-50%
Le deal à ne pas rater :
Ampli Home Cinema Denon AVR-X1700H à 399€
399 € 799 €
Voir le deal
Le Deal du moment : -35%
Pack Smartphone Samsung Galaxy A25 6,5″ 5G + ...
Voir le deal
241 €

Partagez | 
 

L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Madeline B. Rookwood
Madeline B. Rookwood


Je suis la préfète en chef, la reine des reines.

first Log-in : 10/10/2010
parchemins : 1994

L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot Vide
MessageSujet: L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot   L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot EmptyVen 11 Mar - 21:46


tes prunelles en sont restées vertes, et tes joues extraordinairement pâles. baudelaire
LANCELOT & MADDIE

    Un grand fracas raisonna dans le couloir me faisant sursauter. Je me dirigeais à grand pas vers la source du bruit, mes livres dans les bras pour me rendre à mon prochain cours. L'affligeant spectacle que je découvris devant la salle de métamorphose me choqua tant que mon sang ne fit qu'on tour. Deux baguettes étaient abandonné par terre tandis qu'un jeune homme d'une vingtaine d'année allait rouler contre la porte. Il se releva aussi tôt et envoya son poing dans la figure de son adversaire qui s'empressa de répondre en le plaquant au mur. Ce vulgaire duel de moldu était parfaitement révoltant. Je m'avançais rapidement vers les deux combattants. « Ça suffit ! Arrêter ça immédiatement ! » L'un d'eux se tourna vers moi et je vis qu'il avait la lèvre enflée et un bel hématome sur la pommette droite. « Te mêle pas de ça Rosier » me dit-il d'un air distrait avant de revenir à son pathétique combat. Je sortais ma baguette sans plus attendre et une détonation retentit, séparant mes deux nouveaux amis. Autour, un cercle d'élèves curieux attendait impatiemment la suite de l'histoire ce qui eu le don de m'exaspérer. Je remit en place une mèche de cheveux rebelle qui s'échapper de mon chignon roux. « Allez en cours, bande de crétin, et si j'en vois un seul en train de troubler le calme de Poudlard, je le colle au nettoyage des toilettes de Mimi jusqu'à la fin de l'année ! Vous pensez que ce qui se passe en ce moment n'est pas assez grave ?! » les avertis-je d'une voix tremblante de colère. Un lourd silence se fit dans l'assemblé. Et je savais pourquoi. L'ombre de Ramsey me hantait encore, des semaines après sa mort. Je le connaissais depuis l'enfance, et d'un coup, il n'était plus là. Les récents évènements de ces dernières semaines me mettaient les nerfs à vifs et j'en devenais particulièrement irritable. Je chassais définitivement le petit peuple par un « dégagez » plutôt sec.

    Le soir même, ma tension artérielle n'était toujours pas descendue. Je m'installais en tailleurs sur le gros fauteuil rouge devant la cheminé et fermais les yeux. Peu à peu, je commençais à me calmer, loin de l'agitation, du stress des contrôles et de la concentration des cours, j'étais enfin relaxée. Je serais biens resté ici pendant encore quelques heures, mais la soirée était déjà bien avancé, et en ce samedi soir, j'étais «de garde». En tant que préfète, j'étais parfois affectée à la surveillance du château en compagnie de mon homologue masculins. La salle commune ce soir était d'un calme étonnant, et je devais être, selon les instructions que j'avais reçue, à vingt-trois heure trente au cinquième étage, où se trouvait entre autre des salles de cours vides, la vielle salle de duel inutilisée, et surtout la salle de bain des préfets, particulièrement intéressante. Il y à quelque nuit, un élève s'était glissé hors de son dortoir et s'était rendu dans cette dernière salle, cependant il avait eu le temps de s'enfuit avant d'être pincé par les profs. Ce soir, Lancelot et moi même étions donc affecté à la surveillance du cinquième étage. Je finis par sortir de la chaleur de la salle commune, vêtu d'un jeans et d'un t-shirt marin, et bien sur comme je ne marchais jamais sans mes talons haut, le bruit de mes pas claqua dans les couloirs vides. A l'heure prévue, je me trouvais devant la salle de bains des préfets. Je jetais un coup d'oeil à ma montre, sans même faire attention à la position des aiguilles. Lancelot... L'ironie du sort avait voulu que nous nous retrouvions tout les deux au poste de préfèt, pensais-je en admirant l'insigne brillant sur ma poitrine. Notre relation avait été brève mais forte. Nous nous étions toujours plutôt bien entendu, mais le cap de l'amitié était dépassé depuis un bon moment, même aujourd'hui, alors que nous n'étions plus ensemble. J'entendis des pas dans le couloir et me levais d'un bond, la baguette en main. « Lumos » Une silhouette se dessina peu à peu, une silhouette que j'aurais reconnu entre mille. « Lance' ! Ne t'approche pas comme un voleur ! » lui dis-je avec un sourire. Une comptine pour enfant particulièrement connut des jeunes sorciers parlait d'un sorcier voleur qui avait dérober le coeur d'une jeune sorcière éperdument amoureuse, et cette chansonnette me revenait justement en tête, pour l'avoir si souvent entendu dans mon enfance, comme tous les sorciers ne venant pas de famille moldus.
Revenir en haut Aller en bas
Invité





