Le 31 octobre est enfin là. Aujourd'hui, les moldus et les sorciers du monde entier fêtent Halloween. Chacun le sait, Halloween est la fête des sorciers et sorcières. Comme chaque année, à l'occasion de cette journée si particulière, un banquet sucré et acidulé est organisé le soir venu. Dans la Grande Salle les élèves dînent dans la joie et la bonne humeur, en mangeant tout un tas de gâteaux et de bonbons tout aussi effrayants les uns que les autres. Au dessus de leur tête, des citrouille creusées ont remplacé les habituelles chandelles dans le plafond magique. A chaque table, tout le monde semble savourer le festin de la fête des sorciers, même les élèves de Grindelmonks. Dans un premier temps interdit, sur ordre de la Grande Inquisitrice, de se rendre au diner d'Halloween, (n'étant pas considérés comme de vrais "sorciers"), les élèves nés-moldus purent finalement participer à la fête avec le soutien du nouveau Directeur Dumbledore. C'est donc avec l'ensemble des élèves et du personnel de Poudlard que le banquet d'Halloween se déroule. Chacun parle dans son coin, un sourire aux lèvres, oubliant même la présence de la Grande Inquisitrice Dolores Ombrage. Tout se passe bien et dans la bonne humeur. Mais comme vous le savez à Poudlard, jamais rien n'est paisible et un calme prépare souvent une terrible tempête. Alors que le plat de résistance vient d'apparaitre devant les yeux des convives, un vent souffle soudain sur la Grande Salle, éteignant toutes les citrouilles et feux dans les coupoles murales. Un courant d'air ? Non, c'est bien plus que cela, car le plafond magique a lui aussi disparu. La Grande Salle est alors plongée dans le noir total. Seule, la faible lumière de la lune à travers la verrière éclaire certains visages.

Vous avez peur ? Et bien, Joyeux Halloween !

NB:
- 300 mots maximum
- Rp prioritaire ouvert à tous les membres (même ceux n'ayant pas répondu au questionnaire d'halloween) !
- Tous les débordements dans les rps seront effacés sans préavis
- AUCUNE MAGIE NE FONCTIONNE, MERCI !

Halloween, l’année dernière ça avait marqué un tournant dans la vie de la jeune femme. Elle avait découvert de la bouche d’Ulysse qu’ils étaient fiancés avec la lettre de leurs pères respectifs avaient envoyé, accompagnée d’elle belle bague bien clinquante. L’année dernière, elle se serait imaginé mariée à cette période de l’année, la bague au doigt, Ulysse à ses côtés à batifoler, mais il n’en était rien. aujourd’hui, elle était seule, totalement seule, enfin, il y avait Graeme, mais bon, rien n’était clair entre eux, alors difficile de mettre une étiquette sur leur relation. Cette année, la jeune femme comptait bien s’amuser à halloween, cette fois, on était pas obligée de s’asseoir à la table de sa maison, et la jeune femme c’était assise avec des connaissances. Elle adorait les repas d’Halloween, mais elle avait toujours un appétie minuscule. Elle se servit un peu de jus de citrouille, et un peu du plat de résistance, juste un peu bien sûr ! la fête battait on plein, les professeurs étaient à leur table, mais rien ne les empêchait de se joindre aux élèves, à part Ombrage qui était dans son coin. Ysolde goutta au plat délicieux, décidément ces elfes étaient douée en cuisine ! Elle se sentait un peu seule au bout de sa table, elle n’avait pas vu graeme, mais bon, ils ne se parlaient pas franchement ces derniers temps, ah les histoires de cœur. C’était à en devenir dingue. La jeune femme aimait observer le monde autours d’elle, elle adorait Halloween, sa mère aimait beaucoup cette fête aussi, Ysolde s’en souvenait, pour Halloween c’était elle qui cuisinait les gâteaux, etc.

280mots.

