(dabria) ▷ kiss me hard before you go.

DABRIA VEE GREENGRASS

« A Poudlard , une aide est toujours apportée à celui qui la mérite. »

• CARTE IDENTITÉ DU MINISTÈRE

› nom : Greengrass, nom de famille hérité de ma mère et non de mon père, ce dernier ne voulant pas de moi. Il a refusé ma légitimité, cette vermine.
› prénom : Dabria, Vee.
› âge, date et lieu de naissance : J’ai trente-quatre ans (et j’aimerai qu’il en soit ainsi jusqu’à l’éternité). Je suis née le 13 septembre 1978, en plein cœur d’Edimbourg, je ne pourrais vous affirmer un lieu précis.
› lieu de résidence : à Poudlard lorsque j’enseigne aux étudiants la Divination, sinon j’ai un petit appartement dans la capitale du Royaume-Uni que j’occupe les week-ends et les vacances scolaires.
› nature du sang : Je suis de sang-mêlé et ce à mon grand regret. Mon père était issu d’une famille de sang-pur, mais ma mère était une cracmole, une sorcière incapable de pratiquer la magie.

• CARTE SCOLAIRE DE POUDLARD

› ancienne maison : Serpentard.
› nombres d'années passées à poudlard : sept années, nécessaires afin d’obtenir mes ASPICS.
› poste occupé : Professeur de Divination à Poudlard, mais aussi journaliste à mi-temps pour la Gazette des Sorciers, le célèbre quotidien.
› composition de votre baguette : Bois de prunelier, ventricule de dragon, 22,5 centimètres, rigide.
› matière autrefois favorite : La Divination, j’y trouvais une passion après le Quidditch. Cette matière m’a toujours mis le poivre à l’œil. J’étais excitée d’aller à ces cours. Le mystère flottait dans la salle et la tension était de mise. Je m’éclatais à voir les faces de mes camarades se teinter d’une peur vibrante.
› matière autrefois détestée : Je pense que la plupart des élèves auraient été d’accord avec moi. Je détestais la Métamorphose. Cette matière était tellement difficile et requérait beaucoup de concentration, de sérieux.
› la forme de votre patronus : Un Lynx Boréals, célèbre félin européen au pelage fauve.
› l'épouvantard : Me voir moi-même, entourée de mon père et de ma mère étrangement affectifs envers moi. Pour rien au monde, je ne voudrais changer mes convictions envers le Seigneur des Ténèbres et c’est bien connu que ma situation d’orpheline m’a amenée à pratiquer la Magie Noire et à intégrer le cercle des Mangemorts.
› détails à communiquer : je n'aime pas les élèves qui n'écoutent pas mes cours, je n’hésite pas à les punir pour leur montrer que la Divination n’est pas une option dans laquelle on s’assoupit sur un pouf. Je déteste manger des Dragées Surprise. Je suis une véritable fan de Canon de Chudley, ayant pratiqué du Quidditch dans ma jeunesse, j’ai toujours aimé la violence de ce jeu et l’excitation qui en ressort.

• MA RENCONTRE AVEC POUDLARD

La neige craquait sous ses pas comme lorsqu’on croque une pomme à pleine dent. Le son titillait ses oreilles et la mettait de bonne humeur. Dabria aimait savoir que même les choses les moins organiques criaient de douleur sous son poids. Elle se sentait puissante, forte, prête à tout pour faire valoir ses talents de sorcière auprès des Serpentards. Car, nombreuses étaient les insultes qui pleuvaient sur elle. Elle recevait des remarques à propos de ses origines, de sa mère, de son sang, de son statut social. Toutes ses paroles tranchantes lui brisaient le cœur, la torturaient, la mettait hors d’elle. Un jour, elle en était arrivée à saccager une salle entière. Et puis, elle avait compris, bien plus tard, que toutes ses moqueries ne s’arrêteraient pas tant qu’elle n’aurait pas fait ses preuves. Elle comprit que son passé était une force et non une faiblesse. Son abandon, son adoption, le dénie de son père, toute cette haine envers ses parents, envers les autres, l’aiderait à rejoindre le Seigneur des Ténèbres. Une lueur malsaine prenait source dans le tréfonds de ses iris et se dispersait dans ses prunelles. Ce matin, Dabria avait quelque chose à accomplir. Elle s’était levée tôt pour aller méditer dans le parc enneigé du château et remontait maintenant les marches menant à la porte principale. Le sentier était désert. La plupart des élèves retournaient dans leur cocon familial pour la période des vacances de Noël. Les autres restaient à Poudlard et se réjouissaient généralement des grasses matinées qu’ils collectionnaient. La jeune rousse, elle, avait eu le choix entre retourner dans ce trou à rat d’orphelinat ou rester dans ce château qui l’accueillait chaleureusement tous les ans. La décision n’avait pas été difficile. Et puis, si elle restait, autant s’amuser. L’excitation augmentait de plus en plus. Elle allait enfin connaitre une sensation encore inconnue. Elle allait pratiquer ses premiers sorts de Magie Noire au cœur de la bâtisse de pierre. Elle allait connaitre pour la première fois un pouvoir incroyable. Un ami, proche des Ténèbres, lui avait donné rendez-vous et l’attendait en ce moment-même. Un frisson parcourut son échine alors qu’elle toucha d’une main les murs gargantuesques d’un couloir. C’est ici que commençait son apprentissage, sa passion pour les Forces du Mal.