L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot Vide
MessageSujet: Re: L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot   L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot EmptySam 12 Mar - 4:02


    Lancelot avait le don tout particulier de se mettre dans les ennuis. Sans qu'il n'ai à les chercher, ils tombaient sur lui comme la pluie sur la tête des gens. C'était ce qui lui était arrivé juste avant qu'il n'aille rejoindre Madeline pour leur tournée de préfets au cinquième étage. Apparemment des vilains étudiants s'étaient amusés dans la salle de bain des préfets sans y être autorisé la nuit précédente. Un ou des ? Peut importait. Pour en revenir à avant qu'il n'aille avec Madeline, voici ce qui c'était passé. Il avait voulu jouer un tour à Lorcan qui était le seul en retenue. Un devoir non rendu lui avait valu cette belle soirée. Lancelot avait préparé un beau système qui allait lui déversé de la bave de crapaud dès qu'il ouvrirait la porte de la salle de classe. Son ami se retrouverait couvert d'un liquide vert et gluant et le lion s'enfuirait en riant et en restant sur ses gardes pour la vengeance de son frérot. Il avait presque terminé le tout. Il ne restait qu'à s'assurer de l'angle. C'était presque impossible, on verrait lorsqu'il tomberait. Debout sur l'échelle qui l'aidait à placer tout cela, le surveillant de la retenue sortit sans crier garde et reçut le saut sur la tête. Un hurlement d'homme rempli de bave. Lancelot prenait déjà ses jambes à son coup. On ne le voyait même plus filer tellement sa course était rapide. L'immense professeur ne tiendrait jamais le rythme de Valentyne. Aussi rapide sur pieds que sur un balais. Il rigolait et tournant fréquemment pour perdre le prof qui lui courrait après. Dans un dessin animé moldu, on aurait vu une ligne de feu le suivre derrière. Simplement pour signifier qu'il courrait si vite que le seul en prenait feu. Même si l'expression du sorcier couvert de liquide morveux valait tout les galions du monde, il avait bien fait de s'enfuir. C'était son poste de préfet qui était en jeux si on le pinçait. Un préfêt ne devait pas faire de tours et encore moins se faire pincer. Bien qu'il ne croyait pas sincèrement que lui et préfet soient des mots qui aillent bien ensemble. Il jouissait tout de même des avantages sociaux que tout cela impliquait.

    Il était donc arrivé sur le cinquième étage et marchait à pas de chats dans les longs corridors sombres. Il surveillait tellement ses arrières qu'il n'avait pas remarqué que devant lui se tenait son ancienne copine et sa baguette illuminée. Le faisant légèrement sursauté, elle l'interpella. « Lance' ! Ne t'approche pas comme un voleur ! ». Il s'était retourné et perçu son magnifique sourire qui éclairait la nuit d'avantage que le bout de sa baguette ne le faisait. Franchissant les quelques pas qui les séparaient alors que lui aussi, la chanson sorcière lui venait en tête. Il commença à la chanter, enlaçant Maddie de par derrière pour la bercer doucement au son de sa voix. Puis la fit virevolter pour qu'elle soit face à lui. Il cessa de chanter et rigola doucement. Mordillant sa lèvre inférieur tout en plongeant ses yeux dans les siens.

    « C'était le bon temps quand nos mère nous chantaient des berceuses. Maintenant faut se les chanter tous seuls. »

    Les mains de Lancelot glissèrent avec douceur dans le dos de son ex petite amie. Ils étaient si près que la tête de Maddie pouvait facilement se poser sur son torse et s'y reposer alors qu'il marmonnait encore la berceuse. Une de ses mains remontèrent pour aller jouer des les cheveux de la gryffondor. Lancelot n'était décidément paas un garçon le moins du monde. Il profitait de son job de préfet pour cajoler son ancienne copine. Lancelot ne savait pas vraiment s'il avait été amoureux d'elle. Une chose certaine était qu'il avait été passionné et qu'il l'appellait sa copine car, ils en avaient simplement décidé ainsi. Puis il y avait eu la serdaigle et maintenant que les choses devenaient tendus avec sa nouvelle flamme, il enlaçait Maddie beaucoup trop longtemps. La vie sentimentale de Lancelot était un véritable yoyo. Il tentait de s'attacher à personne, mais il y avait quelques accrochages en cours de route, comme Maddie. Elle avait pris une partie de son coeur, mais il ne s'était pas blessé.

