ϟ Parle moi de ton caractère tel que tu le vois toi, parles sans détours, et je t’écouterais mon enfant,
J’ai toujours été de nature curieuse, aventureuse ... oui je grimpais comme une folle sur les bananiers d’Hawaï, oui je faisais du surf comme une tarée sur des vagues de malades ... oui j’étais complètement dingue et je crois que je le suis toujours. On me croit garce, prétentieuse et froide. Sauf que non. Garce moi ? C’est quoi cette blague ! Prétentieuse ? Je doute toujours de réussir mes années, même après avoir passé mes diplômes sans repiquer d’années. Froide ? Ah ? Je ne savais pas. Mais bon, ce sont souvent les premières impressions et ça me fait pas mal rire. Oui, je suis quelqu’un qui aime rire et qui vit très bien sa nature de vélane. Ça ne me dérange pas le moins du monde. En fait, ça m’est même égal. Enfin, parfois c’est assez déroutant quand on veut inviter un garçon à un bal, parce qu’après on se retrouve avec 107 types qui vous promettent monts et merveilles alors que ... je veux juste : danser et m’amuser. Du coup, je suis un peu comme ma mère, je me méfie des mecs. Bah quoi ? Certains n’ont pas la tête froide ... mais bon, ce n’est pas de leur faute.

ϟ Bien, que penses-tu de la création de la maison Grindlemonk, et quelle importance accordes tu à la nature du sang de tes camarades,
« Grindelmonck » ... je trouve cette maison complètement incensée. Je ne comprends pas comment qu'on a fait pour l'inventer. C'est complètement crétin. Concernant la nature du sang de Pierre Paul Jack. Sérieusement, je m’en fiche complètement. J’ai des amis sangs mêlé, des amis sangs purs, d’autres nés moldus. Pour moi, il n’y a pas de différences. J’ai toujours dit que le plus important c’était ce qu’il y avait dans la tête et non dans le sang. Après, j’accorde totalement que certaines personnes ont oublié d’aller chercher leur cerveau ou qu’ils ont oublié de l’activer ou même l’actualiser. Parce qu’entre des trucs totalement insensés ça me sidèrent. Les insultes du genre « Sang de Bourbe » me révoltent au plus au point et je suis capable de perdre mon sang froid ... oui je ne supporte pas qu’on manque de respect à mes amis ou à moi-même

ϟ Le futur a toujours intéressé les sorciers, ceux-ci essayent même de lire l’avenir. Mais, toi, qu’espère tu de l’avenir, quels sont tes buts, tes espérances, mais également tes peurs et tes craintes ? Je veux tout savoir,
Et bien je suis déterminée à étudier dans la protection magique en option magie noire. Je veux être auror comme mon père et je veux connaître toutes les contours de la magie, qu'elle soit blanche, rouge verte ou noire. Je veux tout connaître, tout savoir.

ϟ Un de tes camarades se fait rouer de coups dans un couloir, et se fait menacer d’une baguette. Vous ne connaissez cette personne que de vu, ou simplement parce que vous êtes en cours avec elle. Que faites-vous ?
Je la défend ! Bien entendu ! Je ne vais pas être là à siffloter et à faire comme si je n’avais rien vu. Non, non et non. Je prends ma baguette je fais un bon petit sorti et s’il faut que je me batte avec les mains, les pieds, ma tête ou mon apparence d’harpie je le fais ! On s’attaque pas à plus faible que soi

ϟ Cancre, élève moyen, élève fainéant, élève doué ? Il est temps pour toi de me dire ce que les professeurs meurent envie de savoir :es-tu un bon élève, ou le fauteur de trouble de la classe ?
Niveau scolaire, on va dire que je m’en sors. J’arrive à avoir de bonnes notes. Sauf en cours de potions ... je ne sais pas, le prof ne peut, peut être pas me voir en peinture ou alors je suis totalement pourrie. Enfin, j’essaye de faire de mon mieux hein, j’essaie d’être au moins moyenne. Mais bon, on peut pas être bon partout n’est-ce-pas ?

ϟ Si c'était à vous de choisi votre maison, quelle serait-elle ? Et surtout, pourquoi penseriez vous êtes digne d'être membre de cette maison ? J'aime avoir les avis de tout le monde.
La première fois que j'étais sous le chapeau, je lui ai demandé de m'envoyer à Gryffondor. Je ne me voyais pas dans une autre maison. Je me sentais déjà bien à Gryffondor. C'était peut être une demande étrange, mais j'avais l'intuition que je ferais de belles choses dans cette maison.

