Je ne savais pas ce qu'il m'avait pris ce jour là. Encore une fois, j'avais croisé Reed et Blythe. Je savais très bien qu'elle n'était pas une menace mais je n'appréciais pas du tout qu'elle ne veuille même pas essayer de me connaître un peu. Elle m'avait déjà mise dans un sac et ça je ne pouvais pas le supporter. Mais ce que je ne comprenais pas c'était mon comportement dès que je les voyais ensemble. Je veux absolument l'embêter, lui montrer que j'existe. Rhaaaaaa ce que ça peut m'énerver d'être comme cela ! Pourquoi je crois que tout le monde a forcément un bon fond ! C'est faux, les gens sont fourbes, méchants et ils se font du mal les uns, les autres sauf en ce qui concerne Reed mais bon lui c'est un cas particulier. Reed c'est mon chevalier, mon sauveur ! Il l'a d'ailleurs prouvé en prenant ma défense quand ce crétin de Thibault m'a fait si mal. Je croisais les bras sur mon torse en soupirant. C'était foutu maintenant, je ne pourrais jamais dormir, j'étais bien trop anxieuse. Faisant quand même attention à ne pas réveiller mes camarades de chambres, j'enfilais ma robe de chambre, prenais un livre et descendais les escaliers du dortoir. Au final, je devrais peut être restée ici, au moins personne ne saurait que je ne dors pas et en plus je peux lire tranquillement sans entendre du bruit... Enfin sans presque pas de bruit. J'entendais encore les ronflements de certaines filles qui avaient très certainement un petit peu bu à Pré-au-lard. Je me pensais alors maudite. De un je ne pouvais pas dormir, de deux je n'arrêtais pas de penser à cette imbécile de Blythe et de trois je me demandais comment aller Reed. Mon pauvre petit cerveau était en surchauffe et il fallait absolument que je trouve un endroit tranquille pour bouquiner ce livre que ma grand-mère m'avait envoyé par colis postal ou plutôt par hibou. Je me levai donc des marches et descendais ou remontais, je ne savais plus trop bien, vers la salle commune. Bien entendu en arrivant dans cette salle, je me pris les pieds dans le tapis et manqua de faire tomber une pile de livre appartenant surement à des élèves plus âgé que moi. Trouvant enfin un fauteuil libre des tout objet je m'affalais dedans et ouvris ce maudit bouquin. C'était une histoire d'amour, ou un triangle amoureux. je n'avais lu que les deux premiers chapitres et déjà il m'énervait. Pourquoi même ce maudit livre semblait parler de ma situation actuelle ? J'aurais tellement aimé pouvoir retourner à l'époque où j'avais mon amoureux et où je ne me souciez de rien d'autre que de jouer aux cow-boys et aux indiens avec lui. Nouveau soupir. Je fermais les yeux un instant espérant que le sommeil me gagnerait vite mais au final rien n'en fit. J'avais toujours cette obsession dans ma tête et rien ne semblait pouvoir l'y déloger. Soudain j'entendis un bruit. Vite je repris mon bouquin et fis semblant de lire pour pouvoir voir qui arrivait à une heure aussi tardive dans la salle commune. Mon regard s'adoucit quand j'aperçu la personne qui passait l'ouverture de la porte. C'était Reed mon amour... Euh mon ami, mon meilleur ami même. Faut que j'arrête de penser à lui comme cela ce n'est pas bien. En tout cas je m'enfonçais dans mon fauteuil priant pour qu'il ne me trouve pas. Je n'avais pas envie de lui expliquer que Blythe ne voulait pas me parler du tout parce que je pensais que ça le ferait souffrir... J'en étais même arrivée à me mettre le livre sur la tête quand je sentis des doigts se saisir du livre et le soulevais tranquillement. Alors avec un sourire en coin je dis : "Reed ! Quelle bonne surprise..." D'accord, d'accord s'il n'avait pas compris que je me cachais c'était qu'il n'était pas bien réveiller...

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Que fait un poufsouffle debout à cette heure ci ? Généralement c’est un poufsouffle qui étudie car la créatrice de la maison affectionnait l’attitude travailleuse. Mais Reed était du genre à être partisan du moindre effort, les cours ne l’avaient jamais vraiment emballé, il avait des note satisfaisante, mais ses professeurs disaient tous à l’unanimité que son potentiel était gâché, inutilement. S’il avait fait médicomagie, c’était pour ne pas finir comme ses parents, des sorciers un peu fous parti à la découverte du monde, il espérait que la médicomagie le maintiendrait dans un monde stable. Alors s’il était dehors ce soir, ça n’était pas pour travailler, il était parti faire un tour, retrouver deux amis, ou camarades plutôt pour aller faire un tour dans le château, pour préparer un mauvais tour à jouer aux serpentard. Il était habillé comme en plein jour, pourquoi aller parcourir le château en pyjamas comme il l’avait vu parfois : pathétique.

