INTRIGUE ► Le Bal du Ministère

« Très bonne idée. J’aime »

« J’ai hâte de pouvoir danser, pas toi ? »

Edmund regarda Beatrice sans pouvoir articuler un moindre mot. Les paroles qu'elle avait prononcé à son intention l'avaient glacé sur place. Il ne savait pas ce qu'il devait répondre, ni comment il devait réagir. Cela plusieurs années qu'il connaissait Beatrice et qu'il nourrissait pour elle bien plus de sentiments qu'il ne pouvait se l'avouer. Elle venait de lui hurler au visage des reproches, des des douleurs, alors que lui n'essayait que de passer un bon moment avec elle depuis le début de la soirée. Edmund restait là devant Beatrice qui semblait à bout de nerfs, terriblement blessée. « Si vous voudriez bien Mesdames et Messieurs pénétrer la salle à notre droite, le repas sera servi est les discours de nos candidats se feront entendre » intervint la voix d'un sorcier. Un sortilège invisible d'enervatum s'abattit sur Edmund et Beatrice qui se dirigèrent sans échanger un mot vers les tables dressées pour les invités. Edmund qui se souriait toujours pas tira la chaise de Beatrice pour que celle-ci s'assit à ses côtés, puis il se posa à son tour sur une chaise. Devant eux, les assiettes étaient déjà rempli, mais Edmund n'osait pas toucher à ce qu'il voyait. Vu la remarque que son amie lui avait faite, il n'osait même pas poser la main sur les couverts en argent. Le repas passa et Edmund ne cessa de repenser à ce que Beatrice lui avait dit. Elle avait raison et en même temps tort. Il sa demandait juste pourquoi elle avait avoué tout cela maintenant. « Voyez-vous les Sweetlove ? » demanda-t-elle soudain en se penchant vers lui. Edmund releva la tête. « Je m’excuse de mon comportement toute à l’heure. Je ne sais pas ce qui m’ a pris. Je vous demande pardon… Je suis contente que vous m’ayez demandé de vous accompagner. Je ne serais pas venue si n’importe qui d’autre que vous me l’aurait demandé » en se penchant un peu plus vers lui. Le cœurde Edmund avait pris une toute autre allure depuis que l'espace entre son infirmière préférée et lui s'était restreint. Le sorcier qui avait ses yeux fixés sur Beatrice n'arrivait toujours pas à prononcer un mot. Pourtant fallait qu'il le fasse, ce n'était pas à Beatrice de s'excuser. Edmund baissa quelques instants les yeux, gêné, puis les releva en souriant légèrement. « Non, c'est moi qui vous demande pardon » dit-il en regardant Beatrice avec sincérité. Il élargie son sourire puis sans vraiment se rendre compte de que qu'il était en train de faire, il se rapprocha du visage de Beatrice pour déposer ses lèvres sur les siennes. Le contact ne dura qu'un bref instant, cela revenait presque de l'effleurement, mais cela voulait tout dire...

first Log-in : 29/06/2010 parchemins : 8416

« Des amis? Mais où sont-ils? Je ne les vois pas. » Il était un vrai connard celui là un vrai con ! le vrai con de chez con ! Il cherchait à mettre Ysölde hors de lui, et le pire dans tout ça c’était qu’il allait finir par réussir à mettre la jeune femme vraiment hors d’elle. Mettre la jolie blonde en colère était la dernière chose à faire, surtout en ce moment. Elle laissa seulement échapper entre ses lèvres : « Connard. », elle n’y allait pas par quatre chemins. Il ajouta alors, prenant un air supérieur qui mine de rien lui donnait d’avantage l’air d’un crétin attardé qu’autre chose : « Elles disent toutes ça, mais elles ne le pense pas moins. Et puis, je ne peu pas plaire à tout le monde, pas vrai? » Alors là, c’était le pompon. « Elles n’en pensent pas moins ». Crétin. Il fallait vraiment qu’il arrête de se prendre pour le roi du monde, juste parce qu’il débarquait de Dumstrang, et que sa mère était en lisse pour l’élection, vantard. Elle rétorqua alors : « Toutes ? je ne suis pas tout le monde Evan, souviens-toi en. » dit-elle en affichant un sourire étrange, et avec une voix presque narquoise, mais en même temps, chaleureuse, et froide, étrange cocktail. Celui-ci ajouta alors : « En effet, pour le bonheur de certain et le mal pour d'autre. » Elle le regarda, relevant simplement en lançant sur un ton sarcastique : « Juste une question de point de vue. » elle le fixa une seconde puis porta la coupe de champagne à ses lèvres et en bu une gorgée qui fini cette coupe en douceur. Un homme arriva alors pour dire d’aller se joindre au repas. Les discours : Ysölde détestait la politique. « Tu veux te joindre à moi ou bien, on se revoit plus tard si l'envie te vient? » Se joindre à lui ? Hum, elle n’en savait rien, elle n’avait grand-chose d’autre à faire. Elle le regarda et dit toujours de façon sarcastique : « D’accord, je me joins à toi, je n’ai pas eut de meilleure proposition. » elle avait eut la proposition de sa sœur et de son cousin plus tôt dans la soirée, elle lui adressa un sourire, et entra avec lui dans la salle. Des yeux, elle vit son père de dos, et discrètement se fondit dans la masse, prête à écouter le discourt. Elle écouta, mais elle n’était pas fan, du tout. Quand la mère d’Evan fini son discours celui-ci applaudi, étrangement, Ysölde fit de même, elle n’y connaissait rien en politique, mais c’était mieux. Elle dit alors à l’attention d’Evan : « Ta mère en politique, ça lui va bien, j’ai toujours su que c’était elle qui dirigeait votre famille. », ou comment dire « se faire diriger par une femme, admirable pour elle, détestable pour toi.

first Log-in : 08/08/2010 parchemins : 712

Reaver était un connard quand il le voulait, en fait, il était tout le temps un connard, mais le pire c’était qu’il aimait cela, il aimait se sentir supérieur, il aimait se sentir différent des autres, il aimait agir de la sorte, il le vivait très bien. Il était odieux parfois, tellement odieux. La personne avec qui il était le plus odieux était la jolie Oglechose, elle en voyait de belle avec lui, mais c’étai réciproque, elle lui avait violemment écrasé le pied une fois. Il était entré dans une autre victimes de son attitude odieuse, celle-ci répondit alors : « Salut Reaver, Ne t’inquiète pas les rencontre en se genre se soir sont populaire. » Populaire ? Qui donc avait donc bousculé la jeune femme ? Il était plutôt intelligent pour quelqu’un de blond, ce genre de rencontre incluait bien sûr – à la vue de l’expression et de son timbre de voix – que quelqu’un l’avait déjà bousculé ce soir, et qu’il n’était pas le premier. Mine alors, il aurait voulu être le premier à faire cela, sa rencontre manquait donc cruellement d’originalité. « Merci Reav. Et de ton coté tu es plutôt bien quand tu prend la peine de t’arranger un peu. » Il s’arrangeait ? Elle avait totalement raison, raison. Hors des soirées mondaines, il portait un jeans parfois délavé, tantôt déchiré, et des t-shirt, et des chemises hors du pantalon. Oui, il était comme ça tous les jours de l’année sauf ce soir, il dit alors : « Je dois prendre cela pour un compliment, merci ! » de l’ironie dans sa phrase, comme souvent. Il la regarda alors, elle était jolie, elle avait fait un effort elle aussi, mais c’était moins flagrant, les femmes avaient tendance à prendre plus soin de leur apparence de tous les jours. D’un certain côté, Reaver prenait soin de son image, de connard et de type arrogant, c’était comme ça. La jeune femme ajouta alors : « Tu me sauve de mes grands-parents dit? » Dans ce genre de soirée les familles avaient tendance à être un peu lourde. A Poudlard on évitait sa famille, hors de l’école elle devenait omniprésente. Les parents de Reaver étaient des employés du ministère, mais sans camp. Il regarda alors Declan et dit avec ironie : « Sauver les jeunes femmes en détresse, c’est ma seconde nature ! » ironie, quand tu nous tiens. Il tendit le bras à la jeune femme avant de l’entrainer une fois qu’elle eut daigné ou pas prendre son bras, dans la salle du repas.