• ENTREVUE AVEC VOTRE JOURNAL INTIME : CONFESSIONS INTIMES.

› Votre camp officiel : [] Le Cercle [x] Mangemort [] Ordre de Woodcroft [] indécis
› Pourquoi choisir ce camp : Le cercle des Mangemorts, c'est comme une famille pour moi. Tout à commencer lorsque ma mère m'a quittée à l'âge de huit ans. Je me suis retrouvée toute seule, dans un milieu que je détestais le plus, l'orphelinat. Je détestais tout ce qui avait trait, tous ceux qui vivait sous ce toit. J'y voyais une façon de m'accrocher à la vie. Je maudissais, j'insultais, je provoquais. Et puis, j'ai découvert mes pouvoirs. Je crois que ce fut le plus beau de ma vie. J'étais spéciale après tout, j'avais des pouvoirs et j'allais pouvoir me venger. Je me sentais forte, puissante. Mais, les cours à Poudlard n'arrivaient pas à étrangler ma colère, mon désir de violence. Il me fallait quelque chose de plus. Et c'est ainsi que j'ai pratiqué la Magie Noire et que je me suis rapprochée de l'adoration qu'avait certains camarades pour le Seigneur des Ténèbres. Me battre pour lui, mettre en action ses moindres désirs, c'est comme regarder la peur d'un élève en classe de Divination. On s'en délecte.
› Position sur la nature du sang & sur la création de Grindlemonk : A vrai dire, j'ai toujours eu honte de la nature de mon sang. Je suis une sang-mêlée. Pire, ma mère était une cracmole. Depuis mon entrée à Poudlard, j'ai du dénié l'existence de celle qui m'a mise au monde. Je voulais être fier de mes racines. Le sang, c'est important dans la communauté des Mangemorts. Pourtant, mon statut ne m'empêche de croire au Seigneur des Ténèbres. Je ne suis pas traitre, je ne suis pas indigne d'être sorcier, je suis même dévouée.
Le sang ne m'aurait pas posé problème si mon maître ne s'y était intéressé de plus proche. J'ai appris à percevoir les né-moldus comme anormales dans notre société, à les mépriser, puis à les haïr. J'ai été fière de voir la toute nouvelle maison, Grindelmonk, être mise en place à Poudlard. Une justice nécessaire.

• IL ETAIT UNE FOIS UN SORCIER A POUDLARD.

