Voila que le groupe avait rejoint la chambre, en se glissant dans se boyaux immonde et répugnant. C'est sans fracas que Bella arriva en bas avec sa soeur. Se redressant aussitôt pour pointer sa baguette vers celle-ci. Elle laissa échapper un sourire mauvais en entendant les commentaires de Morgead, elle lui fit un sourire moqueur; elle debout, lui au sol, elle montrait sa superioté pour l'agacer. Quand tout le monde fut enfin arrivé, elle regarda un instant autour d'elle, ça puait, c'était crasseux et humide ... Bella détestait la saleté, elle qui était si belle, si parfaite en apparence ! Ses cheveux étaient ébouriffés, quelques mèches mouillés encadraient son visage ... Les commentaires fusaient de tout les côtés, et Bella poussa un soupir, trouvant cette mission mal organisé et limite grotesque ... Rejetant évidemment la faute sur les autres comme la russe, ou bien Karone. Elle regarda sa soeur, qui se laissait aller à des commentaires, que Plankett et la russe ne semblait pas apprécier. Elle voulait que ça se termine, qu'elle puisse retourner à ses petites affaires ... « Ta gueule Wilkes ! » Bella se tourna automatiquement en entendant son nom, regardant la russe pointer sa baguette en direction de Ysölde. « Arrête ça ! Baisse ta baguette Sveltana, tu vas… » Puis la scène se déroula assez vite, un éclair, et un éboulement ! Le plafond venait de s'éffondrer, Bella se protégea le visage, recevant un projectile, serrant les dents, toujours sur ses pieds, aveuglé par la vague de poussière qui venait de déferler. Néanmoins elle pu voir la russe sur le sol gris et sale, baignant dans son propre sang. Ysölde l'a poussa ensuite pour qu'elle tombe, se retrouvant au sol. Sa soeur se jeta sur elle pour essayer de lui arracher sa baguette, Bella serrant de toute ses forces pour ne pas l'a lâcher. Certes elle avait dénouée ses liens, mais hors de question qu'elle perde face à elle. « Donne-la moi ! » s'écria sa soeur, tandis que Bella tirait de toute ses forces pour garder le contrôle de sa baguette, essayant de ruer de coup de pied Ysölde. « C'est tout toi, tu as tout eut étant gamine et il t'en faut encore plus ! Lâche ça ! » Bella s'en foutait de la mission sur le moment, le seul truc c'était qu'elle ne voulait pas lâcher, que sa soeur s'en sorte d'accord ... Mais qu'elle gagne contre elle hors de question. Ils foutaient quoi les autres ?!

Ce n’avait jamais été l’entente entre les filles Wilkes, mais Ysölde ne plierait pas devant sa sœur, ce n’était rien que pour sa firté qu’elle ne plierait pas, elle ne voulait plus jamais se plier devant un ou une Wilkes, désormais ils lui inspiraient tant de dégoût. La jeune femme s’était jeté sur sa sœur, ou plus précisément sur sa baguette et essaya de la lui prendre de force, elle était encore la seule mangemort debout, la russe semblait morte, ou du moins sérieusement blessée, et Plankett gisait sur le sol inconscient pour le moment. C’est alors que Bella lui dit : « C'est tout toi, tu as tout eut étant gamine et il t'en faut encore plus ! Lâche ça ! » Cela la faisait rire quand Bella disait qu’elle avait tout eux. Elle grogna alors en essayant d’esquiver les coups de pieds de sa sœur : « je te donne mon amnésie et la mort de ma mère quand tu veux sale… » Elle ne fini pas sa phrase, et tira de toutes ses forces ! Comment pouvait-elle la jalouser ? La vie d’Ysölde n’avait rien de jalousable, sincèrement. Elle n’eut pas le temps de dire quoi que ce soit, Morgead approcha alors : « EH la pute de service. C’est se que tu es après tout non? » Elle tourna la tête vers lui, bien sûr, il avait intérêt à parler de sa sœur, sinon Ysölde lui en retournait une, mais il la regardait fixement. Les rumeurs parlent tôt ou tard. Il fit un pas, et ajouta : « Tu me rend un petit service. » Il fit une pause : « Après tout t’es bonne qu’a deux choses, prendre les miettes laisser par t’as sœur. » Des miettes, si on veut. Ysölde n’avait pas tout eut, loin de là, mais Bella faisait ce qu’elle pouvait pour se faire plaindre, certes elle avait eut les miettes d’Ulysse, mais elle le lui laissait largement, un cinglé pareil ! « Et faire semblent que tu es une sorcière alors pour une fois rend toi serviable et rend toi à l’évidence tu es en minoriter alors je te conseil de participer ou ça pourrait faire mal. » Il avait tout dit. Ysölde tira violemment la baguette et la poussa, de faire en sorte de déstabiliser Bella qui tomba sur les fesses. Ysölde lâcha alors ironiquement : « Tu vois que tes grosses fesses te servent enfin à quelques chose. » Elle était sèche, et pointa sa baguette sur sa sœur, sans sourcilier. Elle regarda Morgead, à côté d’elle, et toujours la baguette pointée sur sa sœur, elle défit à l’aide de sa main libre les liens de Morgead, et lui demanda alors : « Ca va aller la cheville, où faut faire quelques choses ? » Elle jeta un regard en coin à Bella. Puis Ysölde tourna la tête vers Rory qui était sans doute à deux doigts d’attraper la baguette de Sveltana ! Magnifique, quel retournement de situation, sauf que la sortie était de l’autre côté de l’éboulement, enfin, l’éboulement venait du tunnel par lequel ils étaient arrivés…