Avoir sur dans son esprit qu’il allait se faire prendre au piège Samson aurait refuser de se présenter à cette soirée. Malheureusement les femmes dans sa vie semblaient bien décider à faire de sa vie un enfer. A commencer par sa mère qui avait décidé qu’il n’était pas question que son respectable de fils se rende seul à cette soirée. Puis la décision qui avait été prise qu’il devait s’y rendre avec Dafne. Fille qu’il adorait certes mais franchement cette fille quand elle était décider elle était carrément décider quoi. Elle l’avait rapidement trainer vers se qui allait rapidement devenir son pire cauchemar se soir. Il avait tenter de se tenir à l’écart, assez éloigner malheureusement se n’était pas se que la blonde avait en tête. Il avait cru qu’il était sauver quand l’annonce du repas et des discours allait commencer. Mais non Dafne avait une autre idée en tête. Il était clair qu’elle ne se sentait absolument pas concerner par les discours politique et qu’elle n’était ici que pour faire bonne figure. Se qui dans le font était aussi la raison du sorcier. Sauf qu’il aurait aimer qu’elle prétende un peu mieux l’intérêt quoi. Mais non elle l’avait clairement trainer jusqu'à la table occuper par Daegan et Thierry. La fille qui devrait le détester et l’homme qui avait jurer de le tuer si il s’approchait de la jeune pouffsouffle. Malheureusement il n’avait pas pu s’y opposer parce que Dafne en avait décidé ainsi et qu’avant même qu’il est eu le temps de faire quoique se soit elle parlait. « Et si on parlais de l’éléphant dans la pièce… vous allez vous rabibocher les mecs ou vous allez laissez nous pauvre petite femmes toute seule dans cette atmosphère frigide qu’il y a entre vous deux. » Elle était réellement infernale comme fille quand elle s’y mettait. « Et si on écoutait les discours Daf… je sais que tu n’as aucun intérêt politique mais peut-être que certain d’entre nous en on…» il avait attraper le verre sur la table et avait tourner la tête vers les discours ou la Femme qui se présentait parlait de transparence gouvernementale se qui pouvait en dire beaucoup et tellement peu à la fois. Elle s’attendait de l’implanter comment cette transparence gouvernementale. On pouvait conclure la même chose sur la partie de la Démocratie. C’était bien facile à en parler mais difficile à implanter. N’implantait pas la démocratie qui le voulait quoi. A la fin du discours le sorcier n’avait qu’une seul opinion, les idées était super belle mais cette femme était une Utopiste avec une idée bien construite mais aucune idée comment elle désirait l’implanter. Et si au contraire elle savait comment l’implanter alors déjà on pouvait oublier la transparence parce qui veux être transparent aurait tenu un discours beaucoup plus explicatif et beaucoup moins flou. Voilà quel était l’opinion du serdaigle, qui avait réussit pendant l’espace d’un discours à oublier il était en présence de qui. Il avait retourné la tête vers les gens assis à la même table pour enfin affronter le regard de la blonde. « Quoi… déjà tu m’obliges à m’asseoir à la même table que lui, ce n’est pas à moi à faire tout les efforts. Mais sur une toute au ligne vous avez penser quoi de son discours à Snape? » Voilà on avait droit à une parcelle du vieux Sorenson toujours une réplique dans la gueule et une ironie cinglante. Qui allait surement lui mériter plus qu’un poing dans la gueule un de ces jours.

Declan avait beaucoup de surnom pour le serpentard ces dernier temps. Mais le plus populaire en se moment était le petit con blond et prétentieux. Sauf qu’aujourd’hui il avait presque laisser sa façade de petit con blond prétentieux. Se qui était une bonne chose parce que Declan avait beau être très bien élever il ne lui était pas impossible de faire une scène si on la cherchait trop. Mais bien évidemment il fallait compter sur le serpentard pour revenir à la charge avec une de ces pics qui énervait au plus haut point. Il avait besoin d’être remis à ça place et sincèrement ça titillait la petite pouffsouffle de le faire. Et voilà que le Reaver qu’elle connaissait si mal revenait à la charge. Elle avait grimacé mais elle n’avait pas eu peur de lui répliquer. Après tout il n’était pas le seul à maitriser l’ironie. « Probablement parce que c’est surement le seul que tu vas recevoir de ma part. » Et elle avait eu un de ces énormes sourires presque innocents et angéliques. Après tout elle était aussi la reine des apparences. Il la prenait pour une mamie alors il fallait croire que l’apparence était forte parce qu’elle était définitivement pas un petit ange. Mais elle lui avait demandé de la sauver de ces grands-parents et leur débile d’amis et encore une fois il devait être sarcastique. C’était moi ou la patience de la sorcière envers le sorcier devenait de plus en plus mince. Elle avait attraper le bras du sorcier avec une sourire un petit peu forcer. « Je suppose qu’être comparé à une jeune femme en détresse est presque un compliment venant de toi. » et elle était sincère le temps ou il lui faisait des compliment était définitivement révolu si jamais il y avait eu un temps pour ça. « Alors tu vient ou tu attend que t’as mère te donne l’autorisation. » Elle n’était pas super presser pour les discours mais au moins sa promettait d’être intéressant. Sa grand-mère lui avait expliqué que la candidate Snape était un membre du cercle elle aussi, se qu’elle savait déjà, et que les idées véhiculées par cette dernière étaient les idées du cercle. Okey c’est bien beau sauf que malheureusement au contraire des autres membres du cercle ou de la plupart d’entre eux Declan était une inculte à se niveau la. Elle avait lu les lettres dans la gazette et n’avait rien compris. Sauf que Reaver lui comprenait, une idée commençait à germer dans la tête de la sorcière. « Okey si je te dis un truc tu promet de m’aider? Tu sais les lettres dans la gazette, et bien mes grands-parents crois que la lettre à été écrite par Nerissa Snape, mais j’y est rien compris au discours dans la lettre et j’ai peur de ne rien comprendre au discours non plus, tu voudrais pas me donner des cours rapides sur la politique. Et s’il te plait ne soit pas aussi ennuyant que les profs à l’école… genre j’ai juste besoin d’assez d’information pour pouvoir faire la discution à mes grands-parents quand ils vont finir par me trouver… à moins que t’on coté preux chevalier, qui on sait est complètement absent, ne décide de me sauver une autre fois. »

Je regardais la robe ébène d’un air absent. C’était une pure merveille, qui devait valoir certainement une petite fortune. Devais-je la mettre…Ou pas ? C’était qu’à vrai dire, je ne l’avais pas achetée. Je l’avais trouvée, emballée dans un carton devant le pas de la maison familiale. J’avais d’abord cru à une erreur, sauf que le carton qui mentionnait mon nom ne laissait aucuns doutes. Je n’avais pourtant pas l’intention de me rendre à ce fameux bal. Les bals étaient une chose que je détestais profondément, surtout depuis l’incident qui s’état produit il y a un an. Cependant la robe et les harcèlements continus de ma robe avaient fini par me aire fléchir. Oh et puis zut, rien ne coutais de l’essayer. Je me glissais dans ce vêtement qui m’allait comme un gant. Contrairement aux dires de certaines élèves, la robe n’était pas du tout inconfortable. C’était plutôt un sentiment de liberté qui s’était emparé de moi. Je filai prendre une douche, à la suite de quoi je me coiffais et me maquillais légèrement. Je chaussais des escarpins noirs –les seuls que je possédais- et partais admirer le résultat. Le fait était que je ne me reconnaissais pas. Devant la glace se tenais une étrangère, parfumée et maquillée, ayant une prestance que jamais je n’aurais pu avoir. Sauf que c’était moi.

Mes parents n’étant pas présents, je me rendais seule au bal. Je tendais mon carton d’invitation, la tête complètement ailleurs. Visiblement j’étais en retard, la salle était bondée. Certains avaient même commencé à danser. J’apercevais quelques connaissances telles qu’Ysölde et ce mystérieux Evander Snape, Reed et Georgie,… Ce qui ne manqua pas de me rappeler ce souvenir douloureux. Je fermais les yeux, les images me revenaient en mémoire aussi précises que si c’était hier. J’en avais fait des cauchemars concernant nos actes. Mais je m’étais promise de ne plus y penser, de vider mon esprit, de faire comme si de rien n’était. J’avais les idées un peu bousculées et j’attrapais une coupe de champagne, histoire de me vider l’esprit. Je la bu d’une traite, d’une manière assez peu élégante, certes, mais je n’en avais cure. J’avais raison depuis le début, ce n’étais pas une bonne idée de venir. J’en au une seconde preuve quelques minutes par après. De longs cheveux blonds, une silhouettes féline, toujours très gracieuse et extrêmement belle, un visage aux traits divins…Ceux de ma mère… Sauf qu’elle était sensée travailler et que l’homme auquel était accroché son bras et qu’elle regardait avec passion n’était pas mon père. Je me mis en route, furieuse, pour lui demander des comptes, lorsque je percutais violemment un homme. « Excusez-moi. » Marmonnais-je, légèrement sonnée. Décidément cette soirée débutait sous de très mauvais auspices.