› chap. 1 : Une silhouette frêle s'avançait hasardeusement dans la ruelle sombre. Edimbourg avait plongé dans les ténèbres depuis plus de deux maintenant et seuls les quelques lampadaires éclairaient la ville. La lune, elle, avait décidé de s'éclipser derrière de menaçants nuages. Peut-être avait-elle senti le besoin anonyme de l'individu qui trainait ses pattes sur les pavés et longeait les murs froids de la capitale d'Ecosse. Peut-être avait-elle perçu l'anxiété et la peur qu'animait ce corps si fragile. Une frayeur que la silhouette ne ressentira qu'une fois dans toute sa vie. La peur de donner vie et d'être happée par la vieillesse et l'abandon. Lorsque l'individu fut hâlé par la lumière d'une lampe, on put voir clairement ce qui amenait la créature à se cacher. Les cheveux gras, longs, négligemment jetés sur ses épaules, un visage fin, presque famélique, la femme agrippait d'une main son ventre. On pouvait déjà voir que la grossesse était arrivée à son terme ou ne tarderait pas à l'être. La bosse était volumineuse et la future maman n'avait pas dormi tranquillement depuis des semaines. L'accouchement sera douloureux, rien qu'en voyant les courbes chétif de la jeune femme. Le mieux aurait été de se rendre à l'hôpital le plus proche et demander de l'aide. Mais il n'en était pas ainsi dans l'esprit de Lucilla Greengrass. Non, elle n'avait pas à souffler de douleur, à serrer des dents, à endurer l'accouchement et à élever cet enfant toute seule. IL était aussi responsable qu'elle de la naissance du bébé qu'elle portait en son sein. Il était le père. Il allait, il devait l'aider. Certes, son sang était beaucoup plus majestueux que le sien, mais Il ne pouvait pas la laisser comme cela, seule et souffrante. Ne l'avait-il pas aimé leurs ébats époustouflants, il y a 9 mois de cela ? N'avait-il pas ressenti une once d'amour pour elle, pour son corps, pour la vivacité de son esprit ? Le contraire ne pouvait être. Pendant tous ces mois, Lucilla avait espéré qu'il vienne la voir, qu'il prenne de ses nouvelles. Rien. Et ce manque d'affection l'avait inquiété. Cependant, elle n'avait pas osé le contacter. Elle avait eu peur d'être rejetée. Puis, elle avait compris qu'elle n'avait rien à perdre lorsque sa grossesse avait atteint le neuvième mois.
La créature s'arrêta sous un porche et porta un doigt fébrile sur la sonnette. Elle entendit le bruit strident se répandre dans tout l'appartement. Pendant un instant, elle contempla la porte de bois qui lui faisait face. Quel bel ouvrage. L'ornement de la poignée complétait la scène dans toute sa splendeur. Seule sa présence faisait défaut. Non pas par sa laideur, car aucune fille du conté n'était aussi belle que Lucilla, mais par son statut en ces lieux. Elle, cracmole, visitait une famille de sang-pur. Quelle folie! « Que faites-vous ici ? » La jeune femme tressaillit de surprise et se retourna vivement, faisant face à un homme vêtu d’une longue cape noire. Son visage était clairement visible et Lucilla n’hésita pas une seconde à tendre ses bras vers le père de son enfant. Mais ce dernier recula comme si la pauvre fille n’était qu’une ordure polluante. Lucilla s’arrêta dans son mouvement, la bouche entrouverte et les yeux emplis d’interrogations. « Erwan… » Le jeune homme fit une moue de dégoût en entendant son prénom prononcée par cette souillure. Que venait-elle faire chez lui ? Que planait-elle ? Ouvrir les portes et annoncer la venue du bébé ? Il n’en était pas question. Elle n’était qu’une cracmole, une moins que rien. Ce bébé portait peut-être son sang, mais il n’en était pas le père. Jamais il ne garderait une telle outrance proche de lui. Jamais il n’éduquera cet enfant. Cette femme pouvait aller au diable. Il monta calmement les marches du parvis en contournant Lucilla. Puis, il ouvrit la porte grâce à sa baguette magique, chose que la jeune fille n’aurait jamais été capable de faire. « Vas-t-en avant qu’on ne te voit ici. » Il s’engouffra dans le cocon d’air chaud que l’appartement émanait et referma rapidement la porte dans un grand claquement sec. Lucilla resta un instant sous le choc. La seule personne pouvant l’aider venait de lui couler entre les mains. Pire, il s’était glissé de ses doigts, volontairement.