Tout s’était enchaîné très vite : l’otage blonde avait lancé une remarque sarcastique qui fut suffisante pour faire débloquer la russe. Celle-ci sortit sa baguette, Fawkes s’interposa, se prit un sort, et le plafond s’effondra. Rory qui était encore allongé au sol ne put que se recroqueviller pour essayer de se protéger du mieux possible des débris. Il se redressa dès que les pierres cessèrent de tomber ; la poussière lui brûlait les yeux et la gorge. Il regarda autour de lui : il n’y avait que trois personnes debout, la blonde qui s’était jeté sur sa sœur et Morgead, debout, qui se déchaînait sur l’une des Wilkes. Visiblement, ils avaient les choses en main et il ne leur serait pas d’une grande utilité avec les mains liées. Il vit une pierre qui semblait bien tranchante contre laquelle il frotta ses cordes, comme il l’avait vu faire dans les films. Il fut soulagé de voir que cela fonctionnait aussi bien dans la réalité, il fut vite libéré. Il bondit sur ses pieds, triomphant, vit deux formes allongées sur le sol. Il se précipita dans leur direction en pensant que l’une d’elle devait être Harlington. La première était Plankett, et la seconde, gisant dans une mare de sang, n’était autre que… « Ma future victime… Ah non, non c’est dégueulasse ! Réveille-toi, connasse ! » gronda-t-il en la secouant comme une poupée de chiffon. C’était à lui de la réduire en miettes ! Cette ordure le privait de sa vengeance. Elle l’aura fait suer jusqu’au bout. Il la relâcha, dégoûté. Il prit la baguette de la Mangemort, puis retourna vers Plankett et récupéra les baguettes qu’il leur avait prit. Il se tourna vers ses co-otages à temps pour voir Morgead cracher au visage de la brune. Personnellement, il se serait contenté d’un bon poing dans la tronche, mais qui était-il pour critiquer la vengeance des autres ?
Pour résumer : les mangemorts étaient hors d’état de nuire, Ysolde et lui n’avaient que quelques égratignures, Morgead ne semblait pas gêné par sa foulure. Par contre l’éboulement les avait séparés de la sortie… et du Professeur Harlington qui leur aurait été d’une aide précieuse. Il rangea sa baguette et celle du Professeur qu’il reconnut et alla rejoindre ses co-équipiers. « Ce serait plus facile si ont les ligotait. Après tout leurs buts premiers était de tous nous tuer. Qu’ils se compte chanceux qu’on ne les laisse pas être bouffer par je sais trop ce qui se cache dans ce trou à rat. » «Tenez, vos baguettes. Si le monstre se pointe, ils vont servir de bouffe. Plankett et la russe, en tout cas… Plutôt eux que nous. Une idée pour sortir de là ?»

Bella finis par perdre face devant Ysölde, désarmée, au sol, elle releva son visage pour lui lancer le regard le plus mauvais qu'elle avait pu voir, Ulysse ou Angus Wilkes n'étaient rien à côté. Elle avait honte d'avoir pensé une seule seconde de l'a sauver, d'avoir desserré ses liens. Elle ressentait à présent de la haine pour elle, une sale bâtarde ingrate ! Pas besoin de lui dire, la haine se lisait dans ses yeux perçant. « Prend la qu’on fasse mumuse avec la pute de service. » Le Serdaigle était debout, elle le regardait avec dégout, toujours hautaine. Elle n'avait pas peur de lui, de personne ! Ni même du Seigneur des Ténèbres. « EH la pute de service. C’est se que tu es après tout non? ... Après tout t’es bonne qu’a deux choses, prendre les miettes laisser par t’as sœur ... Et faire semblent que tu es une sorcière alors pour une fois rend toi serviable et rend toi à l’évidence tu es en minoriter alors je te conseil de participer ou ça pourrait faire mal. » Elle le dévisagea afin de contempler ses ongles, beaucoup plus intéressant que les paroles du sang-mêlé. Il avait peut-être les muscles, mais pas au niveau intellectuel. Un homme quoi, tous des chiens. Les insultes ne l'a touchait même pas, ça semblait même l'amuser, mais à faible dose. Ysölde parlait avec le stupide Serdaigle, ce n'était qu'une hypocrite, toujours à chougner sur son amnésie, ça devenant lassant, elle poussa un soupir, regardant ses collègues, ridicule ... « On fait moins la maline hein face de pute! » Il lui cracha au visage, un sourire illumina son visage. Elle le tuerait lentement, pour qu'il souffre, et elle enverrait ce qu'il reste de son coeur à ses proches. Elle ne se débattait même pas, elle semblait juste de s'ennuyer ! « « Ysolde je sais que c’est t’as sœur mais je ne lui fait aucunement confiance, tout comme je ne fait pas confiance à l’autre idiot. Ce serait plus facile si ont les ligotait. Après tout leurs buts premiers était de tous nous tuer. Qu’ils se compte chanceux qu’on ne les laisse pas être bouffer par je sais trop ce qui se cache dans ce trou à rat. » » Mon dieu, mais qu'il la laisse mourir ici ! Hors de question de remonter avec eux, sa marque des ténèbres lui brûlait. « Tu as choisit le mauvais camps ma belle, vous allez perdre et être écraser comme de la vermine que vous êtes. » Il venait de lui murmurer ça à l'oreille, elle laissa apparaître un sourire moqueur qu'il ne pouvait pas voir, quel dommage. « Ca te fais bander d'avoir un peu de pouvoir hein ? Profite, tu dois pas en avoir beaucoup dans la vie de tous les jours. Je préfère encore mourir ici, mais t'as même pas les couilles pour ça, héro mon cul. » Dit-elle d'un ton moqueur, regardant ensuite le sang-de-bourbe et Ysölde avec dégoût. «Tenez, vos baguettes. Si le monstre se pointe, ils vont servir de bouffe. Plankett et la russe, en tout cas… Plutôt eux que nous. Une idée pour sortir de là ?» Au fond ils se la jouaient tous '' je suis une bonne personne '', mais ils étaient aucunement différent.

NOTE - Rory Lanswood, le professeur Harlington est du même côté que vous de l’éboulement, mais pour être cohérent avec le rp, on peut dire qu’il est ensevelie sous quelques débris, et qu’il est un peu beaucoup mal en point. A tous les participants, vous ne savez pas ce qu'est la bête au fond de la chambre, vous ne savez pas.


