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BACK TO DETENTION - alec

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Arden Ellerby-Spudmore
Arden Ellerby-Spudmore


Sages et intelligents, nous sommes les dignes héritiers de notre chère Rowena.

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MessageSujet: BACK TO DETENTION - alec   BACK TO DETENTION - alec EmptyMer 17 Aoû - 15:49





Professeur, lui. Qui l’eut cru. Lui l’élève le plus arrogant, le plus « j’me la pète de la vie » de son époque, professeur à Poudlard. Comme quoi, il faut de tout pour faire un monde. Mais, Ianto n’était pas professeur par plaisir à la base, il était là parce qu’il lui fallait une couverture pour être à Poudlard, une couverture pour accomplir sa mission, classée top secrète par le seigneur des ténèbres lui-même, il savait de quoi il s’agissait mais de là à en parler, jamais. Il ne faisait pas ça par allégeance ou par plaisir, il le faisait sous la contrainte. Sous la contrainte, il aidait où les personnes a qui il tenait en subiraient les conséquences. Quand il y pensait, Clara pouvait bien crever… enfin, cette garce qu’il avait aimé des années ne comptait plus pour lui, plus du tout. Mais, il tenait à Lana, sa filleule enfin… sa fille ; il avait appris cela dernièrement. Il le faisait pour elle, il n’avait plus personne d’autre à qui tenir, des parents qui l’avaient reniés le jour où il était rentré à Azkaban, pas de frère, ni de sœur. Il ne lui restait que Lana, mais comment annoncer à une gamine de dix huit ans que vous êtes son père, que sa mère est une sale garce ? Ca n’est pas facile. Ian était assis à son bureau ce soir, l’air penseur ; sur celui-ci, était vraisemblablement étalé des plans de Poudlard, des sous sols de Poudlard pour être exacte.

Ce soir était une soirée comme les autres, il ne se joignait pas aux autres professeurs qui devaient papoter, lui avait du boulot, une mission à planifier. Il fixait les plans le regard vide, cherchant les réponses à ses questions ; sur le bureau sa baguette était posée avec un verre de whisky pur feu, il n’était pas alcoolique, mais un verre ne faisait jamais de mal. Il porta le verre à ses lèvres quand il entendit frapper à sa porte. Merde, c’est vrai qu’il avait collé – encore – quelqu’un ce soir. Il poussa un soupire, posant son verre, et dit alors : Et merde ! Il y avait un bordel de dingue sur son bureau, il ferma rapidement tout les plans avant que la porte ne s’ouvre. Quand celle-ci s’ouvrit, il fixa l’élève qui l’avait poussé. Ah, oui, une retenue avec Alecto Oglethrope, une élève de poufsouffle, posant beaucoup de question, sympathique mais qui avait oublié de rendre son devoir, et qui avait été un peu insolente. A noter aussi qu’elle lui parlait d’une voix mielleuse. Note pour lui-même, elle était très jolie pour son âge. Vous êtes en retard Miss. Ca fera une dizaine de lignes en plus tout ça. Dit-il en griffonnant sur un papier. Il écrivit une idée pour sa mission. Puis, il se leva pour ranger ses plans dans le placard, passant à côté de la sorcière. Il ouvrit la porte et posa tout cela dedans, et d’un coup de baguette, le placard se referma, et il défiait quiconque de l’ouvrir sans son aide, il était magique, et il reconnaissant « son maitre », façon de parler. Installez-vous Alecto. Dit-il en lui montrant la chaise en face de son bureau. Il avait complètement oublié que c’était ce soir, avec tout ce qui se passait en ce moment, cela lui était complètement sorti de la tête. Par Merlin, qu’allait-il bien pouvoir lui faire faire ? Des lignes, probablement, il lui arrivait d’être très imaginatif pour certaines choses, mais alors pour les punitions, pas du tout. il parait qu’il fallait faire de la pyscologie avec les élèves, leur demander pourquoi ils n’avaient pas fait ci, fais ça. Il laissa couler pour l’instant, lui laissant alors le temps de s’asseoir à son bureau, lui le contourna alors pour se mettre en face.