Halloween, c’était le genre de fête qu’appréciait Graeme, cela faisait peur, cela pouvait très bien tourner en chocogrenouille. Il avait toujours aimé les jours de son enfance où il avait été emmené par ses parents à aller demander des bonbons en frappant aux maisons, c’était la façon moldu. C’était l’ancienne époque également, aujourd’hui Graeme avait déjà bien changé mais également bien grandit, fêté halloween il appréciait car il pouvait se changer les idées depuis la retenue qu’il avait entrenu en tête à tête avec Ombrage. Evidement aujourd’hui, tout le monde avait le sourire aux lèvres, tout le monde, même les professeurs sauf la grosse dame rose qui devait certainement se demander ce qu’elle foutait ici. Le jeune Reinhaart appréciait de voir tout le monde se changer les idées, il avait choisit une table ou il connaissait un peu prêt tout le monde, c'est-à-dire avec une bande de gryffondor. Il était arrivé en retard dans la grande salle, étant donner qu’il avait été courir et qu’après il avait prit une douche. Evidement, il avait bien vu que la grosse dame le regardait mais il ne lui avait adressé qu’un vulgaire sourire, voulant dire de le lâcher un peu et que cela ne changerait pas. Tout le monde était mélanger à tout le monde, il n’avait pas vu Ysolde, ne sachant pas ou elle était et avait donc préféré se mettre avec une bande de gryffondor et de déguster les plats décilicieux qui était sur les tables. Soudain, toute la pièce fut plongée dans un noir total. Graeme essaya de voir ce qui se passait, il n’y avait plus aucune lumière, plus de plafond magique, il n’y avait que la lumière que rejetait la lune. Le cœur du jeune homme se mit à accélérer, tout en finissant sa boucher. Bizarre.

298 mots

Halloween, c’est une fête soit disant joyeuse. Boyde était assit à la table de griffondor, en compagnie de Kazran et Matthys, comme toujours. En fait, ils étaient en compagnie de beaucoup de monde, mais Boyde était comme qui dirait… ailleurs. Il détestait ces fichus repas en groupe là. Il donnerait tout pour pouvoir fêter Halloween dans un bar à Pré Au Lard, ou a Londres dans le quartier sorcier, ici, la fête était morose, certes, ils mangeaient bien, et alors ? Boyde ne participait pas à la discussion, en fait il s’en fichait un peu, il avait passé une mauvaise journée. Premièrement, il avait plu, alors que certains adoraient la pluie, Boyde lui la détestait. Deuxièmement, il avait reçu une lettre de son père l’incitant à rejoindre les mangemorts – avec le prétexte de la couverture – il en venait même à se demander si son père n’était pas devenu un mangemort par conviction, il était de plus en plus odieux avec sa mère dont le père était moldu. Troisièmement, il avait fait tomber ses cours dans un couloir et avait rapidement péter un cable en essayant de tout ranger. Oui, Boyde avait des tendances à s’énerver à la vitesse de la lumière. Oui, c’était donc passablement énervé qu’il était venu au repas. Mais ce moment, il était comme qui dirait pas dans son assiette, il faisait des choses qui lui ressemblaient de moins en moins entrainé par une bande de potes, il savait passé à tabac un certain Mangus-Wexforth, et Mathilda – la belle rousse qui faisait chavirer son cœur – l’avait vu, et… devait certainement lui en vouloir car le Tabassé en question était son meilleur ami. Boyde allait de plus en plus contre sa nature, et il semblait de plus en plus à l’ouest, il grignotait des bonbons tandis que les lumières s’éteignirent soudain. Reflexe purement sorcier, il tenta d’allumer sa baguette, mais rien.

Bonnie adorait les fêtes, et pour elle, Halloween était un évènement capital de l'année. Et Halloween à Poudlard était toujours agréable, l'ambiance, les rires, les bougies dans les citrouille, les fantômes, et le somptueux festin qui célébrait la soirée. Ces deniers temps, l'humeur au château n'était pas vraiment à la rigolade. L'arrivée de Dolores Ombrage qui n'avait pas tarder à installer sa tyrannie avait vite jeté un froid. L'horrible bonne femme et son test truqué semblait bien décidé à faire régner sa loi à Poudlard, malgré le retour du Professeur Dumbledore. Bonnie était à l'abri, l'influence de sa famille la protégeait, ainsi que son frère et sa soeur mais ce n'était pas le cas de tous les élèves de Poudlard. Mais l'esprit de la famille Pevensie était concentré sur la recherche des Artéfacts. Comme tous les membres du Cercle, Bonnie se sentait concernée par cette mission d'autant plus qu'elle avait participé -au moins au début- au commando qui l'avait envoyé avec ses condisciple récupéré la liste, qui était désormais entre les mains de Lord Voldemort. Mais pour l'heur, la Serdaigle avait plutôt envie penser un peu à autre chose, elle qui passait des nuits incroyablement courte depuis deux semaines maintenant. Alors que la rumeurs des discussion et des rires allaient bon train, un vent souffla dans la salle et ce fut le noir le plus total. Les discussions s'évanouirent instantanément. Bonnie regarda autour d'elle, le temps que ses yeux s'accoutume à l'obscurité. La seule lumière qui filtrait était celle de la Lune, et la belle distinguait à peine les visages de ses camarade. Elle percevait à peine le mouvement du côté de la table des professeur, ce qui laissait penser que ce qui se passait n'avait rien de prévu.