La baguette de sa sœur en main, c’était bizarre, elle était tellement mal à l’aise avec celle-ci. Sa sœur l’avait aidé à se libérer de ses liens, et la jeune femme lui avait sauté dessus pour lui voler sa baguette, tant pis, elle l’avait cherché. Peut être qu’Ysölde viendrait à la sauver aussi, mais là, elle était trop occupé à vouloir sauver sa peau – et celle des autres. Ysölde s’était inquiété pour la cheville du Serdaigle, celui-ci lui répondit alors : « Ca va allez, sortons d’ici et après on s’inquiétera de ma cheville. » Les hommes : toujours à faire les durs. En un coup de baguette, Ysölde l’étudiante en médicomage aurai au moins apaisé sa douleur et aurait pu réparer le plus gros, mais s’il disait que ça allait, c’était que ça allait. Les hommes, je vous jure. « Ysolde je sais que c’est t’as sœur mais je ne lui fait aucunement confiance, tout comme je ne fait pas confiance à l’autre idiot. Ce serait plus facile si ont les ligotait. Après tout leurs buts premiers était de tous nous tuer. Qu’ils se compte chanceux qu’on ne les laisse pas être bouffer par je sais trop ce qui se cache dans ce trou à rat. » Ysölde n’avait aucune confiance en Bella, mais elle restait sa demi sœur, elle hocha alors la tête quand il proposa de la ligoter, mais ça, elle voulait le faire elle-même, elle en devait une à Bella, et l’idée de lui en devoir une l’énervait quelques peu.« Ca te fais bander d'avoir un peu de pouvoir hein ? Profite, tu dois pas en avoir beaucoup dans la vie de tous les jours. Je préfère encore mourir ici, mais t'as même pas les couilles pour ça, héro mon cul. » Toujours aussi élégante quand elle parlait, elles avaient beau avoir reçu la même éducation, Ysölde n’était pas aussi crue dans son langage que Bella, elle était peut être un peu mieux élevé. Elle dit alors à Morgead : « Je m’occupe d’elle. » Elle s’apprêtait à se diriger vers sa sœur, quand Rory, le né moldu lui rendit sa baguette. Ysölde glissa la baguette de Bella dans la poche arrière de son jean, et attrapa sa bonne vieille baguette, 30 centimètre, bois d’amarante, le bois avait tellement travailler qu’il en était devenu violet très foncer, et au centre de la poussière d’os de dragon, il n’y avait pas de baguette fabriqué avec ce matériaux depuis des lustres. Le Rory dit alors : « Tenez, vos baguettes. Si le monstre se pointe, ils vont servir de bouffe. Plankett et la russe, en tout cas… Plutôt eux que nous. Une idée pour sortir de là ?» La Blonde articula alors en attrapant sa baguette : « Merci », oui Ysölde toujours polie. Elle attrapa sa sœur pour la faire se relever un peu brutalement, et d’un coup de baguette à l’aide d’un sortilège informulé des liens apparurent alors. Mais, Ysolde ne les serra pas trop, volontairement, adressant un regard à sa sœur, froid, mais un regard. La jeune femme dit alors : « Derrière ce n’est pas possible, visiblement, c’est le tunnel d’accès qui s’est éboulé. Personne n’est assez stupide pour construire une chambre sans deuxième sorti, certainement pas Salazard serpentard ! » Elle n’en faisait pas l’apologie, mais c’était clair, il y avait forcément une sortie. « Nous sommes à vu de nez au même ‘étage’ que les catacombes interdites du château, il doit y avoir un passage, je pense qu’il faut essayer d’avancer le plus vite possible, et la bête… » Il y en avait forcément une. Ysölde ne termina pas sa phrase, voyant des pieds sortir de sous une pile de décombre, et s’écria alors « Le professeur Harligton ! » Il était sous quelques décombres, et juste à côté d’elle, elle lâcha Bella, en la laissant sous la bienveillance de Morgead, et déblaya la plus gros des décombres sur le professeur. Elle tâta son pouls, il était vivant, sans doute légèrement sonné, mais prêt à reprendre conscience.



Dernière édition par Ysölde Claudia Wilkes le Lun 28 Mai - 20:51, édité 1 fois

A CONSIDERER COMME UN POSTE DE PNJ
INTRODUCTION DE BLACK ET LESTRANGE.

Andreas était sonné, il passa la main sur son front. Celle-ci était en sang, et il avait la fâcheuse impression de ne pas tourner rond. Il savait que cette mission serait un fiasco, ce n’était pas sa vision des mangemorts, ils avaient tous été mené à la mort par deux cinglé, fanatique de Voldemort. Il voulait la pureté des sorciers, pas une civilisation de co sanguin. La co sangunité ne faisait pas tout à en voir la russe et l’autre fou. Il se hissa sur ses coudes et regarda Maddie, pauvre gosse, elle n’était pas ici de son plein gré, c’était le genre de chose que même en tant que mangemort, il ne supportait pas, tout le monde avait le droit de suivre ou pas. « Rosier, vous allez bien ? Vous n'avez rien ? » demanda alors Andreas, gardant toutefois sa baguette à proximité, celle-ci avait pétrifié Karone, mais Andreas ne lui voulait aucun mal. Il ne comprenait pas les parents qui laissaient leur gosse devenir mangemort, lui-même ne laissait pas sa propre fille s’en approcher, même si c’était ce qu’elle désirait, il se disait qu’elle avait le droit de grandir et de choisir après, c’était mieux ainsi. Pourquoi Maddie n’aurait-elle pas elle aussi le droit de faire son choix ? Parce qu’elle n’était sans doute pas née avec des parents comme Andreas. Arrivé de nulle part par un mince vestige de ce boyaux, Black et Lestrange, deux mangemorts. Jusqu’à preuve du contraire, le chef de cette mission était Plankett qui était de l’autre côté de l’éboulement, et lui, Andreas, était son adjoint, et le mangemort en chef à Poudlard. Il regarda les deux, et lança alors froidement : « Vous êtes en retard. » Oui, Andreas ne perdait pas ses attitudes de profs, mais que ces deux gosses ne s’avisent pas de lui répondre, il avait le front en sang mais il recouvrait peut à peut sa force, et arriva à se lever, baguette à la main. Quand soudain, derrère les deux jeunes hommes, ce qui restait du boyaux d’accès se boucha complètement, et un projectile vint alors frapper Maddie à la tête, la faisant perdre l’équilibre, et tombant aussi sur Ulysse, le blessant au bras. Ils étaient fait comme des rats. Déblayer les débris pour rejoindre les autres était la meilleure idée, derrière les éboulements, on pouvait entendre les otages parler, visiblement libre.