Il entra dans la salle commune sur la pointe des pieds, il ne tenait pas à se faire questionner par une personne trop curieuse, car une fois il était entré et une première année l’avait questionné et l’avait presque sermonné sur les règlements de Poudlard, s’il avait pu, il aurait presque frappé ce gosse, du moins… il lui aurait fait bouffer sa chemise de chambre, sans l’ombre d’un doute ! Reed n’avait jamais été quelqu’un de diplomate ni de très doux avec les enfants. Il espérait ne pas tomber sur quelqu’un, parler était déjà dur pour lui, qui n’était pas très… loquace. Peu de mot, mais efficace, franc et direct, tout le temps, ou presque. Cependant, il fut interrompu dans a course aux escaliers conduisant au dortoir, une voix agréable qui le fit se stopper : "Reed ! Quelle bonne surprise..." La charmante propriétaire de cette voix était Lana, une fille que Reed affectionnait tout particulièrement, et sans savoir réellement pourquoi – s’il ne savait pas c’est qu’il était un peu ailleurs – il ne pouvait s’empêcher de la protéger tout le temps, comme un grand frère, en mieux, le simple fait qu’il la trouve charmante ne faisait pas de lui un grand frère mais autre chose. Il ne pouvait pas vraiment dire qu’elle était son amie, car Blythe était son amie, et les choses étaient différentes. Lana il la connaissait depuis son enfance, il y avait un quelque chose entre eux, ce je ne sais quoi qui change les choses. Elle était assise et semblait lire, une chose que Reed n’avait pas faite depuis bien longtemps d’ailleurs. Elle semblait ravie de le voir, il en était de même pour lui si bien qu’un sourire – rare sur le visage du jeune homme – fit son apparition. "Bonsoir Lana, toujours pas couché ? " Demanda-t-il le sourire au lèvre en contournant le canapé sur lequel elle était installé pour s’asseoir juste en face d’elle sur l’autre canapé, son lit pourrait bien l’attendre. Et quand bien même il aurait été se couché, il n’aurait pas réussi à fermé l’œil, il avait le sommeil léger, et quand il ne venait pas, rien ne pourrait le pousser à s’endormir, alors autant rester avec elle un peu, elle était de bonne compagnie, de très bonne compagnie pensa-alors Reed. S’il n’avait pas compris qu’elle s’était caché derrière son livre c’était que Reed avait l’esprit assez occupé par ce qu’il avait fait auparavant, tout simplement, mais désormais ses idées de mauvaises blagues pour les serpentards étaient bien derrière lui.

Que faisait-il debout à cette heure-ci ? Mais surtout pourquoi venait-il de l'extérieur ? Non, ne me dites pas qu'il a encore fait une connerie. Non, Reed je t'en prie... Mon regard se fit suppliant. Il ne me faisait pas de peine, j'avais seulement peur pour lui. Bon d'accord il avait l'habitude que je m'inquiète pour lui et j'essayais de moins m'en faire pour lui mais au final c'était toujours la même chose... Il voulait me protéger et moi je voulais seulement être à ses côtés. Bon bref, Je me mis à lui sourire quand il me parla. Il était content de me voir et moi aussi à vrai dire... Je n'avais pas l'impression qu'il s'était rendu compte que je m'étais caché et au final c'était mieux comme cela. Machinalement, je lui souris et je penchais même en avant pour mieux me mettre face à lui. J'aurais voulu lui poser des questions sur le pourquoi du comment mais je n'osais pas... Après mûre réflexion, il n'avait pas de compte à me rendre parce que s'il avait envie de faire des bêtises, ça ne le regardait qu'à lui. La curiosité est un vilain défaut que je possédais mais seulement avec lui alors je me permis de lui demander quand même. "Alors mon Robin des Bois préféré va encore frapper ?" Mon regard se fit joueur et je lui adressais un sourire en coin. Ma main alla se poser sur la sienne comme pour lui dire qu'il pouvait me faire confiance que jamais je ne le trahirai. Ma main glissa jusqu'à sa joue que je caressai un instant avant de la reposer que la sienne comme auparavant. Machinalement, je tournais la tête parce que je sentais que mes joues prenaient une jolie couleur rosée. Mon regard se fit hésitant et je me mis à rire légèrement. Il me faisait toujours cet effet, ce petit truc qui me faisait rougir. Mais trêve de plaisanterie, une fois mes joues redevues blanches, je le re-regardais. "Alors tu me racontes cette nouvelle farce visant les serpillières... euh je veux dire les serpentards. J'affichais mon sourire en coin qu'il connaissait bien. Vous savez celui qui est joueur. C'éatit fou mais dès que j'étais avec lui je me sentais bien. Tous mes soucis avec Amadeus, Karone ou Blythe s'effaçait. Je n'avais qu'une seule envie c'était celle de passer un maximum de temps avec lui. Mais voyant l'heure avancé je lui dis : "Je ne veux pas que tu te sentes obliger de rester avec moi. Ce n'est pas parce que je n'arrive pas à dormir que tu dois rester avec moi.... Même si je l'avoue je préférerais que tu restes..." Oui je sais, je suis d'une logique implacable. Pendant tout ce temps ma main était restée sur la sienne. Elle me trahissait mais peu importe. Cela faisait deux jours que je n'avais pas pu le voir à cause de Blythe alors je voulais profiter de ce moment avec lui. Quand je me mis à penser à elle, mon visage se reforgea et j'enlevais ma main de la sienne, m'enfonçant un peu plus dans le canapé. J'étais en train de le perdre à cause d'elle, on ne se voyez pas aussi souvent qu'avant et cela avait le don de me rendre triste et de m'énerver un peu. Je savais qu'il ne pouvait pas être tout le temps avec moi mais j'aurais aimé au moins pouvoir être amie avec la personne importante pour lui mais elle le refusait. Comment allais-je pouvoir le garder en la haïssant ? Cette question me fit tourner la tête vers la gauche et mon visage se fit pâle tout simplement.