first Log-in : 08/08/2010 parchemins : 712

« Oui venant de moi c’est le meilleur compliment que tu puisses recevoir, crois-moi ! » dit-il alors en esquissant un sourire, qui lui donnait un air sympathique. Enfin, il n’était pas le type le plus sympathique du monde, il avait une grande part d’ombre, et il vivait avec en étant un salopard avec les gens, surtout avec les filles d’ailleurs. Fils unique et chérie, sa mère avait toujours été au petits soin avec lui alors… il n’avait pas forcément beaucoup de respect pour les femmes, en apparence bien sûr. Quand on a une mère attentive comme celle du jeune homme, on est obligé d’avoir du respect pour les femmes, sinon, le jeune homme allait passer un sale quart d’heure ! Delcan lui débita alors un petit texte :« Okey si je te dis un truc tu promet de m’aider? Tu sais les lettres dans la gazette, et bien mes grands-parents crois que la lettre à été écrite par Nerissa Snape, mais j’y est rien compris au discours dans la lettre et j’ai peur de ne rien comprendre au discours non plus, tu voudrais pas me donner des cours rapides sur la politique. Et s’il te plait ne soit pas aussi ennuyant que les profs à l’école… genre j’ai juste besoin d’assez d’information pour pouvoir faire la discution à mes grands-parents quand ils vont finir par me trouver… à moins que t’on coté preux chevalier, qui on sait est complètement absent, ne décide de me sauver une autre fois. » Oh, elle sollicitait son aide ? Solliciter l’aide de Reaver c’est avoué qu’il en sait plus que vous sur certaines choses, et ça c’est une grave erreur. Mais elle avait raison, vraiment raison. Il s’y connaissait en politique. Il dit alors : « Mon côté preux chevalier ? Tu as trouvé l’homme de la situation Delcan. La politique ce n’est pas très compliqué tout est une affaire de pouvoir, de but et d’idéal, et je… » PAF, il fut interrompu par une personne qui lui rentra dedans, et qui lui fit renverser quelques gouttes de sa coupe de champagne sur ses chaussures, il ronchonna quand cette personne répondit : « Excusez-moi. » Oglehtrope. Tiens donc. Reaver sourit intérieurement à l’idée qu’elle lui soit rentré dedans, cette fille était terriblement maladroite, quand Reaver lui rétorqua alors : « Ma chère Alecto, tu es éblouissante ce soir, mais je crois que tu as oublié une fois encore ton adresse au placard. » Une réplique, une seule, elle était gentille d’un côté et sarcastique de l’autre. C’était du reaver tout craché cette histoire ! « Delcan, je te prie d’excuser cette catastrophe ambulante qui en veut à mes chaussures depuis quelques temps. » référence à la fois où elle lui avait violemment écrasé le pied. Il était un peu rancunier, mais il était de bonne humeur, alors il n’était pas forcément très très méchant, c’était pas affectif, mais presque.

first Log-in : 24/07/2010 parchemins : 467

La soirée battait son plein, et le discours de la dernière candidate ne semblait pas faire l’unanimité dans la salle, quand soudain une voix s’éleva alors, et scanda alors : « Infâme sang mêlé ! Comment oses-tu prétendre au ministère ? Comment une femme même sang pur pourrait prétendre au ministère ! » Un sang pur, entouré de ses compères mangemorts. Ils acquiescèrent tous, enfin, ses amis autour de lui et l'un d'eux un ajouta alors : « Allons-nous en mes amis, que tous les sangs purs de cette salle, et sympathisants du vrai Ministre quittent cette salle sur le champ ! » Des soupirs et des exclamations s'élevèrent dans la salle. Puis un mouvement de foule se dirigeant vers la porte quand soudain, une voix froide, une voix glaciale et autoritaire s’éleva dans la salle, la condamnant à un silence mortel. « Restez mes frères, restez, nous n’allons pas fuir notre ministère devant des cancrelats sans intérets. Non, JE suis le ministère, et JE suis la magie. Le Cercle n’est rien, qu’importe votre quête, vous ne trouverez pas le repos ici, jamais. Je trouverai ce que vous cherchez assiduement depuis quelques mois à Poudlard, ne croyez-vous pas que vos infiltrations sont passé inaperçues. Jamais aucun membre du Cercle ne trouvera plus la paix dans le monde des sorciers, jamais ! » Un vieux mage sorti alors du rang, un certain Albus Dumbledore, âgé, et diminué, mais il restait l’un des plus grand sorciers du monde, celui-ci dit alors : « Je crains que Poudlard entre en résistance Tom. Tant que je serai là, Poudlard offrira un refuge aux sorciers de toutes origines, de toute natures de sang. » Voldemort dégluti alors, et lança un regard noir au vieux sorcier, et le Lord ajouta alors d’une voix tout à fait plus froide, tout à fait terrifiante. C’était comme si sa voix s’introduisait dans l’esprit de tout le monde, tel un murmure, une pensée : « Vous commettez la plus grave erreur Albus, la plus grave. » d’un coup de baguette, le Lord ferma toutes les portes de la salle, toutes les portes. « Ceux qui ne me considèrent pas comme le légitime ministre n’auront pas la chance de sortir d’ici, et ceux qui y parviendront ne trouveront aucun repos, jamais plus de repos. Mangemorts ! » une voix terrifiante, et cela sonnait comme un ordre : les mangemorts avaient reçu l’ordre de maintenir l’ordre, d’attaquer les membres du Cercle, de forcer les gens à se rallier au Lord, par la force, par l’impero, mais ils avaient aussi reçu l’ordre de se débarasser des gens insignifiant : les sang de bourbe. Et qui sait capturer des membres du Cercle pour découvrir leurs plans.

Bonnie écoutait avec attention le discours de Nerissa Snape, elle s sentait concerné par la politique, par les évènements actuels, en tant que sang mêlée mais aussi en tant que membres du cercle. La soirée ne pouvait pas bien se dérouler. C'était irresponsable de réunir dans un même endroit tant de gens qui se haïssaient : les membres du cercle, les mangemorts et les révolutionnaires nourrissaient tous des intérêt antagoniste et la plupart d'entre eux était prêt à s'engager corps et âme dans un combat sans pitié. Bonnie n'était pas de ceux la, elle était une jeune femme douce, opposée à toute forme de violence. Mais il n'était cependant pas question qu'elle se laisse abattre sans réagir. Elle sentit alors que la soirée aller déraper, quand un homme se leva et hurla divers propos sur le sang de la candidate ainsi que sur le fait qu'une femme puisse diriger le ministère. C'était, du point de vue de Miss Pevensie, complètement absurde et dénuée de sens. Une voix glacé retentit alors. Lord Voldemort. Bonnie se raidit et un frissons lui parcourut l'échine, son visage perdit soudainement toutes ses couleurs. La jolie Serdaigle chercha du regard un quelconque soutien dans la salle. Son père, c'était lui qu'elle cherchait si avidement, lui qui aurait su quoi dire et quoi faire. Mais elle ne parvint pas à le repérer. Quand la voix d'Albus Dumbledore retentit dans l'assemblée, il mit un peu de baume au coeur tremblant de Bonnie. Le directeur de Poudlard était un homme incroyable, pour elle sans conteste le plus grand sorcier de son temps. Le fait qu'il parle de résistance à Poudlard, qui se voulait encore un endroit d’accueil en ses temps troublés était incroyable. Bonnie aurait bien voulu y croire elle aussi. son regard se posa sur le vieil homme qui semblait rayonner d'une aura de pouvoir absolument incroyable.

La voix du mage noir s'insinua alors dans la tête de la demoiselle. Par un pur réflexe absolument inutile, elle plaqua les mains sur ses oreilles et ferma les yeux, plus blême que jamais. Quand elle les rouvrit, elle vit les porte ce fermer. Piégé comme des enfants, fait comme des rats. Alors que les mangemorts passaient à l'attaque, Bonnie se leva d'un bond, sa baguette soudain serré entre ses doigts. Hors de question de fuir, ou de se laisser tomber. Sa famille était membre du Cercle depuis des années, elle s'opposerait toujours à l'opression de la tyrannie de Voldemort, c'était dans ses gênes, elle elle s'en rendait compte aujourd’hui, pour la première fois de sa vie. Elle était programmée pour, elle avait travaillé inconsciemment les réflexes qui étaient désormais ceux d'une guerrière. Mais pouvait-elle faire le poids face aux mangemorts ? Une de chose était sur, elle se battrait, pour la première fois de sa vie.