Bella regardait le petit groupe qui avait du mal à s'organiser, elle retira son petit gilet pour essuyer le crachat de Morgead avec dégoût, jetant ensuite le vêtement loin d'elle. Elle portait une petite robe noir, courte, avec un décolleté assez attrayant pour la gente masculine. Elle poussa un soupir, regardant sa soeur avec un drôle de sourire. D'ailleurs celle-ci venait de l'a relever afin de lui ligoter les mains. La baguette de Bellatrix se retrouva dans la poche arrière du pantalon de sa soeur. Il valait mieux pour tout le monde qu'elle ne l'a récupère pas. Elle écoutait d'une oreille de ce qui se disait, ils cherchaient un moyen de sortir, mais vu le merdier dans lequel ils étaient, Bella ne semblait même pas paniquer, carrément indifférente à tout ce qui pouvait se passer. « Derrière ce n’est pas possible, visiblement, c’est le tunnel d’accès qui s’est éboulé. Personne n’est assez stupide pour construire une chambre sans deuxième sorti, certainement pas Salazard serpentard ! » ... « Nous sommes à vu de nez au même ‘étage’ que les catacombes interdites du château, il doit y avoir un passage, je pense qu’il faut essayer d’avancer le plus vite possible, et la bête… » Cette mission était un véritable fiasco ! Elle n'aimait pas agir en groupe de toute façon, elle ne s'entendait avec personne ! Trop de divergence, surtout chez Bella. Déjà il y avait trop d'otages selon elle, le sang-de-bourbe et Morgead aurait suffit. Puis pas vraiment de lumière chez les mangemorts ! D'après Bella, c'était de la faute de la russe et de Plankett ! Karone foutait rien à part se plaindre. « Le professeur Harlington ! » Bella regarda sa soeur se diriger vers des décombres, aidant à remettre sur pied Harlington, Bella avait toujours trouvé ce professeur diablement sexy. Il avait l'air mal en point, énervé, d'ailleurs Plankett se prit un coup sur son passage. « Je n’ai jamais supporté son air mauvais…Je vous remercie de me l’avoir gardée. » ... « Bon, je crois qu’on ne peut pas prendre le risque de moisir ici. Tant qu’à faire, cherchons une autre sortie, on a rien à perdre…Si on est attaqué, pas de risques, on les balance à la bête. » Bella s'en foutait que les corps inertes des deux mangemorts se fassent bouffer ! Elle se demandait si Andreas allait bien, qui aurait du être le cerveau de l'opération, comparé à cet idiot de Plankett. Le professeur s'approcha de Bella, un air mauvais qui ne semblait pas faire pâlir la belle, au contraire ! Il l'attrapa violemment par les cheveux, son visage près du sien, elle souriait ! La baguette du sorcier effleurait la peau de la serpentard. « Dans un autre contexte, j'aurai carrément préféré, professeur. » Elle en profita pour lui voler un baisé ! Et passer sa langue sur le lobe d'oreille de Phineus. « Peut- être plus tard. »

Très peu de gens savaient qu'Ulysse était encore en vie. Que les gens les plus près de Voldemort et qui se devaient de le savoir. Après avoir passé près d'un an au côté de son maître, le seigneur des ténèbres avait jugé bon de le faire rentrer à Poudlard. Avec le cercle qui s'installait et prenait de la puissance, ils avaient besoin de renforts. Le prince venait donc de refaire son apparition dans le château. Passant par le passage de la cabane hurlante, Lestrange avait pénétré dans le château avec une facilité ahurissante. Il était passé chercher son camarade Black, puis ils s'étaient empressés de se rendre aux toilettes de Mimi. Que de souvenirs il y avait en cette pièce. La porte avait été verrouillée avec un sortilège puissant, mais on lui en avait donné un code de magie noir pour l'ouvrir. Il avait pris soin de la verrouiller de nouveau avant de s'élancer dans le trou toujours ouvert de la chambre des secrets. Il atterrit comme un prince avant de ne se diriger rapidement vers les voix qu'ils entendaient, se faufilant avant de ne tomber que sur trois personnes. Madeline, Karone et le professeur semblaient tous mal en point. Ulysse avait lancé un regard noir à Rosier avant de ne regarder le professeur qui leurs faisait la morale. « Vous êtes en retard. » Ulysse avait adressé au professeur son sourire le plus arrogant. Conscient que ce même professeur n'avait fait que prendre la place qu'Ulysse avait lui-même l'an passé. « Vous n'avez qu'à demander des explications à votre maître. » À peine avait-il terminé sa phrase que le boyaux restant s'effondra. Ulysse se protégea, mais fut touché au bras, poussant un grognement de bête. Il examina son bras qui avait une légère écorchure et un peu de sang. Rien de bien grave, mais assez pour le faire rager. Il jeta un coup d'oeil à Maddie qui gisait. C'était la moindre des choses, elle ne les trairait pas dans cette position. « Qu'est-ce qui s'est passé ? » S'empressa de demander Ulysse au professeur alors qu'il s'approchait de tas de pire, faisant signe à Black de s'approcher. « Pas de temps à perdre, Ezechiel, aide-moi on va enlever les pierres avec nos baguettes. » Ulysse s'y mis immédiatement, mais les pierres étaient grosses. Un wingardium leviosa par pierre qu'ils devaient faire tomber derrière eux et pas sur les filles assommées. « Fawkes, tassez les corps des filles, sinon elles finiront ensevelies. » Cela pouvait ressembler à un ordre, mais Ulysse n'avait simplement pas le temps de se perdre dans les politesses et espérait que le professeur n'en ferait pas tout un plat.

