il était blond et beau quand il dormait. Elle l’aimait tellement, elle qui pourtant n’avait jamais réussi à garder un vrai petit ami. Depuis qu’ils sortaient ensemble, ils passaient leur vacances ensemble, et Amelia avait fait une crise à sa mère quand celle-ci avait refusé de la transférer à Poudlard, elle aurait pu changer sans l’avis de sa mère mais était restée pour Sofia. Elle le secoua doucement pour qu’il se réveille de ce cauchemar qu’il semblait faire. Doucement il ouvrit ses yeux verts, et regarda la brune italienne, avec un léger sourire.« Mauvais rêve, mio amore ? » Elle avait le don de glisser des mots d’italien dés qu’elle le pouvait. « Rien de grave, je pensais à un truc… Rien de grave mia Bella. » Sauf qu’on ne mentait pas à Amelia, cette personne n’était pas encore née. Elle lui adressa un regard inquisiteur et dit alors doucement « Raconte-moi. »Elle était douce avec lui, alors qu’elle avait un caractère tant enflammé parfois. « Hier ma mère m’a dit qu’elle avait fait un mauvais rêve tu sais qu’elle a des… » Amelia le coupa alors « Des visions, je sais. Qu’est ce qu’elle t’a raconté ? »Il marqua une pause, et baissa le regarda avant de la serrer d’avantage contre lui, et d’embrasser son front :« Elle t’a vu mourir, toi, et une petite fille blonde. »Amelia leva les yeux vers Ashton, interdite. Sa mort, et petite fille blonde dans la même phrase la choquait terriblement, et elle articula alors : « Tu… tu crois que ça serait… ‘’notre’’ fille ? » Elle préférait esquisser le sujet de la mort, et Ashton ajouta : « Peut être, à moins qu’un autre blond ait prévu de te dérober à moi. Mais… je ne veux pas te perdre. » Amelia se pencha alors pour l’embrasser, et murmura alors : « Tu ne me perdras jamais. » Elle le serra contre elle, posant sa tête sur son épaule, et regardant le vide derrière lui. Elle ne pouvait tenir cette promesse, la perspective d’une mort l’effrayait tellement. Si en restant avec lui elle courrait à la mort, alors elle ne pourrait le suivre, c’était un fait, c’était la peur, c’était humain.

***

« Ashton est un type bien, sa mère m’a parlé de vos fian… » Commença alors la mère d’Amelia avant d’être coupé par sa fille, tout juste dix sept ans. « Il n’y aura ni fiançailles, ni mariage, je l’ai quitté hier soir. » Sa voix était tranchante. Sa mère la regarda les yeux grand ouvert, et à table Sofia regarda sa sœur bouche bée. Amelia filait le parfait amour avec Ashton depuis bien deux ans, et elle jetait tout comme ça, d’un coup. « Mais, elle m’a dit que… » tenta alors sa mère. « Elle n’est sans doute pas au courant de notre discussion d’hier. J’ai rencontré quelqu’un. » Quelqu’un, ce quelqu’un était un certain Angus Wilkes, veuf, deux enfants, deux enfants en bas âge, et elle avait en effet rencontré ce quelqu’un, séduisant, sang pur. Le sang n’intéressait pas Amelia, elle s’était éprise de lui et l’avait perçu comme le moyen d’échapper à la vision de la mère d’Ashton il était peut être légèrement blond, mais c’était mieux ainsi, au moins elle ne mourrait pas, elle mettait les chances de son côté. « Comment tu peux faire ça à Ashton, il t’aime et… » « Il est stupide de m’aimer, il en trouvera d’autre. » Amelia se leva alors de table, et grimaça alors : « J’ai pas faim. » Elle se leva et poussa sa chaise avec violence, quand sa petite sœur Sofia alors : « Amelia tu… » « Ne commence pa Sofia, je croyais que tu me comprenais toi ! » Amelia était en rage ce jour là, elle claqua la porte de la cuisine, et monta les escaliers en courant pour aller vomir dans les toilettes. Le repas de sa mère était infecte, ou alors… pour elle il n’y avait que cette solution, et pourtant.