"Alors mon Robin des Bois préféré va encore frapper ?" Mon robin des bois préféré, elle l’appelait comme ça, il n’y avait qu’elle pour l’appeler ainsi, et il aimait bien cela. Elle lui demanda s’il allait encore frapper. Décidément elle le connaissait plutôt bien, c’était tout à fait son genre faire des mauvais coups. D’ailleurs il en avait préparé un le soir même que des serpentards seraient peu ravi de découvrir cette petite farce le matin même. "Il se pourrait en effet que robin puisse encore frapper." Elle posa sa main sur la sienne, signe qu’il pouvait lui faire confiance, mais il savait qu’elle n’avait pas besoin de cela pour qu’il lui fasse confiance, il la connaissait depuis assez longtemps pour lui faire confiance sur ses activités… illicite ? La jeune sorcière rougit alors. Elle était jolie quand elle rougissait. Puis elle se mit à rire, Reed lui aussi se mit à rire, doucement sans savoir pourquoi, puis elle lui demanda alors : "Alors tu me racontes cette nouvelle farce visant les serpillières... euh je veux dire les serpentards. " Lui raconter sa farce ? ah, il lui faisait confiance, mais il n’aimait pas toujours raconter ses farces ; avec elle il savait que sa blague ne risquait pas d’être compromise, ça n’était pas elle qui risquait d’aller vendre la mèche à un serpentard. Faire tomber sa blague à l’eau serait une catastrophe, mais venant de Lana cela le surprendrait en mal. "Oh rien d'une farce avec de la glue perpétuelle sur la porte que tout serpentard pousse pour se rendre dans leur cave - enfin leur salle commune - rien de bien méchant, une blague pour Noël avanrt le bal à la con. " Oui, une petite blague préparée avec deux griffondor qu’il trouvait fort sympathique, il aurait dû la préparer avec Blythe cependant son dortoir était trop lointain depuis la réforme du ministère, elle ne pouvait plus sortir comme bon lui semblait, les né-moldu étaient plus que surveillé. Cela le mettait hors de lui, des obstacles, il avait horreur des obstacles. Les reformes, il détestait les reformes. Oui, cela le forçait à redoubler d’efforts dans sa lutte contre l’oppression dans faibles qui se faisait de plus en plus forte. Il ne pouvait pas s’empêcher d’aider les faibles, les nés moldus, Lana, les autres, ceux qui demandent de l’aide.

"Je ne veux pas que tu te sentes obliger de rester avec moi. Ce n'est pas parce que je n'arrive pas à dormir que tu dois rester avec moi.... Même si je l'avoue je préférerais que tu restes..." Elle s’excusait presque d’être éveillé. Il lui adressa alors un sourire, se voulant rassurant, durant tout ce temps, elle n’avait pas lâché sa main. Et en plus, elle voulait qu’il reste, du moins elle préférait. Reed appréciait beaucoup Lana, il était assez confus vis-à-vis d’elle, oui, confus, pesonne n’intimidait Reed, c’est lui qui intimindait les gens, il suffisait de demander à Billie Sigway ce qu’elle pensait de Reed il était sûr de lui faire peur, il ne savait pas pourquoi elle était la seule personne dont il s’amusait, oui il s’amusait de sa naïveté. "Lana, Lana." Dit-il en serrant sa main dans la sienne, elle qui avait juste posé la sienne sur celle de reed, le sorcier lui pris alors la main. "Pourquoi faut-il qu'à chaque fois tu te mette en faute, ou que tu te dévalorise ? Il faut arrêter de te dévaloriser comme ça, tu crois que les gens reste avec toi par pitié ?" Il marqua une pause, pour lui, ça n’était pas le cas, en effet, il n’était pas avec elle par pitié, loin de là, loin de là il ajouta alors : "Lana, tu me connais assez pour savoir que je reste pour toi, et non par pitié, ait confiance en toi bon sang !" Il haussait la voix, sans méchanceté, mais il était de nature franche en ce qui concernait ses amis, (et plus si affinité), il ne voulait pas qu’elle se dévalorise, il ne le tolérerait pas, tout comme il ne tolérerait jamais que quelqu’un s’en prenne à elle, il ne tolèrerait jamais qu’on la dévalorise, ou qu’on l’insulte, et ça, elle le savait, elle le savait. Il lui adressa un sourire, un autre, et lui serra la main avant d’ajouter : "Et pas de chance pour toi, tu vas devoir me supporter, parce que je n'ai aucunement envie d'aller me coucher !" Le sorcier lâcha un instant la main de la sorcière pour s’installer confortablement dans le canapé. Il sourit avant de dire malicieusement, en regardant le livre que la sorcière avait posé précipitamment sur le canapé après avoir… fait semblant de lire : "Et ce livre, de quoi parle-t-il ?"