ϟ Vous vous souvenez le jour où vous êtes allé chercher votre baguette sur le chemin de travers ? C’est Ollivander qui vous l’as vendue, mais savez vous seulement ce qu’elle contient, et de quoi est-elle composée ?
Aaah .... Olivander. Dès qu'il m'a vu, il a enfourché son escabeau pour arpenter ses rayons de baguettes avant de réapparaître après quelques secondes avec une baguette qui était faite pour moi : son bois est en tilleul argenté avec comme coeur un ventricule de coeur de dragon.

Le vent était doux. Le soleil se couchait lentement, mais sa chaleur était toujours aussi palpable, protecteur et doux. Une femme était assise sur un divan devant sa porte, elle regardait le couché du soleil. Ses long cheveux ébène étaient tressaient et portaient une fleur mise par une petite fille, cousine de la jeune femme. Son ventre était rond et était caressé tendrement par ses mains rêveuses. Et puis, une fleur de vanille fut portée par une brise et se posa sur son ventre, un sourire se fit.

« Izaac ! Je crois qu’il faudrait qu’on y aille
- Hein ? Quoi déjà ? Mais ... mais t’es qu’au 8e mois ...
- Oui je sais, mais si je te dis qu’il faut y aller, on y va. Aide moi à me lever »

Le dénommait Isaac était un grand homme et complètement dingue de sa femme et de sa petite fille, il était un auror écossais travaillant à Londres. Mais il était surtout explosif comme personnage, dans tous les sens du terme. Surtout quand il saute partout pour hurler que sa femme était enceinte et qu’il allait bientôt accoucher d’un ange. On le voyait courir et sauter de partout comme un malade. Parfois on se demandait comment il avait fait pour devenir auror tellement qu’il agissait comme un grand malade. Cependant, lorsqu’il devait être sérieux, il l’était. Isaac et sa femme Malana partirent pour l’hôpital afin que la petite Vanille vienne au monde. Et elle arriva. Un 25 décembre, veille de Noël. Bien entendu là om ils étaient, il faisait beau. Normal, ils vivaient à Hawaï. Magnifique cadeau n’est-ce-pas ? On peut le dire. Isaac était le plus heureux des hommes. Déjà qu’il a été complètement dingue de sa femme dès le premier instant, mais dans un sens, c’est un peu normal à cause de sa nature vélane. Cependant, il a apprit à la connaître et lui à prouver à maintes reprises que son amour pour elle était des plus sincères. Et puis, ils se sont mariés, un jour d’été à Hawaï sous un soleil éclatant.

Vanille a grandit au sein de sa petite ... non grande famille. Parce qu’elle avait pas mal de cousins du côté de sa mère. La fillette était très heureuse et parfois, elle ne comprenait pas pourquoi des enfants la collaient et que des petits garçons se battaient pour elle. Sa mère lui expliqua alors sa réelle nature. Vanille n’y comprenait rien et trouvait que ces garçons étaient collant, du coup, elle préférait rester avec ses copines ou dans les bras de sa mère. Elle se souvient qu’elle voyait son père que peu de fois en raison du travail de ce dernier. Mais tout ce qu’elle savait, c’était que son père était fou d’elle et de sa mère. Dès qu’il rentrait, elle était sûre et certaine d’avoir un cadeau. Elle aimait voir les yeux brillants de joie de son père. Il adorait tellement sa petite fille qu’il en profitait pour lui lire des histoires. La fillette faisait souvent exprès de ne pas s’endormir pour qu’il reste encore avec elle. Isaac aimait sa fille tendrement et passait le plus de temps possible avec elle. Vanille n’oubliera cependant pas ce soir ...

« Izaac ... reviens moi ...
- Je ferais mon possible. Mais ma mission n’est pas des plus simple.
- Tu pouvais pas prétendre ne pas pouvoir y aller à cette fichue mission ? Et s’il t’arrivait malheur ? Tu as pensé à Vanille ? Et à moi ?
- Malana. Je reviendrais. Pour toi. Pour Vanille. Pour nous. Je vous aime toutes les deux. »

Vanille avait tout entendu. Cachée dans les escaliers, elle avait vu son père disparaître en se transplanant. Comme si elle avait ressenti la mort de son époux, Malana n’était pas tranquille. Les jours passaient lentement. Elle n’était plus cette jeune femme drôle, tranquille et joyeuse. Elle était tout l’opposé. Vanille observait le stress de sa mère avec angoisse et puis un jour ... « toc, toc, toc ». Malana ouvrit la porte et vit un grand homme face à elle. Il avait le visage grave. Elle l’invita à rentrer. Vanille était là. Malana avait comprit.