***

« Amelia, c’est de la folie. » dit alors la mère d'Amelia, hors d'elle ! « Je pense être assez grande pour décider de ce que je veux vraiment. » répondit une jeune femme âgée de moins d’une vingtaine d’année - Amelia. « Mais, enfin, il est plus vieux que toi, et il a déjà des enfants… » Elle fut coupé « mais je m’en moque, te préoccupe-tu une seconde de mes sentiments où es tu trop arrogante pour penser à tes propres enfants maman ?! ». La mère se nommé Claudia Manccini et était une sorcière séparé depuis quelques temps de son mari, qui avait fuit à la seconde où il avait découvert que ses filles étaient des sorciers, un lâche. La fille était Amelia Manccini , âgé de tout juste dix sept ans, fraichement diplômée de Beauxbatôns et qui avait rencontré un charmant jeune homme répondant au nom de Angus Wilkes. Vous suivez ? Et, elle en était éperdument tombé amoureuse, lui qui était tout juste veuf de sa femme, Electra. Elle se moquait bien qu’il puisse avoir deux enfants, elle l’aimait, réellement. C'était l'homme qu'elle avait rencontré et pour lequel elle avait quitté Ashton. « Ecoute Maman, je suis assez grande pour décidé ce que je veux faire de ma vie, je ne te laisserais pas décider pour moi. » Amelia avait claqué la porte de la cuisine, et était passé dans la salon, sur le canapé, sa jeune sœur Sofia était assise et lisait un livre, elle avait tout juste treize ans. Amelia se pencha vers elle pour lui déposer un bisou sur la joue, et une main dans les cheveux. La mère, Claudia sorti de la cuisine et lui dit « Amelia, je t’interdit de passer cette porte ! Sois réaliste enfin, tu n’es qu’une enfant ! » Amelia se retourna vers elle, tout en faisant voler une mèche de cheveux, et répondit froidement : « Je ne suis pas une enfant, je suis au moins tout aussi responsable que toi. Je suis enceinte Maman. », Amelia salua sa petite sœur en la serrant dans ses bras, et jeta un regard noir à sa mère, puis, elle transplana sans crier gare, c’était la dernière vraie discussion qu’elle avait eut avec sa mère, la raison pour laquelle Ysolde n’avait jamais été en contact avec ses grands parents. Ysölde naissait quelques mois plus tard. Amelia était enceinte, elle était tombé enceinte quelques temps après s’être retrouvé avec Angus, et c’était lui qui l’avait découvert, il était fier d’être père de nouveau. Seulement… a la naissance d’Ysölde, Amelia vit une belle petite tête blonde bouclé avec des yeux verts. Angus n’y avait vu que du feu, clamant qu’elle ressemblait à sa mère, mais Amelia savait qu’elle ressemblait à sa grand-mère, mais pas à la mère d’Angus, à la mère d’Ashton. Mais dire à un sang pur colérique comme lui qu’il n’est pas le père serait signé l’arrêt de mort de l’enfant. Elle avait fait le choix de se taire, à jamais.


Dernière édition par Ysölde Claudia Wilkes le Mar 8 Mai - 11:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮   FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮ EmptyMar 8 Mai - 11:46




"CHAPTER ONE : IN THE DEEP "
« Maman » dit alors une petite fille aux longs cheveux blonds bouclés, elle était à peine âgé de trois ans, mais elle avait une bouille d’ange. Ysolde Wilkes-Manccini de son nom complet était née à la fin septembre de l’année où sa mère avait quitté la France pour aller s’installer en Angleterre, l’empressement de son emménagement dans ce pays étranger était qu’elle était enceinte. Amelia n’aimait pas réellement sa vie de femme au foyer, obligé de s’occuper d’une peste aux cheveux noirs, Bellatrix, et de son beau fils, Ramsey. Parfois, Amy se disait que sa mère avait eut raison de la retenir, et qu’elle aurait peut être dû l’écouter. « Oui ma chérie ? » dit alors la mère en la prenant sur ses genoux. « Dis Maman, pourquoi est ce que Bella elle t’appelle pas maman, hein ? » Amy se mordit doucement la lèvre, elle n’aimait pas les enfants de son compagnon – car il n’avait même oas épousé Amy, son sang était soit disant mêlé – elle aimait encore moins cette Bella, petite fille arrogante, et méchante. « Tu m’écoute Yolt ? Bella et Ramsey ont une autre maman, je ne suis pas leur maman. » Ysolde, que sa mère surnommait affectueusement Yolt esquissa une moue triste et dit alors « Elle est où leur maman ? » Amy se mordit de nouveau la lèvre inférieur, il était très dur d’évoquer la mort avec une enfant si jeune, elle se contenta de répondre « Leur maman est partie, et elle ne reviendra jamais. » Ysolde était triste, elle avait toujours été très empathique avec les autres. « Mais ne t’inquiète pas mon Ange, toi je ne te laisserais jamais toute seule, je te le promets, et maintenant montre moi ce beau dessin avant que ton père ne revienne. » Oui, elle le lui avait promis, mais elle ne savait pas encore qu’elle allait rompre cette promesse. La petite fille se pressa de montrer son dessin plein de couleur à sa maman, elle savait que son père n’aimait pas la voir dessiner, lui préférerait déjà qu’elle sache lire, et qu’elle aille dans sa chambre comme une grande fille. Mais, Ysolde était une enfant pleine de vie qui chahutait, et qui aimait faire des dessins, qui aurait pu lui en vouloir ? Pas un père normal en tout cas.