« Maman, papa, je suis contente de vous revoir. » Se fichant bien des convenances, elle serra chacun de ses parents dans ses bras avant de se reculer pour observer leurs tenues respectives. Sa mère portait une longue robe jaune qui ne passait pas du tout inaperçue et son père lui avait dû faire un effort exceptionnel, sa tenue de bal était d'un beau bleu nuit. D'habitude, il se laissait souvent aller à prendre des couleurs bien extravagante. « Tu essaies de faire bonne impression au Ministère, papa . » Il eut un petit rire avant de s'excuser pour aller rejoindre quelques-unes de ses connaissances afin de discuter d'un quelconque sujet qui ne devait pas du tout être intéressant. Quand elle avait reçu son invitation pour ce bal, Rose avait été un peu sceptique, ce lieu n'avait jamais été ouvert pour ce style d'événement et elle avait hésité avant de choisir de venir. Contrairement à beaucoup, elle n'avait pas de cavalier, mais cela ne la dérangeait pas plus que cela puisque le seul qu'elle aurait aimé auprès d'elle ne pouvait pas l'être. Son cœur se comprima douloureusement quand elle repensa au moment où on lui avait appris qu'il était fiancé, Ceadda, celui qui faisait toujours battre son cœur. Mais voilà, elle n'avait rien laisser paraître et allait tout faire pour essayer de trouver sa promise afin de la faire tomber pour qu'il retrouve sa liberté. « Alors ma chérie, comment est-ce que tu vas ? » Rose se retourna vers sa mère avec un sourire, cette dernière pouvait être complètement loufoque aux yeux des autres, elle en restait une maman plus qu'exemplaire. « Très bien, enfin autant que possible à la vue de la pile de devoirs que j'ai à faire. » Elles avancèrent dans la salle qui était tout bonnement splendide tout en discutant de rien et de tout, appréciant la beauté des lieux et faisant quelques commentaires sur la tenue de certaines personnes. Cette soirée allait être plaisante, elle en était certaine.

La salle où le repas devait avoir lieu fit dévoiler elle s'installa à la même que ses parents, ses deux frères et ses sœurs. Autant dire que le Ministère avait prévu une table seulement pour la famille Lingberg, ce qui était loin d'être dérangeant au bout du compte, ils allaient pouvoir passer un moment ensemble. Mais voilà, quand Nerissa Snape annonça sa candidature au poste de ministre, cela engendra une vive réaction de la part de certains sangs purs qui le firent savoir à voix haute. C'était ce genre de comportement qui indignait Rose depuis son plus jeune âge et elle est due se retenir pour se faire entendre. Heureusement Dumbledore était présent et n'avait pas l'air d'avoir envie de laisser couler. Toutefois le Lord n'avait pas l'air d'être d'accord avec le raisonnement du directeur de Poudlard et sans qu'elle n'en est réellement conscience toutes les portes firent fermer, condamnant l'accès aux sorties. Ils étaient tous piégés comme des rats. Innocent au milieu de la folie d'un homme qui n'en était plus réellement un.

first Log-in : 19/09/2010 parchemins : 3970

Les choses c’était passé assez rapidement. Daegan était assise à la table à tenter d’écouter les discours même que Samson avait finit par dire à Dafne de ce la fermer. Merci mon dieu parce que pour être franche la serpentard commençais à tomber sur le système de la pouffsouffle surtout qu’elle ne semblait qu’avoir qu’une idée en tête. Mais à peine Nerissa avait terminé son discours que les ennuis avaient commencé pour la salle entière. Les sang pur tellement arrogant c’était mis à dire que jamais une femme ne serait à la tête du ministère encore moins une femme qui n’était pas de sang pur. Daegan si elle avait eu plus de courage elle leurs aurait bien clouer le bec mais elle c’était mordiller la lèvre en regardant sa table. Deux serpentard, deux conservateurs et un serdaigle dont elle ne connaissait pas le clan mais vu les affiliations de sa famille ça s’annonçait mal. Elle était définitivement dans la merde. Surtout quand le ministre lui même avait pris la paroles, elle avait grimacer, il avait carrément déclarer la guerre à tout le monde, dont sa famille qui était aussi membre du cercle. Oh merde ça s’annonçait définitivement mal pour elle. Son réflexe avait été des plus simple elle était rester assise et avait rapidement trouver sa baguette avant de la pointer sur les deux serpentard tour a tour. « Je vais vous dire une chose… l’un de vous deux tente un truc contre moi je vous jure je me met à crier et vous allez avoir ma famille au basque, et Thierry tu fait le malin et c’est mon cousin qui te refais le portrait! » Oui imaginer elle était presque bout de choux face à ces sorcier qui était tous plus vieux qu’elle et pourtant elle était la première a avoir sortir sa baguette. Mais elle avait parlé à voix basse pour que seulement les gens à sa table ne l’entendent. Elle avait beau avoir l’air confiante et tout mais entre avoir l’air et l’être réellement il y avait une grande différence. Elle aurait aimé avoir une amie du cercle avec elle, ou même tout simplement Declan, Lana ou une autre fille qui ne soit pas une serpentard avec une réputation à la Dafne!

La discussion n’avait pas eu le temps de se terminer, déjà Samson lui avait dit de se la fermer se qui avait surpris la serpentard mais elle avait écouter son ami sans dire un mots et avant même qu’elle puisse reprendre l’assaut des deux garçon la salle était jeter dans la cohus. Tout d’abords une bande de mangemort avait laisser savoir que jamais il ne supporterait une femme se qui avait bien sur frustrer notre serpentard. Elle était peut-être conservatrice mais le discours de la Snape l’avait quand même motivé un peu. Et il était définitif que la sorcière croyait dans le «Woman power» alors le coté machiste et chauviniste des déclaration avait immédiatement frustrer la sorcière au point ou elle avait littéralement grimacer sachant qu’intérieurement jamais elle ne voterait pour Voldemort même si le père de la sorcière était clairement un mangemort et un criminel. Et Bien sur Voldemort avait répliqué à la bande de mangemort qui s’apprêtait à sortir et ouvertement déclarer la guerre à dumbledore et toute personne qui ne se rallierait pas à sa cause. Mais il était fou! Voilà se que notre blonde avait pensé alors que son réflexe avait été d’ouvrir son sac qui avait sa baguette et la sortir. Mais elle avait été moins rapide que la petite brunette de pouffsouffle. « Je vais vous dire une chose… l’un de vous deux tente un truc contre moi je vous jure je me met à crier et vous allez avoir ma famille au basque, et Thierry tu fait le malin et c’est mon cousin qui te refais le portrait! » Elle était surprise de la vitesse de la cadette mais en même temps elle avait pris ces paroles au sérieux. « Daegan si tu crois que j’allais voter du même coté qu’une bande de macho finit qui croit qu’une femme est bonne qu’a rester à la maison et faire des enfants tu te trompe! » Mais elle avait posé son regard sur Thierry qui était clairement conservateurs. Elle c’était surtout une opportuniste, elle allait du coté du plus fort et ça toujours. Elle était à serpentard et avait du agir comme les gens qui l’entourait mais elle n’était clairement pas conservatrice au point qu’on pouvait le penser. Elle était tout simplement une opportuniste qui n’aimait pas réellement les moldu voilà tout. Elle avait tourner la tête autours et la menaces était sérieuse, soudainement même la serpentard doutait des volonter de son compagnon de maison. « Thierry je crois que tu dois décider maintenant, t’es avec les Machos ou avec nous? » elle avait tenter de le provoquer pour qu’il les choisisse eux simple manipulation qu’elle connaissait parmi tant d’autre.

« J’ai hâte de pouvoir danser, pas toi ? » lui parvint le murmure de Rory au milieu des discours. L’air sortant de ses lèvres lui chatouillait le cou et lui donnait des frissons, comme ses doigts sur le dos de sa main ou au-dessus de son genou un peu plus tôt. Pour toute réponse, Coke prit délicatement son visage dans ses mains et l’embrassa langoureusement. Il y avait dans ce baiser tous les souvenirs de leurs nuits passées ensemble, la même chaleur, la même tendresse, la même passion. Sa réponse était pleine de sens. Coke s’interrompit soudainement lorsqu’elle entendit le changement de ton autour d’eux. « Infâme sang mêlé ! Allons-nous en mes amis, que tous les sangs purs de cette salle, et sympathisants du vrai Ministre quittent cette salle sur le champ ! » Rien de nouveau. Coke entendait ce genre de chose quotidiennement à Poudlard. Pour en revenir au chose plus agréable, Coke voulu reprendre son baiser avec Rory, mais elle le sentait pleinement prit par ce qu’il se passait autour d’eux.