Se prendre pour le roi n’avait jamais sauvé personne. Andreas était l’homme de confiance à Poudlard de Voldemort, et celui-ci avait confié la mission à Plankett, jugeant que confié la mission a un fou serait plus éprouvant pour les otages, leur donnant une fin plus lente, et difficile. Foutaise, ce cinglé avait mal choisi ses hommes, et les avaient conduit dans le trou. L’autre Lestrange arriva alors et dit simplement avec une arrogance qui donna à Andreas la profonde envie de la gifler, sale gosse, pensa-t-il alors : « Vous n'avez qu'à demander des explications à votre maître. » Se prendre pour le maitre, et le boyau s’effondra sur lui, s’en était presque jouissif pour Andreas qui ne pu réprimander un petit sourire en coin, avec une arrogance égale à celle de ce môme. Andreas eut le temps de se protéger et il n’eut rien, seulement cette douleur lancinante que lui avait infligé cette cinglée de russe, rien d’autre. Mais cette fille avait franchement eut besoin d’être stoppé, c’était ce genre de folie qui avait fait partir en live cette mission, pourtant si simple à la base. L’arrogant gamin lui dit alors : « Qu'est-ce qui s'est passé ? » On cesse de se prendre pour le roi, et on demande ? Que de progrès. Le gamin fit signe à l’autre gamin de venir l’aider et dit alors : « Pas de temps à perdre, Ezechiel, aide-moi on va enlever les pierres avec nos baguettes. » Des ordres, des ordres. « Fawkes, tassez les corps des filles, sinon elles finiront ensevelies. » Ben tiens. Il poussa un soupire, et tira doucement Maddie vers lui en faisant attention de ne pas lui cogner la tête d’avantage, Karone était bien là où elle était. Il soutint alors la rousse, et de sa baguette sans prononcer de mots, les plaies sur son front se refermère. Il n’était pas un mangemort cinglé, et fonceur, il était humain, et murmura alors à Maddie : « Rosier, vous m’entendez ? » il était un peu inquiet, il était humain, et sérieux, la mission ne pouvait pas se permettre d’avoir d’autre blessé. Il avait royalement ignorer la question d’Ulysse, quand il répondit alors : « Tout était sou contrôle, quatre otages, un sang de bourbe, une traitre à son sang, un copain du cercle, et un petit copain sang mêlé de sang pur, parfaitement sous contrôle. Plankett a choisi cette russe pour cette mission, et la blondinette traitre à son sang lui a fait une remarque sarcastique et la russe nous a péter un câble, essayant de tuer la blonde, et, pour éviter de tout compromettre on a essayé d’éviter ça, et le sortilège à ricocher, sur le plafond, résultat, nous sommes de ce côté, nos otage de l’autre, et à les écouter, nos collègues sont mal en point. A part ça, si nous avions été deux de plus, tout aurait été plus simple. » Il soutenait toujours Maddie, Cette pauvre fille n’avait rien demander, mais elle était là, même si elle n’avait pas envie, une rebeliion pourrait la tuer, elle avait le droit de choisir, mais pas maintenant pas ici, elle avait droit de ne faire qu’assister, mais elle devait faire comme si elle adhérait. et les regardait déblayer les pierres une par une. Ne serait-il pas plus simple d’exploser tout ça ? certes, il y avait la fragilité à prendre en compte, mais à cet allure, nous y étions encore demain matin.

Ulysse avait affreusement chaud. Pas parce que cela demandait de la force, mais plutôt parce qu'il étouffait ici. Ils oeuvraient lentement, mais surement. Tout cela aurait été plus rapide si le professeur les avaient aidés tout en radotant ce qui s'était passé.« Tout était sous contrôle, quatre otages, un sang de bourbe, une traitre à son sang, un copain du cercle, et un petit copain sang mêlé de sang pur, parfaitement sous contrôle. Plankett a choisi cette russe pour cette mission, et la blondinette traitre à son sang lui a fait une remarque sarcastique et la russe nous a péter un câble, essayant de tuer la blonde, et, pour éviter de tout compromettre on a essayé d’éviter ça, et le sortilège à ricocher, sur le plafond, résultat, nous sommes de ce côté, nos otage de l’autre, et à les écouter, nos collègues sont mal en point. A part ça, si nous avions été deux de plus, tout aurait été plus simple. » Ulysse eut un sourire face à ses reproches. Il avait un doute sur l'identité de la blonde traître à son sang et même qu'il aurait préféré que la Russe en fasse son encas. Il ne ressentait plus rien pour son ancienne fiancé sinon de la haine. Une répugnance si grande envers elle, qu'il avait envie de lui faire la peau. Le seigneur des ténèbres l'avait aider à vaincre les charmes que cette démone avait eut sur lui. Il disait qu'elle avait probablement du sang de vélane et il avait énormément aider Ulysse à la détester plutôt que de l'aimer. « Vous auriez du laisser Svetlana la tuer plutôt que de faire tomber le plafond. S'aurait été un bon débardas. » Tout n'aurait pas été plus simple si Ulysse et Black avaient étés là. La russe était une tarée, le genre de tigresse qui est bien bonne au lit, mais insupportable lorsqu'elle fait autre chose que de gémir entre deux draps. Pourtant Ulysse la préférait de loin à Ysölde. Il avait d'ailleurs appris que la blondinette n'était en fait qu'une bâtarde. Il s'impatientait de revoir son visage après s'être libéré des pierres. « Aide-nous, ça ira plus vite. Madeline est en état de nous aider aussi ou est-ce que la pierre la tuée ? » Ulysse était arrogant, méprisant et sans coeur. Il donnait des ordres plutôt que de demander de l'aide poliment, car c'était ce qu'il faisait auprès du seigneur des ténèbres depuis son départ.

Andreas avait la notion de l’importance de cette mission, mais visiblement, cela avait échappé à Sveltana, à Plankett, à Ulysse Lestrange, quand celui-ci dit alors : « Vous auriez du laisser Svetlana la tuer plutôt que de faire tomber le plafond. S'aurait été un bon débardas. » Aucune notion de la mission, rien, le présent, l’instant, ces gosses qui ne voyaient pas plus loin que le bout de leur nez que leur vengeance personnelle ! N’importe quoi. Il le regarda et rétorqua simplement : « On ne peut se permettre de compromettre une mission par pur esprit de vengeance. » c’était simple, mais direct. Andreas était quelqu’un de direct, le premier professeur à vous dire en fasse que vous le faites chier, il serait capable de vous tirer lui-même hors du cours parce que vous le faite chier. A trente sept ans, il avait passé l’âge de se faire emmerdé par des gosses. Le Lestrange avait peut être un contentieux avec la blonde, mais c’était le cadet de ses soucis. « Aide-nous, ça ira plus vite. Madeline est en état de nous aider aussi ou est-ce que la pierre la tuée ? » Il méritait une bonne claque, c’est ça les parents sang pur confiant l’éducation de leur enfant à… à personne. Ils avaient l’impression d’être le roi du monde, juste parce qu’ils étaient sang pur. Jusqu’à preuve du contraire, les grands hommes de ce monde étaient de sang mêlé, Dumbledore, Voldemort lui-même. Enfin bref. Accroupie à côté de Maddie, le professeur la fit doucement s’asseoir contre une paroi, et dit alors, levant les yeux vers Ulysse : « Je ne crois pas qu’elle soit en état de vous aider, mais elle n’est pas morte. » Froid, toujours, se faire donner des ordres par un gosse, très peu pour lui. De sa poche, il sorti une petite fiole, qu’il tendit à la jeune fille, ignorant totalement la sorte d’injonction du jeune homme, et il dit alors à l’attention de la jeune femme : « Madeline, buvez, cela apaisera la douleur, et devrait vous permettre de tenir sur vos deux jambes ! » il était professeur, mais attentionné avec la jeune femme, attendant n’importe quoi de sa part, un mot, un geste, n’importe quoi.