    « Chante là-moi avec ta voix angélique Maddie... »
Revenir en haut Aller en bas
Madeline B. Rookwood
Madeline B. Rookwood


Je suis la préfète en chef, la reine des reines.

first Log-in : 10/10/2010
parchemins : 1994

L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot Vide
MessageSujet: Re: L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot   L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot EmptySam 12 Mar - 12:45


    Je regardais j'approchais de moi le jeun homme avec un sourire en coin. Grand, musclé, un sourire absolument magnifique, Lancelot était beau, il en avait conscience et il en jouait pas mal. Sa réputation de charmeur n'était plus à faire, si bien que certaines fille se méfiait de lui comme de la peste, parmi les plus jeunes. Pour moi, c'était un peu différent. Il était mon ex petit ami, il avait et comptait toujorus beaucoup pour moi, bien plus qu'un simple ami. Notre relation était plus forte que ça, c'était indéfinissable, je ne pouvais pas mettre de mot sur une telle chose, mais c'était évident que nous n'étions pas juste amis. Quand il se glissa derrière moi et passa ses bras autour de ma taille en fredonnant la célèbre comptine, je ne pu m'empêcher de sourire et de fermer les yeux quelques secondes. En me prenant la main, il me fit virevolter d'un tour complet de façon à ce que je me retrouve face à lui. Je levais légèrement la tête et plongé mes prunelles émeraude dans les siennes d'une couleur noisette que j'avais toujours adoré. « C'était le bon temps quand nos mère nous chantaient des berceuses. Maintenant faut se les chanter tous seuls. » me dit-il d'une voix douce en souriant. En sentant ses mains glissaient dans mon dos je me mordis la lèvre. Il était absolument incorrigible, c'était peut-être ce qui me plaisait tant chez lui... « Ou alors avoir un super copain qui les fredonne pendant les soirées de surveillance... » lui dis-je avec un sourire. Il passa une main dans mes long cheveux roux qui tombaient en cascade sur mes épaules. Je posais ma tête sur son torse musclé en repensant à notre relation. Quand la nouvelle avait commencé à se rependre, d'abord un murmure, puis ça avait menacé de devenir un scandale : "Madeline et Lancelot !" Notre couple n'était pourtant pas si improbable que ça, pour moi c'était même une évidence, comme si, depuis ma première rencontre avec lui, je l'avais su. Mais à l'époque de notre couple, tout comme aujourd'hui, ma vie sentimentale était pour le moins chaotique. Ma relation avec Lukaël tournait au cauchemar, j'avais tout abandonné après avoir couché avec Kylian et être tombé enceinte, puis j'étais revenu... Et aujourd'hui je devais garder le secret au sujet de mon fils, ce qui n'était pas toujours facile. Et j'étais maintenant fiancé à Kazran... Ici, à Poudlard, je tentais tant bien que mal d'être une étudiante comme les autres, plus mal que bien, surtout depuis les derniers événements, notamment le désastre du bal. Je chassais prestement ces sombres pensées de mon esprit pour profiter du délicieux instant présent.

    « Chante là-moi avec ta voix angélique Maddie... » Je ris à cette demande qui n'était pas vraiment habituelle et lui souris. « Seulement si tu es sage. Et tu n'es jamais sage » Je fermais les yeux avec délectation en me reposant dans les bras de mon ex petit ami. Ma baguette baissé vers le sol ne répandait plus qu'une faible lueur dans le couloir obscur, devant la salle de bain si prisée des élèves de Poudlard, mais réservé à l'élite. Je me blottis un peu plus dans les bras de Lancelot. « Flagrant délit de tendresse, ça peut coûter cher Mr Valentyne, très cher... » lui dis-je en souriant, en levant les yeux vers lui. D'un geste tendre, j'effleurais du bout des doigts une mèche de ses courts cheveux bruns. « Tu es vraiment incorrigible. Casanova... » Casanova était resté célèbre -même parmi les sorcier du moment qu'ils étaient un temps soit peu cultivés- pour ses conquêtes plus que pour ses oeuvres, il avait usé, pour séduire les femmes, de charmes mais aussi de perfidie. On aurait pu croire que c'était un reproche, et ça aurait pu en être un, mais je savais que mon ton amusé ne le tromperait pas lui. J'étais pourtant la reine du mensonge et des faux semblant. Mais il avait cette étrange capacité de me percer à jour malgré mes efforts.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot Vide
MessageSujet: Re: L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot   L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

L'INFLUENCE DE NOS BAISERS ♦ lancelot

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
SALVIO HEXIA :: ACHIVES ::  ::  :: CORBEILLE :: SAISON 4 - ARCHIVAGE-