WITH SEPTYMUS

Tout arrivait un jour, les bons comme les mauvais moments. Tout même l’hiver. En parlant d’hiver, cette été, l’Angleterre était chanceuse d’avoir toute cette neige s’être abattue sur elle. Ruben était un amoureux de la neige, disont que quand il était petit il avait toujours aimé sauter dans celle-ci jusqu’à en rire aux éclats. Tout ça sans avoir les yeux braqués de son père. Son père, quel féroce homme. Il ne savait point profiter de la beauter des lieux, la beauter du monde. L’Angleterre était belle avec toute cette neige, cela changeait de la pluie qui parfois, prenait toute la place. Ce matin-là, Ruben se leva en douceur pour ensuite regarder par la fenêtre. A les vacances, c’était les vacances pour tous, mais également pour les professeurs, il se devait obligatoirement de faire la grasse matinée et de pouvoir comme tout le monde se rendre à la grande salle pour prendre un repas unique, le repas le plus important de la journée. Le petit déjeuner bien sur. Ce matin, le professeur de Potion était de bonne humeur, comme chaque matin d’ailleurs. Il se devait de l’être, ne pas l’être voudrait dire de ne pas montrer l’exemple aux élèves et Ruben souhaitait sans arrêt montrer l’exemple aux plus jeunes. Pour lui, chaque professeur se devait de montrer, d’apporter quelques choses aux étudiants comme lui avait reçu de ses professeurs pendant son temps. Tous, lui avait apporter quelques choses d’énorme. Le savoir en passant par la culture général tout en continuant par la pratique. Mais un seul professeur lui avait donner l’envie de faire un métier, l’envie de réussir. Son professeur de potion. Lui, il lui avait tout apprit, ça ne serait sans doute pas son père qui lui aurait apprit l’alchimie qu’il y avait entre chaque ingrédients et chaque liquides pouvant constituer juste une fiole de potion. S’habillant et se douchant afin d’être enfin prêt pour aller déjeuner, il se regarda dans le miroir afin de voir si tout était parfait pour cette journée de vacances. Oui, Ruben était perfectioniste dans tout ce qu’il entreprenait mais surtout dans le travail. Le travail lui permettait d’oublier ce qu’il avait perdu mais pas totalement. D’ailleurs, avant de sortir de sa chambre, il fouilla dans le tiroir de son bureau avant de sortir une fiole argentée. Non, ce n’était pas du jus de citrouille les enfants mais bien du wishky pur feu. Tout alcool dans Poudlard était refuser mais rien n’empêchait dans ramener et Ruben l’avait bien comprit. Il savait quand faisait cela, il serait capable de perdre son travail mais si personne ne le voyait, si personne ne remarquait son caractère troublant, personne n’irait le chahuter sur entre chaque murs du château. Pas vrai ?

Arrivant enfin à la grande salle, Ruben remarqua que les élèves le salua. Bien élever correctement. Heureusement d’ailleurs car autrement, chaque élève aurait été remit à l’ordre dès sa venu. Arrivant à la table des professeurs, il salua chaque professeur d’un geste de la tête puis alla saluer Septymus Falk-Erskine en une poignée de main. Il était collègue mais également ami fidèle. Le déjeuner était un gâteau au citron avec une crème légère au lait. Tout ça en prenant un café pour Monsieur Crabbe. Il était fier de ne pas être devenu comme son père. Mais personne ne savait qu’il faisait partit du même camp. Double jeu quand tu nous tiens. Le temps passa alors et les élèves également. Chaque professeur partient faire leur traintrain quotidien. Sauf Ruben qui avait apporter les parchemins des étudiants qu’il se devait de corriger. C’était peut-être les vacances mais tout de même. Le travail était nécessaire pour ne pas repensé à autre chose. Il vérifia si personne n’était dans la grande salle en même temps que lui puis sortit sa fiole afin de boire une gorgée de wishky. Il espérait que personne n’arrive pour lui parler et surtout pas le directeur. Surtout que tout le monde savait qu’il avait perdu son petit frère l’année dernière en fin d’année. Triste réalitée. Il se mit à corriger les parchemins des étudiants mais en voyant le résultat des notes, il comprit que c’était peine perdu. «Par Merlin ! Moi qui croyait qu’ils avaient comprit cette potion ! Par tous les gnomes ! Le résultat n’est que mauvais ! » Enervé il se mit à balancer tous ses parchemins par terre. Peut-être que finalement, Ruben n’avait pas bu qu’une seule gorgée. Ou du moins pas une petite. Il se mit à entendre des pas, des pas venant de loin mais qui se menait à lui. Comme disait je sais plus qui, tout chemin mène à Rome. Soudain il leva la tête la tête et fit un signe de la main. «Septymus, tu arrives bien, voilà l’elfe qui apporte le thé pile à l’heure. Oh ! Je vois que toi aussi tu viens corriger tes parchemins. Je ne te dis même pas les grosses erreurs que j’ai vu sur les miens. Je te montre ? » Il fit un signe à ses parchemins mit en vrac sur la table. Il n’avait pas eu le temps de tout ranger avant la venue de celui-ci. Son collègue mais aussi son ami.