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MessageSujet: Re: BACK TO DETENTION - alec   BACK TO DETENTION - alec EmptyJeu 18 Aoû - 14:44

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MR BAD BOY VERSUS MRS SAINTE NITOUCHE
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ROUND 01

    Collée ?! Moi, Alecto Oglethrope, élève plus ou moins modèle j’étais…Collée ?! C’était l’une de mes premières colles ! Et devinez par qui ? Fichtre par le professeur Astorg en personne ! Ce beau et sexy monsieur n’avait pas hésité à me coller devant tous mes camarades de classe ! J’avais juste oublié de faire mon devoir de défense contre les forces du mal ! Et l’avait rappelé de façon un peu... .Déplacée. Puis Paf, la sentence est tombée. Que de mauvaises augures pour le moment ! Je n’étais pas superstitieuse mais tous ces événements me rendaient folle. J’étais donc là, dans la salle commune des Poufsouffle qui, pour une fois, était assez calme. Je réfléchissais... Je pensais que le professeur Astorg et moi partagions quelque chose. C’est vrai que je draguais un peu ce beau professeur et on pouvait dire que c’était une sorte de jeu entre nous deux. Mais on pouvait dire que ça l’amusait autant que moi. Je pensais à Ysölde, elle aussi avait du mal dans ses relations amoureuses, outre le fait qu’elle et son fiancée avait rompu, il avait le fait qu’Ulysse traine avec sa sœur. Et puis Matthys, l’un de ses ex la traitaient comme une moins que rien. Il faisait chaud, il faisait calme, mon entrevue avec Ianto Astorg ne devait se faire que dans une heure et demie. Les ténèbres m’enserrèrent et je m’endormis… Il était vrai que mes nuits étaient assez courtes… Je me faisais un sang d’encre pour ma meilleure amie, les profs nous bourraient de devoirs, tous cela m’empêchait de dormir et d’être relaxée, fraîche et dispos. Juste une minute…Seulement voilà : les minutes se doublèrent jusqu’à ce que je me réveille en sursaut, me rappelant mon entrevue avec le professeur Astorg. J’avais déjà dix minutes de retard. Je pris mon sac et couru à grandes enjambées vers la salle de classe de défense contre les forces du mal. Je n’en revenais toujours pas d’avoir été collée par le professeur qui hantait mes pensées jours et nuit. Je frappais trois petits coups secs à la porte et ne pus m’empêcher d’entendre un Et merde ! Retentissant. J’ouvrais la porte, prête à trouver mon enseignant dans une position bizarre, peut-être avec une femme ? Au lieu de ça je le trouvais calme et normale, comme d’habitude quoi ! J’en eu presque un fou rire. Les images qui s’étaient dessinées dans mon esprit quelques instants auparavant étaient devenues grotesques. Vous êtes en retard Miss. Belle constatation monsieur ! Mais on dirait que vous ne vous apprêtiez pas à me voir ! Je fis taire la petite voix dans ma tête. Cette retenue n’allait certainement pas être une partie de plaisir. Ca fera une dizaine de lignes en plus tout ça. Je soupirais d’agacement. Des LIGNES ! Autant dire la punition suprême. Moi aussi je suis très heureuse de vous voir Monsieur. Lui lançais-je d’un ton moqueur. Installez-vous Alecto. Me dit-il quelques instants plus tard en me désignant une chaise en face de son bureau. Je me laissai tomber sur cette chaise et sortit ma plume et un bout de parchemins. J’avais furtivement vu que le professeur Astorg s’était empressé de cacher des plans où je ne sais quoi et tout cela m’intriguait. Excusez-moi Monsieur. Je sais que tout cela ne me regarde pas mais à vrai dire je m’en fiche un peu. Lui dis-je avec un sourire moqueur. Je peux savoir de quoi traitent ces parchemins que vous avez cachés dans votre armoire? Et puis il faut que vous sachiez quelque chose à mon sujet. Copier des lignes ne m’a jamais vraiment fait comprendre quoi que ce soit. Et soit dit en passant. Je suis en retard, effectivement –je vous épargnerais les détails du pourquoi du comment- mais apparemment vous ne vous attendiez pas à me voir non plus…Je m’assis encore plus confortablement sur la chaise, profitant, me délectant, du plaisir que me procurait de jouer à ce petit jeu puéril. Je me sentais maître du jeu et espérait que cela demeure ainsi !


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Arden Ellerby-Spudmore
Arden Ellerby-Spudmore


Sages et intelligents, nous sommes les dignes héritiers de notre chère Rowena.