Soudain, son Fléreur se mit à gronder et Coke le sentit sortir ses griffes. Elle aussi l’avait sentit, la tension autour d’eux était montée d’un cran. Coke passa sa main sur le dos de son Fléreur, gardant l’autre bien serrée dans celle de Rory. « Restez mes frères, restez, nous n’allons pas fuir notre ministère devant des cancrelats sans intérets. Non, JE suis le ministère, et JE suis la magie. » entendit-elle dire une voix qui lui glaça le sang. Depuis la Fête des Fondateurs et le blocage du Poudlard Express, Coke avait identifié cette voix comme étant celle du Ministre de la Magie. « Ceux qui ne me considèrent pas comme le légitime ministre n’auront pas la chance de sortir d’ici.» Coke entendit les portes de la pièce se verrouiller. Ses doigts glissèrent entre ceux de Rory pour saisir sa baguette. « Owl… » murmura-t-elle à son Fléreur pour qu'il soit sur ses gardes. Elle sentait déjà la peur couler à flott dans ses veines. « Mangemorts ! » « Owl!!!» « Mew! » Coke bondit et se tourna en suivant la direction de son Fléreur, guidée par la courbure de son cou. Il y eut un éclair, un cri, et un Mangemort, qui s'était approché, tomba à terre. Coke avait bien revisé les leçons que le Pr. Harlington lui avait donné.

Les choses c’était passer plutôt rapidement pour moi, moi et Lachlan on c’était rapidement retrouver et il m’avait fait la promesse de rester à mes coté et être ma béquille vu mon habileté dans les foutu talon aiguille que j’avais mis. Ces trucs étaient des objets de torture, mais rapidement on avait retrouvé nos amis à tout les deux. J’étais celle qui avait remarqué en premier Faye et Morgead et je les avait pointer à Lachlan qui avait en un seul regard accepter qu’ont aillent retrouver nos amis. Après tout notre couple n’étaient plus tellement secret, quoiqu’il ne l’ait jamais réellement été non plus. J’était surement la pire à garder se genre de secret. Faye avait étrangement fait dans la simplicité et cette robe n’avait absolument rien à voir avec la magnifique robe dont elle m’avait parlé hier mais elle était magnifique. Se que je ne manquerais surement pas de lui faire remarquer. Et en chemin j’avais remarquer une autre silhouette que je connaissait que trop bien. En deux instant j’avais mes chaussure au main et me détachait des bras de Lachlan pour allez serrer ma meilleur amis dans mes bras et la trainer de fore vers notre groupe. Surement mon petit coté à coté de la plaque qui était sortit mais c’était plus facile pour me déplacer et Celestina était réellement se qui se faisait de plus proche de moi alors je n’allait surement pas la laisser seul.

Ont avait discuter autour de coupe de champagne jusqu'à se qu’on nous annonce le repas et les discours. Etrangement j’étais un peu excité pour ces derniers et j’avas pris le chemin de la salle, si jamais su se qui se préparait pour nous j’aurais surement pris mes jambes à mon coups parce qu’une fois dans la pièces le repas nous avait été servis, et les discours avait commencer. Skeeter me laissait un peu froide, bien que j’approuvait se qu’il disait, mais j’avais déjà mon parti pris. Ça m’aurait peut-être pris du temps à me rallier complètement à la cause du cercle, dont ma famille faisait partie de depuis déjà quelque générations je crois, mais j’avais finit par comprendre leurs philosophie et à l’accepter. J’avais donc mon parti pris. J’avais quand même applaudit Skeeter mais mon attention avait été tourner vers Nerissa. Jusqu’a se que des imbécile de sang pur se fasse entendre. J’étais bien trop poli pour les huer mais ce n’était pas l’envi qui me manquait. Mais déjà en les entendant parler j’avais plonger ma mains dans la poche de Lachlan ou j’avais déposer ma baguette plus tôt dans la soirée et je l’avais attraper. Un sorcier ne sortait jamais sans sa baguette et je ne faisais pas exceptions. Et j’avais bien une raison parce que Voldemort nous déclarait la guerre, plus précisément il déclarait la guerre au cercle. Je n’avais pas dit à mes amis que j’en était membres mais j’avais le pressentiment qu’eux aussi sentait la menaces qui palpais sur tout le monde en fait. Mes réflexes de futur auror étaient déjà bien encrés en moi. « Quoiqu’il arrive on ne se sépare pas? » j’avais parler pour notre table au complet. Le pouvoir était dans la multitude et non pas dans l’unité. J’avais pleine confiance en mes amis et j’espérais qu’eux aussi. Aussi bien enlever à nouveau mes outils de torture si on devait courir.

first Log-in : 24/07/2010 parchemins : 467

Une bataille, voilà en quoi s’était transformé ce gala d’élections. Nerissa Snape était aux prises avec des mangemorts, et Voldemort semblait avoir soudainement disparu. Un homme s’écria alors : « Transplanez tous ! » mais, rien ne se passa. Il semblait impossible de transplaner entre ces murs, ce sortilège avait été lancé avant le gala par les organisateurs pour que personne ne vienne jouer les troubles fêtes… ils avaient gagné un combat dans un espace clos. Une bataille, des bousculades, des gens essayaient d’ouvrir les portes, d’abord à coups de baguette, puis en la poussant de toutes leurs forces; c’était la panique.

- Timothy Sweetlove fut poussé par une femme et celui-ci manqua de tomber. Pendant ce temps, l’infirmière de Poudlard, Beatrix Windsor, et Edmund Snicklpitch, l’ancien directeur de Poudlard, étaient en plein combat avec deux mangemorts. Mr Snicklepitch réussi à en désarmer un, mais le second atteint alors avec un sortilège Beatrix dans la poitrine, désarmant celle-ci dont la baguette roula sur le sol, et fut brisée par la cohue, quelqu’un marchant dessus. NOTE AUX JOUEURS POUR LA SUITE DU RP : Edmund, vous avez le droit de désarmer, après quelques échanges de sorts et éventuellement une petite blessure pas bien méchante, celui qui a attaqué Beatrix. Beatrix, vous êtes blessée, et profondément sonnée, vous êtes étendue sur le sol glacial du ministère, et vous êtes tombée sur une coupe de champagne brisée, et votre bras saigne un peu, trois fois rien. Vous êtes surtout sonnée, et incapable de vous lever ou de faire quoi que ce soit, vous pouvez également délirer, ou paniquer, au choix !

- Un combat ici et ce soir, mais une rancune encore fraîche. Mr Black et son fils tenaient fermement leur baguette, des gens se précipitèrent vers eux. Mr Black pointa sa baguette sur l’un d’eux et prononça un terrible « avada kedavra », qui percuta un homme qui devint livide et s’effondra sur le sol. La seconde personne désarma Mr Black sous le regard de son fils, et Mr Black cria à son fils : « Désarme-le idiot ! » mais il tomba alors figé par un stupéfix sur le sol. Un duel s’engagea alors entre Amadeus Black et l’homme dont la famille avait été blessée par Mr Black. Un combat. Amadeus parvient à le faire tomber à genoux, et l’homme avant de lâcher sa baguette, blessa Amadeus à l’aide d’un sort informulé qui le blessa gravement à la jambe, une hémorragie. NOTE AUX JOUEURS POUR LA SUITE DU RP : Dans votre rp, vous pouvez relater votre combat, en respectant ce qui a été dit. Vous êtes blessé, hors de question de jouer les héros. Pour l’instant votre père est stupéfixié, mais si quelqu’un se joint à vous, il peut le libérer de l’entrave de ce soir, dès lors, Mr Black deviendra un PNJ que vous pourrez faire vivre dans votre rp, en respectant des règles. Vous êtes gravement blessé, il serait peut-être temps de ravaler votre fierté et d’appeler à l’aide avant qu’un de vos ennemis ne vous achève.

- On ne fuit pas sa famille pour toujours. Dans la foule, et la cohue, Ysölde Wilkes perdit le « cavalier » qui était à ses côtés, visiblement paniquée à l’idée de se retrouver dans une situation identique au Noël de l’an dernier. Elle fut bousculée, et elle croisa le regard d’Angus Wilkes : son père. Ni une, ni deux, il se dirigea vers elle, baguette à la main, et d’un geste violent, et rapide, il la gifla, faisant perdre l’équilibre à la jeune femme. Avant qu’elle ne tombe, il lui saisit violemment le bras, et murmura d’une voix froide : « Je te retrouve enfin, infâme sang mêlé ! » il la traina dans la salle sur quelque mètres. Elle avait beau se débattre il ne la lâchait pas, jamais. Après quelques mètres, il la lâcha pour la frapper au visage de façon encore plus violente. Puis il leva sa baguette, et articula alors « Endoloris ! », elle se tordit de douleur sur le sol. NOTE AUX JOUEURS POUR LA SUITE DU RP : Miss Wilkes, vous voilà dans une fâcheuse situation, on ne fuit pas notre vie plus longtemps. Criez, criez, peut être que quelqu’un finira par venir à votre secours, mais n’êtes-vous pas déjà perdue ? Vous êtes blessée, nez en sang, lèvres ouvertes, et demain probablement un bleu au visage dans le meilleur des cas. Mr Wilkes est votre PNJ, vous avez le droit de le jouer dans la limite du raisonnable. Qui vous aidera ? Nous le verrons bien.