292 mots

Severus n’aimait pas halloween, il détestait même sa, il trouvait sa tellement pathétique. Il n’y avait pas de jour particulier pour faire peur, bien au contraire, il fallait profité de la jeunesse, faire peur, cela pouvait être demain, hier mais également aujourd’hui, il n’y avait pas d’heure ni de jour pour. Halloween c’était un jour de fête très acheteur, d’ailleurs quand il était gamin, il avait vu pas mal d’enfant acheter des déguisements, ce que lui appréciait naturellement mais il n’avait jamais eu le droit à cause de son père, d’ailleurs s’était pour cette raison qu’il détestait halloween. Avec lui, il n’avait le droit à rien, son repas du soir, il avait toujours du le manger dans sa chambre, jamais à table en même temps que les adultes voilà pourquoi il refusait tout contact avec les autres étudiants. En faite, il n’avait pas envie d’être méchant, ni d’être cruel mais il se sentait obliger pour ne pas décevoir son père même s’il voulait lui faire vivre un enfer. Un enfer qu’il n’avait encore jamais connu. Ce soir, tout le monde s’était regroupé dans la grande salle, afin de profiter d’un bon banquet que Severus dégusta avec plaisir, ne laissant jamais une miette dans son assiette. C’était l’instant du survivant qui ressortait. Soudain, le plafond illuminé d’étoile, disparu, les lumières dans les citrouilles et les bougies s’éteignait. Il ne restait plus que la lumière de la lune. Il n’entendit que le bruit des respirations des gens proches de lui. Il sortit sa baguette essayant le sortilège de lumos mais rien, aucun effet. La baguette ne servait donc à rien, il la rangea. Il ne voyait rien à part quelque visage des autres étudiants. La situation ne devait pas être prévue. Du moins c’est ce qu’il pensait.

295 mots

Le Docteur Windsor adorait Halloween. C’était toujours une journée où elle était extrêmement occupée. Les élèves intoxiqués aux bonbons magiques périmés, ceux qui s’étaient blessé en utilisant mal un sortilège de découpage sur leur citrouille, ou encore certains trop ambitieux qui avaient voulu se métamorphoser au lieu de trouver un simple costume et qui finissaient avec des tentacules à la place de la barbe. Et pour parfaire cette journée, le Pr. Dumbledore avait outrepassé le Pr. Ombrage et avait autorisé les Nés-Moldus à se rendre au festin de la soirée. Béatrix n’avait pas compté s’y rendre, mais elle et Dolores avaient une relation particulière.

Ombrage souhaitait tout particulièrement se débarrasser du Docteur Windsor et avait fait ressortir tout ce que Béatrix avait de plus Windsor en elle. Elle accueillait l’envoyée du Ministère avec son sourire courtois et hautain de la cour, lui faisait toutes sortes de compliments tous plus insultants les uns que les autres sans y paraître, et la tenait en respect avec toutes les meilleures manières du monde.

Aussi dans la Grande Salle, Béatrix n’alla pas prendre son habituelle place à côté du Pr. Snicklepitch, mais vint ostensiblement s’asseoir sur la chaise voisine du Pr. Ombrage pour lui tenir une conversation aimable tout le long du dîner… Jusqu’à ce que la Grande Salle soit plongée dans le noir. Plusieurs Lumos se firent entendre dans les ténèbres, en vain. La Magie semblait avoir de nouveau disparue. Dans le noir, Béatrix se pencha pour tenter de voir le visage du Pr. Snicklepitch. C’était suite à un événement semblable qu’il avait été renvoyé. Changer de directeur n’avait visiblement rien changé. Elle se tourna alors vers le Pr. Dumbledore quelque part dans le noir de l’autre côté de la table pour voir comment il allait réagir…