***

Comme chaque soir, Ysolde faisait des cauchemars qui la faisaient se réveiller en pleurs, ce soir là aussi elle avait fait un cauchemar. Elle pleurait à chaude larme et sorti alors de sa chambre son nounours à la main, en larme, elle croisa sa sœur qui passa la tête par l’encadrement de la porte pour lui dire « Tait-toi, et va se te coucher, arrête de chialer la gamine. » Ysolde lui tira la langue et s’empressa de courir vers la chambre de ses parents. Elle savait que son père n’allait pas aimer mais bon. Quand elle poussa la porte, personne. Ysolde pleurait en silence, elle voulait voir sa maman, et qu’elle la prenne dans ses bras, afin de chasser cet horrible cauchemar. Elle entendit alors du bruit émanant du bureau de son père, et à pas feutré, elle s’y dirigea, sa curiosité piquée au vif. Elle resta derrière la porte et observa alors dans l’entrebâillement dans la porte : « Arrête, je t’en supplie arrête, ANGUS ! » elle était petite, quand elle surprit une conversation de ses parents tard le soir. Elle était âgé de sept ans et demi. Son père venait de lever sa main sur sa mère, qui était presque en larme. Ysolde étouffa un cri en mordant à pleine dent son nounours. « Comment oses-tu, infâme sang mêlé ! je t’ai offert un toit, et tout ce que tu trouve à me dire c’est que tu ne peux pas élever des enfants qui ne sont pas les tiens ? SALE GARCE ! » Amelia fit un pas en arrière, et dit alors « J’ai dis que tu étais un monstre, tu as volontairement occulté cette partie ?! Tu es un monstre Angus, je ne laisserais jamais Ysolde grandir à tes côtés, je ne sais pas ce que toi et ton groupe de tarés manigancé, mais laisse Ysolde et moi hors de ça. » il eclata de rire et dit : « Tu veux que j’en fasse quoi de ma bâtarde de sang mêlé, qui pleure tout le temps ?! Ne t’avise pas de quitter cette maison, toi ou ta fille, ou je te jure que je vous retrouverais, et le sortilège de doloris te paraitra doux en comparaison de ce qui vous attend ! » Amelia resta interdite un instant, depuis qu’il fréquentait ses autres « collègues » de sang pur il était devenu agressif envers elle, et envers leur fille. Ysolde se recula de la porte avant que son père ne veuille sortir, et couru dans le couloir jusqu’à sa chambre, ou elle ferma la porte et s’enfila dans son lit, silencieuse, mais toujours en larmes. Elle entendit son père sortir, puis sa mère. Elle entendit la porte de sa chambre s’ouvrir, et vit sa mère venir s’asseoir sur son lit, et caresser les cheveux blonds de sa fille. Ysolde s’assit alors dans son lit et dit en pleurant : « Maman, j’ai fait un cauchemar. » elle éclata en sanglots, elle ne savait pas si c’était à cause de son cauchemar, ou à cause de ce qu’elle venait de voir. « Raconte-moi mon cœur. » « Et ben, on était dans une rue, et tu m’as dit que je ne serais jamais seule, et que je devais être forte, et là, on a un accident, c’est horrible maman, j’ai peur. » Ysölde pu lire une certaine frayeur sur le visage de sa mère. Celle ci se souvint alors des mots d'Ashton, cette petite était forcément sa fille, cela lui ôtait le dernier doute qu'elle aurait pu avoir. Sa mère la serra tendrement dans ses bras, et la berça doucement contre elle, et elle lui dit alors « ce n’est qu’un mauvais rêve mon cœur. » Ysolde hocha la tête et leva les yeux vers sa mère et dit alors « Alors, pourquoi est ce que l’autre soir j’ai rêvé que Père te giflait, c’est ce qu’il vient de faire ?! » Sa mère la regarda et stoppa de cligner des yeux une seconde, et serra la petite Ysolde tout contre elle avant de dire : « Je t’ai dis que je ne t’abandonnerais jamais ysolde, je te promets, je ne laisserais rien t’arriver, maintenant il faut dormir, je vais rester sur le fauteuil mon cœur. » elle baisa le front de sa fille, et la fit se recoucher dans son lit, et la borda, en la regardant d’un air rassurant, même si au fond, elle n’était pas rassurée du tout, elle avait cru qu'en laissant Ashton, elle s'éloignerait de la mort, mais elle faisait un pas de plus vers elle.