"Il se pourrait en effet que robin puisse encore frapper." J'avais donc vu juste il avait encore fait une farce à ces Serpentards. C'est dommage que je ne sois pas petite sourire parce que j'aurais bien aimé voir la tête qu'ils auraient fait quand l'un de ces sangs-purs serait tomber dans le piège. J'imaginais la tête d'Amadeus si c'était lui qui tomberait dans ce piège. Mon dieu ça serait à mourir de rire ! Mon regard se fit pétillant. Je fermais les yeux un instant pour les imaginer dans mon esprit. La vision des verts et argents dans une situation qu'ils ne contrôleraient pas du tout me donnai l'envie de rire, ce que je fis d'ailleurs. Reed m'accompagna et le son de son rire me rappelait bien des choses. Puis je lui demandais de me dire sa farce. Après tout il pouvait bien me le dire jamais je n'irais dire à un Serpentard "Fait gaffe c'est un piège !" Il est vrai que j'en apprécie plus ou moins certain mais ce n'est pas le cas de tous alors je suis bien contente quand je les entends se plaindre... Tout ce que j'espérais, c'était que Reed ne se fasse pas attraper pour cette blague. Il devait avoir assez d'heure de colle pour la fin de l'année. De toute façon je ne comptais pas le trahir et il savait très bien que jamais je ne lui attirerais des problèmes volontaires parce qu'involontairement c'est déjà arrivé enfin... "Oh rien d'une farce avec de la glue perpétuelle sur la porte que tout serpentard pousse pour se rendre dans leur cave - enfin leur salle commune - rien de bien méchant, une blague pour Noël avant le bal à la con." La glue perpétuelle ? Pas mal comme idée et le sourire, que j'affichais, montrait combien je trouvais l'idée brillante. Mais dans sa phrase une chose retient mon intention. Il était au courant pour le bal. Ah oui j'oubliais... Il avait très certainement en parler avec Blythe. "Le bal n'est que l'application des nouvelles lois du ministère de la magie. Je sais que c'est vrai dégueulasse pour les Grindelwolks et j'aimerais que ça n'existe pas mais que pouvons nous y faire ? Ce ne sont pas des blagues envers les bambins des sangs-purs qui feront changer le monde. Si on veut le changer il faut taper plus haut et plus fort surtout..." J'avais dit cela d'un ton neutre. Il est vrai que c'est purement injuste mais il y a bien d'autre chose injuste dont on ne se soucie pas. Mon regard se porta sur le sien et je lui souris. Il était réellement un robin des bois des temps modernes. Il voulait aider tout le monde mais il n'est pas apprécié à sa juste valeur et c'était bien cela le soucis. Pour détendre un peu l'atmosphère je lui dis avec un sourire en coin : "Malgré l’oppression, tu comptes faire une apparition à ce bal de con ou pas du tout ?" Oui je voulais une réponse en particulier mais je n'allais quand même pas lui demander moi ! Et puis je ne savais même pas si j'avais envie d'y aller à ce bal au final... Si c'était pour le voir s'inquiétait pour Blythe ce n'était pas la peine.