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MessageSujet: Re: BACK TO DETENTION - alec   BACK TO DETENTION - alec EmptyVen 19 Aoû - 21:00

Ianto passait beaucoup de temps dans son bureau, il n’en sortait pas souvent pour des repérages, sans doute. Mais, il ne côtoyait que des élèves, en cours, et en retenue. Un de ses seul contact adulte était Amelia Lloyd-Carrow, une fille qui avait presque son âge, une ancienne camarade de classe, et ancienne collègue du département des aurors, qui aujourd’hui bossait pour voldemort, il n’appréciait pas spécialement cette fille, mais il la respectait, quand même. Il ne côtoyait que des élèves, parmi les élèves : Alecto, jolie brune d’une certaine taille, assez jolie même, mais quelque peu… arrogante avec lui, même très arrogante, c’était d’ailleurs ce qui lui avait valu une retenue, ça plus un devoir non rendu. Elle entra, visiblement agacé quand il lui annonça que cela ferait des lignes en plus. Elle dit alors, d’une voix moqueuse : Moi aussi je suis très heureuse de vous voir Monsieur. Quelle arrogance. Ian la fixa une seconde suite à cette remarque, le regard froid. En général, c’était ce genre d’arrogance qui lui plaisait chez les femmes, mais celle-ci avait un an de plus que sa fille, alors… sa se trouve, elle connaissait sa fille. Mais, il aimait son arrogance, mais, il n’allait pas la louper. Il lui fit signe de s’asseoir, et la vit sortir parchemin, et plume. Elle continua alors à dire : Excusez-moi Monsieur. Je sais que tout cela ne me regarde pas mais à vrai dire je m’en fiche un peu. Espèce de gamine arrogante, eut-il envie de lui dire, mais elle continua alors, sans qu’il ne puisse lui dire de se la fermer, Ian avait tendance à être sec, très sec même, parfois, pour son propre bien, se faire passer avant les autres était un de ses règles élémentaires de survie. Je peux savoir de quoi traitent ces parchemins que vous avez cachés dans votre armoire? Et puis il faut que vous sachiez quelque chose à mon sujet. Copier des lignes ne m’a jamais vraiment fait comprendre quoi que ce soit. Et soit dit en passant. Je suis en retard, effectivement –je vous épargnerais les détails du pourquoi du comment- mais apparemment vous ne vous attendiez pas à me voir non plus… Elle était en fait plus arrogante, encore plus arrogante qu’il ne l’imaginait, avec dix ans de plus enfin, au moins avec cinq de plus, Ian l’aurait apprécié. Là, même si elle était jeune il l’appréciait, mais ne le montrait pas, c’était son élève, elle avait presque l’âge de sa fille, par merlin. Elle était tellement arrogante, elle s’installa avec une sorte de nonchalance dans sa chaise. Ian se laissa glisser dans son fauteuil, la fixa, elle se croyait en vacances, peut être ? Il répondit alors, lui adressant un sourire des plus… ravageur, et en même temps carnassier, il avait un côté sadique dans les punitions : Copier des lignes n’a jamais servi à apprendre. Pas à moi en tout cas, mais cela a l’avantage d’être une chose très chiante, longue, qui fait mal à la main, qui donne envie de dormir, bref, une chose qu’on déteste faire, c’est pour ça que c’est une punition, si j’avais voulu faire quelque chose d’instructif, je vous aurais fait refaire un devoir supplémentaire, mais ça ne serait pas une réelle punition, Miss. Il marqua une pause, regardant tout à coup ailleurs, et ajouta : Vous préférerez peut être faire le ménage ? Femme = ménage, c’est assez réducteur quand on y pense, il cherchait. Elle le cherchait, elle essayait de le mettre hors de lui avec une pareille arrogance, mais, il s’en fichait, elle ne pouvait pas être aussi arrogante que lui à son âge, ou même que lui aujourd’hui, même avec le ministre il était arrogant. Quant à ce qui se trouve dans mon armoire, je doute que cela vous regarde, je ne compte pas aller voir ce que vous écrivez sur les pages rose et parfumé à un horrible parfum de princesse de votre journal intime, alors, rester loin de mes affaires, et je resterais loin des vôtres, je doute que vous souhaitiez que votre vie privée soit étalé. Les autres professeurs n’auraient sans doute jamais parlé à une élève sur ce ton, celui du défit, de l’arrogance à l’état pur, avec un soupçon de séduction dans la voix, il était toujours « séducteur » dans le sens où il essayait toujours « d’endormir » les gens à qui il parlait, il poursuivit alors : La différence entre vous et moi, c’est que moi je m’en fou de ne pas vous attendre. J’aimerais en savoir plus sur votre retard, panne d’oreiller, câlin entre adolescent en surcroit d’hormone interminable ? Expliquez-moi, j’ai hâte de savoir. Il s’installa au fond de sa chaise. Cette fille la cherchait, et allait trouver le professeur Astorg, non elle allait trouver Ian en fait.