« Non ... Non ... c’est pas possible ... il peut pas être .... mort
- Mrs McGarden. Je suis désolé. Un Mangemort ...
- Il ne PEUT PAS mourir !!! VOUS M’ENTENDEZ !!!!! IL N’A PAS LE DROIT !!!
- Mrs McGarden, je vous en pris, calmez vous .... »

La jeune mère était tellement triste et tellement en colère que tout son corps se transforma en même temps qu’elle hurla sa haine et sa rage. Vanille pensait même qu’elle voyait la forme « harpie » de sa mère pour la première fois. La fillette fut effrayée, recula, perdit l’équilibre et tomba à la renverse avant de se relever et de s’enfuir loin de cette maison. Courant sur la plage, elle ne savait pas où aller. Elle savait juste que son père ne reviendra plus jamais. Qu’elle ne sentira plus jamais son parfum, ne verra plus jamais son sourire et ne l’entendra plus jamais l’appeler : « ma petite princesse ». Vanille pleurait en courant et finir par trébucher sur quelque chose et s’étala de tout son long. Se recroquevillant sur elle-même, elle pleurait et hurlait sa peine. Sa mère était devenue une créature monstrueuse. Etait-ce donc ça être une vélane ? Etait-ce donc ça le travaille de son père ? Vanille ne comprenait rien, elle si jeune, si triste, elle voulait son père. Hurlant papa à tout bout de champ, elle voulait qu’on le lui ramène. Elle hurlait jusqu’à en avoir mal à la tête, se mettant à genoux, elle avait mal à la tête et se la tenait. S’agitant de haut en bas, elle continuait de pleurer. Et puis ... elle sentit des mains. Des bras. Et quelqu’un la serrant contre elle. Elle reconnue sa mère qui s’était calmée. Sa mère la serra contre elle.

Isaac William Arthur Lysander McGarden ne reviendra plus jamais dans cette petite maison des îles où l’attendaient sa femme et sa fille.

Un an plus tard, un courrier entra par la cheminée et s’envola sur la table du petit déjeuner. Malana et Vanille ne faisaient que survivre à la mort d’Isaac. A la maison, les membres de la famille passaient tous les jours voir si tout allait bien pour elles. Vanille s’était levée en première et regarda la lettre. Sa mère était venue derrière elle.

« Maman ...
- Tu dois y aller ma chérie
- Oui mais … et toi ?
- Ne t’inquiète pas pour moi. Vas y. En mémoire de ton père »

Malana regardait sa fille, les larmes remplies de bonheur. Sa fille allait partir pour Poudlard, dans la même école où son père avait été. De plus, elle lui avait raconté qu’elle et lui s’étaient rencontrés à Pré-Au-Lard alors que Malana était en voyage d’étude avec son école. Depuis, ils avaient gardé contact. Malana se méfiait de lui, car elle pensait qu’il ne l’aimait qu’à cause de sa nature, mais en réalité, elle comprit plus tard qu’Isaac l’aimait pour ce qu’elle avait dans sa tête et que sa nature de vélane. Malana encouragea vivement sa fille à partir chez ses oncles écossais. Prenant ainsi la poudre de cheminée, la petite Vanille partie à l’aventure ... pour son père. Atterrissant chez une tante, elle partie direction Chemin de Traverse où elle s’acheta, avec l’argent que lui avait donné sa mère, tout ce qu’il lui fallait pour l’école. Ayant déjà un hibou, sa tante lui avait offert un chat à poil blanc et comme c’était une femelle, Vanille l’avait appelé « Mia ». La fillette était heureuse. Elle souriait de bonheur, ce qui réchauffa le cœur de sa famille écossaise qui avait peur que Vanille ne sourit plus après la mort de son père. Vanille revit sa mère plusieurs fois avant son départ. Malana embrassait sa fille en lui demandant de faire attention et puis ... elle la laissa finalement partir dans le train de la voie 9¾.