› chap. 2 : Dabria tire une grimace à cause des hanses du sac en plastique qu'elle porte depuis cinq minutes. Il est lourd et ses phalanges deviennent de plus en plus blanches, souffrant du manque de sang apparent. Pourtant, elle n'a pas le choix. Elle doit ramener se sac chez elle si elle veut manger à sa faim trois jours durant. En effet, toute la nourriture nécessaire est empilée au bout de ses petits bras musclés. Elle avait compris, il y a plusieurs mois, qu'elle devrait s'occuper des courses si elle ne voulait pas sentir son ventre grouillée tous les soirs de la semaine. Maintenant, c'était devenu une pratique spontanée. Pour sa sécurité et celle de sa mère. Cette dernière ne se sentait pas très bien et restait au lit toute la journée. En fait, en y réfléchissant bien, Dabria ne l'avait jamais vu en bonne forme. La petite rousse ne se souvenait même pas des bras de la femme qui la serrait pour lui faire un câlin. Depuis longtemps, Lucilla Greengrass menait une vie solitaire, dans l'ombre de soi-même. Elle avait succombé à une mélancolie inébranlable. Elle ne pouvait plus s'occuper d'elle et de sa fille, du moins elle ne voulait pas. Ainsi, Dabria avait du se débrouiller, trouver une solution pour ne pas tomber dans la misère. Elle avait appris à ne se fier à personne, à se concentrer sur le but du jour et n'accorder aucun intérêt aux problèmes des autres. Froide, autoritaire, battante. Voilà ce qu'était devenu Dabria pendant toutes ses années d'autonomie. Cependant, la jeune fille se consacrait des moments de rêveries. La nuit, elle s'imaginait une autre vie. Une vie où elle, Dabria Greengrass, était reconnue pour sa vaillance et son courage. Un monde où elle était célèbre et effectuait de grandes choses. Au plus profond d'elle, elle désirait être adorée et être craint par une populace aveugle. Oui, elle souhaitait qu'on parle d'elle, qu'on écrive sur elle, qu'on se souvienne d'elle. Parce qu'elle avait trop vécu dans l'ombre de sa mère et de sa maladie et qu'elle avait besoin de reconnaissance de la part d'autres personnes.
« Maman! Je suis rentrée! » Dabria venait de s'époumoner afin que sa mère puisse l'entendre du rez-de-chaussée. Elle s'avança péniblement dans la maison et porta son chargement dans la cuisine. Ceci fait, elle craqua ses doigts plusieurs fois et massa ses paumes rougies. Elle détestait ressentir la douleur, quel qu'elle soit. Cela signifiait qu'elle était vulnérable et par conséquent faible. Le bruit d'une mouche attira son attention et, d'un coup violent, elle tapa le rebord de la table en bois où s'était reposée la pauvre bête. Cette dernière gisait, les ailes repliées et le corps à moitié écrasé. Elle sursautait encore dans un combat entre la vie et la mort. Dabria sourit malicieusement, goûtant délicieusement aux derniers soupirs qui animait la mouche. Sentir la vie s'échapper de quelqu'un et, surtout être conscient d'en être la cause, était une merveille qu'avait expérimentée très jeune la rousse. Parfois, elle rêvait qu'elle attrapait autre chose que des insectes, comme par exemple des enfants de son âge, voire des adultes. Elle imaginait leur visage terrifié, leurs pleurs et leurs supplications. Enfin, elle se vengerait de la vie qu'elle menait depuis sa naissance.
Dabria prit fermement une tasse d'une des étagères et la remplit d'eau, puis la posa dans le micro-onde. Elle tourna le bouton afin que l'eau chauffe et, ceci fait, elle mit deux cuillères de chicorée. Puis, elle prit le mug et se dirigea vers la chambre de sa mère. « J'arrive! » Elle fit attention à ne pas renverser le contenu, mais un peu de liquide goutta par terre. Dabria soupira d'exaspération. Pourquoi avait-elle à faire ça pour sa mère ? Elle en avait marre de faire la boniche, de s'occuper de tout, de ne pas pouvoir trainer dans la ville, d'être coincée dans cette fichue maison. Elle avait huit ans, elle n'était encore qu'une enfant. Elle ronchonna et continua son périple jusqu'à une porte entrouverte. « Je suis là. Je n'ai plus de sucres en bas, j'ai oublié d'en acheter. Tu feras sans. » Dabria poussa l'obstacle du pied et entra dans la pièce. On n'y voyait presque rien et une odeur de renfermé emplit les poumons de la petite. Elle n'eut pas le temps de faire une moue dégoûtée qu'elle hoqueta à la vue de sa mère inerte dans son lit. Le rouge étalé le long de son corps, sur les draps, attira son regard. Puis, elle remonta la trainée de sang et aperçut la broche dorée à moitié enfoncée dans le cou du cadavre. La bouche de Dabria devint tout à coup très sèche. Elle remarqua aussi la peau cireuse, les yeux exorbitants et la bouche déformée de sa mère. La mort l'avait emmené dans son sein. La seule personne qui rattachait Dabria à la générosité et à la compassion venait de disparaitre à jamais.