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MessageSujet: Re: BACK TO DETENTION - alec   BACK TO DETENTION - alec EmptyDim 21 Aoû - 9:48

ROUND 02


Autant dire que je n’étais pas enchantée de me retrouver dans le bureau du prof de DCFM dans de pareilles circonstances. Mes parents n’allaient certainement pas être ravis lorsqu’ils apprendront que je m’étais faite collée. D’habitude j’étais tellement ordonnée ! Je n’oubliais que rarement de faire mes devoirs et lorsqu’une telle chose arrivait, je me confondais en excuse tellement j’étais honteuse. Mais visiblement cette fois j’étais allé trop loin. Il devait certainement se dire que j’étais comme toute les autres gamines de mon âge, une sale gosse qui se prenait pour la souveraine des cieux. Autant dire qu’il était loin du compte. Mais pour l’instant je me cantonais à lui lancer des sourires chargés de sous entendu, un brin déplacés et outrageants. Ca n’avait pas l’air de lui déplaire. Je le voyait sur son visage : il me prenait pour une gamine arrogante avec un égo démesuré, bien trop idiote pour se rendre compte qu’elle faisait affront à un professeur qui avait bien plus de pouvoir qu’elle. Et puis merde ! Il n’avait qu’penser ça, ça n’affecterait pas ma vie. J’aimais jouer avec lui, il était vrai. Mais j’étais presque sure qu’il se trompait sur moi. Après tout, pourquoi pas ? J’étais un peu fatiguée qu’on me voit toujours de la même façon. Surtout que depuis peu j’avais revus ma cousine, Kataleena et j’avais franchement été dégoutée. Oui, peut-être que je faisais une petite crise d’identité. Après tout, être un peu arrogante ne pouvait pas me faire de mal, ma très chère cousine avait fait bien pire. Et regardez là à présent, à partager les cours de défenses contre les forces du mal avec ce beau gosse de professeur. Ça ne l’avait pas tué. Pourquoi cela ne serait-il pas bénéfique pour moi ? Mon regard ce fut plus appuyé. J’avais hâte de voir comment mon cheeeeeer professeur allait répondre à mon affront. Copier des lignes n’a jamais servi à apprendre. Pas à moi en tout cas, mais cela a l’avantage d’être une chose très chiante, longue, qui fait mal à la main, qui donne envie de dormir, bref, une chose qu’on déteste faire, c’est pour ça que c’est une punition, si j’avais voulu faire quelque chose d’instructif, je vous aurais fait refaire un devoir supplémentaire, mais ça ne serait pas une réelle punition, Miss. Au moins, nous avions un point commun : écrire en boucle une phrase débile ne nous apprenait rien. Je m’apprêtais à répliquer lorsqu’il poursuivit. Vous préférerez peut être faire le ménage ? QUOI ??? Mais quel espèce de troll ! Ce n’était pas tellement ces paroles qui m’avaient choquée. Mais à l’expression de son visage on voyait qu’il pensait clairement que les femmes était faite pour nettoyer à tout va. Ces personnes qui véhiculaient de tels idéaux étaient, pour moi, des salauds en puissance. Je le regardais avec un visage emplis de dégout. Oui, il me dégoutait désormais. Et j’allais me montrer encore plus assassine dans mes réparties. Il l’avait bien cherché ce prof à la noix. Quand on y pensait il était vraiment plaisant à regarder mais pour moi il n’y avait pas le physique qui comptait. Je ne me jetais pas dans les bras de n’importe qui. Je n’étais certainement pas une marie couche toi là ou une autre de ces femmes qui draguait à tout va et qui couchaient sans cesse avec des mecs qu’elles ne connaissaient pas. Quant à ce qui se trouve dans mon armoire, je doute que cela vous regarde, je ne compte pas aller voir ce que vous écrivez sur les pages rose et parfumé à un horrible parfum de princesse de votre journal intime, alors, rester loin de mes affaires, et je resterais loin des vôtres, je doute que vous souhaitiez que votre vie privée soit étalé. La différence entre vous et moi, c’est que moi je m’en fou de ne pas vous attendre. J’aimerais en savoir plus sur votre retard, panne d’oreiller, câlin entre adolescent en surcroit d’hormone interminable ? Expliquez-moi, j’ai hâte de savoir Il était allé un brin trop loin. Cette fois, il allait m’entendre, et pas qu’un peu. À vrai dire elles sont plus violettes que roses les pages de mon journal intime,décorées de jolies petites licornes même!. Mais si vous voulez vraiment en savoir plus sur moi vous n’avez pas besoin d’organiser une expédition de kidnapping de journal intime dans mon dortoir, Mademoiselle Lancaster saura vous éclairer davantage que mon joli…Comment avez-vous dit déjà ? Ah oui ! Mon carnet intime sentant le parfum de princesse. C’est avec plaisir que je m’adonnerais au ménage de votre bureau mais je crains que vous n’y preniez gout un peu trop vite. J’avais dit tout cela sur le ton de la conversation, sauf la partie où je faisais mention de ma cousine, ma voix était devenue assez froide et crispée. Sachez pour votre information, que je ne suis pas le genre à me jeter dans les bras de n’importe qui à n’importe quel moment. Ma mère m’a toujours dit que c’est en me faisant désirée que j’obtiendrai tout ce que je désire. Vous pouvez donc rayer le câlin entre adolescents de votre petite liste. À vrai dire j’étais tellement impatiente de venir vous voir que je m’en suis endormie. Je lui lançais un regard provocateur. Il n’étais pas au bout de ses surprise avec moi.