Dernière édition par Ruben T. Crabbe le Jeu 10 Jan - 6:44, édité 2 fois

Dans la vie, tout avait un sens même la façon dont écrivait les étudiants, même le temps, même le sourire sur le visage d’un orphelin. Tout avait un sens, il fallait seulement le découvrir, savoir ce que cela voulait dire, peut-être que cela allait engendrer des conséquences. Rien quand regardant l’écriture, Ruben avait apprit à savoir la façon dont les étudiants se comportait, leurs caractères, leurs façon d’être, s’ils étaient plutôt maniaque sur leur façon d’écrire, s’ils s’appliquaient ou bien au contraire s’ils étaient du genre à être j’en foutisme. Ancien Serdaigle, ancien étudiant, le professeur de potion avait toujours été minicieux sur son travail, sur la façon dont il écrivait, chaque lettre avait été bien former et heureusement d’ailleurs car aux examens finaux, cela remportait beaucoup de points concernant la propreté et le soin sur le parchemin. Il ne voulait pas, il ne souhaitait pas qu’à la fin de leurs années, même si il y avait encore le temps pour chacun d’entre eux, il ne souhaitait pas que ses élèves rate leurs examens de quelque point. En sachant que même en ayant des diplômes, il était très rare de trouver un métier qui nous ailles comme un guant. Sauf peut-être Ruben et les autres professeurs qui avait trouver leur chemin depuis bien longtemps. D’autre trouvait leur chemin qu’à présent mais Ruben, avait toujours su pourquoi il était fait et il aurait voulut que son petit frère est cette chance mais trop tard, la mort l’avait emporter au paradis, vers les cieux. Paix à son âme. Septymus était professeur de métamorphose, un collègue très proche et ami en même temps. D’ailleurs Septymus faisait partit des gens auquel Ruben n’hésitait pas à donner sa confiance, même s’il ne voulait pas lui parler du whisky matinal habituel. Pas parce qu’il avait honte, si il s’était mit à boire c’était pour une bonne raison, il pensait qu’en buvant il oublirait cette souffrance qu’il consumait à l’intérieur de lui-même, pire que si on vous écrasait une cigarette sur le bras. Si Ruben avait besoin de parler, il savait que Septymus serait le premier au courant, bien qu’il avait Maddox son meilleur ami et Clyde son deuxième meilleur ami mais celui de l’enfance également. Septymus était quelqu’un que Ruben appréciait, toujours à l’écoute, toujours bon pour les conseils et puis la façon de faire les cours et la manière de faire avec les étudiants était la même que celui-ci. « Je doute qu'ils aient été capables de faire pire que ce que je tient en main – il y en a un qui a écrit verre d'eau vingt fois sans comprendre qu'on parlait de la couleur- mais vas-y montre, de toute manière on a atteint un seuil de stupidité impossible à dépasser cette année. » Parfois, Ruben avait l’impréssion qu’il fallait être plus sévère avec les étudiants, ne leur laisser aucune chance, qu’il fallait réagir car autrement, la déception les poursuivrais.

Sur le visage de l’homme Crabbe, une grimace prit place. Une grimace qu’il avait l’habitude quand il était deçu. Oui Ruben était déçu de ses élèves, déçu du travail qu’ils avaient tous fait. « Dit toi qu’à la place de gnome j’ai vu le mot gomme. Où est le rapport entre un gnome et une gomme ? Parfois mon ami, j’ai l’impréssion qu’il faut être encore plus sévère avec les étudiants car autrement les résultats ne seront pas présent comme on le souhaite. » Ruben se mit alors à reclassé les parchemins à la façon moldu. Même s’il vivait dans le monde des sorciers, parfois il se comportait comme un simple moldu, ce qui avait le don d’énerver son père. Le professeur regarda son ami faire apparaître deux tasses de thé et une boite, contenant des chocolats. A la normal, Ruben n’était pas très fan de tout ce qui est sucré mais pourquoi ne pas ce faire plaisir, après tout, c’est les vacances de noel, le meilleur moment pour se régaler. « Tu en veux ? Dit-il en en mettant un à la bouche en tendant la boite à Ruben. Ils sont sans-alcool, sans-poison et sans-surprises. » Sans alcool ? Ruben devait certainement sentir le whisky à plein nez, lui qui se devait de ne pas se faire remarquer par qui que ce soit pour ne pas perdre son poste de professeur de potion. Il mit sa main à la bouche discrètement afin de sentir son halène. Oh bordel ! Il sentait vraiment l’alcool a plein nez, impossible de passé à côter. Heureusement, il n’avait pas le directeur à coter de lui car autrement, il se serait fait appeler Jacky ! Ruben se mit alors à sourire, un vrai sourire, un sourire qu’il n’avait pas fait depuis des mois. Auparavant il n’avait fait que de faux sourire pour les élèves, mais cet fois-ci, c’était un vrai sourire à son ami. « Avec grand plaisir, quand je vois ses petits vifs d’or, il mais impossible de résister. » Ruben prit un petit vif d’or et le mit en bouche. Miam ! Ce petit vif d’or avait drôlement bon goût. Cela changeait beaucoup des chocolats de bon marcher que son père lui offrait juste pour dire qu’il avait offert quelque chose. Le professeur de potion regarda l’elfe de maison servir le thé. Une épaisse fumée transparente sortit des tasses. Cela devait être bien chaud. Il remercia l’elfe de maison d’un signe de tête et directement, l’elfe disparut. « Tu prends du sucre peut-être ? On devrait faire attention, cela à l’air très chaud. » Il attendit la réponse pour le sucre et tendit la tasse au professeur de métamorphose. « En parlant de surprise, je n’ai pas vu Emrys ce matin, il n’est pas malade j’espère ? Disont que j’ai entendu que la grippe arrivait vers l’Angleterre depuis la France. » Ruben s’était tellement énervé sur les mauvaises notes de ses étudiants qu’il voulait se changer les idées mais quand les idées ne sont pas vraiment clair, que faut-il réellement faire ? En parlant à un bon ami ou bien garder tout pour soit ? Ce n’est pas être égoïste mais disons prudent pour ne pas repensé et craquer face à cet ami.