D'accord, je sais c'est nul de s'excuser pour un rien mais j'ai une bonne raison ! J'ai déjà perdu Reed une fois et je ne veux pas le perdre une seconde fois, ça serait trop dur. Alors je ne voulais pas l'ennuyer, être trop collante avec lui ou encore lui déplaire. Je faisais alors attention à ce que je faisais même si ma nature profonde reprenait au final toujours le dessus. Quand il prononça mon nom et qu'il serra ma main je sentis mes joues remonter toutes rouges, pire qu'une pivoine. Je baissais les yeux tout en l'écoutant. "Pourquoi faut-il qu'à chaque fois tu te mette en faute, ou que tu te dévalorise ? Il faut arrêter de te dévaloriser comme ça, tu crois que les gens reste avec toi par pitié ?" Oui d'un côté oui. J'ai toujours était la petite fille naïve que tout le monde se met dans la poche. "Parce que si les gens reste ce n'est pas pour moi mais pour ce que je peux leur donner, leur faire et je suis bien trop stupide pour dire non." J'avais voulu un instant dégager ma main de la sienne mais au final ça me faisait du bien d'être ainsi. C'était comme s'il me protégeait des autres. Puis il se justifia lui aussi disant que pour lui, il n'y avait pas de pitié et qu'il fallait que j'ai confiance en moi. Il avait haussé légèrement le ton mais en même temps il avait totalement raison. Dans un murmure je lui répondis : "Je sais que toi, tu ne joueras jamais avec moi. Mais ce n'est pas la même chose pour les autres... Certains m'utilisent Reed et je suis bien trop aveugle pour m'en rendre compte. " Je lui souriais tout simplement. Il lâcha ma main pour s'installer confortablement dans le canapé. Vraisemblablement, il n'avait pas l'intention d'aller se coucher ce qui n'était pas pour me déplaire. D'ailleurs il me confirma qu'il ne me laissait pas quelques instants plus tard. ""Et ce livre, de quoi parle-t-il ?" Le livre ? Mais quel livre ? Ah oui j'oubliai CE livre. J'affichais un sourire avant d'exploser de rire. Je ne savais même pas pourquoi je riais mais ça me faisait du bien. Ayant quand même réussit à retrouver mon sérieux j'allais entreprendre de lui expliquer mon livre. "C'est une de ces histoires à l'eau de rose que les filles aiment bien. Ma grand-mère me l'a envoyé pensant me faire plaisir et elle n'a pas tord au final. Euhhhhhhhhhhh" Aïe aïe Aïe je ne me rappellais même plus des dix pages que j'avais lu ! Tant pis je me décidai à improviser en espérant qu'il ne lirait pas le résumer du bouquin. "C'est l'histoire d'un jeune homme qui est amoureux d'une fille, une de ses amies de longue date il me semble, mais il ne sait pas comment le lui dire. Après voilà c'est du classique pour moi." Je souriais parce que même si je lisais ce genre de livre et que je savais exactement comment il fallait s'y prendre je ne savais pas comment lui dire à lui que je l'aimais. Je me levais donc tu canapé pour m’asseoir sur l’accoudoir du canapé de Reed pour essayer de capter son attention sur autre chose que le livre parce que je ne savais réellement pas de quoi il parlait et j'avais sorti cette idée comme cela sans réfléchir. Alors pour changer de sujet je lui dis : "Amadeus Black m'a parlé récemment et c'était plutôt marrant comme discussion..." Bon je sais c'est un coup bas...

Reed était rôdé dans l’art de jouer des tours, il était très turbulent. Depuis sa tendre enfance il était le gosse qui ne tenait pas en place, suite à la mort de ses parents, il est devenu très proche de sa sœur, mais la mort de ses parents n’avait rien changé sur sa turbulence, il a toujours été quelqu’un de turbulent, incapable de rester en place, incapable de ne pas jouer de tour, incapable de rester de marbre face à l’injustice. Dans le monde des moldus, dans sa ville, il a été plusieurs fois arrêté par la police pour vol à l’étalage, et violence. Un vrai mauvais garçon, sauf qu’il n’était pas un don juan, pas du tout. Il était un ‘bad guy’, rien que ça. A Poudlard aussi, il était un mauvais garçon, il avait passé d’innombrable heures en colle, l’année dernière il avait été menacé d’être viré de l’école, sa tante lui avait remonté les bretelles. Reed avait eut envie de gâcher le bal, mais… il n’avait pas envie de se faire renvoyer, et puis, il n’y aurait pas Blythe avec lui, alors seul, il n’avait pas envie de préparer un mauvais coup. Prendre les risques seul, cela ne lui faisait rien, d’ailleurs il préférait être le seul à prendre des risques. Le bal, il… il n’aime pas les bals, danser, ça n’était pas son truc. La jolie Lana lui dit alors : "Le bal n'est que l'application des nouvelles lois du ministère de la magie. Je sais que c'est vrai dégueulasse pour les Grindelwolks et j'aimerais que ça n'existe pas mais que pouvons nous y faire ? Ce ne sont pas des blagues envers les bambins des sangs-purs qui feront changer le monde. Si on veut le changer il faut taper plus haut et plus fort surtout..." Et le pire, c’est qu’elle avait raison. Les blagues ne servaient pas à grand-chose en fin de compte. Enfin si, elle servait à faire baisser le moral des serpentard et donnait aux autres de la bonne humeur. Dans une guerre il y deux choses à ne jamais sous estimer, la nourriture doit être abondante et l’humeur doit être bonne. Malgré l’oppression, tu comptes faire une apparition à ce bal de con ou pas du tout ? Y aller ? il ne savait pas. Il s’enfonça un peu plus dans la canapé et dit alors : "Hum, mes blagues ne changeront pas la face du monde mais ça aide à garder le moral. Pour le bal… pff… je dois avouer que je sais pas trop, c’est pas mon genre de… danser. J’arrive pas à imaginer, mais je verrais, ça peut être bien ! " Il lui lança son plus beau sourire avant de rire il avait trop peur de ressembler à un pingouin fringuer de la sorte. Il n’aimait pas être habillé sur son 31, il était plus du genre chemise hors du pantalon, cravate dénouée, et desserrée, bref, la désinvolture, tout simplement !