***

« Attends, Amy, tu ne me l’as jamais laissé plus d’une journée, je ne comprends pas. » dit alors une jeune femme âgé de 21 ans, brune, le sosie d’Amelia en plus jeune. Sofia, la sœur d’Amelia. « Ecoute, je pourrais le demander à maman mais, elle me dirait qu’elle me l’avait dit, je n’ai pas envie de la voir, je n’ai pas envie qu’Ysolde la voit, pour qu’elle la déteste comme elle déteste son père. » Amelia était plus stressée, et le visage plus fatiguée, elle avait fait ses bagages de la maison Wilkes qui était devenue une pison pour elle, et avait fuit quelques semaines en France avant d’être rappelé par ses devoirs. Elle était contrainte de laissé Ysolde à sa petite sœur, Sofia, elle le faisait avec joie, elle savait que Sofia prendrait soin d’elle. « Je ne te le demanderais si ça n’était pas important Sofia, j’ai besoin que tu t’occupe d’elle. Et surtout, ne laisse personne l’approcher, elle est fragile et je… » elle marqua une pause, et c’est Sofia qui repris alors : « Il vous a menacé ? » Amelia à moitié en larme hocha la tête, son « mari » avait menacé de la tuer elle et sa fille si elle quittait la maison, Amy dit alors : « Je ne pouvais pas la laisser là bas, elle ne mérite pas ça. » Sofia pris sa sœur dans ses bras qui d’habitude forte venait de fondre en larme sous ses yeux. « Ne t’inquiète pas Amy, tant qu’elle sera ici, il ne lui arrivera rien, c’est ma nièce, et crois moi, je ne laisserais rien lui arriver, je te le jure. » Sofia était sérieuse. Elles étaient toutes les deux debout dans la cuisine, la porte fermée. Dans la pièce voisine était assise Ysolde à la table de séjour, et elle lisait un livre, comme toujours, cette enfant passait son temps à lire. Les deux femmes passèrent la porte, et Amy pris sa fille dans ses bras et lui dit alors « Soit sage mon ange, tata Sofia va s’occuper de toi pendant quelques temps, maman a deux trois choses à faire et à mettre en ordre, je t’aime mon cœur. » Elle l’embrassa sur la joue, et pris la main de Sofia avant de lui murmurer « Merci. » Amelia salua sa fille tendrement de la main avant de transplanter subitement.