Ashton était du genre à aimer les fêtes. Toutes les fêtes. Plus elle s’amusait, mieux elle se portait. Seulement, Halloween, pour elle c’était un peu spécial. Certes, c’était la fête des sorcières, leur fête en somme. Mais ne disait-on pas que le voile entre le monde des vivants et le monde des morts était le plus fin à cette période ? Et ça, ça la faisait réellement flipper. Les morts devaient rester morts, aussi douloureux que la perte d’un être cher était. A vrai dire, petite, elle était dingue de ce jour là. Enfin, ça, c’était avant la mort de Lysandra et de son père. Halloween était la fête préférée de sa grande sœur, qui tous les ans c’était donnée comme mission d’emmener son adorable petite sœur faire du porte à porte chez les moldus. Mais depuis Halloween l’a rendait anxieuse. Sans savoir pourquoi, elle avait l’impression qu’à cette période-là, ses cauchemars deviendraient réalité. Mais pour cette année, elle avait décidé de mettre ses craintes de côté et de tenter de s’amuser un peu. Elle allait essayer de voir cette fête comme n’importe quelle autre fête.
Attablée avec les autres Poufsouffle, elle participait tout en ayant la tête ailleurs, aux discussions de ses camarades, qui eux, semblaient totalement adhérer à cette fête, qui soit dit en passant, devenait de plus en plus commerciale. ‘Pour Lysandra’ se dit-elle, avant de se sourire à elle-même. Le plat de résistance se présenta devant eux, ce qui fit sourire de plus belle la jeune sorcière, bien qu’elle n’avait pas franchement faim. Cependant, alors qu’elle allait pour se servir toute la salle fut plongée dans le noir. Ca commençait bien.

275 mots

Felicia détestait Halloween. Elle avait à peu près toujours détesté cette fête. Une pensée abominable pour la plupart qui ne parvenait pas à saisir l'antipathie de la blonde pour cette soirée. On mangeait des bonbons, s'amusait à se faire peur : bref, on passait un bon moment. Malheureusement, vous aviez remplis deux catégories qui ne rentrait pas dans les critères de Felicia. La première était, au grand dam de tout le monde, qu'elle n'aimait pas les bonbons. Même si sa silhouette l'en remerciait vivement, il était dur de s’intégrer à une soirée d'Halloween lorsque l'on aimait pas le joyaux de la soirée. Secundo, elle n'aimait pas qu'on lui fasse peur. C'était un détail sensible chez la jeune Gryffon', bien qu'il faille la connaître pour le savoir et que quelques uns s'en amusait plus que de raisons. Ce soir-là, la rouge et or était allongée sur le ventre sur les couvertures en pagaille de son lit, battant l'air de ses pieds nus. Non elle ne comptait pas aller à cette soirée, ce qui lui permettrait de ne pas entacher la joie des autres d'un air morose. Malheureusement, ses camarades de dortoirs avaient d'autres plans pour elle et la sortir de son pyjama pour la remettre dans des habits plus présentables. Il fallait croire qu'elle n'avait pas bien le choix. Titillant les friandises qu'elle ne mangerait pas du bout des doigts, Felicia fut comme les autres surprises par la nuit qui s’abattit sur la grande salle. Qu'est-ce que c'était que ce délire ? Peu importe quel était le responsable de cette farce, elle le remerciait, car surement ignorait-il qu'il venait d'égayer la soirée de la blonde. Loin de se douter qu’elle serait bien plus cauchemardesque qu'elle n’était capable de l'imaginer...

288 mots.

Citation :

La Grande Salle est plongée dans le noir. Seule, la faible lumière de la lune à travers la verrière éclaire certains visages. On entend des bruits de chaises. Le Directeur Dumbledore se lève et sort sa baguette afin de rétablir la lumière, mais rien ne se passe. Dolores Ombrage se lève à son tour, un sourire hautain sur les lèvres et sort sa baguette pour tenter de faire la même chose. Échec et mate, rien ne se passe. La magie semble avoir à nouveau disparu. Cette scène n'est pas sans rappeler à certains la fête des fondateurs. Mais alors qu'un vent de panique semble souffler sur la Grande Salle, un étrange bruit se fait entendre au dessus des têtes. C'est le charme qui maintenait les citrouilles en l'air qui vient de céder. Une pluie de citrouille tombe soudain sur les élèves et professeurs présents. Et aucune magie ne fonctionne. On dirait que la fête d'Halloween se retourne vers les propres personnes qu'elles concernent. Ironique non ?