Quand il lui prit doucement la main, elle baissa les yeux, et Reed vit même ses pommettes saillante, qui lui donnait un côté adorable et charmante, rougir. Elle était belle quand elle rougissait, il n’avait jamais estimé ce pouvoir qu’il avait de la faire rougir, peut être n’aurait-il pas dû lui prendre la main, si ça la gênait. Il l’écouta, il était calme, toujours. "Parce que si les gens reste ce n'est pas pour moi mais pour ce que je peux leur donner, leur faire et je suis bien trop stupide pour dire non." puis, dans un murmure, elle ajouta " Je sais que toi, tu ne joueras jamais avec moi. Mais ce n'est pas la même chose pour les autres... Certains m'utilisent Reed et je suis bien trop aveugle pour m'en rendre compte. " Des gens l’utilisaient ? Il ne supportait pas cette idée, se servir des autres était pour lui… impensable, vraiment. Il n’aimait pas qu’on se serve des gens, et surtout pas de Lana. Il la trouvait fragile, et éprouvait le besoin inconcevable de la protéger, ans savoir pourquoi. Peut être parce qu’il l’avait connu jeune, et qu’elle était plus jeune que lui. Quand il la regardait il voyait une jeune fille assez fragile qu’il ne blesserait pour rien au monde, pour rien au monde. "Si quelqu’un vient encore vers toi pour se servir de toi, présente le moi que je lui règle son compte. " Dit-il alors entre sérieux et rire. Il souriait un peu, mais il était assez sérieux, elle savait qu’il ne supportait pas qu’on se serve des gens, alors elle savait aussi qu’elle pouvait compter sur lui pour démolir deux ou trois personne qu’elle n’aimait pas, ou qui se servait d’elle." Et je te suivrais comme un petit chien pour détecter les petits cons qui pourraient se servir de toi ! " Il avait dit ça en riant presque, c’était de l’humour, pour qu’elle cesse de baisser les yeux, quitte à la faire rougir un peu plus. Il préférait la voir rougir que baisser les yeux de dépit. Il n’aimait pas la voir comme ça, les yeux baissé, elle lui faisait un peu de peine.

Suite à cela, il lui avait lâché la main, et il s’était confortablement installé dans le canapé avec la ferme attention de rester là avec elle. Oui, il n’allait pas la lâcher. Il lui avait demandé de quoi parlait son livre, même s’il était persuadé qu’à l’instant, elle ne lisait pas vraiment. Lorsqu’elle explosa de rire, il explosa de rire aussi, il avait vu juste, elle ne l’avait sans l’ombre d’un doute pas vraiment lu il y a quelque minutes… ou seconde. Bref, cela n’était pas important, elle était là, et ils pouvaient discuter tout les deux. Elle lui dit alors : " C'est une de ces histoires à l'eau de rose que les filles aiment bien. Ma grand-mère me l'a envoyé pensant me faire plaisir et elle n'a pas tord au final. Euhhhhhhhhhhh " Un livre à l’eau de rose, décidément les filles aimaient… les histoires de cœurs. Reed n’avait jamais réussi à lire un livre d’amour, tout comme il n’arrivait pas vraiment à regarder des films d’amours, il s’ennuyait un peu de ces histoires, souvent dépourvu d’action. Les seules histoires d’amour de fiction qui l’intéressaient étaient celle au milieu d’un beau film d’action. Bien que sorcier, il vivait dans une banlieue à moitié moldue, alors… il aimait tout ce qui se rapportait au moldu. " C'est l'histoire d'un jeune homme qui est amoureux d'une fille, une de ses amies de longue date il me semble, mais il ne sait pas comment le lui dire. Après voilà c'est du classique pour moi. " Elle lui raconta l’histoire, il n’irait pas vérifier, une histoire classique, il demanda alors, avec le sourire : " Et le type fini avec la fille je suppose ? " Lana quitta alors sa place pour venir s’asseoir sur l’accoudoir du canapé où était installé Reed, bien installer au fond, il leva légèrement les yeux pour pouvoir la regarder. Il l’écouta alors, parler : "Amadeus Black m'a parlé récemment et c'était plutôt marrant comme discussion..." Black ? Il n’était plus étonnant que les gens se servent d’elle, elle choisissait mal ses fréquentations. Il répondit alors, d’un ton moins jovial, il n’était pas jaloux. Quoi que. " Ce mec est... il va se servir de toi. Fais gaffe. "