› chap. 3 : La salle était gigantesque et Dabria se sentait minuscule face au monstre de pierre. De toute sa vie, elle n'avait observé tel monument de ses propres yeux. Elle avait donc frissonné d'excitation lorsque Poudlard s'était révélé à elle et qu'elle avait franchit les murs de un mètre d'épaisseur. Le souffle déchainé, elle avait suivi le guide et se tenait à présent devant une immense porte en bois, assez rustre, mais non moins intimidante. Dabria aimait cela. Elle ressentait la puissance que le château exerçait sur tous les sorciers. Et, ce soir-là, elle se promit d'avoir le même pouvoir, plus-tard. « Hey, salut. Toi aussi, tu vois Poudlard pour la première fois ? » Dabria fronça les sourcils, en entendant la petite voix derrière son oreille. Elle se tourna vers son interlocuteur et découvrit le visage rosé d'une petite fille aux cheveux d'or. Ces derniers étaient coiffés en deux tresses. Dabria maugréa en elle-même, se demandant pourquoi cette pimbêche lui avait adressé la parole. Pimbêche qui puait le pognon et la vie belle. Elle détestait ce genre de fille. « Personne ne voit Poudlard avant ses 11 ans. Espèce de Sang-de-Bourbe. » L'insulte fut prononcée dans un murmure. Dabria n'avait aucune idée de ce qu'il signifiait, mais se retourna vers sa sauveuse, lui sourit malicieusement et commença à ricaner avec elle. Elle serra volontiers la main qui se tendit vers elle. Pour la première fois, Dabria venait de pactiser une amitié. Elle rencontrait des gens qui la comprendraient, qui ressentiraient la colère les tordre de douleur. Le seul moyen pour ces jeunes gens étaient de la laisser partir, de la laisser s'exprimer. Pendant toute leur scolarité, leurs actes allaient se définir à une chose : s'exprimer par la violence.
« Les premières années, un peu de calme. Nous allons maintenant procéder à la répartition. Veuillez me suivre dans le plus grand silence s'il vous plait. » Dabria se tue et suivit le professeur. La Grande Salle était aussi merveilleuse et magique que le reste du château. Des tables remplies d'élèves, quatre en tout remarqua-t-elle, longeaient la pièce rendant la perspective encore plus impressionnante. Des chandeliers volaient au-dessus de leur tête et Dabria se demanda qui les avait jeté le sort. Un des professeurs se tenant sur l'estrade ou bien l'homme debout devant son chapitre ? Ce dernier était surement le Directeur de Poudlard, celui qui allait logiquement les répartir dans chaque maison. Mais comment allait-il faire ? Il ne les connaissait pas, du moins pas Dabria. C'est alors qu'un horrible chapeau posé sur un tabouret chanta une chanson débile. La petite rousse étouffa un rire. C'était ridicule. U chapeau qui chante. Elle n'avait rien vu d'aussi dérisoire. Pourtant, son amusement s'envola au loin lorsqu'elle comprit que ce chapeau n'était pas comme les autres. Certes, il tombait en ruines et sentait le ranci, mais il répartissait les élèves. Il devait fouillait dans les pensées des élèves, leur cerveau, afin de voir leurs points forts, mais aussi leurs faiblesses. Dabria fronça les sourcils. Elle n'avait aucune envie d'être cernée, d'être analysée par le Choixpeau. « Dabria Greengrass! » L'intéressée inspira un grand coup et s'avança, méfiante, et s'assit sur le tabouret. Ses doigts allèrent se cramponner sur le rebord du siège, ses ongles s'enfonçant dans le bois. Elle maudit le chapeau lorsque celui-ci hurla « Serpentard! » Le Choixpeau n'échappait à personne. Dabria se releva vivement du tabouret et se dirigea vers la table où des exclamations naissaient. Elle remarqua la jeune fille de tout à l'heure et lui sourit à nouveau. Puis, elle sentit des bras serrer son épaule et des voix la féliciter. Pour la première fois, on la voyait, elle, Dabria Greengrass.

› chap. 4 :
Mon cher Duchannes.