- Daegan Redbird était assise mais elle fut frôlée de quelques centimètres par un corps qui passait par là. Le corps d’un sorcier qui fut projeté contre un mur de façon très violente, à la guerre comme à la guerre. Elle, Thierry Clovis Wiesemann, Samson L. Sorenson, et Dafne M. DeVries se lèvent précipitamment et quittent leur place douillette et cosy, pour se jeter dans la bataille. Ils doivent se défendre ? Devant eux, une sorcière subi un sortilège de Doloris, et son assaillant l’abandonne soudainement, partant à l’ opposé d’eux à l’attaque. C’est choquant, n’est-ce pas ? Dans la panique, un sorcier hors de lui, et hors de contrôle couru dans leur direction, et poussa violemment Daegan sur le sol. Elle se cogna la tête, l’ouvrant légèrement avec quelques bris de verre de champagne. Elle sombre alors dans une sorte d’incohérence totale, ce qui provoque l’inquiétude de ses amis. NOTE AUX JOUEURS POUR LA SUITE DU RP : Vous allez devoir vous occuper de Dae qui sombre dans l’incohérence totale. Entre temps, pendant vos rp suivant vous pouvez faire face à un groupe de mangemorts qui ne va pas vous attaquer mais vous demander « quel est votre camp ? » à vous de choisir une réponse. L’altercation entre vous et PNJ – que vous allez jouer – peut durer, ou prendre un terme. Si le combat à lieu, vous pouvez les désarmer, mais jouez le jeu, pas en deux secondes, un combat c’est un échange de sorts.

- Mangemort, et sang purs, de la salle, vous avez le droit de vous attaquer à des PNJ, ou à des joueurs de votre choix, cependant, pas de sortilèges impardonnables, si vous le ne faites pas alors que le regard des vôtres est sur vous, votre avenir en sera à tout jamais changé. Qui veut passer pour le traitre à son sang ? Pas vous, enfin… je ne l’espère pas pour vous. MEMBRES CONCERNES : Shanaëlle Malfoy, Morgana Malfoy, Asher Crabbe, Bellatrix Wilkes, Theodore Wilkes, Izernora Rosier Black. Mangemorts ou pas, soyez dignes de votre sang.

NOTE: - Vous n’avez pas le droit de neutraliser les attaquant sans l’avis du PNJ. Donc vous pouvez lancer des sorts, mais vous ne pouvez pas décider s'ils ont touchés/désarmés/blessés les agresseurs.
- Les blessés cités dans l'intervention du PNJ doivent jouer le jeu. Vous ne pouvez donc pas esquiver ce qui est cité dans l'intervention.
- D'autres blessés sont à venir, donc vous ne pouvez pas faire en sorte que votre personnage soit blessé. Ce rôle revient au PNJ.

first Log-in : 29/06/2010 parchemins : 8416

La jeune femme paniquait. C’était légitime, le dernier bal auquel elle avait assisté, et bien avait fini en bain de sang, elle y avait perdu son frère, et cela l’avait parfaitement traumatisée. Elle fut bousculée et elle perdit Evan dans la foule, se retrouvant seule, elle manqua de marcher sur sa robe, c’était la panique totale, mais elle n’avait encore rien vu. Le croisa le regard d’Angus Wilkes, son « père », enfin, ils n’avaient rien en commun, absolument rien en commun, d’un pas décidé il se dirigea vers elle, ce regard haineux sur le visage, et la gifla violemment, manquant de faire tituber la jeune femme, mais avant qu’elle ne puisse tomber, il la retint alors en serrant son bras avec une telle force que le lendemain elle allait sans doute avoir une marque. Il lui lança alors, un avec un regard froid, un regard de fou : « Je te retrouve enfin, infâme sang mêlé ! » Il la serra si fort, que la jeune femme essaya de se débattre, en vain, quand celui-ci la traina à travers la salle, comme si elle n’était qu’une vulgaire chose, et ysölde répliqua alors, presque en larme : Lâche-moi, lâche-moi ! Sa voix se perdait alors, elle n’était pas forte, elle ne pouvait pas faire face, sa baguette dans sa poche, elle était impuissante. Soudainement il la lâcha brutalement la laissant tomber sur le sol à genoux, et d’un coup sec, et rapide, il la frappa un visage. Ysölde retint ses cris, elle avait mal, terriblement mal, pas seulement physiquement, au fond d’elle une partie d’elle se brisait à jamais, elle avait cru en l’humanité de son père, mais non. D’un coup de baguette il articula alors : « Endoloris ! » Elle se tordit de douleur, c’était pire que tout. Une douleur qui vous transperce de part et d’autre. Une douleur infinie, elle articula entre un sanglot et un gémissement : arrête, je t'en prie, arrête !!! Elle sanglotait quand il arrêta son sortilège, elle était couchée sur le sol, en larme. Elle était d’avantage sous le choix. Son père s’agenouilla alors à ses côtés, la baguette toujours pointé sur sa fille, et dit alors d’une voix quasi schizophrénique : « Chut Ysölde, il fallait réfléchir avant de nous tourner le dos, tu as fait la même erreur que ta mère, et je pense que ça va finir de la même façon, sale sang mêlé. » Il osait parler de sa mère ? Comment osait-il ? il l’avait tué, Ysölde en était certaine, et elle aussi allait mourir ? Peut être. Elle sanglota alors, et elle n’était pas prête de le supplier de nouveau, c’était la première fois qu’il mentionnait sa mère, elle le détestait tellement. Je t’interdis de parler de ma mère, tu l’as tuée, comment ose tu ? sa voix était froide, même si elle était en larme même si elle saignait du nez et qu’un goût de sang était dans sa bouche, elle ne le laisserait pas gagner. Qui pourrait l’aider ?

first Log-in : 19/09/2010 parchemins : 3970

Visiblement aujourd’hui les trucs avançaient rapidement, un instant Daegan était en train de menacer Thierry et Dafne pour s’assurer qu’ils ne l’attaqueraient pas. Dafne venait juste de la rassurer à l’instant « Daegan si tu crois que j’allais voter du même coté qu’une bande de macho finit qui croit qu’une femme est bonne qu’a rester à la maison et faire des enfants tu te trompe! » Bon d’accord ce n’était pas tellement rassurant mais en même temps Dafne ne lui avait jamais fait de mal ouvertement ou publiquement. Même si elle était l’organisatrice d’une fête cauchemardesque. En un instant la salle était dans un chaos et savoir qu’elle avait au moins le soutient de la sorcière de 23 ans était rassurant. « Thierry je crois que tu dois décider maintenant, t’es avec les Machos ou avec nous? » l’attention de la sorcière c’était immédiatement tourner vers le serpentard aussi, mais ce dernier n’avait pas eu le temps de répondre que truc frôlait la pouffsouffle de proche. « AHHHHHHH What the… » C’est yeux c’était aggrandit complètement terrifier, elle était sur ces pieds en pointant le mur avec sa baguette son autre mains sur la bouche. « C’est… c’est un… c’est un corps… oh my…. » Non la sorcière n’était pas du tout en état de choc, bon d’accord elle était complètement terrifier et en deux seconde elle était sur ces pied et regardait autour d’elle. Son reflexe avait été de se rapprocher de la serpentard et il semblerait que tous avaient eu le réflexe de tout simplement se regrouper. Dans un sens la sorcière était rassurer parce qu’ils étaient tous plus âgée qu’elle mais le problèmes c’était leurs réputation. Les scènes devant la sorcière était pire que le bal de l’an dernier, l’an dernier c’était des gosse qui avait attaquer aucun n’utilisait des sortilège autant dangereux, cette fois c’était des adultes la chose n’était pas la même chose. Soudainement elle avait sentit qu’on la bousculait avec violence, elle n’avait même pas eu le temps voir d’ou c’était sortit. Elle avait serré sa baguette dans ces mains en tombant sauf qu’elle n’avait pas pu empêcher la chute, elle était tombée avec violence au sol, en sentant sa tête frapper avec violence au mur. Son esprit c’était immédiatement embrume et une autre scène se déroulait devant ces yeux. « Non, arrête, s’il te plait arrête. » Elle était incohérente, répétant cette phrase incessamment.