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Arden Ellerby-Spudmore
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MessageSujet: Re: BACK TO DETENTION - alec   BACK TO DETENTION - alec EmptyDim 11 Sep - 19:40

Quand il était à l’école, Ian était le pire des connards, surtout avec les filles. Un vrai salopard. Pourquoi ? Parce qu’à l’époque, il n’en avait voulu qu’une, une seule qu’il avait vraiment aimé. Il avait désespérément essayé d’attirer son attention en faisant de mauvaises choses, qui avaient même fini par faire partie de lui. Il connaissait les heures de colle, enfin… pas tant que cela. Ian avait toujours été brillant, futé, et intelligent. Il y avait été quelques fois, obligé de copier des lignes du genre « je ne dois pas être arrogant avec le corps enseignant de poudlard, et avec mes camarades », ou bien à faire le ménage avec le concierge, le bon temps. Le temps où Ian était quelqu’un d’insouciant, c’était à ce moment là qu’il avait choisi sa voie de bandit de grand chemin. Il n’en était pas à son premier casse à gringotts, il avait toujours su passer entre les mailles du filet. Il connaissait les élèves arrogants, en fait, il les comprenait très bien, il avait été à leur place. il comprenait donc l’attitude de Miss Alecto, enfin, en partie. C’était une fille, il n’avait jamais bien compris les filles. L’une de ses amies filles était une sale garce, et l’autre une perle. À vrai dire elles sont plus violettes que roses les pages de mon journal intime,décorées de jolies petites licornes même!. Mais si vous voulez vraiment en savoir plus sur moi vous n’avez pas besoin d’organiser une expédition de kidnapping de journal intime dans mon dortoir, Mademoiselle Lancaster saura vous éclairer davantage que mon joli…Comment avez-vous dit déjà ? Ah oui ! Mon carnet intime sentant le parfum de princesse. C’est avec plaisir que je m’adonnerais au ménage de votre bureau mais je crains que vous n’y preniez gout un peu trop vite. Ian était sarcastique, oui, cynique. Il aimait casser les gens sur des détails. Les journaux intimes, c’est tellement puéril, enfantin, et cela fait petite fifille à sa maman. Ian n’avait jamais eut de journal, ça faisait trop « fille », et lui, il était un dur. Ainsi, Miss Alec avait un journal ? En fait non, il savait pertinemment qu’elle se foutait de lui, et il détestait littéralement l’idée qu’on puisse se foutre de lui. Elle évoqua ensuite Miss Lancaster, un ex de Ian, une relation vouée à l’échec, vu qu’à l’époque, il était amoureux d’une autre, quel gâchis, il avait largué la blonde pour un rêve qui aujourd’hui virait au cauchemar. Il la regarda, et lui jeta un regard neutre, et la laissant continuer son petit exposé. Sachez pour votre information, que je ne suis pas le genre à me jeter dans les bras de n’importe qui à n’importe quel moment. Ma mère m’a toujours dit que c’est en me faisant désirée que j’obtiendrai tout ce que je désire. Vous pouvez donc rayer le câlin entre adolescents de votre petite liste. À vrai dire j’étais tellement impatiente de venir vous voir que je m’en suis endormie. Elle ne se jetait pas dans les bras des hommes ? Brave fille. Les filles faciles le dégoutaient. Vraiment. Et puis, les femmes faciles c’est pour les hommes désespéré, lui il avait toujours aimé le challenge. Il avait courtisé plus de vingt ans une femme qui finalement c’était avéré être une garce, les femmes faciles étaient peut être bien, parfois. En tout cas, Alecto avait du caractère et avait la langue bien trop pendu pour une élève, il était un professeur.