***
« Où est ce qu’on va ? J’ai froid, maman ! » Sa mère se stoppa alors pour la regarder et pour lui dire « Arrête tes caprices Ysolde, je t’ai dis qu’on allait à Gringotts, j’ai des choses à régler, et après, toi et moi on s’en ira d’ici, là où on ne nous retrouvera pas mon ange. »« J’étais bien mieux chez tante Sofia. » Sa mère lui prit la main, et l’entraina dans la rue. La femme et l’enfant se promenaient dans le Londres Moldu d’un pas très pressé. Amelia avait des choses à faire à Gringotts, elle avait besoin de ce qui se trouvait à l’intérieur de ce coffre. La mère était anxieuse, elle ne fermait presque pas l’œil de la nuit, et sa fille semblait triste d’avoir quitté le domicile de sa tante où on s’occupait si bien d’elle. Sa mère s’arrête brusquement sur le bord du trottoire, en face, le chaudron baveur. Elle s’arrêta et se tourna vers Ysolde, prenant en main les deux épaules de sa fille pour que celle-ci la regarde « Ysolde, mon Ange, quoi qu’il arrive, je te promets que tu ne seras jamais seule, tu auras toujours ta tante, et même si ça me fait mal de l’admettre, ta grand-mère. Mais beaucoup d’autres personnes seront prêtes à t’aider, quoi qu’il arrive, Yolt mon ange, promet moi d’être forte, tu m’entends ? » Ysolde qui faisait sa tête de cochon, laissa apparaitre une mine sérieuse et hocha la tête, et dit alors « Qu’est ce qu’il pourrait arriver maman ? » Sa mère délaissa l’épaule de sa fille pour passer une main dans ses cheveux blonds, et dit alors, la voix serrée « Je ne sais pas mon Ange, mais je t’aime très fort. » Amelia serra sa fille dans ses bras. Elles se ressemblaient comme deux gouttes d’eau, sauf la couleur de cheveux, bien sûr, Amelia avait les cheveux ébène, et Ysolde les cheveux blonds comme les blés. Les deux mêmes, à un âge différent, le seul trait physique que l’enfant avait hérité de son père était sa couleur de cheveux, et peut être un peu les yeux, mais Ysölde avait évidemment hériter du don de voyance de la famille d'Ashton. Amelia pris la main de sa fille et l’entraina vers la porte du chaudron baveur, traversant alors la route à la hâte. Amelia se sentait suivie depuis des jours, sans réellement savoir comment et pourquoi. Elle avait besoin de sa fille, elle l’emmenait à Gringotts, pour lui transmettre la totalité de son coffre, car elle était sa fille. Le transfert avait été effectué, mais elle tenait à en montrer le contenu à sa fille, et à lui expliquer ce qu’il contenait, au cas où il lui arriverait quelques chose. Amelia tirait sa fille, qui peinait à suivre son train de marche. La mère se stoppa subitement, et poussa sa fille loin d’elle, tout en lâchant brutalement sa main. Ysolde n’eut le temps se réagir, et tomba en arrière, se cognant la tête sur le trottoir.
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Ysölde M. Wilkes McFays
Ysölde M. Wilkes McFays


fondatrice -  prefète de serpentard, attention à vous, je peux éviter la retenue... ou pas.

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FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮ Vide
MessageSujet: Re: FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮   FIRE CANNOT KILL A DRAGON. ◮ EmptyMar 8 Mai - 11:53