Ce que Madeline vit alors la laissa sans voix. Revenir d'entre les morts, Ulysse Lestrange déambulait comme un prince dans la poussière et les décombres, au côté d'Ezechiel Black. La Gryffondor pointa sa baguette sur les deux nouveaux arrivants, pour lesquels elle n'avait absolument aucun sentiment positif. Ou en tout cas c'était compliqué. Maddie semblait incapable de réagir. Que faisaient-ils là par Merlin ? Ezechiel Black était le fiancé de Madeline, et aussi le père de son enfant caché. Et Ulysse... C'était un taré, qui avait filé plus d'une fois une sacré frousse à la préfète. Pourtant l'annonce de la mort du jeune homme l'avait bouleversé. Mais il était la devant elle aujourd'hui, et n'avait rien d'un fantôme. Avant d'avoir pu comprendre ce qui se passait, Madeline fut violemment projeté à terre et à moitié assommée par un nouvel éboulement. Il serait peut-être préférable qu'elle tombe dans les pommes et ne se réveil que quelques jours plus tard à l'infirmerie... Plus vraiment connectée avec la réalité, Miss Rosier ne suivit pas l'échange entre le professeur et le "revenant". La voix de Fawkes lui parvint cependant comme à travers le brouillard, tandis qu'elle sentait ses plaies se refermer avec le sortilège du professeur. Elle cligna faiblement des paupières, tentant de se ressaisir, de sortir de cette sorte de transe léthargique et de dissiper le flou autour d'elle. Je ne crois pas qu’elle soit en état de vous aider, mais elle n’est pas morte. Non, Madeline n'était pas morte, ça t'aurait trop fait plaisir espèce de taré. Madeline, buvez, cela apaisera la douleur, et devrait vous permettre de tenir sur vos deux jambes ! Sans se poser plus de question, comme poussé par un reflexe, la concernée prit la fiole que lui tendait le professeur et l'avala sans rien dire. Peu à peu, sa vision se fit plus clair et elle tourna le regard vers Fawkes, toujours à ses côtés. Merci Professeur. murmura-t-elle en le fixant sans ciller. Fawkes n'était pas un allié, un ami, un gentil ou ce qu'on voulait, mais il était un soutien. Et c'était bien agréable. De plus, il semblait plus mesuré que les autres fanatiques complètement malades. Toujours adossée contre la pierre, Madeline prit le temps de respirer, afin que sa tête cesse de tourner. Je vais bien. Navrée de te décevoir Lestrange mais je vais m'arranger pour claquer le plus tard possible, peut-être même après toi. dit-elle d'une voix encore un peu faible mais d'un ton tranchant. Elle s’appuya à la paroi pour tenter de se relever en chancelant un peu cependant mais ne cherchait que le regard du professeur. Elle ne voulait pas adresser le moindre regard à Ezechiel.

Leur travaille avançait uniquement grâce aux deux serpentards. Heureusement, car sinon ils auraient fini ensevelis dans le temps de le dire. « On ne peut se permettre de compromettre une mission par pur esprit de vengeance. » Avait rétorqué le professeur, provoquant un rire narquois chez le serpentard. « Et maintenant Fawkes, elle n'est pas compromis la mission tu crois ? » Ulysse continuait de travailler pendant que l'autre jouait au prince charmant dans son coin. « Je ne crois pas qu’elle soit en état de vous aider, mais elle n’est pas morte. » Lui avait-il répondu froidement. Dommage, s'aurait fait une traître de moi. Ils étaient nombreux ses derniers temps et Ulysse soupçonnait tous le monde de traîtrise au moindre doute. « Madeline, buvez, cela apaisera la douleur, et devrait vous permettre de tenir sur vos deux jambes ! » Ils avaient pas finis les tourteaux ? Ils lui donnaient mal au coeur à la fin. Et la rouquin qui renchéris avec son « Merci Professeur. » D'un ton mielleux. Ils étaient ridicule. De plus la Rosier ne pouvait s'empêcher de lui passer un commentaire sur sa mort pour cacher sa surprise. « Je vais bien. Navrée de te décevoir Lestrange mais je vais m'arranger pour claquer le plus tard possible, peut-être même après toi. » Ajouta-elle d'une voix faiblarde qu'elle voulait tranchante. Ulysse fut secouer d'un autre rire froid. Faisant tomber une pierre sur le tas, il fixa Madeline pour lui sourire. « On ne peux mourir deux fois. » Il lui fit un clin d'oeil puis continua son boulot. « Quand vous aurez terminé vos amourachages, vous viendrez nous donner un coup de main. On se disait que de ne pas mourir sous les décombres, ce pourrait être quelque chose de bien. »