Je sais que tu es actuellement occupé et j’ai encore le souvenir d’avoir lu ta phrase d’avertissement depuis notre dernière correspondance. Garde l’enfant et fais-toi oublier. Je dois dire que j’ai été choquée par l’autorité de cette prose. Moi qui croyais que nous avions partagé tant de choses, des choses emplies de douceur et de désir. Tu te rappelle autant que moi cette nuit que nous avons passée ensemble dans les draps désordonnés d’un lit de ton manoir. Tu sais ce qui en a découlé. Tu sais que la vie se niche à présent dans mon ventre. Pourtant, tu veux oublier, tu renies le sang de ton sang, la chair de ta chair prêt à naître. Crois-moi, j’avais d’autres projets dans la vie avant de me savoir mère. Je respirais à de grandes choses. La liberté me tendait enfin les mains. J’allais me lover contre elle et ne plus la quitter, mais il a fallu d’une erreur pour que tout bascule. Crois-tu que je suis aussi enchantée que toi d’avoir un enfant, qui plus est à mon âge. Je n’ai que 19 ans pour l’amour du ciel. Toi, tu es beaucoup plus vieux. Certes, tu es marié, je peux comprendre que tu ne veuille pas entacher ta réputation et celle de ta femme. Mais n’avait-il pas fallu y penser plus tôt, mon cher Duchannes ? Tu ne reçois que ce que tu mérite. Alors, dis-moi, suis-je obligée d’aller à la rencontre de ta femme afin d’être libérée de ce point en mon sein ? Tu me connais et tu sais que j’en suis capable. Je suis une vieille amie des scandales. Pendant ma scolarité à Poudlard, j’ai survécu aux rumeurs à mon encontre. Mais toi mon cher ? Non, tu n’as pas le choix. C’est ce que j’essaye de t’expliquer depuis le début. Tu n’as pas le choix, alors tu vas prendre notre enfant sous ta responsabilité. Tu vas venir à Londres dans les plus brefs délais et tu m’accompagneras à Sainte-Mangouste. Je t’abandonnerai le nouveau-né et je suis sûre que tu en tomberas des nues dès que tu verras son petit corps s’arquer sous tes bras. Tu aimeras notre enfant, tu feras un bon père. Tu as un statut, de l’argent, une famille équilibrée, ta fille t’aimera.

A très bientôt,
Dabria.

› chap. 5 : « ucey »

• LE REPOUSSE MOLDU NE MARCHE PAS.

› Pseudo et/ou prénom : crymeariver ou bien lou c’est comme vous voulez :p
› Votre avatar : Jessica Chastain ** › Commentaire : le fow est magnifeyque (aa)
› Parrainage : [] oui, s'il vous plait ! [x] non, merci !
› Code du forum : Ok by Catherina

first Log-in : 07/03/2012 parchemins : 239

* regarde si Amesteia n'est pas dans les parages *

DABRIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 81441

bienvenue

(dabria) ▷ kiss me hard before you go. 33844

à la moindre question n'hésite pas (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 87881

first Log-in : 10/05/2012 parchemins : 456

~~MOMAN !!!~~
bienvenue sur le forum, j'adore tellement le début de la présentation, le reste promet

first Log-in : 24/01/2011 parchemins : 1808

Bienvenue =)

Bienvenue sur le forum ♥

J'espère que tu te plaira en tout cas ^^

Bonne chance pour ta fiche.

first Log-in : 14/04/2012 parchemins : 348

Jessica Bienvenue

Bienvenue ! jump

Bienvenue parmi nous!
Et bon courage pour ta fiche !!

Bienvenue parmi nous (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 469549

Merci à vous tous (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 469549

(dabria) ▷ kiss me hard before you go. 395712

andreaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaas (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 81441

toi je t'aime (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 87881

viens faire des bébés avec moi (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 79956

arya ma fille (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 819337

/la serre dans ses bras jusqu'à l'étrangler
nos rp vont promettre (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 469549

first Log-in : 07/03/2012 parchemins : 239

JE VEUX DES BEBES (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 81441

* même si un est en cours avec quelqu'un d'autre* (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 81441

*l'emmène dans un coin plus tranquille*
ils seront tous beaux... avec deux bégé comme nous en tant que parent, faut s'y attendre (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 662290

(dabria) ▷ kiss me hard before you go. 662290

* regarde si Amesteia n'est pas dans les parages *

*Lui fou un coup de pied en bonne et dût forme vu qu'apparemment il a des choses pas clean à se reprocher.... Smile

*

Bienvenu par ici Dabria *lui fais un croche-patte* evil

Et pour des bébés avec Andreas tu rêve, je te le laisse pas Smile

han ma rivale adorée (dabria) ▷ kiss me hard before you go. 469549

(dabria) ▷ kiss me hard before you go. 429689

mais je suis sûre qu'on va trouver un terrain d'entente (du genre on se refile andreas et on accouche en alternance Smile

ok je sors

)

Merci beaucoup hoop

Alors là tu rêve. Je partage pas mon aimé. Enfin, comme ami je veux bien faire un effort :red: mais tu oubli tout de suite un passage sous une couette en sa compagnie Smile

Pis c'est pas un objet alors tu parle pas de lui comme tel, nan mais oh /o\