"CHAPTER TWO : THE FALL"
Ysolde était à part de la conversation à vrai dire elle n’avait pas envie d’être là. Son voisin, Ulysse se recula pour récupéré une lettre. Avoir un coursier, quelle brillante idée, exploiter les premières années sangs de bourbe pouvait s’avérer rentable, et au moins ils serviraient à quelque chose. Elle le vit ouvrir du coin de l’œil ses lettres, puis sous la table, il lui jeta une lettre sur ses genoux. Sorti de ses pensées, elle faillit lui rétorquer d’aller se faire foutre quand elle lu en lettre manuscrite son prénom sur celle-ci. Elle leva les yeux vers lui, essayant de paraitre le plus naturel possible, quoi que ce soit, elle ne tenait pas à ce que les membres de cette table soit au courant, elle sait qu’elle la première aurait été intrigué par une fille hystérique, elle s’efforçait de garder son clame, même si malgré tout, elle avait envie de lui faire bouffé sa lettre. Qui était-il pour lui donner son courrier ? Elle ouvrit la lettre, et là ce fut le choque. Elle ne prit pas la peine de lire la suite, son visage était bouche bée, et à cet instant elle aurait été capables de faire avaler cette lettre entière à Ulysse, même s’il était tout aussi probablement victime de cela qu’elle. Elle serra la lettre dans sa petite main, et quand la boule de papier devint petite, elle la sera encore. Elle hésitait à lui sauter dessus et à le la lui faire bouffer ou l’envoyer le plus loin possible tout en espérant frapper au passage un sang de bourbe. Tout en gardant cette horreur dans sa main, sans prêter attention à la table, et à ceux qui s’y trouvait, elle se servit un verra d’eau et rempli celui d’Ulysse au passage, avec une idée bien précise en tête. Le lui balancer à la figure ? Trop facile. « Va en enfer.» Lui dit-elle a mi-voix, avant de le quitter des yeux après lui avoir jeté un regard noir. Elle aurait pu s’arrêter ici, à ces mots. Mais qui a dit qu’Ysolde se contentait de mots lorsque l’on peut illustrer son mécontentement de façon bien plus théâtrale. Il y avait ceux qui acceptaient sas rechigner, et puis il y avait les personnes comme Ysolde, fidèle à leur sang mais tellement capricieuse qu’elle n’avait jamais imaginé que son père lui fasse ce ci aussi rapidement. Il n’avait même pas eut le courage de leur annoncer en face sachant que la réaction de sa fille serait à la hauteur de son caractère. Ysolde se disait à cet instant qu’elle avait un point de vue qu’elle pouvait désormais partager avec son aîné : Ramsey. La colère, voir la haine envers le père. C’était la seule chose qu’elle lui reprochait, pour le moment, ignorant un certain nombre de chose. Elle leva sa main qui contenait la lettre en boule, froissé, Ulysse crut sans doute qu’elle allait lui jeter au visage, mais non, la jeune femme fit descendre la boule de papier dans son verre, jusqu’à ce que l’encre teinte l’eau d’un noir profond. Elle se ré-installa confortablement au fond de chaise, fière. Non, elle avait décidé de ne pas se laisser marcher sur les pieds, jamais. (...) « Lâche-moi, veux tu ? Je n’ai nullement envie de devenir une traitre à mon sang, mais je n’écarte pas non plus l’idée de faire changer mon père d’avis. »Dit-elle froide, et pour une fois avec raison, sans insultes ni coups. « Et non, je ne la porterais pas, bien que comme tu l’ais souligné il s’agisse d’or et de diamant – et sache que le diamant est le meilleur ami de la femme - parce que j’ai une vie à Poudlard, et je n’ai pas envie que le monde sache que mon père ma promise au premier crétin de sang pur qu’il a croisé. »Qui avait dit qu’elle garderait sa langue dans sa bouche ? « Alors écoute moi bien Lestrange, dans le monde des sangs purs, je vais devenir ta femme, sans doute, mais dans le monde de Poudlard ne t’avise plus jamais de me prendre la main comme tu viens de le faire, ai-je été claire ?» et se stoppa avant d'ajouter à mi voix à son oreille :« et arrête de me regarder comme ça on dirait que... t'es amoureux de moi, ressaisis-toi.»Elle n’était pas méchante à cet instant, ni en colère contre lui, c’était vers son père que toutes ses pensées étaient tournées. Elle s’en voulait presque de vouloir du mal à son paternel, mais que voulez vous, elle ne pouvait éternellement cacher sa nature de rebelle. Ulysse pu sans doute être surpris par l’absence totale d’insulte dans ses mots, hormis un pauvre crétin par ci par là. Parfois, et c’était rare, Ysölde « la méchante » laissait place à quelqu’un d’autre. Elle fixait Ulysse, se disait à cet instant précis qu’elle aurait pu tomber sur un homme affreusement moche, mais là, elle était plutôt bien servi. Oui, Ulysse était grand baraqué, plutôt mignon et bien foutu bien sûr il y avait ce léger détail de concordance de caractère. Contrairement aux apparences, elle ne le détestait pas, mais il fallait bien qu’il y ait un peu d‘action, ce type l’énervait seulement, c’est tout. A part cela, elle le trouvait affreusement mignon et attirant, mais elle relégua cette pensée bien au fond de son esprit, choquée, elle-même. Elle allait s’en aller avant d’ajouter : « Fiancé ? J’espère que cela ne veut pas dire à cet instant précis, plus personne d’autre dans ma vie que toi ? »Elle marqua une pause, elle ne voulait pas mettre en suspend sa vie pour… cette hérésie. Elle ajouta alors : « Remarque, ne te la joue pas trop à la Phineas, »il comprenait ce qu’elle voulait dire par là, du moment qu’on ne savait pas que Ysolde et lui était fiancé, elle se moquait bien de savoir avec qui il couchait, mais pour prendre exemple sur Phineas, lui couchait alors que le monde savait que sa fiancé était Georgie. « Quand je vois ce qu’il fait à cette pauvre Georgie, ça me fait mal pour elle. Être prise pour une idiote n'est pas mon genre, souviens-toi en.»