Je n’avais surement jamais été aussi rigide de toute ma vie, j’étais au aguets, je me faisait violence pour ne pas immédiatement sauter au cou de Samson que je détestais de toute mon âme. Mes réflexe était pour protégé la pouffsouffle qui se trouvait prise entre nous trois et malheureusement les fait était que se serait extrêmement difficile. Et la sorcière avait compris quand l’attaque avait commencer que les chose serait vachement difficile j’étais tenter de joindre les rang des mangemort vu ma haine des né moldu, mais en même temps depuis ma dernière discutions avec Faye mon cœur chancelait et mes croyances aussi. Dafne avait déjà dit qu’elle ne serait pas une menace pour Daegan et soudainement c’était elle qui me demandait de quel coté je me rangeais. Et je savais que je n’avais pas le choix de rester, si Samson était ici, pas question de le laisser une seule seconde s’approcher de la pouffsouffle. Mais soudainement un cri aigue de la dite sorcière m’avais littéralement assourdie. « AHHHHHHH What the… » Je m’étais frotter l’oreille en regardant ou elle pointait. « C’est… c’est un… c’est un corps… oh my…. » Je la regardais complètement sur le cul, cette fille était définitivement trop innocente pour sont propre bien. Elle n’était pas naïve et ça je l’avait vu à la vitesse ou elle avait sortit sa baguette. Mais en même temps elle avait cette innocence qui faisait qu’on voulait tous un peu la protéger, je l’avais bien sentit chez Dafne. On c’était regrouper mais se regrouper ne semblait pas assez pour tous leurs sauver la peau. J’avais vu le sorcier venir un petit peu trop tard et l’instant suivant j’étais au coté de Daegan qui était tomber par terre. « Non, arrête, s’il te plait arrête. » J’avais ouvert les yeux et ma tête c’était tourner vers Samson. Je me souvenais de ces mots, sauf que la le problèmes était que Daegan n’avait pas l’air d’être avec nous. « Samson attrape un tissus sur la table j’en ai de besoin. » Elle ne saignait pas énormément mais je savais qu’elle aurait besoin de soins. « Dafne tu décide immédiatement soit tu lui donne les soins soit toi et Sorenson vous nous Backer up. » Je la regardais. Oui je lui demandais son opinion elle ne voulait pas de Macho alors c’était se que j’allais ne pas lui donner.

Il y à quelques année, la peur paralysait complètemnt Bonnie, elle se retrouvait incapable du moindre mouvement dès lors que la pression devenait trop forte. Son frère s'était inquiété de cet passivité et avait fait e sorteque cela change. Pendant des mois qui s'étaint étirés en années, il l'avait entraîné, pour qu'elle devienne plus rapide, plus précise, plus judicieuse dans ces choix d'attaque. Son enseignement avait porté ses fruits, puisqu'aujourd'hui, elle pu analyser la situation, qu'elle qualifié sans peine d'un seul mot : catastrophique. Partout, les gens hurlaient, les éclats de lumière dû aux sorts fusaient dans toute la salle, des sorciers fous frappait au hasard, peu importe qui ils toucheraient, l'important semblait être de toucher quelqu'un. En bonne Serdaigle, Bonnie était rationnelle. Elle ne tirerait certainement pas dans le tas sans distinguer ami et ennemi. Elle chercha des yeux son père ou son frère, mais ils étaient introuvable ans la cohue. Il fallait désormais se rendre à l'évidence, pour l'instant elle ne pouvait compter que sur elle même. Parmis tous les cris, elle entendi un voix qui lui était familière et vit une scène qui la répugna au plus au point. Ysölde Wilkes, au sol, hurlait à en perdre la voix sous l'effet sur sortilège doloris qui lançait l'homme. C'était sans conteste la chose la plus horrible que Bonnie avait jamais vu, du moins pour l'instant. Il n'y avait même pas de décision à prendre, comme si elle pouvait choisir de simplement tourner le dos. Se foutant de sa robe déjà roussi par les affrontements, elle évita un assaillant et, sa baguette à la main courut dans la direction d'Ysölde. Ys était son amie, elle étaient toutes les deux membres du cercle, elle était l'ex petite ami de Duncan.... En y réfléchissant, plus de chose qu'on ne voulait bien le croire liaient les deux jeunes femmes. Elle se retrouva rapidement à quelques mètres seulement de la demoiselle et distingué clairement son visage en sang. C'était répugnant, comment osait-il la traiter ainsi ? Ysölde ! Bonnie ne comprendrait jamais la violence ni son intérêt, persuadé qu'une discussion réglait toujours les problème. Mais comment restait pacifiste devant une telle vision. Ysölde était encore une enfant, même si elle n'avait qu'un an de moins que Bonnie. C'était de rage cette fois-ci que la main qui tenait sa baguette trembla. Elle la leva un peu plus dans une réelle position de combat. Elle n'était peut-être pas une guerrière mais elle n'était pas une lâche non plus, on n'attaquait pas les gens dans le dos.

Béatrix gardait ses yeux plongés dans ceux immenses du Pr. Snicklepitch. Son regard la faisait fondre, mais le cœur de Béatrix était glacé à l’idée qu’il ne lui pardonne pas son agression de toute à l’heure. Puis le professeur lui sourit. « Non, c'est moi qui vous demande pardon » lui répondit-il tout bas. Béatrix soupira de soulagement en lui rendant son sourire radieux. Puis elle sentit une chaude caresse sur ses lèvres, comme une plume, comme une brise, avant de voir le Pr. Snicklepitch se redresser et de comprendre qu’il venait de l’embrasser. Et Béatrix oublia tout. Elle oublia le Pr. Ombrage qui l’attendait sans doute déjà dans son Infirmerie pour lui faire payer son absence, elle oublia les Pr. De Quincey et Malfoy qui la faisaient se sentir moins que rien, elle oublia même ses recherches en cours pour ses collègues de Ste Mangouste. Tout cela ne semblait soudainement plus avoir beaucoup d’importance, à côté de lui…

Des dizaines de sorts jaillirent de toutes parts à la même seconde. Sans même se parler, elle et le Professeur de Métamorphose formèrent une équipe redoutable : Béatrix les protégeaient en contrant sortilèges sur sortilèges pendant que le Pr. Snicklepitch attaquait leurs assaillants en ne leur laissant aucun répit. Autour d’elle, de nombreuses personnes s’effondraient, dont beaucoup d’élèves. La situation virait à l’hécatombe. Béatrix ne voyait toujours pas Tim et Sofia. Sa présupposition qu’ils étaient partis avant le repas se confirma. Ils étaient à l’abri. Béatrix repris du courage à cette pensée et au même moment, le Pr. Snicklepitch désarma un Mangemort. « Bien joué !»le félicata-t-elle par-dessus son épaule. « Lâche-moi, lâche-moi ! » lui parvint alors une voix qu’elle reconnu immédiatement. Béatrix se tourna vers Ysölde, qui était violemment entraînée à l’écart par un sorcier. Béatrix ouvrit la bouche pour crier son nom, mais son souffle fut coupé dans sa gorge. Ses yeux furent aveuglés par une lumière blanche et elle ne put plus rien sentir à part une douleur profonde à la poitrine. Lorsque ses sens lui revinrent, elle sentait le sol froid parsemé de débris coupants contre son dos. « Ysölde…» articula-t-elle d’une voix brisée qu’elle ne reconnaissait pas. Sa main était vide. Elle tâta le sol autour d’elle mais ne parvenait pas à la retrouver. Puis la vue et les sons lui revinrent également, les sorts, les cris… « Endoloris ! » Un cri couvrit tous les autres. « Ysölde !!!» Parvint-elle à appeler plus clairement malgré sa voix brisée, paniquée. Il ne devait rien arriver à la nièce de Sofia, Béatrix ne se le pardonnerait jamais. Ysölde ne devait surtout pas mourir. Béatrix parvint à attraper la manche de quelqu’un dont le visage était encore flou, puis elle finit par discerner les traits familiers du Pr. Snicklepitch. Sa poitrine refusait de lui donner le souffle nécéssaire pour crier, mais elle articula frénétiquement « Ysölde ! Ysölde ! Aidez Ysölde !!!»