Le temps n'était particulièrement pas à la rigolade dans l'école de Sorcellerie. Depuis son retour, rien ne se passait comme il le souhaitait et ça avait finit par miner son humeur jour après jour. Il avait cru pouvoir se faire pardonner par Ysolde, c'était tout ce qu'il avait vraiment souhaité quand il avait décidé avec plaisir de venir ici. Elle était sa première flamme, ça ne s'oubliait pas si facilement et elle avait été la seule qui comptait quand il était en prison. Bien entendu, il y avait ses soeurs, les femmes qu'il aimait sans se poser de questions. Et il se sentait si mal avec elles parce qu'il jouait un rôle, celui de l'homme qui n'était toujours pas aussi torturé par le temps qu'il avait passé dans la prison des sorciers. Il était plus aigri, plus froid et méchant qu'il ne l'avait jamais été. Quelque chose pourrissait au fond de lui. Et puis il y avait cette soirée d'Halloween qui devait être amusante, Duncan avait pensé pouvoir retenter une nouvelle fois sa chance avec Ysolde. Il s’empiffrait avec ses quelques amis lions quand les lumières se fermèrent. Un murmure de peur s’élevait déjà dans la salle, les jeunes appréhendant ce qui s’en suivrait. Le brun regarda le professeur et même Dolores essayer de lever cette noirceur, sans succès. Déjà, le lion c’était levé et s’en allait vers sa belle qui séjournait plusieurs tables plus loin. Il aurait voulu se diriger vers Bonnie, pourtant il se retrouva rapidement près de la blonde. Il fut exactement au bon moment quand les citrouilles tombèrent du faux ciel. L’intuition du sorcier criait depuis la fermeture des lumières et il avait eut raison. Il serra le corps d’Ysolde contre le sien, l’empêchant de recevoir une immensité orange en plein dans la tête.

298 mots

Le noir complet. Il y avait sincèrement de quoi devenir cinglé. Sa baguette en main, boyde tentait en vain de l’allumer, c’était maintenant comme à la fête des fondateurs : aucune magie ne semblait marcher. Cet évènement était un mystère pour tous les plus grands mages de ce monde, Poudlard regorgeait de nombreux secret. Le Cercle était un des nombreux secrets de poudlard. Boyde était anxieux, il n’avait pas peur du noir, mais cela n’annonçait rien de bon, surtout le soir d’Halloween. C’était un peu la panique, quand tout à coup des citrouilles commencèrent à tomber sur le sol, alors que celle-ci étaient en suspension, la plafond magique avait disparu, et la magie qui maintenant les citrouille en lévitation aussi. Boyde esquiva de justesse une citrouille qui manqua de s’écraser sur lui. La salle était faiblement éclairé par la lune, et par cet orage qui faisait rage dehors. Les citrouilles tombaient une à une, il vit un élève de première année s’en prendre une sur la tête. Il aperçu non loin de lui, une chevelure rousse dans la nuit, et quelle chevelure. Machinalement – il se dirigea vers elle, enfin en faisant mine d’aller voir quelqu’un qu’il connaissait à côté, et soudain, lui tira le bras sèchement en disant fermement : Fais gaffe Alldrïn. Dit comme cela, cela avait l’air d’une menace, sauf que deux secondes plus tard, là om se trouvait Mathilda une seconde auparavant, une citrouille s’écrase sur le sol, elle aurait fini assommée dans le meilleur des cas. Il lui lâcha alors le bras et dit alors avec arrogance : Je te sauve la vie, encore, faudrait pas que ça devienne une habitude. Par merlin, qu’est ce qu’il pouvait être arrogant, et je me la pète de la vie. Oui, c’était Boyde – la face apparente de l’iceberg, certes – il agissait comme ça, être arrogant et désagréable, c’est le meilleur moyen de préserver sa personne des gens, des autres, de cacher son secret aussi. il faisait l’insensible, mais en fait, Mathilda lui faisait perdre son sang froid.