***

« Tu ose remettre mon amour en doutes ? C'est toi qui ne m'aime pas Ys. Tu ne m'appuie jamais. Tu n'approuve jamais ce que je fais. Tu n'approuve pas comment je suis. T'a essayé de me changer et regarder où nous en sommes. Si je suis devenu un monstre, c'est de TA faute. TU m'as rendu fou. Il lui hurlait dessus.» « Je t'ai aimé Ulysse, je t'ai vraiment aimé, mais maintenant... Tu es lâche, tu me repproche de t'avoir tenu tête une fois devant tout les sangs purs, oh... ça t'as blessé dans ton orgueil visiblement. Ne me mets pas tout sur le dos, avec cette histoire de mangemort, tu es complètement devenu soumis et accro, ne me reproche pas des choses dont je ne suis pas responsable. Si tu m’avais réellement aimé, ne serait-ce qu’une seconde, tu te soucierais de moi, tu ne m’insulterais pas. Tu ne sais pas ce que c’est d’aimer, tu es incapable de ressentir ce sentiment, tu es tellement… tu es un monstre ! Si moi j’ai changé t’es tu seulement regardé une fois dans le miroir ? Tu as tellement changé, tu… tu t’es engagé dans une vois où je ne peux pas te suivre. » Quand elle évoquait le chemin dans lequel elle ne pouvait pas le suivre, elle parlait de son engagement auprès du seigneur des ténèbres, Ysolde ne l’approuvait pas, sans réellement savoir pourquoi, elle le détestait. C’était innée, elle ne parvenait pas à l’approuver. Elle ne pourrait jamais suivre Ulysse dans cette voie, il allait devenir un homme froid, sans cœur, et soumettant les femmes, comme son père. Elle était franche, elle ne pouvait pas le suivre, et sincèrement, cela lui brisait le cœur, vraiment. Elle restait forte devant lui, mais elle était à deux doigts de s’effondrer. Il n’était pas celui dont elle avait besoin, il n’était pas capable de l’aider, il était sans cœur. Sans crier gare, Ulysse la lâcha, et la poussa avec violence. Ysolde tint encore debout par un miracle. Il savait être violent, d’habitude elle aurait répliqué à chacun de ses coups, de ces invitations à la violence, mais, elle n’en avait pas envie, plus maintenant, cette Ysolde avait pris la poudre d’escampette. Ysolde avait tellement changé, pour le meilleur, elle avait cessé de martyrisé les gens, elle avait cessé de les pousser sur son passage. Cela ne servait à rien, asservir le monde est une quête qui ne l’intéressait plus, plus du tout. La seule quête qui l’intéressait à ce jour était sa quête de souvenir, mais Ulysse s’en foutait, quel monstre. « Va s'y. Laisse-moi. Frappe-moi. Tue-moi. J'en ai rien à foutre, j'en ai rien à foutre Ys. T'es la seule personne au monde que je déteste et à la fois la seule que j'aime. C'est invivable. Va s'y. Lance-moi un sort. Tue-moi.» « Je ne ferais pas ce plaisir.» « Tu m'as détruit, maintenant achève-moi.» Elle usa de force pour retirer sa main de l’emprise du sorcier, elle recula vivement, et le fixa. Elle ne voulait pas user de violence, pas aujourd’hui, elle était trop fatiguée pour se battre. Ses nuits hantées de cauchemars allaient finir par avoir raison d’elle. La sorcière gardait les yeux fixés sur lui, et d’un geste sec détacha, ou plutôt arracha, le collier qui était autour de son cou, et le jeta devant elle, et toujours en le fixant, elle retira vivement de son doigts la bague d’Ulysse, et la jeta également devant elle, le regard plein de défis. (...) Elle s’était attendu à ce qu’il la gifle, mais à ça, pas vraiment. Il frappa avec son poing Ysolde au visage. Une douleur. Ysolde grimaça, et les larmes lui montèrent aux yeux. Elle garda les yeux clos, clos par la douleur, la douleur physique, et la douleur morale, ainsi, il ne l’aimait vraiment pas, ainsi, il était réellement fou à lier.Ulysse se releva alors, la laissant au sol, dans les feuilles, elle gardait les yeux clos, le visage avec un grimace de douleur, et des larmes coulant sur ses joues. En se relevant, le sorcier donna un violent coup de pied dans la jambe d’Ysolde qui étouffa un cri. Elle se tourna sur le côté, et se recroquevilla un peu sur elle-même, agrippant au passage une poignée de feuille. Elle pleurait en silence, elle lui tournait le dos, elle ne voulait plus le voir, plus jamais, elle ne voulait plus être dans la même pièce que lui, elle voulait oublier tous ces moments qu’elle avait passé avec lui. Elle ne s’était jamais sentie aussi malheureuse de toute sa vie. Jamais aussi malheureuse. Dans ses souvenirs, elle n’avait jamais été malheureuse, car elle avait oublié la douleur de la mort de sa mère, pour le plus grand plaisir de son père d’ailleurs. «Vas t'en... »Elle aurait bien voulu être capable de se relever et de s’en aller, malheureusement, elle n’en était pas capable, elle toucha son visage avec le bout de ses doigts, et quand elle ouvrit les yeux, elle vit du sang. Sa douleur était lancinante… elle ne tiendrait pas debout, en faite, elle n’avait pas envie de tenir debout, elle voulait rester là, jusqu’à ce que la nuit tombe.« Toi, vas t'en, sale monstre. A bout de force, elle se releva sur ses maigres bras, et essaya d’attraper sa baguette du bout des doigts. Elle la touchait à peine, et leva les yeux vers Ulysse avant d’articuler : J’ai jamais été aussi malheureuse. »C’était vrai, au moins, elle, elle l’avait aimé. Mais maintenant, elle le haïssait, pour ce qu’il lui avait fait, pour ce qu’il était entrain de faire, et pour ce qu’il ferait probablement demain. Il l’avait dressé contre lui sans s’en rendre compte, il se l’était enlevé lui-même, son désir d’être du côté du seigneur des ténèbres lui avait enlevé Ysolde, il allait falloir qu’il s’en rende compte.