De sa première année à sa dernière année, Vanille l’a passé dans une maison qui la toujours rendue très heureuse. Elle s'entendait avec tous les membres. Connue pour sa beauté et sa nature de vélane, Vanille ne s’en était jamais vantée, bien au contraire. Elle regardait souvent les mecs de façon bizarre du genre : « Mais il me veulent quoi eux là avec leur tête d’ahuris ? ». Elle préférait être avec ses amis qui connaissaient sa réelle valeur qu’être avec des mecs qui lui faisaient croire monts et merveilles. Elle comprit alors que sa nature allait être une grande difficulté pour trouver l’amour, alors, elle décida de se concentrer sur ses études, d’encourager ses compagnons de Quidditch, elle s’était même essayé à être dans le poste de gardienne. Elle y est restée jusqu’à la fin de son cursus scolaire. Vanille était heureuse à Poudlard et a pu s’épanouir comme sa mère a toujours voulu qu’elle le fasse. Les premières années fut dures et les souvenirs douloureux de son père la hantèrent. Mais elle finit par accepter le décès de son père. Elle appréciait revenir à Hawaï auprès de sa mère et de sa famille pour leur raconter ce qu’elle vivait et ce qu’elle apprenait. Et puis, plus elle montait dans les années, plus elle apprenait comme une folle et d’arrache pied. Elle était très à cheval sur les études et apprenaient comme une dingue. Nullement prétentieuse et vaniteuse, elle était tout le contraire. Elle aimait aider ceux qui avaient besoin d’aide et elle était quelqu’un de très explosive. On retrouvait un peu de son père en elle. Toujours souriante, toujours en train de rire et complètement dingue. Oui, cette fille était une dingue. Elle n’avait pas froid aux yeux et encaissait les coups, de toutes sortes, sans broncher. Vanille a toujours été une dure à cuir. C’est d’ailleurs pour ça qu’elle voulait être comme son père : devenir une auror. Comme lui. Sa mère eu beaucoup de mal à accepter le choix de sa fille puisqu’elle la voyait plutôt gérante d’une boutique hawaïenne au sein de Londres dans le Chemin de Traverse ou à Pré-au-Lard ou une boutique de souvenir magique à Hawaï même. Mais Vanille était une jeune femme et elle voulait défendre des causes. Comprenant désormais la mort de son père, elle souhaite juste ne pas refaire les mêmes erreurs que lui et apprendre de son décès. Ayant eu son diplôme de fin d’année, elle s’engagea dans un cursus universitaire très précis. Là, voila engagée en cursus sécurité magique et option magie noire. Malana avait été très pâle lorsqu’elle avait vu le choix de sa fille

« Par la barbe de Merlin ma fille !!
- Quoi maman ?
- Tu pouvais pas choisir autre chose que ’magie noir’ ?
- Maman, je te l’ai déjà expliqué. Je veux être Auror et pour ça, il faut que je connaisse un maximum de chose. Les runes, j’en ai déjà eu au cours de mon cursus en option et puis j’y arrive. La ’magie noire’ non. Et puis c’est pas comme si j’allais en faire contre quelqu’un. Arrête de t’inquiéter, je sais ce que je fais

Malana faisait alors confiance en sa fille et la laissa partir une nouvelle fois pour Poudlard pour des années universitaires encore plus difficiles. Mais Vanille savait ce qu’elle faisait. Elle y croyait dure comme fer et était convaincue qu’elle pourrait être comme son père. Elle voulait défendre des causes comme lui et tout faire pour sauver des vies et qui sait ? Sauver des moldus. Et oui, étant de sang mêlé, la jeune femme était aussi insultée par les Serpendard lorsqu’elle était plus jeune. Sauf qu’elle s’en fichait. Avec un caractère bien trempé, elle a toujours su montrer ses convictions. Elle était amie avec des sangs mêlés comme avec des né moldus et ça ne l’a dérangeait pas le moins du monde, au contraire. En attendant, la voila pour une nouvelle année et bien déterminée à devenir ce qu’elle veut être ...

ϟ PSEUDO/PRENOM, Hihi ... appelez moi Justine
ϟ AVATAR CHOISI, Vanessa Hudgens
ϟ UN COMMENTAIRE, Si je vous Lysanna Heatherfield ? Je veux ma Lana moi =D
ϟ PRESENCE, quand je le peux
ϟ PARRAINAGE,Souhaites-tu un parrain pour t'aider à t'intégrer ? Oui [...] / Non []
ϟ LE MOT MAGIQUE, indiquez les mentions nécessaires