Elle lui jetait un regard provocateur. Ian se laissa tomber dans le fond de sa chaise et poussa un soupire, fixant alors avec insistance la jeune femme. Il avait les yeux bleus, et un regard perçant. Il laissa le silence, il adorait le silence, à azkaban il avait fini par l’apprécié. Il se leva alors, et contourna le bureau et tourna le dos à la sorcière et dit alors : Miss Oglethrope, J’en ai absolument rien à foutre que vous soyez une sainte ni touche, ou une marie-couche-toi-là, ça ne me concerne en rien. Alors, je vous conseillerais de fermer votre petite bouche de gamine insolente tout de suite. Il se retourna vers elle, et s’approcha du bureau, le regardant fixement en s’appuyant sur le bord du bureau, faisant face à elle. Et ajouta alors : Surveiller vos manières, Alecto, et prenez cette plume et ce parchemin avant que je ne décide de vous envoyé avec le concierge nettoyé les toilettes. Il lui jeta un regard et s’en alla s’asseoir de l’autre côté du bureau. Il aimait son bureau c’était son chez lui. Il n’était pas sentimental, il n’avait pas beaucoup de chose personnelles, sauf quelques photo. Il avait viré la photo de Clara la mère de Lana de ses affaires personnelles et l’avait brûlé. Il restait une veille photo de Poudlard, avec Lyse, Katleena, Clara, et des tas d’autres. Des photo de lui plus jeune avec Lana dans les bras, en temps que parrain adoré, une autre avec la fille de Lysse dans les bras. Elle était sur un pant du mur, mais lui reporta son attention sur la sorcière et dit alors : Vous allez copier : « Je ne dois pas répondre avec insolence à un professeur », un certain nombre de fois, je vous dirais quand vous pourrez vous arrêter.


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MessageSujet: Re: BACK TO DETENTION - alec   BACK TO DETENTION - alec EmptyDim 25 Sep - 14:24