C'était incroyablement troublant de voir Ulysse, sur ses deux jambes. Avant qu'il ne "meurt", ou tout u moins ne disparaisse, Madeline et lui avait entretenu une relation conflictuelle basée principalement sur la peur qu'il inspirait à la jeune femme. Il y avait chez lui quelque chos de dérangé qui l'avait toujours terrorisé. Mais le fait de le voir, devant elle, amena quelqu'un d'autre à la pensée de la Gryffondor. Jillian... Murmura-t-elle plus pour elle même que pour être vraiment entendu.La soeur d'Ulysse était la meilleur amie de la Gryffondor. C'était peut-être surprenant, mais c'était comme ça. Et elle avait été dévasté par l'annonce de la mort de son frère. D'ailleurs, depuis, elle était devenu quelqu'un d'autre, rongée par la douleur et par un désir de vengeance. Elle avait coupé les ponts avec tous ses amis, elle ne parlait plus, elle se contentait de déverser sa colère sur qui avait le malheur de croiser son chemin. Comment réagirait-elle en apprenant qu'il était toujours vivant ? On ne peux mourir deux fois. Répondi le Serpentard avec un clin d'oeil. Madeline lui jeta un regard noir. Quel crétin... Une chose aussi la frappa. Ulysse s'était toujours considéré comme un prince, et déambulait dans le château avec des aires de propriétaire. Mais pendant son absence, il semblait évident que quelqu'un avait encore gonflé son égo déjà sur-dimensionné. Et c'était incroyablement irritant. Ne me poussa pas à bout je pourrais être tenter de corriger cette erreur. siffla-t-elle entre ses dents. Mais rien ne semblait pouvoir le freiner dans son obsession de donner des ordres à quiconque passait par là. Professeur ou non, Ulysse semblait persuadé que tous devait lui obéir. Et la façon dont il parlait à Fawkes ne semblait pas du tout lui plaire, ce qui était bien compréhensible. Lestrange était un gamin, mais il se considérait comme supérieur à n'importe qui. Ce qui était donc très irritant. Après une nouvelle remarque, Madeline dut se rendre à l'évidence. Attraper une pierre et la lancer sur l'énorme tête d'Ulysse était devenu très tentant. Elle se contenta d'un regard dédaigneux à ses insinuations, au demeurant très mature, quant à un hypothétique flirt entre elle et le professeur. Tu écoute quand on te parle ? Je suis pas en état de vous aider, débrouillez vous seuls, comme les grands garçons que vous êtes. Madeline Rosier, dix neuf ans, préfète et futur auror, maman d'un petit garçon et préféré de son père, était une vrai gamine, ce qui ne semblait pas lui poser de problème.

Les gamins arrogants qui avaient tout vu tout fait à cet âge là, cela le mettait simplement hors de lui. Le Lord ferait mieux de choisir autrement ses partisans, avec seulement des gosses, ils allaient droit dans le mur, vraiment. Ce n’est pas un concours du plus méchant, du plus vil, du plus cruel, c’était une histoire de pouvoir, de ruse. Andreas connaissait des sortilèges que même ce gosse n’arriverait pas à faire, et qu’il n’oserait pas imaginer dans ses rêves les plus fous. Pourquoi ? Parce qu’il était alchimiste en sortilège, et qu’il savait en crée, et qu’il avait participé à la création de sortilège très complexe, à peine à la porté des plus grand, ce gosse pouvait être aussi brillant qu’il le prétendait, il restait un gosse. Celui-ci dit alors, avec cette arrogance qui ne le lâchait pas : « Et maintenant Fawkes, elle n'est pas compromis la mission tu crois ? » Gamin, ne voyant pas plus loin que le bout de son nez. Cela fit sourire Andreas, au moins lui avait la décence de penser, et de réfléchir. Il répondit simplement : « Au moins, il reste un espoir, tuer un otage avant la fin c’est aller contre la volonté du seigneur des ténèbres, là il nous reste une chance. » il était arrogant, lui aussi, et il regarda Ulysse en coin, il ne daignait pas vraiment lui adresser un regard, non. « On ne peux mourir deux fois. » Dit alors, l’arrogant. La fille, Rosier répondit alors : Ne me poussa pas à bout je pourrais être tenter de corriger cette erreur. Andeas esquissa un sourire et rajouta avec un sourire : « Vous m’ôtez les mots de la bouche. » Rosier allait mieux. Andreas était aimable du moins qu’il le pouvait dans une situation pareille. Certes, Andreas n’avait pas l’attention de le tuer, mais au moins de le calmer si besoin était, sa réponse était ironique, mais elle était tout de même arrogante, comme lui. Andreas ne lâchait pas sa baguette, quand l’arrogant dit alors : « Quand vous aurez terminé vos amourachages, vous viendrez nous donner un coup de main. On se disait que de ne pas mourir sous les décombres, ce pourrait être quelque chose de bien. » Amourachages… quel vocabulaire. Ça n’existait tout simplement pas dans le vocabulaire, on dit batifolage, pas ce mot sans sens qui est moche. Ce gosse ne voyait vraiment pas plus loin que le bout de son nez, Andreas ne pris même pas la peine de répondre, cela n’en valait même pas la peine, même pas en rêve. « Arrêtons de laisser les enfants jouer aux déblayeurs. » dit alors Andreas en sortant sa baguette et en s’approchant du mur de pierre éffondré. Il était un sorcier de très haut niveau, très doué, très brillant, humain, brillant, mais parfois effrayant. Il ne connaissait qu’un sortilège utilisé par les gobelins dans les mines, un sortilège créée il y a de nombreuses années, un sortilège qui était loin d’être à la porté de quelqu’un comme Maddie, Ulysse, ou l’autre type, non. Un mouvement de baguette, et un sortilège informulé très compliqué, et doucement, toutes les pierres se mirent en mouvement, déblayant un passage, fin, mais où l’on pouvait aisément passé. « Et voilà. » dit-il simplement, en regardant les trois mangemorts.

NOTE : les groupes de rp ne sont plus séparés ! MAIS PERSONNE NE PEUT DIRE QUI TOUCHE QUI, c’est le PNJ qui décide. Pas de super héros, pas de super héros, merci !

Il fallu quelques secondes au professeur Harlington pour qu’il reprenne ses esprits. Il avait été sonné, Ysölde l’aurait été aussi si elle s’était prise des pierres sur la tête ! Il se leva et ne l’appela pas Wilkes, ce qui lui fit assez plaisir. Elle gardait sa baguette dans sa main, et la serrait fermement, très fermement. Elle sentait dans sa poche arrière, la baguette de sa sœur. Ysölde écouta à moitié la conversation, écoutant derrière le mur, une voix, deux voix, des bruits de pierres, ils arrivaient. Le professeur dit alors : « Bon, je crois qu’on ne peut pas prendre le risque de moisir ici. Tant qu’à faire, cherchons une autre sortie, on a rien à perdre…Si on est attaqué, pas de risques, on les balance à la bête. » Pragmatique mais efficace. Celui-ci attrapa sa demi sœur par les cheveux. Une facette du professeur qu’elle ne préférait pas connaitre, sa sœur trouva à dire : « Dans un autre contexte, j'aurai carrément préféré, professeur. » Sa sœur vola un baiser au professeur qui offrit à Ysölde un regard… à la fois surpris, écœuré. Un professeur, c’était bizarre, mais sa sœur avait des goûts bizarres. Ysölde ne s’imaginait même pas embrasser un professeur… un assistant par contre… cette idée lui effleura l’esprit, et sa sœur ajouta alors : « Peut- être plus tard. » Cette idée était.. mon dieu, bizarre. Ysölde dit alors : « Je ne voudrais pas casser l’ambiance, mais y’a du mouvement derrière, ils essaient de passé on devrait y aller vite, j’entends d’autres voix… ils ont du renforts, je crois. » Elle serait sa baguette encore plus fort, elle avait une étrange sensation. Très étrange, un pressentiment, quelque chose du genre. Une vision ? Non, mais c’était bizarre. Soudain, les pierres se mirent en mouvement, rapidement, ysölde les regarda une demi seconde. « Vite, allons nous en ! » dit-elle alors, en bougeant, tirant sa sœur par le bras. Au moins elle lui faisait croire qu’elle la sauvait, au cas où elle pouvait toujours s’en servir de bouclier humain, en quelques sorte. Ce tunnel était plein de recoin, et Ysölde pressa le pas, presque au point de courir. Elle tenait le bras de Bella, Ysölde entendit derrière elle le bruit des pierres cesser de bouger, ça c’était mauvais très mauvais, elle était désormais à des mètre de là, espérant fortement que les autres l’avaient suivi, mais ils étaient tous pourvu de baguette, heureusement.