Halloween c’était un jour organiser pour faire peur et d’après plusieurs personnes il fallait même en profiter. Mais dans cette situation quelque chose clochait, tournait bizarrement. Le nouveau directeur Albus Dumbeldore, leva sa baguette vers le plafond magique qui d’habitude était illuminer par de nombreuses lumières sauf que son sortilège ne fonctionna guère. La situation était-elle vraiment un hasard ? Imprévue ? Ce fut alors le tour de la grosse dame rose qui essaya un sortilège contre le plafond qui ne faisait que des siennes. Par merlin ! Cela ne fonctionnait toujours pas ! Soudain un bruit de craquement en haut des têtes se fut entendre, ce qui donna le réflexe au jeune Reinhaart se soulever la tête en l’air, voyant qu’une citrouille allait s’abattre sur sa propre tête. Ce n’était pas vraiment le bon moment de se faire aplatir la tête par une citrouille ! Il fallait plutôt sauver sa peau et celle des autres ensuite ! D’ailleurs c’est ce que fait le jeune Reinhaart en sautant de sa place pour ne pas recevoir cette citrouille. Il faisait nuit, la grande salle était plongée dans un noir profond. Même le jeune Reinhaart avait du mal à voir malgré la lumière que dégageait la lune. Il se demandait si Ysolde n’avait pas été touchée par une citrouille d’halloween mais quand il vu Pevensie auprès d’elle, il préféra regarder ailleurs voulant voir si il n’y avait pas d’autre victime. Il leva la tête voyant les autres citrouilles aller sur d’autres étudiants. Il ne savait pas comment finirait cette soirée qui devait se passé dans l’humour et les rires des étudiants. Soudain il plongea sur une élève de gryffondor qu’il ne connaissait pas particulièrement mais il connaissait son nom : Lupin. Il s’adressa à elle : « Rien de cassé ? »

298 mots

Le noir, Ysolde n’aimait pas franchement le noir pour être franc. Elle détestait le noir, surtout quand à l’extérieur, il y avait un orage qui grondait. Ysolde aimait la nuit, mais pas le noir comme cela, terrifiant et faisant froid dans le dos. Elle était restée à la table, immobile, voyant ses voisins essayer d’allumer leur fichue baguette. Elle n’essaya même pas, s’ils n’y arrivaient pas, alors personne n’y arriverait. La jeune femme se leva alors de la table, essayant de se frayer un passage entre les élèves qui s’étaient un peu « affolé », pas encore trop, certes, mais bon. A Poudlard, il arrivait tellement de choses bizarres, on est jamais trop prudent ! elle fixa, presque tétanisé le dehors, elle détestait les orages, vraiment. Elle vit devant elle tomber une citrouille, elle leva alors doucement les yeux, remarquant que la magie qui maintenait les citrouilles en l’air commençait à disparaitre. Tout à coup, elle fut tiré, et elle vit avec surprise Duncan – son ex – qui tout à coup, la serra contre lui. Ysolde ne compris pas, et une demi-seconde plus tard, ysolde le repoussa en s’écriant : Qu’est ce qui va pas chez toi, bordel ?! Elle le gifla mais il ne fallait pas la surprendre comme ça. Oui, qu’est ce qui n’allait pas chez lui ? Pourquoi est ce qu’il croyait qu’il pouvait avoir le droit de la serrer dans ses bras comme ça, il n’était plus son petit ami depuis le jour où il était entré à Azkaban, depuis la jeune femme avait bien changé, beaucoup changé. Elle s’était retenue de justesse de le gifler, il savait qu’elle n’appréciait pas les contacts physique, et là, il la serrait contre lui, il lui manquait vraiment une case. Elle sursauta quand juste à côté d’elle, une citrouille quatre fois plus grosse qu’un soafle s’écrasa violemment sur le sol, dans un bruit sourd et bizarre.