ROUND 03


Le silence, souvent, il était inquiétant de le laisser régner trop longtemps. C’est ce qui se passait en ce moment même. Après avoir rétorqué quelques phrases assassines, le silence régnait donc dans le bureau du Professeur Astorg. Le charmant professeur Astorg. Il passait pour un vrai gentleman à mes yeux. Un peu pour l’homme parfait. Cela contrastait avec l’image que j’avais des hommes. Où que l’on aille on marche sur les femmes. Disait une chanson, ma propre expérience de la vie ne pouvait le démentir malheureusement. Je l’avais bien vu avec Ysölde et Ulysse, ce duo était devenu mythique. J’avais toujours eu peu de petits amis comparé à mes amies, j’étais plus prudente, je me faisais désirée. Selon quelques unes, j’étais prude. C’est vrai, j’avais une certaine peur de l’engagement. J’étais une grande romantique, rien qu’à voir mes parents : il s’était rencontré à Poudlard et ne s’étaient plus jamais quittés. Le prince charmant existait donc bien pour moi. C’était une réalité. Je n’avais jamais vu mes parents se disputer, ils restaient pour moi l’exemple du couple parfait. Mais la question n’était pas là. Après m’être un peu trop confiée à mon professeur de défense contre les forces du mal, je commençais à regretter d’être une grosse bavarde. Quelle idée d’avoir mentionné Kataleena devant lui ! Ma cousine, une belle blonde représentant à merveille la ranche russe de notre famille. Ma mère, Elena Ivanov était en effet originaire de Russie. Kataleena Lancaster. Celle qui avait été pour moi une sœur, non, plus que ça, une seconde mère, ma meilleure amie avant Poudlard, ma confidente, mon modèle ! Puis plus rien, le vide cosmique, plus aucune nouvelles. Tout d’abord l’incompréhension de ne plus la voir trainer aux abords de chez moi, de ne plus la retrouver aux soupers mensuels organisés par notre famille. Ensuite la tristesse de ne plus la voir, une immense peine qui s’était rapidement muée en une couleur sourde. Je ne voulais plus jamais être comparée à elle. Trop belle. Trop blonde. Trop douée. Et moi qui étais-je ? Trop brune pour être russe, avec des notes qui n’étaient pas exceptionnelles mais pas exécrables. Je ne l’avais plus revue jusqu’à récemment. Assistante du professeur Astorg en plus ! Pour une fois que j’étais douée en une branche, il fallait qu’elle vienne jeter un froid sur ma passion pour les défenses contre les forces du mal. Miss Oglethrope, J’en ai absolument rien à foutre que vous soyez une sainte ni touche, ou une marie-couche-toi-là, ça ne me concerne en rien. Alors, je vous conseillerais de fermer votre petite bouche de gamine insolente tout de suite. Je restais coite suite à cette violente réplique. J’avais toujours pensé que Ianto Astorg m’appréciait. Enfin nous jouions à un jeu durant les heures de cours et cela m’avait fait croire que nous partagions une certaine complicité. Me voilà bel et bien remise à ma place. Surveiller vos manières, Alecto, et prenez cette plume et ce parchemin avant que je ne décide de vous envoyé avec le concierge nettoyé les toilettes. J’eu une mimique de dégout. Je préférais cent fois rester ici à copier au lieu d’aller tenir compagnie au concierge. Je m’apprêtais à répliquer mais il ne m’en donna pas l’occasion. Vous allez copier : « Je ne dois pas répondre avec insolence à un professeur », un certain nombre de fois, je vous dirais quand vous pourrez vous arrêter. Je commençais donc, rageusement à écrire cette phrase. Je n’en pensais cependant rien du tout.

Mon poignet me faisais de plus en plus souffrir, je sentais ma main droite se crisper tellement ma prise de ma plume était devenue inconfortable. J’étais entrain de détester le professeur Astorg. Je me détestais car je savais pertinemment que dès le lendemain ma grande faculté à pardonner prendrait le relais. AAAAAAAAAAAAARGHHHHHHH. J’hurlais tandis que mon regard vagabondant un peu partout venait de se poser sur une grosse araignée toute poilue. Juste à quelques centimètres de ma jambe, sur ma chaise de bois. Poussée par une montée brusque d’adrénaline, je sautais sur le bureau du professeur Astorg, tout en continuant de hurler telle une hystérique. Ce n’étais décidemment pas mon jour de chance. Tout ce passa très vite, je glissais sur un morceau de parchemin et atterris sur le professeur Astorg. Oui, SUR le professeur Astorg. Depuis toute petite j’avais la phobie des araignées. Et celle là était particulièrement repoussante. Réalisant dans qu’elle posture je m’étais mise, je tentais de me justifier. P-Professeur, il y a un monstre dans votre bureau. Bégayant j’ajoutais, Elle est vraiment énorme cette araignée. Toujours dans la même posture que lors de ma chute, je refusais de bouger. Les araignées m’avais toujours tétanisée.


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MessageSujet: Re: BACK TO DETENTION - alec   BACK TO DETENTION - alec EmptySam 15 Oct - 21:21

Mr. Astorg était un professeur assez… étrange. En cours, il montait sur ses grands cheveux, prenait les élèves de haut et leur parlant tantôt comme s’il était leur pote. Il n’était pas professeur par choix, et être professeur était une des rares choses bien qu’il faisait depuis longtemps. Après deux ans passé à Azkaban, certains parents d’élèves n’étaient pas d’accord, mais il fallait bien avouer que Astorg était vraiment un auror doué, et quelqu’un de très brillant. D’ailleurs, le fait qu’il soit brillant avait tellement énervé ses professeurs à l’époque, l’élève le plus arrogant de l’école, mais aussi le plus futé, était le plus brillant avec des notes qui auraient plus très fortement à Rowena Serdaigle. Il n’aimait pas l’école, mais bon, être professeur c’était nouveau, étrange, et… voilà quoi. C’était avec fierté qu’il donnait des heures de colles, d’un côté c’était sa façon à lui de prevenir les élèves de ce qui pouvait leur arriver. Certains se plaignaient des heures de colles avec lui, mais quand il était élève il avait passé de très très mauvaise heures de colle, et après Azkaban, il ne voulait pas que des élèves tourne mal, il avait une conscience et au fond était quelqu’un de responsable, que Clara en prenne de la graine, cette garce, pensa-t-il alors.