« Et voilà. » Et voilà que l'autre se prenait pour un héros et déblayait le passage. Ce n'était pas trop tôt. Ulysse n'était pas impressionné, il ferait bien mieux que lui alors qu'il grandirait et deviendrait plus puissant. Il n'eut pas le temps de dire quoi que ce soit au professeur, car quelque chose d'autre attira son attention. Une voix familière. Une voix qui retournait ses entrailles. Lui faisant un bien fou en même temps qu'elle le torturait. « Vite, allons nous en ! » Le jeune homme aperçu la couette blonde qui s'évadait, c'était hors de questions. Ils pouvaient tous lui glisser entre les doigts, mais pas elle. Il avait envie de l'avoir sous sa joute. De lui tirer les couettes comme quand ils étaient gamins. De lui enfoncer sa baguette dans la gorge et de la plaquer contre le sol avec un mélange de violence et de tendresse. Ulysse s'empressa de courir après elle. Il ne tarda pas à la rejoindre, ayant toujours été un bon coureur, dans tous les sens du terme. C'est ainsi que le revenant arriva à la hauteur de la blonde. Il la plaqua contre le mur en saisissant son visage. Déposant sur ses lèvres un baiser. À la fois passionné et furieux. Il reconnaissait ses lèvres, mais il n'était pas certains qu'elle reconnaisse les siennes. Il y avait si longtemps. Il ne disait rien, prolongeant se baiser alors que des pas s'approchaient d'eux au loin. Elle allait le frapper ou le mordre, c'était clair. Elle avait souhaité sa mort, elle l'avait eut, mais maintenant, son heure de vengeance était arrivée.

Elle était plutôt bonne à la course normalement, même plutôt bonne, elle était athlétique et sportive. Elle gardait sa baguette à la main, elle tournait le dos au tunnel, fuyant les assaillant. Elle fut rapidement rattraper, très rapidement, hélas. Elle fut rattraper, et quelqu’un la saisi violemment, la plaquant contre un mur, et attrapa son visage entre ses mains, elle eut le temps d’apercevoir un revenant : Ulysse. Ce connard. Elle n’eut pas le temps de lui lancer une horreur à la figure, et de dire quoi que ce soit, la suite allait la dégouter. Il posa ses lèvres contre les siennes, et déjà la bile de son estomac était sur le point de remonter. C’était un baiser qui la dégoutait, il était violent, vraiment, comme toujours. Elle détestait ce baiser, cela la répugnait. Il rompit le baiser alors, et Ysölde saisi l’occasion de lui faire du mal, à son tour. Elle attaqua ses lèvres, violemment, pas pour l’embrasser – beurk, plus jamais – mais pour le mordre, violemment. Elle lui mordit la lèvre inférieur jusqu’à avoir un gout de sang sur ses lèvres à elle, dans sa bouche. Elle était sauvage, oui, certainement, mais actuellement, elle avait la haine. Elle profita de sa douleur, pour le pousser le plus violemment qu’elle le pouvait et lui donna un coup de pied pour le repousser en arrière. Elle avait du caractère, mais elle n’allait certainement pas se laisser faire par quelqu’un comme lui. Elle eut le temps de lever sa baguette, et de la pointer sur lui. Elle tenait sa baguette de la main gauche, et de sa main droit elle essuya ses lèvres, dégoutée.

Le Professeur Harlington avait empoigné les cheveux de la Mangemorte avec une brutalité qui fit grimacer Rory malgré lui. Il n’y pouvait rien, elle était prisonnière, elle coopérait, pour lui il n’y avait pas de raison de la maltraiter de la sorte. Toutes ses protestations moururent quand elle embrassa le professeur sur les lèvres et lui lécha l’oreille. Eurgh. Okay, elle était objectivement très canon (bien qu’il préférait largement sa Coke) mais c’était une Mangemorte, et ça, c’était répugnant. La blonde le tira de ses pensées : l’éboulement qui les séparait jusque là des autres Mangemorts étaient en train de trembler dangereusement, et plusieurs voix s’élevaient de l’autre côté. Apparemment, ils avaient eu des renforts… Ysolde parti en courant, Morgead, l’otage et Rory sur ses talons. Harlington qui était décidément bien plus malin que lui fit exploser une canalisation et lança un sort d’Entrave avant de les suivre. Rory se maudit de ne pas y avoir pensé lui-même, mais réfléchir n’avait jamais été son fort.
Il pensait avoir mis pas mal de distance entre eux et les mangemorts, quand un type plaqua brutalement Ysolde contre le mur. Avant qu’il n’ait le temps de faire quoique ce soit, elle lui arracha à demi la lèvre avec les dents avant de le repousser d’un coup de pied bien placé et de le tenir en joue. La blonde avait visiblement plus de ressource qu’il n’y paraissait. Rory lui jeta un regard approbateur et profita qu’il se trouvait derrière le mangemort pour lui lancer un sort de Désarmement en traitre. Il s’exclama ensuite d’une voix pleine d’effroi : « Qu’est-ce qu’ils ont tous ces mangemorts à violer les lèvres des gens ? J’vous préviens, moi j’passe mon tour ! » finit-il avec un frisson de dégoût.