Beaucoup d'élève semblaient attendre quelque chose, comme s'il pensait que l’évènement était une péripétie prévu par la direction. Seulement en voyant les professeur se lever et échouer à faire apparaître la moindre lueur, Bonnie eu la certitude que personne n'avait la moindre idée de ce qui se passait. Par réflexe, elle sortit sa baguette bien qu'elle ne lui fut d'aucune utilité. En désespoir de cause, Miss Pevensie jeta des regards frénétique autour d'elle, cherchant en vain à apercevoir un visage ami dans la pénombre de la salle. Soudain un peu partout, les élèves entendirent de grands fracas et la Serdaigle ne mit pas longtemps à comprendre pourquoi quand une citrouille d'une taille phénoménale s'écrasa à quelque centimètre de sa main droite, sur la table et les plats. Elle poussa un cri de surprise et se recula d'un bond, au risque de tomber de son banc. Quand elle leva la tête, elle vit pleuvoir des citrouilles un peu partout dans la Grande Salle. Mais elle aperçut quand même furtivement son frère. Inutile de suivre Duncan des yeux pour savoir où il se dirigeait, quand la belle Ysolde était dans les parages.... Bonnie su alors qu'elle ne pourrait pas compter sur son frère ce soir, mais après tout, avait-elle vraiment besoin de qui que se soit ? C'est vrai, des citrouilles grosse comme des chaudrons leur tombaient dessus, mais après tout, Poudlard était un endroit inhabituel. Le réflexe de Bonnie quand elle vit d'autre citrouille manquait de peu la tête de ses camarades fut de pointer sa baguette pour les faire dévier. Bien sur, réflexe conditionné par dix neuf années de magie, mais totalement risible en la circonstance.

276 mots

C’est après avoir aider une demoiselle de sa maison qu’il tourna la tête afin de voir si il n’était rien arriver à sa blonde. Quand il vu ce qui se passait, il n’hésita pas à traverser toute la salle pour rejoindre la serpentarde qui venait de gifler le Pevensie. Ce qui n’était pas bon pour l’autre rouge et or sachant que le jeune Reinhaart ressentait comme de la … Jalousie ouais voilà. Il arriva enfin à eux après avoir traverser les tables, passé les étudiants qui s’affolaient. Arriver enfin , il poussa l’épaule du rouge et or afin de le dégager un peu plus de sa serpentarde. Le jeune Reinhaart n’avait déjà pas apprécier que ce Pevensie touche à Ysolde mais de la à ce qu’elle le gifle. Il savait pourquoi, Ysolde n’aimait pas le contact physique, même Graeme le savait, voilà pourquoi il n’osait jamais aller trop loin dans ses gestes. Il regarda alors l’autre rouge et or froidement en parlant froidement : « Ca va je te gêne pas là . » Le regard du Reinhaart était froid et sa voix également. Il fallait se méfier quand on touchait à sa blonde, il pouvait devenir votre propre ennemi numéro un. Voir même votre pire ennemi. Il regarda alors sa blonde en regardant d’abord si elle n’avait rien puis il s’adressa a elle : « Tu n’as rien ? » Il regarda alors le rouge et or. Et dire qu’Ysolde était sortit avec sa. Sa lui faisait bien rire à l’intérieur. Il n’avait pas changer son regard pour si peu, ni sa voix menaçante : « Bat les pattes la prochaine fois. » Il regarda de nouveau sa blonde puis regarda les autres étudiants qui fuyaient pour la plupart.

293 mots

Sérieusement, Duncan avait l’impression que personne n’allait bien depuis son retour. Pas seulement au niveau physique, mais surtout psychologique. Depuis quand refusait-on de l’aide d’un beau prince? C’était royalement choquant, le brun était venu au secours d’Ysolde parce qu’il avait toujours des sentiments pour elle et qu’il ne souhaitait pas qu’elle se fasse écraser par des citrouilles. Certes, il aurait dût s’attendre à ce que la serpentarde soit aux aguets, surtout après leur dernière rencontre. Il lui avait piqué une crise de jalousie au pub moldu et elle n’avait drôlement pas apprécié. Pourtant, n’était-ce pas là à nouveau une preuve de son amour? Il ne comprendrait définitivement rien aux femmes. Son rêve de prince charmant se termina quand sa belle le poussa avec violence. Qu’est ce qui va pas chez toi, bordel ?! Quoi de nouveau, une Ysolde qui piquait une crisette?! Aussitôt, le gryffondor se referma et pinça ses lèvres pour encaisser le coup. C’était quoi son SATANÉ problème?! Et il n’eut pas le temps de rétorquer quoi que ce soit qu’un mec de sa maison arriva, le poussant et en lui criant aussi après. Ça y est, tout le monde était réellement dingue! Graeme. Il le connaissait seulement de vu et de réputation. Cet homme avait-il réellement une idée à qui il s’adressait? Personne ne se confrontait à Duncan Pevensie depuis qu’il était revenu à Poudlard. Normal, qui voulait se coltiner un mec qui avait tuer deux moldus et était aller à Azkhaban? Personne. D’ailleurs, l’ancien prisonnier voyait rouge, plus encore que la couleur du blazer de Graeme. Il s’avança et le poussa encore plus fort. « C’est à toi que je devrais dire ça. Ysolde ne t’appartient pas.» Puis ignorant totalement le jeune, il se tourna vers la blonde et lui dit d’une froideur incomparable. « Tu sais très bien que je t’ai sauvé de cette citrouille. »