Contrairement à Reed j'étais toujours considérée comme la petite fille parfaite, gentille et surtout très sage. Cette image me colle tellement bien à la peau que même si j'ai des difficultés en défense contre les forces du mal, je ne me fais jamais fâcher alors que je le mériterais parfois. Il est vrai également, que je n'avais jamais osé demander à Reed si je pouvais l'accompagner. Pourquoi ? Et bien je savais qu'il faisait ses coups foireux avec des gens comme Blythe et je ne suis pas du tout comme cela. Le pire c'était qu'il avait la même réputation que dans le monde moldu et c'était souvent pour cela que je ne parlais pas de lui dans les lettres que je faisais à mes parents. Ne pensez pas que j'ai honte de lui ! c'est seulement que si mes parents ou mes grands-parents savaient que j'étais de nouveau ami avec le "cancre" ils m'interdiraient de le revoir et de lui reparler et je suis persuadée que même à Poudlard ils arriveraient à me faire respecter leur volonté. Pourtant ce n'est l'envie qui me manque. J'aimerais tellement casser cette image de petite fille parfaite pour montrer enfin qui je suis. Cela ne se peut malheureusement parce que je ne saurais plus comment être si je me change. Alors que je finissais mes phrases à propos des blagues et du bal je commençais à les regretter. Qu'allait-il penser de moi ? Après tout qui suis-je pour lui faire ainsi la morale ? Il s'était enfoncer un peu plus dans le canapé et je me disais à cet instant que j'avais dû le blesser. Je n'aimais pas le voir comme cela et je lui fis donc un petit sourire pour lui remonter le moral. "Hum, mes blagues ne changeront pas la face du monde mais ça aide à garder le moral. Pour le bal… pff… je dois avouer que je sais pas trop, c’est pas mon genre de… danser. J’arrive pas à imaginer, mais je verrais, ça peut être bien ! " Il n'avait pas tord ! Depuis que les Grindelwoks et les autres maisons s'étaient un peu liguer contre les Serpents la vie à Poudlard était beaucoup plus marrante même si elle était en même temps plus dangereuse. Je cherchais son regard quand j'arrivais enfin à le capter je lui dis : "Heureusement qu'il y a des gens comme toi à Poudlard Remady sinon je ne sais pas comment les gens comme moi pourrions survivre. Il est peut être vrai que l'on ne peut pas grand chose mais chaque action même à notre niveau est déjà un exploit. Papa me racontait qu'au ministère ça devenait du grand n'importe quoi. D'ailleurs, il sera très certainement le prochain sur la liste des gens à éliminer." Voyant qu'il ne comprenait pas le sens de ma phrase j'ajoutais : "Mon grands-parents sont des moldus et donc mon père est... un sang-de-bourbe, hors tu sais ce qu'ils font aux gens comme cela. Je sais qu'il se débrouillera très bien avec ma mère et qu'ils ne peuvent pas grand chose contre moi mais il y a toujours ce doute..." Mais il me lança son plus beau sourire et mes paroles précédentes n'avaient plus aucune importance pour moi. Je lui rendis son sourire avant de me mettre à rire. C'était aussi ça Reed : il savait me faire passer de l'inquiétude au rire en moins de temps qu'il en faut pour le dire. "En faites si tu ne veux pas aller au bal c'est parce que tu n'as pas de cavalière mais surtout parce que tu ne sais pas danser... Allez avoué monsieur Magnus-Wexforth !" J'étais amusé par son comportement. Il arrivait toujours à m'étonner et pourtant depuis le temps je devrais le connaitre par coeur. Qui que une part de mystère a toujours beaucoup de charme.