***

Ysolde avait du mal à respirer, vraiment, elle toussotait malgré le linge humide qu’elle s’était mis pour se protéger. Ils devaient absolument sortir de cet endroit avant de finir carbonisés. Ce dragon était effrayant, mais en même temps fascinant, Ysolde ne pouvait s’empêcher de le regarder cachant un sourire, ces créatures l’avaient toujours fasciné, et ce dragon de feu était la chose la plus magique qui soit, car la magie elle-même semblait ne rien pouvoir faire contre lui, c’était fascinant, ce pouvoir, cette magie, cette puissance. Rien ne semblait pouvoir détruire ce dragon de feu, rien ne semblait pouvoir freiner ses flammes, rien, absolument rien ; les sortilèges étaient inefficaces, les sortilèges… Ysolde n’avait pas vu que même les chocs contre le grand vitrail, les tables, les débris ne lui faisait rien, pourtant, elle eut l’idée et murmura : « Les sortilèges… »elle se leva en titubant presque, elle n’était guère alerte en ce moment, elle avait comme envie de vomir, comme si quelque chose était coincé dans ses bronches, elle continuait de tousser laissant la serdaigle qu’elle avait aidé à sa place, mais, non loin de là, il y avait quelqu’un si nécessaire. Elle s’approcha du vitrail et articula entre deux toux : [color=#656454]« Mais poussez-vous ! Les sortilèges ne semblaient pas efficaces. Ysolde prit du recul et sans crier gare fonça elle-même dans la vitre, elle n’avait peur de rien, on dit que c’est ça l’instinct de survie. Elle fonçoa dedans, l’épaule en avant, comme elle l’avait vu dans un film moldu, qu’importe, au moins, elle aurait fait quelques choses, même si cela ne marchait pas, elle pourrait dire qu’elle avait fait quelque chose. Elle n’avait pas vu que le vitrail était brûlant, mais elle s’en moquait. Elle resta accrochée par un miracle par les mains. Sur le bas de la vitre, ses mains lui faisaient un mal de chien, mais elle n’avait pas envie de lâcher, en dessous c’était le vide. Plus elle s’agrippait, plus elle avait mal, plus elle savait que le verre lui entaillait les mains, fichu verre va ! « Tiens bon, je ne te lâcherais pas »Lui dit la griffondor – Felicia – en serrant ses mains comme elle le pouvait, Ysolde était à bout de bras, elle l’avait entendu appeler un professeur à la rescousse, pourvu qu’il ne tarde pas. « Wilkes, tenez bon! »Dit alors le professeur Hempstead-Hayes, et agrippa les poignets de la sorcière avant de la tirer vers le haut. Mon dieu, elle était sauve, tous les deux réussirent à la hisser hors du précipice. Elle allait mieux, même si ses mains étaient couvertes de son propre sang, même si en remontant elle s’était fait mal un peu partout. Ses mains lui faisaient un mal de chien, elle regarda ses sauveurs, avant de dire : « Merci... »Elle était presque assise sur le sol, qu’importe les débris de verres, au point où elle en était, elle s’en fichait éperdument. Elle jeta un regard dans la grande salle, où était les flammes, ou était le dragon ? Elle dit alors : « Ou est le dragon ? » Puis, elle vit Crabbe par terre, elle était incapable de faire quelque chose, avec des mains dans un tel état pas question de tenir une baguette. Sa baguette, ou était sa baguette ? Elle regarda vivement autours d’elle et vit devant à moins d’un mètre sa baguette et se pencha pour essayer de l’attraper, en vain.

Elle ne le réalisait pas, mais une phrase prenait tout son sens : le feu ne peut tuer le dragon.



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