Le coeur d'Edmund battait comme il ne l'avait jamais fait. Il s'éloigna du visage de Beatrice et voyant celle-ci sourire, son coeur reprit une cadence normal. Mais ce sentiment d'apaisement et de plénitude qui l'envahissait fut de courte durée. Des voix venaient de s'élever dans la salle. Celle d'un sang-pur qui cingla Nerissa Snape. Puis celle glaciale de Voldemort s'éleva dans tout le Ministère. « Jamais aucun membre du Cercle ne trouvera plus la paix dans le monde des sorciers, jamais ! » s'exclama-t-il avec froideur. Ce fut alors au tour du Professeur Dumbledore de s'exprimer : « Je crains que Poudlard entre en résistance Tom. Tant que je serai là, Poudlard offrira un refuge aux sorciers de toutes origines, de toute natures de sang » dit-il avec un grand calme. Edmund put entendre la colère de Voldemort dans sa propre tête. « Vous commettez la plus grave erreur Albus, la plus grave. Mangemorts ! » hurla-t-il à l'adresse de ses fidèles. Tout se passa alors très vite. Les portes de la salle se fermèrent en fracas. Les gens se levèrent de leur table et se mirent à courir dans tout les sens. Edmund vit des jets de lumières fuser au dessus de sa tête et il attrapa la main de Beatrice. Il força l'infirmière à se baisser et tenta de transplaner, mais rien ne se passa. Edmund regarda Beatrice et l'aida à se relever alors qu'un jet lumineux passa juste à côté d'eux. Edmund se retourna et munit de sa baguette, il para le sort qui arrivait sur lui. Deux mangemorts étaient face à eux. Les sorts fusèrent et après quelques échanges Edmund réussi à désarmer l'un des mangemorts avant de l'envoyer valser quelques mètres plus loin. Un jet de lumière blanche passa sous les yeux du sorcier et il vit Beatrice s'écraser sur le sol. Une poussée de rage monta dans Edmund et il se retourna vers le mangemort responsable de la chute de Beatrice. Edmund fit un mouvement de poignet et une corde sortit de sa baguette pour allier lier les jambes de l'adversaire qui tomba sur le sol. Edmund profita de se moment de répit pour se retourner vers le Doctor Windsor. Il se pencha vers elle et elle lui attrapa la manche. « Beatrice est-ce que ça va ? » dit-il sans se rendre compte de son ton familier. « Ysölde ! Ysölde ! Aidez Ysölde !!! » lui dit-elle à bout de souffle. Edmund fronça les sourcils et se retourna vers l'assistance. A travers les gens il vit la jeune Ysolde Wilkes au sang et le visage en sang tandis qu'un homme à l'allure imposante se tenait devant elle. Edmund leva sa baguette et lança un sort de stupéfix qui se perdit sur la mauvaise personne. Qui ne tente rien n'a rien.

Asher comprenait maintenant pourquoi Morgana avait eu une sorte de mauvais pré-sentiment en se rendant à ce bal. La soirée qui avait commencé plutôt dans l'ennui s'était transformé en affrontement ... Il était assis à une table avec sa fiancée, n'écoutant que d'une oreille distraite ce que disait les politiques. Asher était un partisan de Lord Voldemort, comme sa famille, il avait reçu la marque des ténèbres. Donc il était logique de s'attendre qu'il soutienne le partis des conservateurs. Tandis qu'il sirotait une coupe de champagne, il pensait aux conséquences de cette marque. A tout moment il pouvait être appelé et partir en mission, risquer sa vie pour ses idéaux, et perdre la seule femme qu'il aimait. Il regardait Morgana, prenant des photos dans sa tête pour se souvenir de tout ses moments passé en compagnie, les bons comme les mauvais. Il donnerait sa vie pour elle, il ne lui avait jamais dit, mais elle devait sans douter. Il regarda ensuite son père, assez froidement. Il le respectait beaucoup mais ne voulait pas devenir comme lui, comme tout ce que Morgana déteste. Puis tout se déroula très vite ... Le seigneur des Ténèbres enferma tout le monde à l'intérieur de la salle du Bal, ordonnant à ses fidèles de se battre. La marque sur son bras le brûla légèrement, tandis qu'il sortit rapidement sa baguette afin de non pas, se battre pour Voldemort, mais protéger sa future femme ... Il renversa la table afin de s'y mettre à l'abris derrière, prenant le visage de Morgana. « T'es sûrement voyante toi ... » D'un mouvement de baquette, il désarma un homme qui se dirigeait vers le couple; l'envoyant ensuite violemment valsé contre un des murs. Peu de temps avant les festivités, Morgana lui avait demandé si il allait la laisser tomber pour Amadeus ou autre ... Il l'a regarda dans les yeux. « Je reste avec toi, je t'aime. » Son seul but était de protéger Morgana, et de l'a faire sortir de là, il lui prit la main pour essayer de transplaner, mais impossible ....

Je n'en revenais pas de ce que Théo venait de me dire. Sa mère avait rompu les fiançailles. Je comprenais mieux a présent pourquoi ma soeur avait refusé de venir à ce bal. Maddie arriva pour voir sa cousine et me salua,juste par respect, quand à moi, je me contenta de lui sourire et tourna les talons pour aller parler à mon père de cette histoire de fiançailles. « Père! », alors que je commençais à lui parler, je sentis mon bras gauche, me bruler atrocement. C'était la marque. Il arrivait, alors que mon visage se crispait de douleur, je vis mon père me regarder avec un air signifiant " ressaisie-toi immédiatement Amadeus". Tout ce bouscula dans ma tête, j'essayais de résister à la douleur, puis elle se calma et j'entendis la voix de mon maitre. « Vous commettez la plus grave erreur Albus, la plus grave. Mangemorts ! », Alors que plusieurs mangemort dont mon père se mirent à lancer des sortilèges, je restais la sans bouger. Devais-je vraiment révéler à tout le monde mon identité? Est-ce que j'allais finir à Azkaban comme Phineas si jamais quelqu'un d'autre était élu. Qu'est-ce que Perceval allait penser de moi, lorsqu'il découvrirait la vérité? Les questions se bousculèrent dans ma tête. soudain la voix de mon père se fit «Amadeus, qu'est ce que tu attends pour te battre! Tu n'as pas entendus ce qu'il a dit? » Je jetais un coup d'oeil à Asher et Théo, aucun d'eux semblait se battre, mais moi je voyais bien que je n'avais pas le choix, je commença à me battre au côté de mon père.«Incarcerem!» lançais-je à un homme en face de moi, ligotant ce sang impur au sol Soudain j'entendis la voix de mon père s'écrier« Avada-Kedavra ! ». Je me figea totalement sur place regardant, le corps inanimé tombé sur le sol. J'étais paralysé. Mon père, avait il tué quelqu'un? Est-ce que c'est ce qu'on me demandait? Etre un assassin. A présent, tout se déroulait si vite. Quelqu'un désarma mon père, et j'entendis sa voix me dire«Désarme-le idiot. » avant de le voir stupefixier sur le sol. Sans prononcer à seul mot, j'envoya valser mon adversaire sur le sol, à l'aide d'un sortilège expérimental sur lequel je travaillais, j'étais tellement content, qu'il ai marché, que je fus quelque peu déconcentrer durant quelques secondes avant de désarmer mon adversaire. Ce laps de temps, lui avait laisser le temps de m'envoyer un sortilège informulé qui me frappa de pleins fouets sur la jambe. Je m'effondra sur le sol, le sang dégoulinait sur ma jambe.« Episkey» tentais-je mais en vain , il y'avait bien trop de sang. J'avais besoin d'aide immédiatement. Je cherchais Asher des yeux, j'étais sur qu'il m'aiderait. Mon cousin, était comme un frère pour moi, et je donnerais ma vie pour lui, et j'étais persuadé qu'il en ferait autant. Je tapota la marque des ténèbres sur mon bras pour attirer l'attention de mes compères, avant de lancer un sortilège de patronus, laissant, une magnifique sirène, sortir de ma baguette« Asher» dis-je à l'adresse de la sirène, persuadé qu'il reconnaitrait mon patronus et viendrais me sauver. Asher était avec ma soeur et Perceval probablement la seule personne à connaitre mon patronus.

La porte était fermée et nous ne pouvions plus sortir. Visiblement tout le monde était contre nous en ce moment. D'abord cette peste de Serpentard qui me séparait de l'homme de ma vie et maintenant cette soirée se transformait en cauchemars. J'avais dit à mon mari qu'on n'aurait pas du venir ici mais non il fallait absolument y aller et voilà. J'avais eu raison. Mon intuition avait été la bonne. Je me tournais alors quand les premiers sorts furent jetés et je perdis de vu mon époux. Je marchais de plus en plus rapidement après avoir pris ma baguette entre les mains pour me protéger. Pour le moment je cherchais mon mari est yeux mais j'entendis la voix glacée de Béatrix hurler qu'il fallait aider ma nièce. Je me tournais quelques instants pour la repérer et je la vis en sang. Je reconnus immédiatement l'homme qui lui jetait des sorts. Je serrais ma main sur ma baguette mais avant que je ne puisse venir à son aide je me fis bousculer avec une personne que je ne connaissais pas. Je me retrouvais au sol et j'eus beaucoup de mal à me relever. Je ne savais plus où j'étais, j'étais complètement désorientée et je ne savais pas où j'étais et j'avais la tête qui tournait et pour couronner le tout une vive douleur me prit sur niveau de mon hypochondre droit. Je posais mes mains dessus et je sentais quelques choses de chaud couler. Je n'osais alors pas relever mes mains vers mes yeux.