Il était plutôt dur avec Alecto, elle était une élève qu’il appréciait tout le temps, parce que la jeune femme avait l’air d’avoir un sacré bout de caractère. Les gens de caractère avaient toujours plus à Ian, pourtant sa propre fille n’avait pas un caractère transcendant, en tout cas elle n’avait pas l’air d’avoir hérité du caractère de Ian, mais avait un bout du caractère de son « moldu de père ». il ne pouvait pas se permettre d’être sympa avec Alec, parce qu’elle venait quand même de mal lui parler, et il voulait être crédible en professeur, et pour lui cela relevait de l’exploit. Il la fit alors écrire, écrire, et encore écrire. Ian, quant à lui n’écrivait pas. Il était plongé dans un livre sur la magie, forcément, il était professeur, il n’allait pas se ramener en colle avec un magasine de charme, quoi que… au moins, le temps passerait plus vite, s’instruire était… chiant parfois. Il fut tiré de ses pensé par un… AAAAAAAAAAAAARGHHHHHHH Il leva les yeux et commença par un : Bordel, qu'est ce... Il n’eut pas le temps de finir sa phrase, Miss Alec hurlait toujours, comme si sa vie en dépendait. Elle bougea rapidement, et d’un coup elle monta sur le bureau, poussé par une étrange vague d’adrénaline vraisemblablement due à la peur. Elle ne s’arrêta pas au bureau, en effet… au bout d’une seconde, voir deux, la jeune femme glissa sur un parchemin, et se retrouva dans les bras de Ian, sur Ian. Il resta, interdit, surpris, et figé, quand elle dit tentant apparemment de se justifier : P-Professeur, il y a un monstre dans votre bureau. Elle beguéya et Ian savait discerner le mensonge et le cinéma, de la vraie peur, et de la vérité. Elle ajouta alors : Elle est vraiment énorme cette araignée. Tout ça pour une araignée ? Vraiment ? il pouvait comprendre, tout le monde avait des peurs, et souvent les peurs étaient irrationnelle. Mais, en temps que professeur il se devait de rassurer la jeune femme… et quelle jeune femme, elle était sur lui, légère comme une plume, et… il ne l’avait jamais vu de si près, et ce n’était pas désagréable. Il eut envie de se frapper à cette pensée, il n'avait pas le droit de trouver sexy une élève âgé d'à peine un an de plus que sa fille...

Le sorcier posa ses mains sur les bras de la sorcière, d’un geste apaisant, et dit alors d’une voix calme, et posée : Calme toi Alecto, respire, ça va aller. Il l’avait appelé par son prénom, c’est bien plus rassurant que de se faire appeler « Miss machin chose », il lui adressa un regard rassurant. Il ne pouvait pas faire grand-chose tant qu’elle était sur lui. Il lâcha doucement ses bras, et attrapa la sorcière par la taille pour la forcer à poser ses deux pieds par terre. Heureusement que Ian n’avait pas peur des araignées. Une fois la sorcière au sol, il se leva à son tour, la posture avait été… étrange, incongrue, mais très agréable. Il l’avait pris par la taille aussi… enfin bref, il eut la cruelle envie de se gifler à cette pensée ! D’un geste assuré, il passa de l’autre côté du bureau tombant nez à nez avec une araignée, pas si grosse que cela… finalement. Tout ça pour ça. Il comprenait les peurs des gens, mais avoir peur d’une araignée pourrait être réellement handicapant pour la jeune femme. Le sorcier s’approcha d’un pas assuré vers l’araigné, et l’écrasa rapidement sans faire de cinéma. Il était un auror, il avait appris à ne pas avoir peur. Il se retourna vers la jeune femme, visiblement encore tétanisée. Il s’approcha d’elle, et la regarda posant sa main sur son épaule, demandant sérieusement : Ca va mieux ? Elle est morte, elle ne viendra pas te manger.


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