Ysolde fulminait un peu. Elle n’était pas en de bon termes avec Duncan. Oui, la dernière fois ils avaient eut un accrochage, dans un bar moldu, il avait piqué une crise de jalousie, pèter son scandale, et Ysolde n’aimait pas qu’on pète un scandale – sauf si c’était elle qui le faisait. Ca va je te gêne pas là . La voix de graeme la tira de son énervement. Elle le regarda, surprise. Il lui dit alors, à elle : Tu n’as rien ? Elle hocha la tête de gauche à droite, pour dire « non », et dit alors : Ca va. Oui, elle n’avait rien, rien. graeme reposa alors de nouveau un regard noir sur Duncan et dit alors, menaçant : Bat les pattes la prochaine fois. La prochaine fois ? Hum, il n’y aurait pas de prochaine fois, si les choses se passaient comme ysolde le voulait, la prochaine fois n’aurait pas lieu. Duncan ne mit pas dix ans pour réagir, celui-ci poussa alors Graeme, un peu violemment. Duncan ajouta ensuite : C’est à toi que je devrais dire ça. Ysolde ne t’appartient pas. Les choses allaient finir par aller trop loin si ça continuait, la jeune femme en avait presque marre de voir Graeme se battre tout le temps, même si c’était pour elle, ça risquait vraiment de mal finir cette affaire. Il s’adressa alors à la jeune femme en disant froidement : Tu sais très bien que je t’ai sauvé de cette citrouille. Oui, il voulait quoi une médaille ? Là cela avait limite été du pelotage. Elle le fixa, et dit alors : Merci, tu t'attends à quoi, une médaille ? S’il voulait un baiser, ou plus, il ne fallait pas le demander à la jeune femme, elle n’était pas comme ça. Il espérait peut être qu’ils se remettent ensemble ? En tout cas c’était ce qu’elle avait compris.

Rory vit Dumbledore tenter de jeter un sort sans succès, et remarqua le sourire hautain d’Ombrage qui essaya à son tour. Elle était sérieuse ?! Elle croyait vraiment réussir là où Dumbledore avait échoué ? Il la vit se planter lamentablement, bien sûr, et son air dépité lui réchauffa le cœur. Un bruit étrange lui fit lever les yeux - les citrouilles ! Son instinct protecteur prenant le dessus, il se pencha au-dessus de Coke (sans la toucher) pour l’abriter de la chute des cucurbitacées. Une citrouille s’écrasa sur son dos, explosa sous l’impact. Un jus gluant se mit à couler sur son cou, sa mâchoire et sa bouche...
« Beurk, de la citrouille… » Il se redressa, commença à retirer les morceaux de citrouille de ses vêtements… et réalisa d’un coup ce qui lui était tombé dessus. « De la citrouille !! »s’écria Rory complètement paniqué « Noooon j’en ai dans la bouche, j’en ai dans la bouche !! » Il s’essuya les lèvres frénétiquement, tendit la main vers son verre « Aaaaaaaaah il y en a dans mon verre noooon ! » retira son pull à toute vitesse, utilisa le côté sec pour s’essuyer. Il sentit sa bouche et ses lèvres picoter et sa voix monta d’un octave « J’ai les lèvres qui enflent, je suis sûr que j’ai les lèvres qui enflent. Coke est-ce que mes lèvres sont enflées ? Elles chauffent hein, elles sont toutes chaudes ? » demanda-t-il et, la panique obscurcissant son jugement, il prit la main de Cocoon et posa ses doigts sur ses lèvres. Rory ne craignait pas grand-chose mais ses allergies le terrifiaient. Il faisait toujours très attention à éviter les aliments auxquels il était allergique. C’était la première fois qu’il faisait une crise, et il n’avait (presque) jamais eu aussi peur…