Il me laissa parler tout simplement sans m'interrompre. Il devait déjà savoir qu'il m'était difficile de lui avouer que l'on se servait de moi. surtout que je savais très bien qu'il voudrait des noms ou du moins qu'il essayerait de me protéger. Oui j'avais toujours de la chance. Ma naïveté inspirait autant de pitié que de sympathie. On me disait qu'il fallait que je fasse attention un peu plus à moi, que je devais arrêter d'être aussi gentille avec tout le monde, qu'il fallait que je m'affirme un peu. Même si je voulais suivre tous ces conseils, je ne pouvais les respecter. C'était plus fort que moi, je suis comme je suis et rien n'y changera sauf si vraiment il arrive quelques choses de très grave où là je pense arriver à mettre de côté ma naïveté pour faire ressortir la lionne qui sommeille très profondément en moi. Je savais qu'il ne serait pas content de ma confession. Il s'en voudrait peut être même de ne pas l'avoir remarquer. Ce n'était pas du tout l'effet rechercher bien au contraire. Je voulais simplement lui démontrer que tout le monde n'était pas aussi gentil que lui avec moi... "Si quelqu’un vient encore vers toi pour se servir de toi, présente le moi que je lui règle son compte. " Je ne savais pas si c'était la figue ou du raisin. Je ne savais pas si je devais rire ou bien avoir peur, même si lui avait un très séduisant sourire en coin. Je me souvenais de la fois où j'avais osé lui parler de mes problèmes avec Thibault... S'en était arrivé aux mains et je voulais surtout pas que cela recommence. Après tout je tenais à Reed et je refusais qu'il se batte pour moi. Alors dans un ton ferme mais en même temps amusé je lui rétorquai : "Je ne te donnerais plus jamais de nom. La dernière fois Thibault a finit avec un oeil au beurre noir et toi avec une arcade ouverte et de nombreuses heures de colle. Tu n'as pas à te battre pour moi Reed. J'arriverais à me défendre toute seule !" je suis persuadée de ne pas l'avoir convaincu avec ma dernière phrase alors comme si je me rendais compte que je disais une bêtise, je me mis à rire. Mais je dus m’arrêter de rire quand il ajouta " Et je te suivrais comme un petit chien pour détecter les petits cons qui pourraient se servir de toi ! " Mon regard se fit amuser et je lui répondis un peu en tacotac : "Faîtes attention à ce que je ne vous prenne pas aux mots monsieur..." Je lui souris et lui fis un clin d'oeil avant de lever un sourcil. J'étais persuadée qu'il était capable de mettre ses "menaces" à exécution si j'avais de réels soucis et rien que le fait de savoir cela me rassurait. Alors dans un mouvement naturel et sans préméditation, je me redressais et allais lui déposer un baiser sur la joue en lui murmurant : "Merci d'être là pour moi Reed..." Je relevais alors mes yeux vers lui et lui souriais avant de me rasseoir dans mon fauteuil. Mes joues étaient de nouveau toute rouge à croire que je n'arriverais jamais à les contrôler ses pestes !

" Et le type fini avec la fille je suppose ? " Miracle ! Il n'avait pas lu le résumé du livre. Pour ce coup si j'avais vraiment de la chance parce qu'il pouvait bien parler de la castafiore que je n'étais même pas au courant. Il avait posé cette question comme ça mais pour moi elle avait beaucoup plus de sens qu'il ne pouvait le penser. " Ils ne finissent pas à tout les coups ensemble. Il faudrait que je le continue mais dès le départ il ne veut pas s'imposer et elle ne le remarque même pas. Je ne suis pas sûre qu'elle le voit au fils des pages." Je lui souriais. Je m'enfonçais dans mon mensonge mais peu importe. Le livre n'était pas la priorité. J'avais quitté ma place et m'étais assise proche de lui. J'avais également parler d'Amadeus black. Personne n'ignorait dans Poudlard que les deux jeunes hommes ne s'entendaient mais alors pas du tout de chez pas du tout. C'était peut être un coup bas, mais je ne pensais pas qu'il s’inquiéterais pour moi ainsi du moins j'en avais l'impression. " Ce mec est... il va se servir de toi. Fais gaffe. " oui il avait raison Amadeus était quelqu'un de dangereux mais en même il me touchait infiniment. Je ne savais pas comment l'expliquer mais j'étais persuadée qu'il n'était pas comme les autres serpentards ou du moins qu'il n'est pas totalement comme eux. Je me penchais vers lui et lui dit d'un ton très sérieux : "Tu sais que j'arrive à lui pourrir la vie ? Et je ne déconne pas Reed, j'arrive réellement à lui pourrir la vie..." Je me redressais et prenais un air très fier. Surtout que je l'étais. Pour une fois que je pouvais apporter moi aussi un peu de moquerie à propos des serpentards. Je regardais au loin les yeux pétillants et lui dis : "Tu sais, il m'a traité de sale fille de sang-de-bourbe, de troll des montagnes et de bien d'autre chose encore. Le pire c'est que pour une fois je lui ai répondu. Attend mais tu es un garçon ?" Oui je sais ce n'était pas la découverte du siècle mais pour ce moment précis ça l'était un peu. "Tu vas peut-être pouvoir m'expliquer pourquoi les garçons se referment comme des huîtres dès que tu leur dis qu'ils n'ont pas un mauvais fond ? Quoi c'est vrai, j'ai eut le malheur de remercier Amadeus pour m'avoir aider à me débarrasser d'un Serdaigle et lui il m'a dit que je pouvais aller me faire voir ! Je ne comprend rien aux hommes vraiment... Tu ne peux pas éclairer ma lanterne dit ," Je m'étais légèrement retourner pour le regarder droit dans les yeux. J'avais un large sourire. Je cherchais à le titiller un peu juste pour qu'il ne fasse plus la tête. D'ailleurs je venais d'avoir une idée pour qu'il arrête de faire une légère moue. Je me levais et me mettais en face de lui en lui présentant ma main : "On ne parle plus d'Amadeus d'accord. J'arriverai très bien à le rendre chèvre toute seule..." Un large sourire venait de s'afficher sur mon visage. Toujours la main tendu je lui dis : "M'accorderais-tu cette danse ?" Je lui souriais, ne sachant s'il accepterait ou pas, mais dans tout les cas, je n'avais pas envie de le voir se reforger ainsi.